D ossier De Pr esse - Binic Folks Blues Festival
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itio n x ie e d e Di to l a x i e eDi t i o n en ch i f f r e s Di v e rs it é, qua l it é e t to ujo u r s l a grat u it é : P o ur l’a m ou r D e l’a rt 3 jours e t l a beau t é Du gest e 26, 27 et 28 juillet 2019 l a D iv er sit é Dans les genres musicaux proposés, Folk, Blues, Rock mais 38 formations musicales aussi dans la provenance des groupes : du cœur de la 55 concerts GrAtuits Bretagne, aux confins de l’Australie, en passant par les USA ou le Royaume Uni... Fait cette année la part belle aux filles. Au total La Nef D Fous présentera les 26, 27 et 28 juillet plus 3 sites « concert » autour du port de Binic de 35 formations et plus de 55 concerts, toujours sur 3 scènes. Esplanade de LA BANChE l a qua l it é Place Le PoMMELEC Place de LA CLoChE c’est d’abord pour la Nef D Fous un esprit. Proposer une affiche qui permet aux 60 000 festivaliers de découvrir une richesse unique de talents rares, hors des circuits convenus 5 buvettes associatives des festivals ordinaires. C’est ensuite, accueillir les festivaliers comme on reçoit des 2 points de vente merchandising associatifs invités à une grande fête en leur proposant 3 campings avec “ vue sur mer ” et leur permettre ainsi de goûter les plaisirs de 3 points de vente restauration associatifs la baie de Saint-Brieuc, de la Bretagne. C’est enfin fédérer plus de 500 bénévoles et 6 associations locales dans l’organisation du festival qui témoignent de 60 000 festivaliers attendus la mobilisation et de l’engagement des bretons pour leur territoire. 3 campings festivaliers l a grat u it é Depuis sa création, la Nef D Fous a revendiqué son ambition 500 bénévoles venus de toute la France marginale de proposer la gratuité des concerts. Au fil des années cette vision est devenue un modèle économique adoubé par les festivaliers qui soutiennent 6 associations locales partenaires massivement le festival, mais également par les entreprises et les institutions. Budget global 500 000 € autofinancement à 75 % Cette année encore la Nef D Fous se met au défi de vous surprendre... En vous proposant une édition pleine de style et de finesse.
Du fuzz punk que ne renieraient ni les Cramps, ni Beefheart ou autres Stooges. Prestations de champions et déhanchements de coyotes piqués aux hormones ! Une classe détraquée et une énergie psychotique. on signe ! sleaford mods nottingh a m / UK the valderamas Attrape-moi si tu peux ! Ils courent, king khan’s Bzh / fr a nce ils courent, Jason et Andrew, les louder than death deux loustics de Nottingham... Un nom en forme d’hommage à Carlos ca n a da / fr a nce mais sur la côte on a du souffle ! Valderama, le fantasque footballeur Terrasser la mort (louder than death) colombien des années 90 et un nom Beats métronomiques, flow acide à grands renforts de décibels et de riffs qui claque comme une mélodie pop et satirique, gouaille acerbe et encore plus puissants. La promesse catchy. Les quatre rennais connaissent provocatrice, humour ravageur; mod Con est ambitieuse et provocatrice leurs classiques (Beatles, Kinks, Velvet imaginez la rencontre improbable Melbour ne / austr a lie mais l’exubérant King Khan est Underground, Big Star) et la pop de Mark E. Smith et du Wu-Tang Clan En 1978, Paul Weller et ses JAM bien l’homme de la situation ! Pour culture indie. Petites anglaises et dans l’arrière salle d’un pub anglais : délivrent le mythique “ All Mod Cons ”, relever ce nouveau défi le showman guitares ligne claire ! De la pop rock Mesdames et Messieurs, les Sleaford album punk moderne et raffiné. Un démoniaque s’entoure d’une équipe sixties qui lorgne aussi vers le meilleur Mods ! Du post-punk rap en mode hommage, une modernité brute et de choc. La nouvelle entreprise du des 90’s. Un son vintage et ensoleillé, working class (anti) heroes désabusés. acérée dont pourraient aujourd’hui canadien basé à Berlin et de Sean Spits qui prend son envol à Rennes en Depuis 2007, les deux lads secouent se revendiquer le trio australien (des légendaires américains The Spits) 2014 et qui marque des points. Simon les esprits sur fond de boucles 100 % féminin mené par Erica Dunn recrute les meilleure gâchettes punk (guitare- chant), Julien (basse-chant) hypnotiques et de critique sociale au (chant et guitare), Sara Retallick rock : Looch Vibrato et Aggy Sonora et Mathieu (batterie), rejoint depuis réalisme cru. Un laptop qui dépote sec (basse) et Raquel Solier (batterie). (Magnetix) à la guitare et à la batterie peu par un nouveau guitariste, quatre pour Andrew Fearn, du spoken word Avec leur “ Modern Convenience ” et le terrible Fredovich (The Shrines) garçons dans le vent qui surfent incendiaire pour Jason Williamson : sorti en 2018 chez Poison City, les à la basse. Un super-groupe all-star avec légèreté sur une vague qui vous le duo est authentique, minimaliste australiennes s’inscrivent aujourd’hui mené par un King Khan au chant et au portera jusqu’au sable chaud de Binic ! et brut. Chanteur aboyeur, Jason ne avec inspiration et engagement charisme uniques. Défi relevé haut la mâche pas ses mots. Médias, nantis, dans la tradition du punk rock des main (du Diable) ! élite politique, industriels de la musique, cerveaux déculturés, tout le monde Slits, de Patti Smith ou de PJ harvey. en prend pour son grade ! Beatmaker Téméraire, personnel et urgent, l’indie branleur et malin, Andrew claque les post punk de Mod Con révèle un instrumentaux avec un détachement alliage rare de mélodies imparables, jubilatoire. Avec “ Eton Alive ” (sorti début de subtilité et de tension rock. 2019) les gredins enfoncent encore Une bouffée d’intensité ! le clou avec un album au songwriting original et aux compositions encore Cellophane suckers plus denses / dance. Un régal ! “ Sans a llem agne aucun doute, absolument, assurément Too much temptation ! Du classic rock le meilleur groupe de rock’n’roll du sous influence Stooges, early Stones ou monde ” dixit Iggy Pop. Cannibale hellacopters ! Déjà plus de vingt ans fr a nce que les fauves de Cologne jouent avec Les anthropophages de chez Born Bad une générosité sans concession un ont de l’appétit : laissez-vous dévorer rock garage à l’efficacité redoutable avec délectation ! Une tribu Cannibale et au feeling irrésistible. Six albums, the messthetics basée en haute-Normandie aux rituels des concerts sauvages et explosifs, Usa les Suckers n’hésitent pas non plus rythmés par la cumbia colombienne, Quand on sait que la section le ska jamaïcain, l’afrobeat nigérian, à baigner leurs guitares dans des rythmique de ce nouveau super- le rock garage. Le quintet ne fait breuvages psychédéliques, matraquant groupe expérimental n’est autre que pas de compromis, pas même avec et revisitant leurs fondamentaux à celle qui a sévi pendant 16 ans au sein l’amour, “ No mercy for love ”... Un grand renfort de riffs explosifs et de death valley Girls des mythiques Fugazi, on ne peut que ovni musical qui carbure à la basse et mélodies soniques. “ one in a zoo ”, los a ngeles / Usa saliver ! Joe Lally (basse) et Brendan aux percussions. Du garage tropical, une dernière galette musclée et Canty (batterie) s’associent avec le moite et groovy. Du Fela Kuti en virée tétanisante qui marque une nouvelle Everybody’s gotta be in a gang..! Un guitariste virtuose Anthony Pirog pour avec les Seeds. Des quarantenaires fois les esprits et les oreilles : ça sensuel et coléreux gang de filles, un projet instrumental ambitieux. aux parcours atypiques, aux cerveaux claque et ça décape ! originaire de Los Angeles qui aurait pu ferrailler sur les plus chaudes et Des compositions denses et libres joueurs et canailles qui sèment une sombres scènes rock des 60’s /70’s . qui allient intensité, engagement belle zizanie au milieu du blues tribal, Trois Death Valley Girls (et un garçon) et liberté. Des textures de guitares du rock psychédélique et la musique sapées black (Sabbath) ou l’instinct blues-free jazz qui copulent avec le de série B. Une Grande Bouffe ! sauvage de la rue (Street Venom, post punk et la noise, soit la rencontre premier album sorti en 2014). Une de hendrix avec les enfants de Fugazi buck puissance et un romantisme noir et Shellac. Trois sorciers au groove dont se nourrit le groupe de Bonnie unique et à la classe désarmante. Du Bloomgarden et que l’on retrouve free rock hors cadre ! (intact) sur “ Darkness Rains ” en 2018. Hudson maker Du garage rock ténébreux chargé Bzh / fr a nce de brûlots stoner, heavy blues et Deux albums (Crazy Train et hudson psychédéliques. Une chevauchée Maker) qui tracent la route chevaux au de dératés dans la Vallée de la Mort vent pour le trio rennais ! Un voyage (Death Valley) sous un fracassant en pays hillbilly, Western et Rockabilly tonnerre stoogien. Pas étonnant donc à bord d’un train filant à toute de retrouver Iggy Pop (fan déclaré du vapeur ou au volant d’une hudson groupe) en guest-star de luxe dans la car, mythique marque automobile Bzh / fr a nce vidéo de “ Disaster ” ! Black wear or de Detroit. Alban (guitare-chant), be square ! Buck is back dans les bacs ! Avec Tof (contrebasse, Sleeper Bill and & “Among your fears” (Beast Records), Mr. Tof, ex-orville Brody) et Francky album qui tient autant du carton (batterie) se réapproprient l’esthétique baby shakes d’invitation au plus macabre des bals ne w Yor k / Usa et l’esprit de l’Amérique de Gene que de la bande-son d’une murder Vincent, de Carl Perkins, des Stray Imaginez trois craquantes new- (Birthday) Party sous Morphine, le duo Cats ou du King ! Du Rock’n’Roll 50’s. yorkaises en maillot de bain sixties revêt ses habits les plus noirs. Sombre Un répertoire solide, référencé - et sur la plage de Coney Island par un et martial, orageux et païen, le boogie néanmoins original - qui procure une chaud week-end de juillet ! Inutile patibulaire et oppressant de Buck folle envie d’escapades sous le Sun de prendre le premier vol pour provoque une fièvre froide, froide (Studios). King(s) of The Road ! NYC, les Baby Shakes vous donnent comme la dépouille de Joy Division draught dodgers rendez-vous à Binic ! Un quatuor égaré dans le bayou ou sur les rives austr a lie power punk rock fondé à Big Apple du Delta. La chevauchée maléfique du Les quatre australiens de Melbourne en 2005 (trois albums et des tournées voodoo gang empreinte aujourd’hui ne sont pas des visages inconnus au bout du monde) qui respire le les chemins de traverse arpentés par pour les afficionados du Binic Folks glamour, l’hédonisme et l’insouciance le Birthday Party ou le Grinderman de Blues Festival. Au chant, on retrouve adolescente. Le nouveau son du Nick Cave, le rockaboogie des Cramps Diamond Jack Davies qui a déjà foulé power punk vintage ! Des Ramones à ou le synth-blues de Suicide. Le duo les scènes du Festival au sein des la Motown 60’s, des NY Dolls à Chuck basse-batterie (Xavier Soulabail / remuants et déglingos Bitter Sweet Berry, les Baby Shakes (trois filles, Clément Palant) s’enivre de claviers et Mary, Judy, Claudia et un garçon, Ryan) de sax, les textes et la voix écorchés slift Kicks, à la batterie Evan Richards des se dégustent comme un milk skake raisonnent sous la lumière d’une lune toulouse / fr a nce célestes Burn in hell. Se joignent à eux le légendaire Tim Rogers (guitare) sous un “ Summer Sun ” tant attendu: inquiétante. Un Last Night Boogie Un nom en référence à un roman et Mick Sayers (basse). Gang swamp avec gourmandise et l’envie d’en ensorcelant ! d’anticipation d’Alain Damasio et à un rock garage, Draught Dodgers se recommander un autre ! de ses personnages. Deux frères (Jean forment en 2016 et les chemises et Rémi) et un ami batteur (Canek) qui, en sont encore trempées de sueur. après différentes expériences punk
rock, découvrent la nouvelle scène nouvelle galette qui twiste again ! psychédélique et créent Slift. on est Un orchestre anti-yéyé qui revisite en 2016. Un assourdissant garage, aux B.o, classiques cultes ou oubliés des riffs bruts et répétitifs, en mode spyché Kinks, Shocking Blue, Chuck Berry ou... et krautrock. Le trio toulousain ne peut André Verchuren ! In French dans le renier l’influence de groupes tels que texte s’vous plaît ! Un revival classieux, les oh Sees, King Gizzard ou Can. Un gorgé de guitare fuzz et d’orgue outofspace rock empreint de culture Philicorda, un live au parfum de Simca PRESS KIT et d’esthétique SF. Un premier EP, Aronde, de jerk et de pop à pois. “ Ne te “ Space is the key ” (l’espace est la clé), crispe pas, envoie-moi un sexto ! ” clin d’œil appuyé au space rock de listener hawkwind (premier groupe de Lemmy K a nsas cit y / Usa “ Motorhead ” Kilmister) à l’univers beechwood visuel et musical fort qui se décline ne w Yor k / Usa Attention : grosse claque au sur “ La planète inexplorée ”, premier programme ! Les (rares) chanceux Louches et sapés comme trois petites album audacieux et accrocheur. qui ont déjà croisé la route de Listener frappes surgies d’un immeuble miteux Vers l’infini et au-delà ! ne tarissent pas d’éloges à propos du du New York 70s, les trois Beechwood trio mené par l’inclassable Dan Smith. freaks intriguent et provoquent Une intensité musicale et poétique qui le regard. Noirceur et inquiétude subjugue aux premiers instants ! Bercé velvetienne au rendez-vous mais par le rap underground, le moustachu surtout le goût pour les mélodies pop s’ouvre rapidement au rock, ses vers se sixties du plus bel acabit. Comme si Photo by Renaud Monfourny - Les Inrocks confrontant à de nouveaux horizons les bas-fonds enfumés se gorgeaient the schizophonics musicaux. Une voix puissante aux HOT PANTS Touring – 32 rue des Pommiers 93500 PANTIN - France contact@hotpants-productions.com / www.hotpants-productions.com de lumière psychédélique. Premier sa n Dieg o / Usa SIREN : 824 305 973 / APE: 9001Z accents spoken word, des textes mi- véritable album, “ The Land of the nod ” licences: 2-1099570 – 3-1099571 chantés, mi-déclamés. Avec D’un port à un autre. De San Diego à oscille entre le noir décadent et le “ Being Empty : Being Filled ” (2018), Binic. Les Schizophonics débarquent blanc rédempteur. Entre violence et alchimie musclée et subtile entre avec leur baluchon chargé de fuzz onirisme. Un trio (Gordon Lawrence, kepa textes poétiques et son post-hardcore, rock. Le duo californien (Pat et Lety chant-guitare, Isa Tineo, chant-batterie fr a nce Listener se propulse sur une orbite Beers, guitare-chant et batterie) et Sid Simmons, basse) qui arpenterait atypique. Guitare et batterie Le skateboard, une première passion souquent les bouts (voir le dico les trottoirs souillés de Big Apple en bouillonnantes, trompettes et scansion qui conduit le jeune bayonnais de du Matelot) et on kiffe les riffs de compagnie de Syd Barrett, Iggy et fiévreuses : Listener saisit par les tripes 28 ans à parcourir la planète pendant l’esquif ! Du garage stoogien. De Tom Verlaine. Définitivement chics et on ne s’en remet pas ! des années en tant que professionnel. l’énergie branchée sur le MC5(000) les freaks. Une mauvaise chute, une carrière volts. Show explosif, sexy et ravageur, interrompue et Kepa (Bastien les Schizophonics retournent. Chant Duverdier) se raccroche à sa deuxième affolant, contorsions et danse de passion : la musique. Et le besoin de Saint-Guy : Pat Beers ne lésine pas, s’immerger dans le grand bain originel, il transforme chaque riff en sueur les fondamentaux du blues made in brûlante. Avec “ ooga Booga ”, USA. one-man band, enchaînant les les californiens transcendent les concerts, il bourlingue à nouveau références, de hendrix aux Sonics, de aux quatre coins de la planète et Little Richard à James Brown. Un shoot enregistre un premier album “ Doctor, de psychédélisme et de heavy rock. Do Something ” avec Taylor Kirk Kick out The Jams Schizof.....s ! (Timber Timbre). Guitare Dobro, Jet Reactions Go!Zilla harmonica, stomp box et poèmes de ita lie fr a nce William Burroughs comme paquetage, Les sympathiques et truculents Kepa se révèle bluffant de sensibilité Après vingt ans de bons et loyaux italiens sont de retour à Binic avec et de sincérité. Un parcours et un services (500 concerts, 3 albums studio “ Modern Jungle’s Prisoners ”, album talent aussi rares que brillants. et un live) les garage punk-rockers surprenant et ambitieux, album de Flying over raccrochent en 2015. l’affranchissement. Toujours garage Deux ans plus tard Jet Boy et Jet et psychédéliques, les cinq florentins Girl relancent la mécanique avec ne se reposent pas sur leurs lauriers Jet Reactions et retrouvent Jet X (césariens) et enrichissent leurs (basse, hero-X, Jakes, Complications), influences. De nouvelles compositions Jet Beeps (guitare, ex TV Killers) et Henry’s funeral shoe à la colère retenue, alternant entre un nouveau batteur, Jet Gardener Wa les transe électrique psyché, explosions (Darlings, Videodrome). Les saignants soniques, boucles synthétiques Le duo gallois (les frères Aled et bordelais renouent avec leur st entêtantes et mélodies aussi riches Brennig Clifford) revient à Binic après originel et reprennent le chemin qu’énervées. Chercheur et malin, avoir déjà marqué le festival avec des du studio. L’envie et l’énergie Luca Landi (chant-guitare) met du performances scéniques à l’énergie sont intactes, la fièvre n’est pas burn in Hell oh Sees et du Pixies dans sa riche bombesque. Bercés par les disques redescendue. Leur garage punk Melbour ne / austr a lie pasta, de la dissonance et des claviers d’un père initiateur, les deux frères turbine, gavé de frustration, furieux dans son garage pour un résultat Compagnons historiques du festival, ont été à la bonne école : The Who, comme jamais ! d’une cohérence remarquablement les australiens ( Glenn Burns, chant- Thin Lizzy, The Clash, Van Morrison, déconcertante. Go!Zilla ou la furie guitare, Gary hallenan, claviers, et The Beatles ! Du classic blues rock maîtrisée ! Evan Richards, batterie) sont de retour authentique qui les a conduits à sur leur terre d’adoption. Après une rejoindre l’affiche de festivals aux “ hibernation ” (dixit Glenn B.) ponctuée côtés de Lynyrd Skynyrd, des White de différents projets et collaborations Stripes ou des légendaires Sonics. parallèles, le swamp cabaret rock des Un enchantement de pop rock toute punks célestes va raisonner à nouveau britannique enrobée de heavy blues de toute sa folle poésie baroque. psychédélique et de soul US. Compositions frénétiques et enivrées, Á en perdre la tête... et les jambes ! swing bringuebalant, piano et guitares en vrille, chant rocailleux, les trois punks Tom Waitsiens n’ont rien perdu de leur curieuse originalité. En mode moody beaches Melbour ne / austr a lie super-groupe, ils offriront à Binic leur the buxom blade nouvel album à sortir avant l’été chez Binic. Été 2015. Les chaleureux et fr a nce Beast Records. Un album “ dément ” bondissants soul surf rockers de La Les cinq Buxom Blade incarnent à (in hell) au ton durci et aux guitares Bastard débarquent et enflamment eux seuls tout l’esprit du pub rock qui rétament. Sail on Pirates ! les scènes du festival, drivés par anglais biberonné aux Buzzcocks et Anna Lienhop, frontwoman explosive compères. Le pub qui sent la bière et et charismatique. Avec les Moody le rock’n’roll, les soirées (dé)zinguées Beaches, Miss Anna saisit sa guitare et et les petits matins embrumés. Des M ister A irplAne M An retrouve Julia Watt, batteuse énervée soutiers, des damnés qui ne transigent Boston / Usa au sein de La Bastard auxquelles se jamais. Générosité et sincérité comme joint Jessie Dennis (basse). Les trois étendard. Et un premier album Blue as I can be ! Des bancs de pétroleuses rallument la mèche avec éponyme sorti chez Beast Records qui l’Université à leur premier album un nouveau projet post-grunge/post- témoigne de cette exigence. D’abord sorti en 2001, de Boston à Memphis punk, aux riffs musclés et à la voix projet solo de Ben Borneo (chant- où les deux inséparables travaillent urgente. Après une collaboration avec guitare, ex-Silver Moon, ex-Mexibones), avec Greg “ oblivian ” Cartwright, Bench Press (révèlation de l’édition le groupe prend finalement forme à Margaret Garrett (chant-guitare) et 2018), “ Weird friends ” (étranges amis), cinq avec l’arrivée de Alain (Cry Babies, les kitschenette’s Tara McManus (batterie-claviers) sort en 2018 et nous rappelle au The Deltabonds) guitare et clavier, sa int-M a lo / Bzh entretiennent une flamme intacte meilleur des girls bands 90’s : Breeders, Blutch (Strong Come ons) guitare et pour le blues rock séminal de howlin’ Le troisième volet de la “ Trilogie L7. Batterie, basse et guitare tendues, chœurs et de la section rythmique Wolf (auquel leur nom fait référence) frenchie ” des décalés malouins voix revendicatrice et puissante, actuelle composée de Jeff (Ex-heavy ou pour celui de ses héritiers les plus confirme que le sextet n’a pas les Moody Beaches se révèlent Barry Jeff) à la batterie et de orel à brillants : Jeffrey Lee Pierce (The abandonné son humour et son savoir- aussi inquiétantes que captivantes. la basse. Cinq briscards à l’âme rock Gun Club), Jon Spencer, The Gories, faire aux puissances maléfiques de Welcome back girlzzz ! authentique, cinq puristes qui donnent Morphine. Du blues rock s’écharpant la culture digitale. La Demoiselle et sans reprendre ! avec le punk : un son brut, une attitude ses cinq Messieurs poursuivent leur moderne et glam. Shake it, shake it exploration malicieuse du monde babies ! des sixties et des yéyés avec une
"...deliriously unhinged rock n roll that has been flooring Adelaide audiences... It seems counter-intuitive to say a band is “perfecting” a sound so loose and visceral, but by the beard of Zeus they ’re really nailing it..." - Walter Marsh RIPitUP st morris sinners St. Morris Sinners formed in late 2011. They soon made a name for themselves around Handsome Jack knuckle Head aAdelaide del a ide / austr a lie as an exciting live band, drawing influence from artists such as: Nick Cave, Jonathan Richman and The Triffids (Just to name a few.) - They have blended a cocktail ne w Yor k / Usa Grindhouse a lsace / fr a nce Depuis 2011, les St Morris Sinners of musical genres into their own style of dirty alternative rock. Quel meilleur breuvage que celui que Melbour ne / austr a lie Un duo en liberté, une ruée vers dispensent un dirty blues punk l’on goûte au pied du tonneau ? le fuzz, vers un ouest américain touchant et écorché. Des histoires Le trio de Lockport (NY) ne tourne pas Avec Grindhouse (le moulin), BIOGRAPHIE fantasmé. Un Eldorado blues rock d’amour perdu, de mort et attendez-vous à vous faire moudre Des confins de l’Amérique aride des déserts de l’ouest et des marécages pois- autour de la chope mais l’empoigne menu menu ! Qu’on se le dise, les et dark country. Deux fuzz cowboys seux du Mississippi naissent des musiques qui racontent des histoires de voyages, d’addictions incarnées par Stephen de chaleur et de tempêtes. A la fois rock, blues et country le duo Knuckle Head fermement. Les chevelus que l’on (Jack Escobar & Jock Alva) qui sentent porté par Jack et Jock assume et revendique haut et fort ses influences «made in “ Slippery ” Johnson, chanteur inspiré Australiens de Melbourne ne font US». Point de groupe ou de chanteur adulé cité en référence, ici on parle plutôt de virée en bécane et de soif sans limite de liberté et de bourbon. Ça cogne, c’est roots croirait débarqués d’un road movie pas le déplacement pour broder l’essence et la poussière. Un chanteur et sexy à souhait, totalement irrévérencieux et sacrément classieux. A découvrir de par la lumière du désespoir et toute urgence. Live! Colmar woodstockien se régalent (et les napperons de mamie. Lourd, guitariste (Jack) aux racines country l’absurdité du monde. Des textes régalent) avec le meilleur du swamp ironique et déménageur, excessif et blues qui se gave de stoner, de profonds, un chant habité, une guitare blues et du boogie rock américain. et provo, le groupe de Mick ”Two psychedelic et de desert rock, de et une basse incandescentes (Django Bien sûr, on pense immédiatement Fingers ” Simpson renverse les tables doom et de sludge metal. Un batteur Martin-Rowe et George Thalassoudis), au monument Creedence Clearwater et les conventions avec un garage (et guitariste), Jock, inconditionnel une batterie maîtresse (Angus Mason) : Revival grande époque, au rock proto punk détraqué. Concerts dévoreur de hard rock, de rock les St Morris Sinners s’inscrivent dans sudiste de Lynryd Skynyrd, au maboules, exubérance potache, sudiste et de hip hop alternatif. Duo la digne lignée des glorieux Nick psychédélique Grateful Dead, mais imagerie vintage (“ Can I drive your bouillonnant et sexy, roots et dirty, Cave, Beast of Bourbon ou Gun Club. peut-on leur en faire le reproche ? Commodore ? ”, un troisième album Knuckle head engloutit les kilomètres Des morceaux qui prennent vie dans Certainement pas. Bien au contraire. sorti en 2018, tribute à la holden et les concerts comme un gang de un rugissement de frustrations et sous “ Everything’s Gonna Be Alright ” (tout Commodore, célèbre modèle de outlaws en cavale sous un soleil de les traits d’un Stephen Johnson exalté, ira bien), sorti chez Alive Records voiture de sport Australienne) et plomb. Une alchimie explosive de au charme diaboliquement pervers. dégage une telle chaleur, une telle nostalgie revendiquée de la culture blues graisseux et de heavy rock, envie de regoûter à ces harmonies populaire de l’Australie 80’s/ 90’s : les de slides et de riffs rugueux. Bikes, classieuses, à ces guitares luxuriantes quatre Grindhouse roulent pied au Bourbon and Gazoline ! que l’on ne peut dire que “Merci !” et plancher sur des chemins défoncés “Encore !”. par les Cosmic Psychos ou autres Supersuckers. Just a Rock’n’Roll band ! steal shit do drugs se attle / Usa Un nom absurde et une classe terrible. Difficile de ne pas succomber, de ne shifting sands pas devenir accro à cette came-là. Br isba ne / austr a lie Fidèle à sa réputation maintes fois the kill devil Hills Cannon fodder vérifiée de place forte de l’indie rock 2017 : les deux frères Corbett (Geoff fr em a ntle / austr a lie le M a ns / fr a nce américain, Seattle ne nous déçoit et Ben) mettent K.o le public du pas avec S.S.D.D. Bien plus encore, “ Drinking Too Much ” : le morceau on connaît Chris Martini, fougueux Binic Folks Blues Festival. Du sang le groupe du flamboyant frontman culte de heaten Songs ( 2004) guitariste des non moins tempétueux et des larmes. De la fureur et de Kennedy Carda s’arroge la place repris par le Loup-garou James Leg head on. Avec Cannon Fodder, Mr. la sensibilité à fleur de peau. Trois d’enfant terrible préféré. Un enfant résonne encore dans les oreilles des Chris (guitare, claviers) s’entoure de univers, trois projets (SixFthick, Gentle turbulent à l’ADN dandy punk, un festivaliers de Binic. Un morceau- Miss Alice Martini (basse, chœurs) Ben & his Sensitive Side, Shifting garnement effronté, moderne et hymne qui balise de main de maître le et de Nico Wireman (batterie, Sands) poignants d’authenticité et racé. Un quintette passé sur les bancs territoire des Kill Devil hills. Après 15 chœurs) pour ce projet swamp rock de sincérité. 2019 : Geoff Corbett, des meilleures écoles du garage, ans d’activité - d’activisme – le sextet turbocompressé. Du swamp rock l’attachant Loup de mer à la voix du post-punk et la no-wave US : Australien sort en 2018 son cinquième Australien griffé Spencer P. Jones écorchée fait une nouvelle escale à The Intelligence, Coconut Cooluts, album (Pink Fit). Le groupe de et Beast of Bourbon, du blues rock Binic. Mélancolique et tourmenté, le Monogamy Party ou The Dutchess and Brendon humphries réunit la crème irrigué par le Memphis de Greg beautiful loser de Macleay Island nous The Duke. Intelligemment chaotique, des musiciens de l’ouest-australien “ oblivian ” Cartwright. Un V12 made enfoncera avec délectation dans ses batailleur et nihiliste, Steal Shit Do (dont les membres des Floors) et in Le Mans Motor City qui colle les sables mouvants (Shifting Sands) et Drugs flirte avec The Fall et Pere Ubu confirme toute la classe qu’on lui passagers au siège baquet, une son folk blues gainsbouro-rimbaldien. dans une post-punk party à ne louper connaît. Du blues rock rugissant, libre mécanique puissante et nerveuse Chœurs et claviers aériens, guitares sous aucun prétexte ! et poétique. Un songwriting de haute estampillée Beast Records, l’écurie acoustiques et poésie à la gueule de volée, mélancolique et lumineux qui Rennaise qui accueille le premier bois, les Shifting Sands de Captain secoue les tripes. C’est aux côtés des album du trio. only the best on Beast ! Geoff atterrissent en équilibre plus grands, Nick Cave, Kim Salmon, délicieusement précaire avec “ Crystal The Drones, Gallon Drunk que se Cuts ”, sublime et précieux nouvel classent les K.D.h. Never rockin’ too album. A New Burning Flame. much ! Red fr a nce Prettiest eyes Regard malicieux derrière ses fines los a ngeles / Usa lunettes, casquette de skater vissée à la cool, courte barbe rousse, voix C’est sur le fameux et désormais saba lou suavement éraillée, RED (olivier incontournable label californien Cathedrale Ber lin / a llem agne Lambin) tient à la fois du hobo Castle Face (John Dwyer - le boss- toulouse / fr a nce kerouacquien et bourlingueur oh Sees, Ty Segall, King Gizzard, Bon sang ne saurait mentir ! Une voie que du kid lunaire et espiègle. Quel meilleur endroit qu’une Kelley Stoltz...) que le trio angelino royale, celle du grand King Khan, le À bientôt cinquante ans, le talentueux Cathedrale pour faire résonner les sort Pools (2018), sauvage et roi de la soul garage psychédélique. musicien semble hors du temps. guitares et le garage pop punk ? Peu surprenant deuxième album. Basse, Une jeune fille de 19 ans bercée au Il y a déjà 18 ans, sortait Felk, importe le flacon, pourvu qu’on ait batterie-chant, claviers et effets son des disques d’un papa qui l’initie merveille de folk et d’électronica. - à défaut de Foi - l’ivresse : les quatre électroniques perturbés : Prettiest aux mets les plus goûtus : Ramones et Le folk freak revient aujourd’hui inclassables Toulousains brouillent Eyes élargit encore davantage le Sun Ra, Stooges, Buddy holly et Sam avec Felk Moon : même minimalisme les pistes et réussissent à faire spectre de sa bizarrerie. Du synth- Cooke, early rock’n’roll, punk et funk intimiste et crépusculaire, même cohabiter pop anglaise, post-punk punk aliéné pour fans de Suicide 70’s, doo-wop, country and calipso. onirisme mélancolique, mêmes et rock garage US, Kinks, Stooges, ou des Screamers, du rock garage Après un premier enregistrement dès chemins de traverse. Un disque Devo, Beatles et oh Sees ! Les quatre au groove ravageur, de la noise ses six ans puis un second deux ans précieux et unique (comme chacune apprentis démons avouent avoir psychédélique futuriste, un chant plus tard, la délicieuse Saba Lou sort des pochettes qu’il dessine lui-même), vendu leur âme au diable pour faire intoxiqué : les trois latinos de L.A. son premier album “ Planet Enigma ” une pépite qui invite à ralentir le du rock, mais leur liturgie païenne démantibulent les chapelles du rock à 15 ans ! Une luxuriante planète temps, à se déconnecter d’un monde ralliera fervents fidèles et ouailles orthodoxe avec un rare culot. Brutal, teintée de soul, de folk et de rock qui va trop vite. égarées pour une Messe iconoclaste dangereux, chargé d’électricité, 60’s, aux mélodies et aux lignes de et provocatrice. Un Total Rift, un l’explosif arsenal Prettiest Eyes guitare chaudes, aux textes classieux premier album sorti en 2017 qui ne embrase les scènes en défiant les et introspectifs. Une planète voisine sacrifie rien sur l’Autel de la Raison. convenances. Alright, I’m ready to go ! de celle de Cat Power, à l’atmosphère Une expérience ardente ! stimulante et libérée. Viva la reine de Saba (Lou) !
| ContaCt | Association La Nef-D-Fous Mairie de Binic - 2 quai de Courcy - 22520 Binic lanefdfous@gmail.com Attachée Presse Nef D Fous Gilou Le Gruiec +33 (0)6 81 98 86 76 giloulegruiec@gmail.com Attachée Presse nationale Dali Zourabichvili +33 (0)6 66 47 00 99 dali@totalblamblampromo.com | www.biniC -folks- blues-festival.Com | artwork Arrache Toi Un oeil / maquette Aline Demail / textes Sylvain Bidoire (édito) - Mickael Le Bourhis (groupes)
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