RASSEGNA STAMPA ESTERA - 07 agosto 2020 - Unimpresa International

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RASSEGNA STAMPA
     ESTERA
   07 agosto 2020
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PMI
  07/08/2020 Financial Times                                                       4
  TikTok deal tests Microsoft's bet on China

  07/08/2020 Les Echos                                                             6
  « Même une entreprise mondiale comme Sodexo peut bouger vite »

STAMPA ESTERA
  07/08/2020 The Guardian                                                          9
  Pope fulfils pledge to promote women by appointing six to run Vatican
  finances

  07/08/2020 Les Echos                                                             11
  John et Sergio : le dauphin et le bulldozer

  07/08/2020 Les Echos                                                             14
  L'italien Unicredit revient dans le vert mais reste prudent sur les provisions

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La proprietà intellettuale è riconducibile alla fonte specificata in testa alla pagina. Il ritaglio stampa è da intendersi per uso privato

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  Parce que les consommateurs souhaitent pouvoir manger quand, où et comment ils veulent,
  le géant des cantines a opéré sa mue. Et la pandémie est venue agir comme un accélérateur
  de tendances déjà identifiées par la multinationale, qui s'est entourée d'un écosystème de
  start-up pour repenser son offre de services, notamment à l'ère du digital. Sophie Bellon,
  présidente du conseil d'administration de Sodexo, explique aux « Echos » comment
  l'entreprise va affronter la nouvelle donne post-Covid grâce à la dive
  « Même une entreprise mondiale comme Sodexo peut bouger vite »

  Quel impact a eu le Covid-19 sur la santé Sodexo ?Nous avons perdu un tiers de notre chiffre
  d'affaires au troisième trimestre de notre exercice 2019-2020 clos au 31 mai, avec une chute
  de 84 % sur nos activités sports et loisirs, très impactées, contre une baisse de 54 % pour
  l'éducation et de 28,5 % pour les entreprises et administrations, avec une bonne tenue des
  secteurs défense, justice, énergie et ressources, moins touchés par le confinement. C'est sans
  surprise le segment santé et seniors qui a le mieux résisté avec un recul limité à 13 %. Mais
  la crise a aussi montré notre capacité de résilience, notamment grâce à notre position solide
  en facility management, qui représentent 33 % de notre chiffre d'affaires et qui ont baissé de
  seulement 2 %.La crise sanitaire a-t-elle changé votre organisation ?Notre activité
  internationale nous a permis de constituer une task force dès le début de l'épidémie et de
  tirer parti des bonnes pratiques de nos équipes en Chine. La situation a avant tout été gérée
  région par région. Le global s'est mis au service du local et cela a permis de casser les silos,
  d'alléger les process, de soutenir nos fournisseurs les plus vulnérables, de réaffecter
  4.000 personnes dans le monde, de sites fermés ou en sous-activité vers des sites en tension
  comme les établissements de santé : des chefs de restaurants de direction sont ainsi allés
  améliorer le quotidien des soignants. On a retrouvé notre esprit entrepreneurial d'origine et
  nos collaborateurs ont suivi, même s'il a fallu mettre la moitié de nos salariés au chômage
  partiel en France et que nombre d'entre eux y sont encore. La crise a montré que même une
  entreprise de taille mondiale, riche de 470.000 collaborateurs, peut bouger vite, comme le
  montre notre programme Rise with Sodexo : notre approche multiservice, avec des
  protocoles sécurisés, nous permet d'accompagner efficacement nos clients dans la reprise.
  Mais cette agilité doit perdurer.En quoi consiste Rise ?En trois semaines, nous avons lancé ce
  programme mondial pour aider nos clients et consommateurs à répondre aux défis sanitaires,
  opérationnels et de confiance, posés par le Covid-19, dans tous les environnements où nous
  opérons. Il repose sur la complémentarité de nos activités de services sur site, services
  avantages et récompenses et services aux particuliers et à domicile, en intégrant plus de
  20 offres de services essentiels tels que le nettoyage et la désinfection, le contrôle de la
  qualité de l'air, des possibilités de restauration diversifiée, des cartes repas pour les
  personnes en télétravail, une conciergerie digitale ou encore la réorganisation des espaces de
  travail. Sodexo a également créé un conseil médical consultatif pour accompagner
  l'élaboration de nouveaux protocoles et normes, et s'est associé à Bureau Veritas pour mettre
  en oeuvre un label certifiant les mesures sanitaires pour une reprise d'activité en confiance.
  La crise ne signe-t-elle pas l'arrêt de mort des cantines ?La crise est un accélérateur de
  tendances déjà à l'oeuvre : une demande pour une alimentation plus bio, locale,
  personnalisée ; une flexibilité accrue chez le consommateur ; une digitalisation des modes de
  consommation ; le souci de lutter contre le gaspillage alimentaire et de protéger
  l'environnement. Tout cela, on y travaillait déjà. Le groupe a de vrais atouts, à condition
  d'accélérer : il faut que l'on fasse évoluer nos métiers encore plus vite pour saisir ces
  opportunités et que l'on se focalise là où il y a de la valeur ajoutée. Je ne doute pas que nous
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  récupérions notre chiffre d'affaires d'avant la crise, mais la nature de celui-ci ne sera plus la
  même. Le virus a agi comme un révélateur de l'utilité des métiers de services. Sans nous, les
  hôpitaux, les Ehpad ne peuvent fonctionner. Nous avons pu fournir des repas aux enfants
  défavorisés alors que les écoles étaient fermées. Nous avons assuré l'entretien et la
  maintenance dans les entreprises pour faciliter leur redémarrage. Et nous avons
  collectivement intérêt à ce que le gouvernement définisse une stratégie nationale autour des
  services, comme cela a été fait en Chine ou en Inde, car ce secteur a un rôle essentiel à jouer
  dans la cohésion sociale, par son ancrage territorial et parce qu'il représentait avant la crise
  46 % du PIB.Comment personnaliser le service au consommateur ?Il faudra accompagner ce
  dernier partout où il sera. Au Brésil nos équipes ont lancé pendant le confinement Daily
  Express by Sodexo : des repas préparés dans nos cuisines et livrés en B to C via des
  applications comme Uber Eats ou Rappi - c'est ce qu'on appelle dans notre jargon des « Cloud
  Kitchens ». En France, on a utilisé des cuisines principalement dédiées à la restauration
  scolaire, en sous-activité pendant la crise, pour proposer une offre de plats et produits locaux,
  Prêt à Partager, livrés via Uber Eats. Les consommateurs souhaitent pouvoir manger quand,
  où, et comment ils veulent : au restaurant d'entreprise, au bureau, en espace de co-working,
  à la maison, au restaurant, etc. Notre offre doit être multicanale, au travail et au-delà. Notre
  écosystème intégré - une offre qui repose sur nos restaurants sur site, notre Pass Restaurant
  et la livraison de repas par FoodChéri par exemple - y répond. Ce Pass est cofinancé par
  l'entreprise, il peut être utilisé dans les restaurants, les grandes et moyennes surfaces, les
  commerces d'alimentation, et le paiement en ligne est possible sur Deliveroo.Votre
  écosystème de start-up vous aide-t-il pour innover ?Bien sûr. Par exemple, sur l'exercice
  2018-2019, Sodexo a pris des participations minoritaires dans des entreprises digitales
  comme Meican en Chine et Zeta en Inde. Meican est un expert de solutions de restauration,
  offrant un moyen de paiement digital et sans contact - « digital wallet » - utilisable pour la
  livraison de repas sur le lieu de travail via nos consignes connectées, ou à la maison, dans les
  restaurants sur site ou dans 10.000 restaurants partenaires. Nous avons notamment mis à
  profit ces synergies en Chine pendant la crise, pour répondre au besoin de plusieurs clients à
  qui nous fournissions des services de facility management et qui du fait de la pandémie
  n'avaient plus de solutions de restauration pour leurs salariés, et cela, en un temps record :
  moins de deux jours !Qu'allez-vous faire pour les jeunes, victimes de la crise en termes
  d'emploi ?En septembre 2019, nous avions en France 560 apprentis dont une partie termine
  cette année son parcours chez nous. Notre engagement est de recruter 293 apprentis pour la
  prochaine rentrée pour maintenir ce nombre. Concernant les métiers sur lesquels nous avons
  traditionnellement des difficultés à recruter, nous avons pris des initiatives fortes ces
  dernières années. Pour ceux de la cuisine, nous avons lancé le CFA des Chefs avec Accor ,
  Adecco et Korian , sur Lyon, Paris et Marseille ; les recrutements sont en cours. C'est un réel
  investissement sur l'avenir. Pour les techniciens de maintenance, nous avons reconduit pour
  la 3 e année notre partenariat avec l'Afpa de Lardy, dans l'Essonne, afin de former nos
  spécialistes : nous ciblons des personnes en reconversion professionnelle et nous montons
  des classes de 12 apprentis pour un taux de transformation de 66 % en moyenne chaque
  année. Les jeunes veulent du sens et il y en a dans nos métiers. Chez Sodexo, ceux qui sont
  restés au front pendant le confinement se sont aussi sentis des héros du quotidien. Nous
  avons un rôle à jouer sur les transformations sociétales, et nous le jouerons.

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                                                                           « Elisabeth II, une reine                                                       « La saga Agnelli en cinq                                                                       séries
                                                                           dans son siècle » Episode 5                                        // P. 11     personnages clés » Episode 5                                                 // P. 10
                                                                                                                                                                                                                                                           d’été
                                                                                                                                                                                                                 Menaces sur le
                                                           CAC 40 : les chiffres                                                                                                                                 commerce extérieur

                                                            fous d’une crise                                                                                                                                     CONJONCTURE Les chiffres de
                                                                                                                                                                                                                 la croissance française au
                                                                                                                                                                                                                 deuxième trimestre ont fait état,

                                                              hors normes
                                                                                                                                                                                                                 la semaine dernière, d’une nette
                                                                                                                                                                                                                 dégradation du commerce exté-
                                                                                                                                                                                                                 rieur, les exportations ayant
                                                                                                                                                                                                                 davantage chuté que les importa-
                                                                                                                                                                                                                 tions sur cette période. Et la situa-
                                                                                                                                                                                                                 tion pourrait se prolonger en cas
                                                            l Le chiffre d’affaires des plus grandes entreprises s’effondre                                                                                      de rebond plus rapide de la
                                                                                                                                                                                                                 consommation que des exporta-
                                                                     de 146 milliards d’euros au premier semestre.                                                                                               tions. Alors que l’Insee doit
                                                            l Total, Renault, Unibail-Rodamco, Airbus, Société Générale,                                                                                         publier ce vendredi les statisti-
                                                                                                                                                                                                                 ques de juin, les inquiétudes por-
                                                               ArcelorMittal et Accor cumulent 25 milliards de pertes.                                                                                           tent notamment sur la filière
                                                                                                                                                                                                                 aéronautique, premier poste
                                                            l 23 groupes bouclent malgré tout le semestre dans le vert.                                                                                          d’excédent tricolore : Airbus a
                                                                                                                                                                                                                 annoncé jeudi avoir quasiment
                                                                                                                                                                                                                 eu autant d’annulations que de
                                                                                                                                                                                                                 nouvelles commandes depuis le
                                                                                                                                                                                                                 1er janvier. // PAGES 4-5

                                                                                                                                                                                                                                                                                                Charly Triballeau/AFP
                                                                                                                                                                                                                         Avec un déficit cumulé
                                                                                                                                                                                                                        de quelque 60 milliards
                                                                                                                                                                                                                   d’euros sur un an à fin mai, le
                                                                                                                                                                                                                    commerce extérieur reste le
                                                                                                                                                                                                                   talon d’Achille de l’Hexagone

                                                                                                                                                                                                                 Sortir de                               Le point de vue de
                                                                                                                                                                                                                                                         Jean-François Serval
                                                                                                                                                                                                                 l’endettement                           et Jean-Pascal Tranié

                                                                                                                                                                                                                 par le haut                             Face à l’accumulation massive
                                                                                                                                                                                                                                                         des dettes publiques, l’idée d’un
                                                                                                                                                                                                                                                         non-remboursement d’une
                                                                                                                                                                                                                                                         partie d’entre elles fait son che-
                                                                                                                                                                                                                                                         min. Une solution qui serait né-
                                                                                                                                                                                                                                                         faste, estiment Jean-François
                                                                                                                                                                                                                                                         Serval et Jean-Pascal Tranié,
                                                                                                                                                                                                                                                         qui préconisent plutôt une con-
                                                                                                                                                                                                                                                         version volontariste des dettes
                                                                                                                                                                                                                                                         en capital pour financer des in-
                                                                                                                                                                                                                                                         vestissements productifs.
                                                                                                                                                                                                                                                         // PAGE 9
   Source PWC ; Photo Martin Bertrand

                                                                                                                                                                                                                 Polémique sur le
                                                                                                                                                                                                                 plafonnement des
                                                                                                                                                                                                                 forfaits télécoms
                                                                                       Le coronavirus                         Crédit Agricole                          En Afrique
                                                                                       rebat les cartes                       affiche son                              du Sud, la lutte
                                                          SUR
                                                                                       du transport                           optimisme                                contre le Covid
                                                                                       aérien                                 sur la reprise                           gangrenée par
                                                                                       en Europe                              économique                               la corruption
                                          ETIENNE LEFEBVRE                             AÉRIEN La crise du coronavirus         BANQUES Les résultats trimes-            AFRIQUE En Afrique du Sud, la
                                          ÉDITO ÉCO À 7H15                             pourrait rebattre les cartes dans le   triels publiés par le groupe témoi-      lutte contre l’épidémie de Covid-19
                                          DANS LE 6H30-9H DE SÉBASTIEN KREBS           transport aérien en Europe, entre      gnent de l’impact de la crise du         est prétexte à de très nombreux cas
                                                                                       Air France-KLM, Lufthansa et           coronavirus, avec des provisions         de détournements ou d’appels
                                                                                       IAG. Grâce au soutien financier        financières en hausse et des bénéfi-     d’offres truqués au profit de pro-
                                                                                       des Etats français et néerlandais,     ces en baisse. Mais la banque affi-      ches du parti dominant, l’ANC. Le         Sur le mobile, l’arrivée de la 5G fait craindre une hausse
                                                                                       Air France-KLM pourrait accélé-        che une certaine forme de rési-          p ays a m i s e n p l a c e u n p l a n   de la facture énergétique. Photo iStock
                                                                                       rer sa restructuration et réduire      lience, et bénéficie, à l’instar de      d’urgence de 24 milliards d’euros
                                                                                       l’écart avec ses principaux concur-    BNP Paribas, de très bonnes per-         pour aider le système de santé à          TÉLÉCOMS L’idée d’un plafonne-          foyers français. Sur le mobile,
                                                                                       rents. A l’inverse, IAG, qui ne peut   formances sur les marchés finan-         faire face à la pandémie et les scan-     ment des forfaits Internet mobile       l’arrivée de la 5G fait craindre une
                                                                                       compter que sur ses actionnaires       ciers. Même si elle subit l’impact de    dales se multiplient au point que la      et fixe pour limiter la pollution       hausse de la facture énergétique,
                                                                                       pour se renflouer, va devoir freiner   la faillite de Wirecard, son ancien      médiatrice de la République se dit        liée au numérique refait surface        même si les opérateurs et les
                                                                                       sa croissance pour se focaliser sur    partenaire technologique et com-         débordée par les plaintes qu’elle         après deux rapports du CNUM et          équipementiers disent le
                                        ISSN0153.4831                   113e ANNÉE
                                        NUMÉRO 23257                      24PAGES      le retour aux bénéfices. Mais pour     mercial. Les dirigeants de Crédit        reçoit. Certaines affaires impli-         du Sénat, créant une vive polémi-       contraire. A l’horizon 2040, le
                                        Antilles Réunion 4,10 €. Belgique 3,50 €.      l’heure, le principal gagnant de       Agricole observent une reprise en        quent l’entourage proche du prési-        que dans les télécoms.                  digital pourrait représenter 7 %
                                        Espagne 4,40 €. Grande-Bretagne 3£80.          cette épreuve est Ryanair, la com-     « V » de l’activité depuis le déconfi-   dent Cyril Ramaphosa et contri-              Le plafonnement marquerait           des émissions de gaz à effet de
                                        Grèce 4,20 €. Italie 4,40 €. Luxembourg        pagnie low cost, qui fait la course    nement, qu’ils considèrent plutôt        buent à détériorer l’image de celui       un retour en arrière sur le mar-        serre, contre 2 % aujourd’hui.
                                        3,80 €. Maroc 31 DH. Suisse 5,90 FS. Tunisie
                                        5,00 TND. Zone CFA 3100 CFA.                   en tête dans la reprise du trafic.     encourageante pour l’économie.           qui avait promis de débarrasser le        ché, notamment sur l’Internet           // PAGE 18 ET L’ÉDITORIAL
                                                                                       // PAGE 14                             // PAGE 22 ET « CRIBLE » PAGE 26         pays de sa corruption. // PAGE 7          fixe, devenu illimité dans les          DE DAVID BARROUX PAGE 12

PRIME PAGINE - Rassegna Stampa 07/08/2020 - 07/08/2020                                                                                                                                                                                                                                                                  16
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