Saint-Ouen (93) : Réussite de la journée cinéma pour la paix
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Saint-Ouen (93) : Réussite de la journée cinéma pour la paix Réussite de notre journée cinéma pour la paix le 21 septembre 2018 : 100 lycéens en début d’après-midi, de 4 lycées – et 100 tous publics le soir, avec échange après le film avec le réalisateur de “Libre” : un super film.
Le fleurissement de l’arbre de la paix à 17h avec le goûter offert par le bailleur Efidis Au gymnase Alsace à partir de 19h la soirée culturelle exceptionnelle en présence d ‘ambassadeur, de représentant d’ambassades ou d’artistes de Tadjikistan, Russie, Slovénie, Azerbaïdjan, Ouïghourie, Azerbaïdjan… Marseille (13) : Les Voiles de la paix 2018, en Méditerranée Voici l’initiative des Bouches du Rhône (13) pour le 21 septembre, journée Internationale de la Paix, les “Voiles de la Paix en Méditerranée” qui se sont déroulées sur le VIEUX PORT de Marseille le samedi 22 au niveau de la mairie le matin et à l’ESTAQUE quai mistral l’après midi.
Le Septémois d’octobre Le Porte-parole national du Mouvement de la Paix interpelle Christophe Castaner, délégué de la République en Marche (LERM) lors de son passage à Rennes Christophe Castaner, délégué général de La république en marche (LREM), ancien porte-parole du gouvernement, était en déplacement en Ille-et-Vilaine ce 29 septembre… Interpelé par Roland NIVET, militant rennais et porte-parole national du Mouvement de la Paix, C. Castaner confirme que le Gouvernement actuel n’a pas l’intention de respecter les engagements internationaux de la France, découlant de l’article 6 du TNP, en matière de désarmement nucléaire. Source : Ouest France Le programme de modernisation porté par le Gouvernement actuel et voté dans le cadre de la loi de programmation militaire le 26 juin 2018 prévoit un doublement des crédits jusqu’alors consacrés par la France aux armes atomiques, soit 37 milliards d’Euros en 6 ans (mais 120 milliards sur 20 ans si nous n’arrivions pas à stopper ce programme comme le veut l’immense majorité des français, qui à 76 % demandent que la France s’engage dans le processus de désarmement nucléaire en cours); alors que les Nations Unies viennent d’adopter un traité d’interdiction des armes nucléaires le 7 juillet 2017. Des raisons supplémentaires pour signer la pétition pour la ratification du traité
d’interdiction des armes nucléaires. Mais c’est aussi le moment de décupler nos efforts pour la réussite des 9 rassemblements prévus en France le Dimanche 14 Octobre 2018 pour la ratification du Traité .d’interdiction des armes nucléaires. Roland Nivet, porte-parole du Mouvement de la Paix Le Mouvement de la Paix à la Fête de l’Huma 2018 Voir aussi l’article : La Fête, un laboratoire à ciel ouvert pour construire la paix Cette Fête est considérée comme une belle réussite pour tout le monde et pour nous en particulier. L’ambiance du stand était particulièrement chaleureuse et déterminée. Nous y avons rencontré de nombreux amis venant de nombreux comités ainsi que ceux qui envisagent de créer un comité dans leur ville ou qui ont déjà entamé les démarches : 3 ou 4 au moins. Tous ceux qui ont contribué à l’animation de notre stand confirment que cet élan a été très important.
Comme les années précédentes, la préparation du stand, son montage et son démontage, sa décoration, avec la tenue de bar, ont reposé beaucoup sur les membres du Comité de St Ouen avec les amis qu’ils ont su mobiliser. Mais il ne faut pas oublier les amis de St Denis (la cuisine), de Malakoff, de Paris, des Vosges, de Bourges, des Sables d’Olonne, etc. dont la présence active a contribué à l’aura du stand par son animation. Nous avons reçu plusieurs centaines de signatures sur la pétition pour la ratification du TIAN. Plusieurs milliers de tracts pour les Marches du 22 septembre et pour les rassemblements du 14 octobre ont été distribués.
Le bar et la boutique ont été des lieux de contacts bien fréquentés et les orchestres, « J’hallucine » vendredi soir et « Ici et lui » samedi soir ont contribué à donner une belle ambiance. Nous n’avons pas encore les chiffres comptables définitifs mais nous pensons que les recettes devraient équilibrer les dépenses.
Nous avons pu participer à des débats au stand de la Moselle (autour du film « la bombe et nous » avec notamment R Nivet), dans le Village du Monde (débat sur la solidarité internationale, avec notamment YJ Gallas, cf. l’article dans l’Humanité de lundi). Nous en avons profité aussi pour dialoguer avec nos partenaires du Collectif en Marche pour la Paix qui étaient présents ou avec d’autres stands, dont nos voisins « Génération.S ». Sans oublier bien sûr le débat avec Daniel Durand sur son dernier livre « 1914 1918, 100 ans après, la paix ».
Cette belle activité est le résultat du travail de nombreuses personnes, en Ile de France et dans les régions, et nous ne pouvons que nous féliciter tous de leur mobilisation. Nous avons de plus tiré quelques enseignements pour que la Fête de l’année prochaine, qui devrait se tenir au même endroit pour la dernière fois, soit encore plus belle. Amicalement Édith Boulanger Yves-Jean Gallas Conseil francilien
La Fête de l’Huma, un laboratoire à ciel ouvert pour construire la paix Village du monde La Fête, un laboratoire à ciel ouvert pour construire la paix L’Humanité du 17 septembre 2018
«Cette Fête de l’Humanité survient dans un contexte géopolitique totalement nouveau. Des forces obscures qu’on croyait hier cantonnées à la périphérie du débat et du pouvoir gagnent du terrain, jusqu’au sommet des États. Toutes les récentes élections témoignent de leur poussée spectaculaire dans les urnes, mais aussi dans les esprits », avertissait le directeur de l’Humanité, Patrick Le Hyaric, dans son discours en ouverture de la Fête. Quelques heures plus tard, l’inauguration de la place Maurice-Audin au parc de La Courneuve rendait grâce à un combat porté par notre journal depuis l’assassinat du mathématicien communiste de 25 ans, coupable de solidarité avec la cause de l’indépendance de l’Algérie. Le besoin de mémoire et la soif de justice pour apaiser des plaies qui contaminent toujours le débat public, à l’heure où la désintégration du lien social accompagne la montée des tensions sur la scène internationale, constituent plus que jamais l’ADN de la Fête, carrefour des luttes dans un monde nouveau où « nous sommes confrontés à des guerres entre États en déliquescence et des lambeaux de sociétés », selon la formule de Pascal Torre, responsable du Moyen- Orient pour le Parti communiste français. Palestine, Proche-orient, Amérique latine… solidarité Au Village du monde, la soirée du vendredi 14 septembre était placée sous le signe de la « solidarité » et de la « construction de la paix », autour de militants
issus de la gauche latino-américaine, en première ligne face à une bourgeoisie revancharde pour effacer les acquis sociaux arrachés par Hugo Chavez (Venezuela), Evo Morales (Bolivie), Rafael Correa (Équateur) ou Cristina Kirchner (Argentine). Et du Moyen-Orient, où le sud de l’Irak (Bassora) étouffe sous la désintégration des services publics, où le Kurdistan syrien agonise face aux coups de boutoir de l’armée turque de Recep Tayyip Erdogan et où l’État palestinien, symbolisé par le combat opiniâtre de l’adolescente palestinienne Ahed Tamimi (lire page 2), voit ses rêves d’indépendance sacrifiés sur l’autel de la base évangéliste fanatisée de Donald Trump. « Merci à l’Humanité et à ses journalistes d’avoir témoigné, depuis le siège de Kobané jusqu’à l’agression du canton d’Afrin, de la souffrance du peuple kurde », déclare Khaled Issa, représentant en France du Parti de l’Union démocratique (PYD) en Syrie. « Les Kurdes ont souffert de la dictature syrienne, qui nous a privés de nos droits, mais l’opposition syrienne ne nous a pas offert de garanties meilleures, nous avons donc opté pour une troisième voie », celle du « Rojava », un idéal révolutionnaire plus que jamais pris en étau entre la dictature de Bachar Al Assad et l’agenda des grandes puissances… De ces trois jours de Fête et de débats, le grand rassemblement de La Courneuve a tenté d’extraire le meilleur de l’humanité, donnant la parole aux acteurs politiques et sociaux témoins d’une guerre mondiale sourde, devenue autant civile que globale, au cœur de laquelle se joue le destin non pas de la planète mais de l’espèce humaine en tant que telle. Au mois de janvier dernier, le Bulletin des scientifiques de l’atome, une publication états-unienne de chercheurs et experts du champ du désarmement nucléaire et du changement climatique (dont 15 prix Nobel), avançait de manière symbolique l’horloge de l’Apocalypse nucléaire à deux minutes avant minuit, à cause du risque accru de conflit mondial, lié entre autres à l’imprévisibilité du président américain Donald Trump. Parrain du Brexit, de l’implosion de l’Union européenne comme de l’exclusion des migrants chassés par les guerres économiques et militaires aggravées par le réchauffement climatique, ce qui demeure le principal pôle de pouvoir à l’échelle globale continue d’encourager l’augmentation des dépenses militaires mondiales (+ 9 % en 2018), l’expansion sans fin de l’Alliance Atlantique Nord, et la liquidation des organismes internationaux de justice comme de coopération. « L’Otan dispose aujourd’hui d’un budget 130 fois supérieur à celui des Nations unies », constate avec amertume Yves-Jean Gallas, du Mouvement de la paix, quand l’administration Trump à Washington promet des représailles à l’encontre d’une Cour pénale internationale pourtant à l’agonie, au cas où cette dernière ambitionnerait de poursuivre un citoyen issu ou allié des États-Unis.
CR de la commémoration du 6-9 Août 1945 à Bordeaux-Lac Appel des cent de Gironde Your browser does not seem to support iframes. Click here to read this PDF. Troisième édition du “Cher marche pour la paix”
D’Hiroshima et Nagasaki à la pointe de la Bretagne : la Paix priorisée ! Une cinquantaine de participants pour honorer le souvenir… et dire l’intérêt d’émanciper la région des contingences militaires, dont l’arme nucléaire: c’est le message envoyé par les pacifistes au cours de cette journée d’action, le 8 Août en presqu’île de Crozon.
Après s’être rassemblés près de la stèle qui honore la Résistance, et accompli l’ascension du Ménez-hom point culminant du territoire d’implantation de l’armada des SNLE (sous marins nucléaires lanceurs d’engins), c’est un périple de lanceurs d’alerte qui a été effectué dans les localités de la presqu’île en véhiculant un engin (missile factice), de diffusion de messages d’objectifs de paix. Comme la population locale, les nombreux touristes ont ainsi été sensibilisés à la relation entre l’histoire et l’actualité des défis à surmonter pour re prioriser la culture de paix en espoir d’avenir humain.
Un bel événement à Lunéville pour commémorer Hiroshima
Nous avons essayé de mobiliser en ce mois d’Aout caniculaire nos concitoyens Lunévillois avec les militants présents de notre petit comité. Ce 11 août, c’était la première fois que nous nous mobilisions pour commémorer Hiroshima et Nagasaki. Suite à une demande de salle pour projeter un film, le maire Jacques Lamblin, ancien membre de la commission défense sous Sarkozy, nous a offert un lieu avec une très grande salle, libre de location à cette date. J’ai sollicité différentes associations ou organisations qui sont en lutte actuellement pour venir occuper l’espace disponible avec nous. Le maire est même venu nous rendre visite mais n’a pas vu le film ni débattu après. Nous avions annoncé l’événement en distribuant les tracts du national (fort bien faits) reçus dernièrement. Nous avons eu un article dans l’Est avant et un relatant l’événement dans le journal du dimanche. Nous avons 2 comptes facebook: Lorraine Delapaix et festival Varangé’ville de Paix 2ème édition. Nous avons eu quelques jeunes pour entreprendre avec nous une grue géante pour déambuler le 22 septembre… et quelques personnes en dehors des relations
propres aux différents membres du comité. Amitiés fraternelles et pacifistes.pour le comité sud 54: Patrick Falgas
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