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SAISON 2017 2018

ESPACE GERARD PHILIPE
PORT-SAINT-LOUIS-DU-RHÔNE

VENDREDI 20 OCTOBRE 20H30
LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY
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LE#SPECTACLE#!
THÉÂTRE

LE PORTRAIT DE DORIAN GRAY
D’après l’œuvre d’Oscar Wilde

Adaptation théâtrale et mise en scène Thomas Le Douarec
Assistant mise en scène Caroline Devisme
Musique originale et direction musicale Medhi Bourayou
Paroles Thomas Le Douarec
Lumière Stéphane Balny
Costumes José Gomez d’après les dessins de Frédéric Pineau

Avec Arnaud Denis ou Valentin de Carbonnières : Dorian Gray
Thomas Le Douarec ou Olivier Breitman : Harry, Lord Henry Wotton
Fabrice Scott ou Maxime de Toledo : Basil Hallward, le peintre, James Vane et le pianiste
Caroline Devisme : Sybil Vane, Sally, la Duchesse

Par la magie d’un voeu, Dorian Gray conserve la grâce et la beauté de sa jeunesse. Seul son portrait
vieillira. Le jeune dandy s’adonne alors à toutes les expériences. Wilde nous lance dans une quête du
plaisir et de la beauté sous toutes ses formes, belles ou atroces ; l’art n’a rien à voir avec la morale.
L’oeuvre la plus personnelle de Wilde. Il disait : « Dorian Gray contient trop de moi-même, Basil est ce que
je pense être, Harry ce que les gens pensent que je suis et Dorian ce que j’aurais aimé être en d’autres
temps. ».

Durée 1h35
Tarifs B Numéroté > Plein 15€ * Réduit 13€ * Jeune 8€ * Solidaire 3€

www.scenesetcines.fr
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NOTE#D’INTENTION#DU#METTEUR#EN#SCÈNE##
Toute création a sa part d’obsession ou est le fruit d’une obsession. Poursuivre une idée de manière aussi
obsessionnelle a de quoi m’inquiéter... Pour me rassurer, je me dis que c’est le propre de certains artistes
que de vouloir saisir, du moins se donner l’illusion, à force, de comprendre ou de capturer une image, un
instant, une idée... C’est maintenant la cinquième fois que j’explore l’oeuvre de Wilde. Toujours intimement
persuadé que le Portrait de Dorian Gray est la plus grande pièce de théâtre que Wilde aie jamais écrite, je
me lance à nouveau dans la quête d’en faire cette fois-ci une vraie pièce de théâtre, avec l’espoir, peut-être
illusoire, d’en faire un vrai classique. Je suis persuadé que Wilde, s’il avait pu échapper à la censure et à la
morale de son époque, en aurait fait sa pièce de théâtre la plus aboutie... Rares sont les romans aussi bien
dialogués que celui- ci : certaines scènes sortent tout droit du livre. Et par la suite, pour écrire ses
meilleures pièces de théâtre, Wilde n’a jamais cessé de piocher dans son unique roman. Tel est mon rêve
et mon obsession : vous faire découvrir, pour la première fois, cette nouvelle pièce d’Oscar Wilde.
Thomas LE DOUAREC
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LA#COMPAGNIE##
Élève de la «classe libre» au cours Florent, Thomas Le Douarec crée son premier spectacle dans cette
école en 1989, Maledictis, libre adaptation de deux pièces en un acte de Sacha Guitry, Une paire de Gi es
et Deux couverts. Ce premier travail d’élève reçoit plusieurs récompenses au sein du cours Florent (Trois
Jacques : meilleure mise en scène, meilleure adaptation et meilleur acteur pour un second rôle). A cette
occasion, François Florent ouvre spécialement pour Thomas et un autre élève (Michael Cohen) une
nouvelle section expérimentale dans la « classe libre » dédiée à la mise en scène. Maledictis a représenté
alors le cours Florent dans di érents festivals étudiants et autres.

Encouragé par François Florent, Thomas crée sa propre Compagnie en 1991 avec sa deuxième mise en
scène, Dommage qu’elle soit une P... de John Ford : un théâtre « rock » qui rassemble 14 comédiens, 5
musiciens (le groupe de hard rock LES DKP) et 6 danseurs. Le spectacle a été créé au Théâtre de l’Ecole
Florent, au Cirque d’hiver Bouglione dans le cadre du Festival les « 48 heures », au Festival O d’Avignon
1991 dans une église désa ectée, puis au Palace (à l’époque encore boîte de nuit) dans le cadre de nuits
de théâtre et au Cinéma Le Trianon en 1992 (qui redeviendra un théâtre grâce à ce spectacle).

En 1993, la Compagnie crée au Théâtre du Centre Mathis, avec l’aide de la Ville de Paris, la première pièce
écrite par Thomas Le Douarec Sur le dos d’un éléphant. Le spectacle est repris au Théâtre Paris-Plaine, au
Bateau Théâtre Ouragan puis au Bateau Théâtre la Mare au Diable et totalise plus d’une centaine de
représentations.

En 1994, la Compagnie monte Les Sorcières de Salem d’Arthur Miller accompagnée d’une musique
originale de Sylvain Meyniac interprétée par deux musiciens et chanteurs, toujours avec l’aide de la Ville de
Paris, au Théâtre du Centre Mathis, puis au Théâtre Le Trianon. La pièce est reprise au Théâtre Hébertot,
puis au Nouveau Théâtre Mou etard et en n au Théâtre le Ranelagh. La Compagnie part ensuite pour la
première fois en tournée (250 représentations au total).

En 1995, la Compagnie crée au Théâtre le Ranelagh Le Dindon d’après Georges Feydeau. Cette libre
adaptation moderne et audacieuse tente de retrouver la folie originelle de l’auteur. La Société Europa
Dell’Arte va s’associer avec elle pour le monter au Théâtre du Trianon, puis au Festival d’Avignon 1996. En
1996 Stephan Meldegg propose à la Compagnie de reprendre la pièce au Théâtre La Bruyère. Puis Eddy
Saiovici reprend le spectacle une saison complète au Théâtre Tristan Bernard. La Compagnie entame sa
seconde tournée. Le Dindon a été joué au total plus de 1000 fois. La même année, la Compagnie monte
trois versions du Portrait de Dorian Gray d’Oscar Wilde adaptée par Thomas Le Douarec avec l’aide de
deux membres fondateurs de la troupe, David Caris et Juliette Meyniac. Une première version « classique »
au Trianon puis au Festival O d’Avignon 1996. Une seconde version « moderne » au Théâtre de la Main
d’Or et au Théâtre Rive Gauche. En n une dernière version en anglais avec des acteurs anglo-saxons au
Théâtre Rive Gauche en 1997. A cette époque, la Compagnie décide de produire un album des meilleures
musiques de Sylvain Meyniac qui a réalisé les musiques originales de plusieurs de ses spectacles. En mars
1998, la Compagnie coproduit avec Europa Dell’Arte Le Cid au Théâtre de la Madeleine, avec la
participation du groupe Flamenco Vivo de Luis de la Carrasca (musiciens, danseurs, chanteurs).

Le spectacle tourne pendant trois ans, en province et sur Paris. D’abord au Théâtre Daunou, puis au
Ranelagh ensuite au Théâtre Marigny et en n au Théâtre Antoine. Le Cid nira sa carrière au Théâtre
Comedia quelques années plus tard. Ce spectacle a tourné dans sept pays et a remporté le prix du public
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au Festival international du Théâtre de Sarajevo en 2000 (430 représentations au total dans cette
production). Parallèlement, la Compagnie coproduit de nouveau avec Europa Dell’Arte deux pièces de
René de Obaldia : d’une part Du vent dans les branches de Sassafras au Théâtre le Ranelagh, d’autre part
Les Obaldiableries (création de l’auteur pour la Compagnie) au Théâtre 14. Du vent dans les branches de
Sassafras a été repris au Petit Théâtre de Paris en 2000 avant de partir en tournée (200 représentations).
En 2002, La Compagnie reprend du service, elle coproduit toujours avec Europa Dell’Arte un spectacle
musical 1+1=2 au Vingtième Théâtre et crée, en 2003, seule, Le Manège du pouvoir de Jean-Pierre About,
coréalisé avec le Théâtre 14. L’année suivante, la Compagnie crée, seule à nouveau, une nouvelle pièce
d’Obaldia L’Amour à trois au Théâtre La Luna, Festival Avignon 2003. Repris au Ciné Théâtre 13, puis au
Théâtre de Poche et en n à La Comédie Bastille (200 représentations).

A partir de l’an 2000, les productions de la Compagnie s’espacent car Thomas Le Douarec est de plus en
plus sollicité par les Théâtres et autres producteurs en tant que seul metteur en scène. Maintenant, seuls
les projets atypiques qui lui tiennent vraiment à coeur sont produits par la Compagnie. Tel est le cas de
Marianne James, c’est sur un coup de tête que Thomas et Marianne montent Le Caprice de Marianne
pendant le Festival d’Avignon 2003 : le succès est immédiat et Music Machine reprend le spectacle en
tournée et fera une centaine de dates.

Également un vrai coup de coeur pour Sentires, ballet contemporain de danse Flamenca, qui va emmener
la Compagnie à prendre de gros risques nanciers en 2004 et produire sur Paris pendant huit mois au
Trévise. Il faudra attendre cinq ans pour amortir le spectacle en tournée. Idem avec Andromaque de Racine
avec MG prod, la Compagnie aide le projet à surmonter les obstacles nanciers a n que ce magni que pari,
totalement fou, nisse par voir le jour. Les deux dernières grandes folies de la Compagnie ont été d’avoir
voulu créer une comédie musicale du seul roman d’Oscar Wilde Le Portrait de Dorian Gray en 2011 au
Vingtième Théâtre et d’adapter en français la pièce canadienne Broue sous le titre de Cul Sec au Festival
d’Avignon 2013.

Aujourd’hui elle développe des projets plus petits mais non moins ambitieux : Le Jour où je suis devenue
chanteuse black et Jean et Béatrice de Carole Fréchette. Et, en n une nouvelle création contemporaine :
Les Ambitieux, la deuxième pièce de Jean-Pierre About que la Compagnie développe et coproduit, qui s’est
donnée tout d’abord au théâtre 14 puis au Splendid.
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OSCAR#WILDE##

Il naît à Dublin en Irlande le 16 octobre 1854 et meurt à Paris en 1900.
Après ses études dans sa ville natale, il entre au Magdalen Collège d’Oxford où il fréquente Ruskin et
Pater. Il est séduit par les fastes du catholicisme, mais reste protestant pour obéir à son père, puis devient
franc-maçon en 1875.
Après un séjour en Grèce au printemps 1877, il s’enthousiasme pour l’hellénisme. Brillant causeur dans les
salons londoniens, célèbre pour ses réparties spirituelles et son élégance ra née, il devient l’auteur à la
mode. Sa célébrité dépasse les frontières, on l’invite aux États Unis.
Il s’installe à Paris en janvier 1883 et devient la coqueluche des décadents français. Il écrit La Duchesse de
Padoue, Véra ou les nihilistes.
De retour en Angleterre, il devient rédacteur en chef du magazine féminin et féministe « The Woman’s
world » de 1887 à 1889, il cultive son personnage de dandy. Il publie des contes : Le prince heureux et
autres contes (1888), Une maison de grenades (1891), des nouvelles : Le crime de Lord Arthur Savile et
autres histoires (1891) et des essais réunis en 1891 dans Intentions.
Son seul et unique roman, Le Portrait de Dorian Gray (1891) marque encore une étape dans sa gloire. Il
écrit directement en français Salomé pour Sarah Bernhardt. Puis viennent les comédies qui vont faire de lui
l’auteur dramatique le plus encensé de Londres et Paris : L’éventail de Lady Windermere et, entre 1892 et
1895, Une femme sans importance, Un mari idéal et L’importance d’être constant.
En 1892, il vit une passion tumultueuse avec Lord Alfred Douglas. Le père de ce dernier, le marquis de
Queensbery, le provoque. Wilde intente un procès au marquis pour diffamation et le perd. Un second puis
un troisième procès font de Wilde un accusé, puis un coupable. Il est condamné à deux ans de travaux
forcés pour «indécence et sodomie» (mai 1895). En prison, il écrit De Profundis et La ballade de la geôle de
Reading ainsi que deux lettres sur les conditions de vie des prisonniers de 1897 à 1898. Ruiné et amer, il
fuit Londres, s’installe à Dieppe, puis à Paris et y meurt en 1900.
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ARNAUD#DENIS#4#DORIAN#GRAY##

© Angel Victor

Arnaud Denis a déjà une carrière impressionnante de metteur en scène, d’acteur et d’animateur de sa
troupe, Les Compagnons de la Chimère. Il suit sa première formation théâtrale chez Jean-Laurent Cochet,
sous la direction duquel il participe à de nombreux spectacles poétiques (La Fontaine, Colette...). Élève au
Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris, dans la classe de Dominique Valadié, il
s’en échappe rapidement pour créer sa Compagnie, Les Compagnons de la Chimère, avec le soutien de
Jean-Pierre Leroux. Il fait ses véritables débuts en scène dans La Mouette (rôle de Tréplev) au Th. du
Nord-Ouest à Paris. En 2003, avec sa nouvelle compagnie, il met en scène et joue Harold et Maude de
Collin Higgins, puis Les Fourberies de Scapin au Théâtre du Ranelagh. Cette même année, il crée et joue
aussi, seul en scène, au théâtre du Guichet Montparnasse, un montage de sa conception : En visite chez
La Fontaine, spectacle qui poursuivra sa carrière au Lucernaire.

Dès septembre 2004, il présente une nouvelle mise en scène de La Cantatrice chauve restée à l’a che de
septembre 2004 à fin avril 2006 (rôle le Capitaine des Pompiers). Il joue en 2005 dans La Dispute
(Marivaux, Th. du Nord-Ouest) et propose ensuite, en 2006, au Théâtre du Lucernaire sa mise en scène
des Fourberies de Scapin dans laquelle il joue Scapin. Puis, au cours de la saison 2007, Arnaud Denis
monte et joue dans Les Revenants d’Ibsen au Théâtre 13. En 2008, Il reprend Les Fourberies de Scapin au
Petit-Montparnasse ainsi qu’au Festival d’Anjou. La dotation du Prix du Jury au Festival d’Anjou qu’obtient
le spectacle lui permet de monter et interpréter au Vingtième Théâtre L’Ingénu d’après Voltaire (reprise en
2009 au Tristan-Bernard). Cette même année, Les Compagnons de la Chimère obtiennent le Prix Oulmont
de la Fondation de France. A l’automne 2009, il monte, toujours avec sa compagnie, au Théâtre 14 Les
Femmes Savantes, J.-L. Cochet y interprétant le rôle de Philaminte et lui, celui de Trissotin. L’accueil du
public et de la presse est tel que le spectacle est repris immédiatement après au Petit-Théâtre de Paris
jusqu’en janvier 2010. Après une tournée triomphale en province, Les Femmes Savantes ont été à nouveau
à l’affiche du Petit-Théâtre de Paris du 28 avril au 11 juillet 2010.

En septembre 2010, il monte, avec Les Compagnons de la Chimère, Ce qui arrive et ce qu’on attend de
Jean-Marie Besset au Vingtième Théâtre. Succès oblige : le spectacle sera repris ensuite au Petit
Montparnasse jusqu’en janvier 2011. Du 27 juillet au 16 octobre 2011, il a interprété en solo au Lucernaire
Autour de la folie, un montage qu’il a conçu et mis en scène de textes de Maupassant, Flaubert,
Lautréamont, Shakespeare, Michaux...

Puis ce fut, du 25 janvier au 12 février 2012, au Vingtième Théâtre, Nuremberg, la n de Gœring, une pièce
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qu’il a écrite et mise en scène (et dans laquelle il joue le rôle de G.-M. Gilbert). Marion Bierry le dirigera
ensuite dans Tartu e (rôle de Damis) aux côtés de Claude Brasseur et Patrick Chesnais (Théâtre de Paris)
et Gilbert Desveaux dans le rôle de Algernon Moncrie de L’Important d’être sérieux (O. Wilde, adapt. J.-M.
Besset, Montpellier, Th. des 13 Vents, puis Paris, Th. Montparnasse, 2013). Michèle André lui o rira le rôle
d’Alceste dans Le Misanthrope de Molière (la Cigale).

En 2014, Arnaud Denis monte et joue Dom Juan de Molière au théâtre 14 (et festivals) avant d’être dirigé
par Pierre Laville dans La Pèlerine écossaise de Sacha Guitry (Théâtre Daunou). En 2015, ce sera Claudel
Barrault de P. Tré-Hardy, mise en espace par J.-P. Hané (Théâtre de Poche) puis Le Roi Lear de
Shakespeare, avec Michel Aumont, mise en scène de Jean-Luc Revol (Th. de la Madeleine).

Il est intervenant régulier pour la rubrique culture dans l’émission d’Arthur Dreyfus «Encore heureux» sur
France Inter. Il a participé en tant que récitant à plusieurs séries de concerts avec l’Orchestre de Paris,
notamment Peer Gynt sous la direction de Paavo Jaärvi (salle Pleyel). Parallèlement au théâtre, il joue pour
la radio, le cinéma et la télévision : Monsieur Max (réal. G. Aghion), Elles et moi (réal. B. Stora), Candice
Renoir. Vivre ! (réal.Y. Marciano) Yves Saint-Laurent (réal. J. Lespert).
Arnaud Denis a reçu le Prix du Brigadier 2010.

VALENTIN#DE#CARBONNIÈRES#4#DORIAN#GRAY##

Valentin de Carbonnières passe par les Enfants Terribles et les Cours Florent avant de rentrer au
Conservatoire National de Paris. Il travaille avec Andrej Severyn, Philippe Torreton, Christiane Cohendi,
Michel Fau il sort en 2009.

En 2010-11, il travaille avec Mathieu Bertholet au théâtre de Gennevilliers et en tournée sur L’Avenir,
seulement, et plusieurs monologues de Case Studie House. Cette année-là, il joue aussi dans Le Langue à
langue des chiens de Roches de D. Danis au théâtre de l’Epée de bois à la Cartoucherie. Il
rencontre Philippe Crubézi et Catherine Anne autour de lectures de textes au théâtre de l’Est (Dans la forêt
profonde, Karine serres, cœur d’un boxeur, Plotting).

Au cinéma, il tourne dans Pas sage écrit et réalisé par Lorraine Groleau diffusé sur Arte (prix : Clap d’or des
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étudiants au Festival du Cinéma de Paris 2004). Parallèlement, il enregistre pour France Culture des pièces
radiophoniques sous la direction de Marguerite Gateau et François Christophe et écrit un roman Graphique
en collaboration avec trois dessinateurs. Il tourne dans toute la France avec Pionniers à Ingolstadt dans
une mise en scène d’Yves Beaunesne jusqu’en avril 2012. En 2013, il a commencé les représentations de
Nina avec François Berléand et Mathilde Seigner dans une mise en scène de Bernard Murat au théâtre
Édouard VII dont il vient de terminer la tournée.

En 2014, il fait l’ouverture de saison au Rond-Point avec Hétéro de Denis Lachaud mis en scène de
Thomas Condemine.

CAROLINE#DEVISMES#4#SYBIL#VANE,#SALLY#LA#PROSTITUEE,#
LA#DUCHESSE##

© Angel Victor

Comédienne, chanteuse, danseuse, musicienne (flûte traversière), Caroline Devismes participe
régulièrement aux productions musicales parisiennes. Tout d’abord sur la scène du Palace dans 50 et des
Nuances, la parodie du célèbre roman érotique par Amanda Sthers, ou encore à Bobino dans Voca People.
Puis la comédie musicale Mike au Comédia dans le rôle de Dalida (mise en scène Thomas le Douarec),
puis dans Hairspray au Casino de Paris et à Bobino dans le rôle de Velma Von Tussle (mise en scène Ned
Grujic), rôle tenu par Michelle Pfei er dans la version lmée. Également Dorian Gray, la comédie musicale
(mise en scène Th. Le Douarec) au Vingtième Théâtre et au Festival d’Avignon 2011 et 2012.

Venant du Nord-Pas-de-Calais, elle débute sa carrière parisienne dans la Compagnie Roger Louret en
1997 et enchaîne plusieurs spectacles dont Les Années Twist, La Fièvre des Années 80 ou encore La Java
des mémoires. Elle participe aussi pendant quatre ans aux émissions « Les Années Tubes » sur TF1
présentées par Jean-Pierre Foucault. On l’applaudit aussi dans Les Dix commandements d’Elie Chouraqui
et Pascal Obispo et Les Enfants de l’Olympia d’Odile Bastien et Thierry Sforza.

Elle écrit son propre spectacle qui rencontre un véritable succès en 2014/2015 tout d’abord à la
Manufacture des Abbesses puis au Festival d’Avignon (Théâtre du Cabestan) et enfin au Sentier des Halles
Le Jour où je suis devenue chanteuse black, spectacle qu’elle a co-écrit et réalisé avec Thomas le
Douarec. Ses prédispositions naturelles pour la comédie la poussent à explorer plus avant le jeu
dramatique. De fait, elle entame une carrière théâtrale avec Béatrice dans Jean et Béatrice de Carole
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Fréchette (Manufacture des Abbesses, Festival d’Avignon) tout d’abord dans la mise en scène d’Alexandre
Berdat puis dans celle de Thomas Le Douarec. Elle joue dans Les Ambitieux au Théâtre du Splendid. Puis
actuellement joue aux côtés de Véronique Genest une nouvelle création au Palais des Glaces : Portrait
craché.

Sa formation complète en chant, danse et comédie la conduit naturellement à devenir meneuse de revue,
d’abord dans Nuit de Folies aux Folies Bergère, chorégraphiée par Marie-Laure Philippon puis en Suisse,
dans La Revue de Genève de Pierre Naftule. Depuis plusieurs années, elle se produit au Baiser Salé,
célèbre club de Jazz parisien, avec le groupe Desktops.
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FABRICE#SCOTT#4#BASIL#HALLWARD,#LE#PEINTRE##

© Angel Victor

Comédien formé au Drama Center London, metteur en scène et réalisateur, Fabrice Scott est né à Montréal
en 1970 dans une famille bilingue. Fabrice émigre à l’âge de 6 ans en France. Son grand-père l’amène
souvent à l’Abbey Théâtre de Dublin.

Ses premiers cours de théâtre à l’annexe de l’École Florent à Bordeaux le conduisent à fréquenter ceux qui
font du théâtre dans sa région tels que Renaud Cojo ou Juliette Meyniac. Il décide d’étudier sérieusement le
théâtre pour en faire son métier et part à Londres où il est admis à la Drama Center London. Il s’installe
ensuite à Paris. Il y joue dans le théâtre privé comme dans le subventionné. Il collabore, entre autres,
plusieurs fois avec Mathieu Boisset et instaure une longue complicité avec Thomas Le Douarec. Il met
aussi en scène le spectacle Rupture, un montage chorégraphié et musical sur la rupture dans le couple.

Ses activités théâtrales sont ponctuées par des apparitions à la télévision anglaise ou française, ainsi que
des dramatiques radiophoniques. Ses tournées européennes, notamment avec la compagnie Octogone (Le
Garçon de la photographie, Ciment) l’amènent en Italie où il demeure quatre ans et où il commence à
travailler au cinéma. Il y acquiert sa troisième langue, et y engage un travail sur la voix avec Alessandro
Fabrizi et Kristin Linklater avec qui il joue en Italie et au Portugal. Quand il rentre en 2006 il fonde «le Club»
avec Delphine Lanson. Ensemble ils développent de nombreux projets dont plusieurs courts métrages.
Depuis, il vit à Paris et continue à travailler des deux côtés des Alpes, avec Marco Bellocchio, Anne Riita
Ciccone ou Aureliano Amadei, ou encore dans des productions anglophones telles que Romeo & Juliette
de Carlo Carlei ou L’Enquête de Tom Tykwer.
Il met en scène Les Bonnes manières d’Alan Ayckbourn au théâtre des Abbesses en 2014. Il collabore
actuellement avec la compagnie Anomalie sur le projet Entrevoir qui verra le jour en 2017 au Théâtre Silvia
Monfort. Il enseigne aux Cours Florent dans le département « Acting in English ».

MAXIME#DE#TOLEDO#4#BASIL#HALLWARD,#LE#PEINTRE#

© Angel Victor

Une naissance à Paris, des origines franco-espagnoles, une enfance passée entre Buenos Aires, la France
et la Floride, une résidence à New York, Maxime de Toledo affiche tous les critères d’une carrière
internationale.

Chanteur de formation classique, Maxime de Toledo débute naturellement dans l’opéra. Il décroche des
rôles tels que celui de Don Alfonso dans Così fan tutte, celui de Zuniga dans Carmen, ou plus récemment
celui de Lancelot dans Camelot aux États-Unis. Séduit par le monde du spectacle, il s’oriente rapidement
vers le cinéma et la télévision.

Après ses premiers pas dans le lm One Last Thing, Maxime de Toledo enchaîne les tournages sur le sol
américain, d’abord pour quelques lms indépendants (The Women, The Dead, etc.), mais aussi pour des
séries télévisées à succès comme The Sopranos ou All my children. En France, on retrouve le comédien à
la télévision dans une publicité pour Invicta, dans le rôle de Tom dans Un village français, ou dans la série
culte Plus belle la vie di usée sur France 3. Jamais très loin de la scène, Maxime de Toledo est également
à l’affiche en 2015 de la pièce Forever Young.

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THOMAS#LE#DOUAREC#4#LORD#HENRY##

© Angel Victor

Metteur en scène prolixe, Thomas a déjà une cinquantaine de productions à son actif, il est aussi à l’aise
dans les tragédies que dans les comédies. Pour ses tragédies, il faut retenir Le Cid de Corneille dans une
version amenca ; Vol au-dessus d’un nid de coucou de D. Wasserman au Théâtre de Paris, avec Bernard
Tapie et André Falcon ; Les Sorcières de Salem de A. Miller avec Barbara Schulz ; Dommage qu’elle soit
une P... de J. Ford créé au Trianon et au Palace avec Jean-Paul Rouves ; Andromaque de Racine au
Chêne Noir avec Jean-Charles Chagachbanian et Natacha Amal ; Le Portrait de Dorian Gray au Théâtre
Rive Gauche.

Pour ses comédies, citons : Le Dindon de G. Feydeau, les Monty Python’s Flying circus n°1, n°2 et Le Best
of, trois spectacles adaptés des sketchs des humoristes anglais (Palais des Glaces, Théâtre de Paris,
L’Européen, Théâtre du Chêne Noir Avignon, Londres, Dublin, Festival d’Edimbourg, etc.), Des soucis et
des potes, qui a triomphé pendant 2 ans et demi au Trévise ou encore l’indétrônable Arrête de pleurer
Pénélope (plus d’un million de spectateurs), qui se joue encore un peu partout, quinze ans après !!! Ou
encore Sex-Shop une pièce de Audrey Dana et Michèle Bourdet.

Il s’est même essayé aux spectacles visuels et musicaux... récemment avec Le Jour où je suis devenue
chanteuse black qu’il coécrit avec Caroline Devismes ; avec Sentires, un ballet amenco ; 1+1=2, spectacle
qui mêlait danse, chant et théâtre ; Le Caprice de Marianne, tour de chant de et avec Marianne James... En
2010, il aborde même la Comédie Musicale avec Mike au théâtre Comédia qui lui rapporte trois
nominations aux Molières 2011 dont Meilleur spectacle musical. Nous lui devons aussi l’arrivée de cet «
ovni » dans notre paysage théâtral Les Hommes viennent de Mars et les Femmes de Vénus de et par P.
Dewandre, qui n’a pas quitté l’a che du Théâtre du Gymnase pendant huit saisons (spectacle qui bat tous
les records de fréquentation depuis sa première au Gymnase, a rempli pendant 3 mois le Casino de Paris,
après avoir rempli une semaine l’Olympia et un soir le Zénith de Paris).

Soulignons sa relation privilégiée avec son auteur de prédilection et ami, René de Obaldia, dont il monte
une reprise très remarquée de son western de chambre Du vent dans les branches de Sassafras créé au
Théâtre le Ranelagh, prolongé au Petit Théâtre de Paris, puis trois nouveaux impromptus sous le titre
d’Obaldiableries, au Théâtre 14, et L’Amour à trois, montage de textes de l’auteur, créé au Théâtre de
Poche Montparnasse puis repris à la Comédie Bastille et en n Grasse Matinée au Théâtre des Mathurins.
Ce compagnonnage avec un auteur, il le renouvelle avec Jean-Pierre About dont il avait créé la pièce Le
Manège du Pouvoir en 2005 avec, entre autres, Henri Tisot et, dernièrement, Les Ambitieux (Théâtre 14
puis Splendid).
En tant que comédien, Thomas joue, depuis 1990, régulièrement au théâtre, date à laquelle il a obtenu le
«Jacques» 1990 du meilleur acteur dans un second rôle pour son interprétation dans Maledictis d’après
Sacha Guitry. Depuis cette date, il n’a cessé d’être présent sur les planches en étant mis en scène aussi
bien par Th. de Peretti (Quai Ouest de B.-M. Koltès, Paris- Plaine), que par J. Pagier (Qui a peur de Virgina
Woolf ? de Ed. Albee, Th. d’Etretat puis Centre Mathis) ou encore J. Décombe (Une nuit avec Sacha Guitry,
de S. Guitry et A. Sogno, Th. Rive Gauche et Th. Marigny ; puis dernièrement en 2015 au Festival Guitry à
Cap d’Ail, Th. des Muses à Monaco) ou J.-L. Jeener (Les Caprices de Marianne d’A. de Musset ; Bérénice
de J. Racine (Th. du Nord-Ouest). Etienne Bierry l’a dirigé dans Les Riches reprennent con ance de L.-Ch.
Sirjacq (Th. de Poche-Montparnasse et tournée – Trois nominations aux Molières dont «Meilleur
spectacle») et Alain Sachs dans La Femme du boulanger de M. Pagnol (tournée, avec Michel Galabru). Il a
été également Jean dans Jean et Béatrice de C. Fréchette (Manufacture des Abbesses, Festival d’Avignon)
tout d’abord dans la mise en scène de A. Berdat puis dans la sienne.

Thomas le Douarec s’est régulièrement mis en scène en particulier dans Sur le dos d’un éléphant dont il est
l’auteur, Les Sorcières de Salem de A. Miller, Le Portrait de Dorian Gray d’après O. Wilde, Du vent dans les
branches de sassafras de R. de Obaldia, Le Manège du pouvoir de J.-P. About, ainsi que dans L’Amour à
trois de R. de Obaldia. Dernièrement, il s’est mis en scène dans Les Ambitieux de J.-P. About.
Au cinéma, il a tourné principalement avec des réalisateurs tels que Th. Sorriaux (La Dream Team), L.
Jean-Baptiste (Dieu merci), Cl. Lelouch (Roman de gare), B. Werber (Nos amis les Terriens), J. Fanten (Le
Petit sanctuaire, court métrage), D. Bourdon et B. Campan (Le Pari), S. Pavel (Les Lettres de mon
moulin)... Et à la télévision avec L. Colbeau- Justin (Léo Mattéi -Secrets de famille).
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OLIVIER#BREITMAN#4#LORD#HENRY##

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Olivier Breitman a travaillé pendant plus de vingt ans avec le metteur en scène japonais Junji Fuseya. Avec
ce dernier, il se forme aux techniques de jeu du théâtre japonais et joue entre autres dans L’Oiseau du
crépuscule en 2003. Il est ainsi considéré comme le premier onnagata français, c’est-à-dire un homme qui
interprète des rôles féminins. Le comédien est aussi bien reconnu en France qu’au Japon. Par ailleurs, il a
longtemps collaboré avec les Tréteaux de France, centre dirigé par Marcel Maréchal. Sous sa direction, il a
joué dans Les Trois Mousquetaires (2000), Ruy Blas (2002), La Puce à l’oreille (2004) et La Très Miri que
Épopée Rabelais (2005).
À partir de 2007, le comédien se lance dans l’aventure de la comédie musicale en interprétant Scar dans Le
Roi lion. Il revient au spectacle musical avec Dirty Dancing en 2015. L’acteur a aussi été dirigé de
nombreuses fois par Jean-Luc Revol. De Théâtre de foire en 1991 au Roi Lear en 2015, les deux artistes
se retrouvent régulièrement. En 2016, Olivier Breitman intègre la distribution du Portrait de Dorian Gray, un
spectacle mis en scène par Thomas Le Douarec d’après l’œuvre d’Oscar Wilde.

DESSINS#DE#FREDERIC#PINEAU#
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EXTRAITS#DE#PRESSE##
LE FIGARO MAGAZINE
[Parmi les adaptations de Thomas Le Douarec] celle-ci est la meilleure. Elle est excellente. C’est vrai de la
forme : concise, vive, brillante, parfaitement dialoguée. Et du fond : elle va à l’essentiel (...) Le metteur en
scène montre ici une maturité, une rigueur, une intelligence du texte remarquables. (...) [un beau dialogue]
excellemment mis en mouvement par Le Douarec, échangé entre des acteurs de grande qualité.

MARIANNE
Il ne faut surtout pas rater « Le portrait de Dorian Gray », d’après le roman d’Oscar Wilde, mis en scène par
Thomas Le Douarec au Lucernaire. C’est un petit bijou à mettre devant tous les yeux. .(...) La pièce est bien
menée et magni quement interprétée. On se délecte des aphorismes de Harry, nonobstant leur charge
antiféminisme. On jubile à l’écoute de cette ne ré exion sur l’art, la jeunesse, la beauté, écrite en un temps
(l’Angleterre victorienne) où il ne faisait pourtant pas bon jouer avec les codes moraux en vigueur. (...)
Thomas Le Douarec et sa belle équipe signent là un spectacle aussi séduisant que l’était Dorian Gray pour
ceux qu’il rencontrait.

FIGARO SCOPE
Bon découpage, bon rythme (...) Thomas Le Douarec a su conserver les humeurs brillantes du livre. Les
répliques font mouche et avec le ton très élégant qu’il adopte, on est immédiatement happé par l’histoire du
trop beau Dorian Gray...

LE MASQUE ET LA PLUME
L’adaptation est très astucieuse. C’est très respectueux du récit et de la langue, c’est un théâtre qui joue la
littérature et qui la joue bien !

LE FIGARO
C’est si bien joué et plaisant qu’il faudrait être bien grincheux pour ne pas succomber au charme de la
représentation. Thomas Le Douarec incarne lui-même Lord Henry. Une voix très bien placée, une autorité,
il est parfait face à Dorian Gray à qui Arnaud Denis prête sa beauté ténébreuse et son jeu sûr. (...) Décor
léger, jolis costumes, c’est un moment d’émotion qui séduit le public. Les spectateurs connaissent cette
histoire faustienne, mais rien n’émousse le plaisir de la réentendre...

TELERAMA-SORTIR
Thomas Le Douarec adapte pour la scène, de manière astucieuse, l’unique roman d’Oscar Wilde. (...) Le
roman se prête bien à l’adaptation théâtrale, certaines répliques sont brillantes. Le rythme donné par la
mise en scène maintient l’intérêt et le suspens. (...) L’ensemble est très réussi.

L’OBS
Nous ne louons pas seulement ce spectacle par contraste avec les autres. D’abord Thomas Le Douarec,
qui le met en scène, a écrit une bonne adaptation du roman d’oscar Wilde. L’action avance à fond de train.
Les dialogues restent nerveux, sans empêcher Lord Wotton de déployer ses sophismes comme le paon fait
la roue. Et puis, et c’est le plus important, Le Douarec s’est procuré un parfait Dorian Gray. (...) Arnaud
Denis possède toutes les couleurs du rôle, de l’angélisme à l’abjection, et s’en sert avec beaucoup
d’habileté. Nul doute que le spectacle aura du succès.
Espace Gérard Philipe – Scènes et Cinés
         Avenue Gabriel Péri
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