D ossier De Pr esse - Binic Folks Blues Festival

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D ossier De Pr esse - Binic Folks Blues Festival
D ossier De Pr esse

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D ossier De Pr esse - Binic Folks Blues Festival
itio   n
                                                                    x ie e d

                           e Di to
                                                                              l a x i e eDi t i o n en ch i f f r e s
                  Di v e rs it é, qua l it é
            e t to ujo u r s l a grat u it é :
               P o ur l’a m ou r D e l’a rt                                                      3 jours
               e t l a beau t é Du gest e
                                                                                         26, 27 et 28 juillet 2019
                      l a D iv er sit é
Dans les genres musicaux proposés, Folk, Blues, Rock mais
                                                                                          38 formations musicales
aussi dans la provenance des groupes : du cœur de la                                      55 concerts GrAtuits
Bretagne, aux confins de l’Australie, en passant par les USA
ou le Royaume Uni... Fait cette année la part belle aux filles.
Au total La Nef D Fous présentera les 26, 27 et 28 juillet plus               3 sites « concert » autour du port de Binic
de 35 formations et plus de 55 concerts, toujours sur 3 scènes.
                                                                                          Esplanade de LA BANChE
                        l a qua l it é                                                      Place Le PoMMELEC
                                                                                            Place de LA CLoChE
c’est d’abord pour la Nef D Fous un esprit. Proposer une
affiche qui permet aux 60 000 festivaliers de découvrir une
richesse unique de talents rares, hors des circuits convenus                              5 buvettes associatives
des festivals ordinaires.
C’est ensuite, accueillir les festivaliers comme on reçoit des               2 points de vente merchandising associatifs
invités à une grande fête en leur proposant 3 campings avec
“ vue sur mer ” et leur permettre ainsi de goûter les plaisirs de             3 points de vente restauration associatifs
la baie de Saint-Brieuc, de la Bretagne.
C’est enfin fédérer plus de 500 bénévoles et 6 associations
locales dans l’organisation du festival qui témoignent de                               60 000 festivaliers attendus
la mobilisation et de l’engagement des bretons pour leur
territoire.
                                                                                          3 campings festivaliers
                       l a grat u it é
Depuis sa création, la Nef D Fous a revendiqué son ambition                     500 bénévoles venus de toute la France
marginale de proposer la gratuité des concerts.
Au fil des années cette vision est devenue un modèle
économique adoubé par les festivaliers qui soutiennent                              6 associations locales partenaires
massivement le festival, mais également par les entreprises
et les institutions.
                                                                                        Budget global   500 000 €
                                                                                          autofinancement à 75   %
      Cette année encore la Nef D Fous se met au défi
     de vous surprendre... En vous proposant une édition
                pleine de style et de finesse.
D ossier De Pr esse - Binic Folks Blues Festival
Du fuzz punk que ne renieraient ni
                                                les Cramps, ni Beefheart ou autres
                                                Stooges. Prestations de champions et
                                                déhanchements de coyotes piqués aux
                                                hormones ! Une classe détraquée et
                                                une énergie psychotique. on signe !

sleaford mods
nottingh a m / UK
                                                                                                                                       the valderamas
Attrape-moi si tu peux ! Ils courent,                                                      king khan’s                                 Bzh / fr a nce
ils courent, Jason et Andrew, les                                                          louder than death
deux loustics de Nottingham...                                                                                                         Un nom en forme d’hommage à Carlos
                                                                                           ca n a da / fr a nce
mais sur la côte on a du souffle !                                                                                                     Valderama, le fantasque footballeur
                                                                                           Terrasser la mort (louder than death)       colombien des années 90 et un nom
Beats métronomiques, flow acide
                                                                                           à grands renforts de décibels et de riffs   qui claque comme une mélodie pop
et satirique, gouaille acerbe et
                                                                                           encore plus puissants. La promesse          catchy. Les quatre rennais connaissent
provocatrice, humour ravageur;                  mod Con                                    est ambitieuse et provocatrice              leurs classiques (Beatles, Kinks, Velvet
imaginez la rencontre improbable                Melbour ne / austr a lie                   mais l’exubérant King Khan est              Underground, Big Star) et la pop
de Mark E. Smith et du Wu-Tang Clan
                                                En 1978, Paul Weller et ses JAM            bien l’homme de la situation ! Pour         culture indie. Petites anglaises et
dans l’arrière salle d’un pub anglais :
                                                délivrent le mythique “ All Mod Cons ”,    relever ce nouveau défi le showman          guitares ligne claire ! De la pop rock
Mesdames et Messieurs, les Sleaford
                                                album punk moderne et raffiné. Un          démoniaque s’entoure d’une équipe           sixties qui lorgne aussi vers le meilleur
Mods ! Du post-punk rap en mode
                                                hommage, une modernité brute et            de choc. La nouvelle entreprise du          des 90’s. Un son vintage et ensoleillé,
working class (anti) heroes désabusés.
                                                acérée dont pourraient aujourd’hui         canadien basé à Berlin et de Sean Spits     qui prend son envol à Rennes en
Depuis 2007, les deux lads secouent
                                                se revendiquer le trio australien          (des légendaires américains The Spits)      2014 et qui marque des points. Simon
les esprits sur fond de boucles
                                                100 % féminin mené par Erica Dunn          recrute les meilleure gâchettes punk        (guitare- chant), Julien (basse-chant)
hypnotiques et de critique sociale au
                                                (chant et guitare), Sara Retallick         rock : Looch Vibrato et Aggy Sonora         et Mathieu (batterie), rejoint depuis
réalisme cru. Un laptop qui dépote sec
                                                (basse) et Raquel Solier (batterie).       (Magnetix) à la guitare et à la batterie    peu par un nouveau guitariste, quatre
pour Andrew Fearn, du spoken word
                                                Avec leur “ Modern Convenience ”           et le terrible Fredovich (The Shrines)      garçons dans le vent qui surfent
incendiaire pour Jason Williamson :
                                                sorti en 2018 chez Poison City, les        à la basse. Un super-groupe all-star        avec légèreté sur une vague qui vous
le duo est authentique, minimaliste
                                                australiennes s’inscrivent aujourd’hui     mené par un King Khan au chant et au        portera jusqu’au sable chaud de Binic !
et brut. Chanteur aboyeur, Jason ne
                                                avec inspiration et engagement             charisme uniques. Défi relevé haut la
mâche pas ses mots. Médias, nantis,
                                                dans la tradition du punk rock des         main (du Diable) !
élite politique, industriels de la musique,
cerveaux déculturés, tout le monde              Slits, de Patti Smith ou de PJ harvey.
en prend pour son grade ! Beatmaker             Téméraire, personnel et urgent, l’indie
branleur et malin, Andrew claque les            post punk de Mod Con révèle un
instrumentaux avec un détachement               alliage rare de mélodies imparables,
jubilatoire. Avec “ Eton Alive ” (sorti début   de subtilité et de tension rock.
2019) les gredins enfoncent encore              Une bouffée d’intensité !
le clou avec un album au songwriting
original et aux compositions encore                                                                                                    Cellophane suckers
plus denses / dance. Un régal ! “ Sans                                                                                                 a llem agne
aucun doute, absolument, assurément                                                                                                    Too much temptation ! Du classic rock
le meilleur groupe de rock’n’roll du                                                                                                   sous influence Stooges, early Stones ou
monde ” dixit Iggy Pop.                                                                    Cannibale                                   hellacopters ! Déjà plus de vingt ans
                                                                                           fr a nce                                    que les fauves de Cologne jouent avec
                                                                                           Les anthropophages de chez Born Bad         une générosité sans concession un
                                                                                           ont de l’appétit : laissez-vous dévorer     rock garage à l’efficacité redoutable
                                                                                           avec délectation ! Une tribu Cannibale      et au feeling irrésistible. Six albums,
                                                the messthetics                            basée en haute-Normandie aux rituels        des concerts sauvages et explosifs,
                                                Usa                                                                                    les Suckers n’hésitent pas non plus
                                                                                           rythmés par la cumbia colombienne,
                                                Quand on sait que la section               le ska jamaïcain, l’afrobeat nigérian,      à baigner leurs guitares dans des
                                                rythmique de ce nouveau super-             le rock garage. Le quintet ne fait          breuvages psychédéliques, matraquant
                                                groupe expérimental n’est autre que        pas de compromis, pas même avec             et revisitant leurs fondamentaux à
                                                celle qui a sévi pendant 16 ans au sein    l’amour, “ No mercy for love ”... Un        grand renfort de riffs explosifs et de
death valley Girls                              des mythiques Fugazi, on ne peut que       ovni musical qui carbure à la basse et      mélodies soniques. “ one in a zoo ”,
los a ngeles / Usa                              saliver ! Joe Lally (basse) et Brendan     aux percussions. Du garage tropical,        une dernière galette musclée et
                                                Canty (batterie) s’associent avec le       moite et groovy. Du Fela Kuti en virée      tétanisante qui marque une nouvelle
Everybody’s gotta be in a gang..! Un
                                                guitariste virtuose Anthony Pirog pour     avec les Seeds. Des quarantenaires          fois les esprits et les oreilles : ça
sensuel et coléreux gang de filles,
                                                un projet instrumental ambitieux.          aux parcours atypiques, aux cerveaux        claque et ça décape !
originaire de Los Angeles qui aurait
pu ferrailler sur les plus chaudes et           Des compositions denses et libres          joueurs et canailles qui sèment une
sombres scènes rock des 60’s /70’s .            qui allient intensité, engagement          belle zizanie au milieu du blues tribal,
Trois Death Valley Girls (et un garçon)         et liberté. Des textures de guitares       du rock psychédélique et la musique
sapées black (Sabbath) ou l’instinct            blues-free jazz qui copulent avec le       de série B. Une Grande Bouffe !
sauvage de la rue (Street Venom,                post punk et la noise, soit la rencontre
premier album sorti en 2014). Une               de hendrix avec les enfants de Fugazi      buck
puissance et un romantisme noir                 et Shellac. Trois sorciers au groove
dont se nourrit le groupe de Bonnie             unique et à la classe désarmante. Du
Bloomgarden et que l’on retrouve                free rock hors cadre !
(intact) sur “ Darkness Rains ” en 2018.                                                                                               Hudson maker
Du garage rock ténébreux chargé                                                                                                        Bzh / fr a nce
de brûlots stoner, heavy blues et                                                                                                      Deux albums (Crazy Train et hudson
psychédéliques. Une chevauchée                                                                                                         Maker) qui tracent la route chevaux au
de dératés dans la Vallée de la Mort                                                                                                   vent pour le trio rennais ! Un voyage
(Death Valley) sous un fracassant                                                                                                      en pays hillbilly, Western et Rockabilly
tonnerre stoogien. Pas étonnant donc                                                                                                   à bord d’un train filant à toute
de retrouver Iggy Pop (fan déclaré du                                                                                                  vapeur ou au volant d’une hudson
groupe) en guest-star de luxe dans la                                                                                                  car, mythique marque automobile
                                                                                           Bzh / fr a nce
vidéo de “ Disaster ” ! Black wear or                                                                                                  de Detroit. Alban (guitare-chant),
be square !                                                                                Buck is back dans les bacs ! Avec           Tof (contrebasse, Sleeper Bill and &
                                                                                           “Among your fears” (Beast Records),         Mr. Tof, ex-orville Brody) et Francky
                                                                                           album qui tient autant du carton            (batterie) se réapproprient l’esthétique
                                                baby shakes                                d’invitation au plus macabre des bals
                                                ne w Yor k / Usa                                                                       et l’esprit de l’Amérique de Gene
                                                                                           que de la bande-son d’une murder            Vincent, de Carl Perkins, des Stray
                                                Imaginez trois craquantes new-             (Birthday) Party sous Morphine, le duo      Cats ou du King ! Du Rock’n’Roll 50’s.
                                                yorkaises en maillot de bain sixties       revêt ses habits les plus noirs. Sombre     Un répertoire solide, référencé - et
                                                sur la plage de Coney Island par un        et martial, orageux et païen, le boogie     néanmoins original - qui procure une
                                                chaud week-end de juillet ! Inutile        patibulaire et oppressant de Buck           folle envie d’escapades sous le Sun
                                                de prendre le premier vol pour             provoque une fièvre froide, froide          (Studios). King(s) of The Road !
                                                NYC, les Baby Shakes vous donnent          comme la dépouille de Joy Division
draught dodgers                                 rendez-vous à Binic ! Un quatuor           égaré dans le bayou ou sur les rives
austr a lie                                     power punk rock fondé à Big Apple          du Delta. La chevauchée maléfique du
Les quatre australiens de Melbourne             en 2005 (trois albums et des tournées      voodoo gang empreinte aujourd’hui
ne sont pas des visages inconnus                au bout du monde) qui respire le           les chemins de traverse arpentés par
pour les afficionados du Binic Folks            glamour, l’hédonisme et l’insouciance      le Birthday Party ou le Grinderman de
Blues Festival. Au chant, on retrouve           adolescente. Le nouveau son du             Nick Cave, le rockaboogie des Cramps
Diamond Jack Davies qui a déjà foulé            power punk vintage ! Des Ramones à         ou le synth-blues de Suicide. Le duo
les scènes du Festival au sein des              la Motown 60’s, des NY Dolls à Chuck       basse-batterie (Xavier Soulabail /
remuants et déglingos Bitter Sweet              Berry, les Baby Shakes (trois filles,      Clément Palant) s’enivre de claviers et
                                                Mary, Judy, Claudia et un garçon, Ryan)    de sax, les textes et la voix écorchés      slift
Kicks, à la batterie Evan Richards des
                                                se dégustent comme un milk skake           raisonnent sous la lumière d’une lune       toulouse / fr a nce
célestes Burn in hell. Se joignent à
eux le légendaire Tim Rogers (guitare)          sous un “ Summer Sun ” tant attendu:       inquiétante. Un Last Night Boogie           Un nom en référence à un roman
et Mick Sayers (basse). Gang swamp              avec gourmandise et l’envie d’en           ensorcelant !                               d’anticipation d’Alain Damasio et à un
rock garage, Draught Dodgers se                 recommander un autre !                                                                 de ses personnages. Deux frères (Jean
forment en 2016 et les chemises                                                                                                        et Rémi) et un ami batteur (Canek) qui,
en sont encore trempées de sueur.                                                                                                      après différentes expériences punk
rock, découvrent la nouvelle scène            nouvelle galette qui twiste again !
psychédélique et créent Slift. on est         Un orchestre anti-yéyé qui revisite
en 2016. Un assourdissant garage, aux         B.o, classiques cultes ou oubliés des
riffs bruts et répétitifs, en mode spyché     Kinks, Shocking Blue, Chuck Berry ou...
et krautrock. Le trio toulousain ne peut      André Verchuren ! In French dans le
renier l’influence de groupes tels que        texte s’vous plaît ! Un revival classieux,
les oh Sees, King Gizzard ou Can. Un          gorgé de guitare fuzz et d’orgue
outofspace rock empreint de culture           Philicorda, un live au parfum de Simca
                                                             PRESS KIT
et d’esthétique SF. Un premier EP,            Aronde, de jerk et de pop à pois. “ Ne te
“ Space is the key ” (l’espace est la clé),   crispe pas, envoie-moi un sexto ! ”
clin d’œil appuyé au space rock de                                                                                                                                   listener
hawkwind (premier groupe de Lemmy                                                                                                                                    K a nsas cit y / Usa
“ Motorhead ” Kilmister) à l’univers                                                                                     beechwood
visuel et musical fort qui se décline                                                                                    ne w Yor k / Usa                            Attention : grosse claque au
sur “ La planète inexplorée ”, premier                                                                                                                               programme ! Les (rares) chanceux
                                                                                                                         Louches et sapés comme trois petites
album audacieux et accrocheur.                                                                                                                                       qui ont déjà croisé la route de Listener
                                                                                                                         frappes surgies d’un immeuble miteux
Vers l’infini et au-delà !                                                                                                                                           ne tarissent pas d’éloges à propos du
                                                                                                                         du New York 70s, les trois Beechwood
                                                                                                                                                                     trio mené par l’inclassable Dan Smith.
                                                                                                                         freaks intriguent et provoquent
                                                                                                                                                                     Une intensité musicale et poétique qui
                                                                                                                         le regard. Noirceur et inquiétude
                                                                                                                                                                     subjugue aux premiers instants ! Bercé
                                                                                                                         velvetienne au rendez-vous mais
                                                                                                                                                                     par le rap underground, le moustachu
                                                                                                                         surtout le goût pour les mélodies pop
                                                                                                                                                                     s’ouvre rapidement au rock, ses vers se
                                                                                                                         sixties du plus bel acabit. Comme si
                                                       Photo by Renaud Monfourny - Les Inrocks                                                                       confrontant à de nouveaux horizons
                                                                                                                         les bas-fonds enfumés se gorgeaient
                                              the schizophonics                                                                                                      musicaux. Une voix puissante aux
                                                        HOT PANTS Touring – 32 rue des Pommiers 93500 PANTIN - France
                                                       contact@hotpants-productions.com / www.hotpants-productions.com   de lumière psychédélique. Premier
                                              sa n Dieg o / Usa
                                                                       SIREN : 824 305 973 / APE: 9001Z
                                                                                                                                                                     accents spoken word, des textes mi-
                                                                                                                         véritable album, “ The Land of the nod ”
                                                                        licences: 2-1099570 – 3-1099571

                                                                                                                                                                     chantés, mi-déclamés. Avec
                                              D’un port à un autre. De San Diego à                                       oscille entre le noir décadent et le
                                                                                                                                                                     “ Being Empty : Being Filled ” (2018),
                                              Binic. Les Schizophonics débarquent                                        blanc rédempteur. Entre violence et
                                                                                                                                                                     alchimie musclée et subtile entre
                                              avec leur baluchon chargé de fuzz                                          onirisme. Un trio (Gordon Lawrence,
kepa                                                                                                                                                                 textes poétiques et son post-hardcore,
                                              rock. Le duo californien (Pat et Lety                                      chant-guitare, Isa Tineo, chant-batterie
fr a nce                                                                                                                                                             Listener se propulse sur une orbite
                                              Beers, guitare-chant et batterie)                                          et Sid Simmons, basse) qui arpenterait
                                                                                                                                                                     atypique. Guitare et batterie
Le skateboard, une première passion           souquent les bouts (voir le dico                                           les trottoirs souillés de Big Apple en
                                                                                                                                                                     bouillonnantes, trompettes et scansion
qui conduit le jeune bayonnais de             du Matelot) et on kiffe les riffs de                                       compagnie de Syd Barrett, Iggy et
                                                                                                                                                                     fiévreuses : Listener saisit par les tripes
28 ans à parcourir la planète pendant         l’esquif ! Du garage stoogien. De                                          Tom Verlaine. Définitivement chics
                                                                                                                                                                     et on ne s’en remet pas !
des années en tant que professionnel.         l’énergie branchée sur le MC5(000)                                         les freaks.
Une mauvaise chute, une carrière              volts. Show explosif, sexy et ravageur,
interrompue et Kepa (Bastien                  les Schizophonics retournent. Chant
Duverdier) se raccroche à sa deuxième         affolant, contorsions et danse de
passion : la musique. Et le besoin de         Saint-Guy : Pat Beers ne lésine pas,
s’immerger dans le grand bain originel,       il transforme chaque riff en sueur
les fondamentaux du blues made in             brûlante. Avec “ ooga Booga ”,
USA. one-man band, enchaînant les             les californiens transcendent les
concerts, il bourlingue à nouveau             références, de hendrix aux Sonics, de
aux quatre coins de la planète et             Little Richard à James Brown. Un shoot
enregistre un premier album “ Doctor,         de psychédélisme et de heavy rock.
Do Something ” avec Taylor Kirk               Kick out The Jams Schizof.....s !
(Timber Timbre). Guitare Dobro,
                                                                                                                         Jet Reactions                               Go!Zilla
harmonica, stomp box et poèmes de                                                                                                                                    ita lie
                                                                                                                         fr a nce
William Burroughs comme paquetage,
                                                                                                                                                                     Les sympathiques et truculents
Kepa se révèle bluffant de sensibilité                                                                                   Après vingt ans de bons et loyaux
                                                                                                                                                                     italiens sont de retour à Binic avec
et de sincérité. Un parcours et un                                                                                       services (500 concerts, 3 albums studio
                                                                                                                                                                     “ Modern Jungle’s Prisoners ”, album
talent aussi rares que brillants.                                                                                        et un live) les garage punk-rockers
                                                                                                                                                                     surprenant et ambitieux, album de
                                                                                                                         Flying over raccrochent en 2015.
                                                                                                                                                                     l’affranchissement. Toujours garage
                                                                                                                         Deux ans plus tard Jet Boy et Jet
                                                                                                                                                                     et psychédéliques, les cinq florentins
                                                                                                                         Girl relancent la mécanique avec
                                                                                                                                                                     ne se reposent pas sur leurs lauriers
                                                                                                                         Jet Reactions et retrouvent Jet X
                                                                                                                                                                     (césariens) et enrichissent leurs
                                                                                                                         (basse, hero-X, Jakes, Complications),
                                                                                                                                                                     influences. De nouvelles compositions
                                                                                                                         Jet Beeps (guitare, ex TV Killers) et
                                              Henry’s funeral shoe                                                                                                   à la colère retenue, alternant entre
                                                                                                                         un nouveau batteur, Jet Gardener
                                              Wa les                                                                                                                 transe électrique psyché, explosions
                                                                                                                         (Darlings, Videodrome). Les saignants
                                                                                                                                                                     soniques, boucles synthétiques
                                              Le duo gallois (les frères Aled et                                         bordelais renouent avec leur st
                                                                                                                                                                     entêtantes et mélodies aussi riches
                                              Brennig Clifford) revient à Binic après                                    originel et reprennent le chemin
                                                                                                                                                                     qu’énervées. Chercheur et malin,
                                              avoir déjà marqué le festival avec des                                     du studio. L’envie et l’énergie
                                                                                                                                                                     Luca Landi (chant-guitare) met du
                                              performances scéniques à l’énergie                                         sont intactes, la fièvre n’est pas
burn in Hell                                                                                                                                                         oh Sees et du Pixies dans sa riche
                                              bombesque. Bercés par les disques                                          redescendue. Leur garage punk
Melbour ne / austr a lie                                                                                                                                             pasta, de la dissonance et des claviers
                                              d’un père initiateur, les deux frères                                      turbine, gavé de frustration, furieux
                                                                                                                                                                     dans son garage pour un résultat
Compagnons historiques du festival,           ont été à la bonne école : The Who,                                        comme jamais !
                                                                                                                                                                     d’une cohérence remarquablement
les australiens ( Glenn Burns, chant-         Thin Lizzy, The Clash, Van Morrison,                                                                                   déconcertante. Go!Zilla ou la furie
guitare, Gary hallenan, claviers, et          The Beatles ! Du classic blues rock                                                                                    maîtrisée !
Evan Richards, batterie) sont de retour       authentique qui les a conduits à
sur leur terre d’adoption. Après une          rejoindre l’affiche de festivals aux
“ hibernation ” (dixit Glenn B.) ponctuée     côtés de Lynyrd Skynyrd, des White
de différents projets et collaborations       Stripes ou des légendaires Sonics.
parallèles, le swamp cabaret rock des         Un enchantement de pop rock toute
punks célestes va raisonner à nouveau         britannique enrobée de heavy blues
de toute sa folle poésie baroque.             psychédélique et de soul US.
Compositions frénétiques et enivrées,         Á en perdre la tête... et les jambes !
swing bringuebalant, piano et guitares
en vrille, chant rocailleux, les trois
punks Tom Waitsiens n’ont rien perdu
de leur curieuse originalité. En mode                                                                                    moody beaches
                                                                                                                         Melbour ne / austr a lie
super-groupe, ils offriront à Binic leur                                                                                                                             the buxom blade
nouvel album à sortir avant l’été chez                                                                                   Binic. Été 2015. Les chaleureux et          fr a nce
Beast Records. Un album “ dément ”                                                                                       bondissants soul surf rockers de La         Les quatre Bluxom Blade incarnent
(in hell) au ton durci et aux guitares                                                                                   Bastard débarquent et enflamment            à eux seuls tout l’esprit du pub rock
qui rétament. Sail on Pirates !                                                                                          les scènes du festival, drivés par          anglais biberonné aux Buzzcocks et
                                                                                                                         Anna Lienhop, frontwoman explosive          compères. Le pub qui sent la bière et
                                                                                                                         et charismatique. Avec les Moody            le rock’n’roll, les soirées (dé)zinguées
                                                                                                                         Beaches, Miss Anna saisit sa guitare et     et les petits matins embrumés. Des
                                              M ister A irplAne M An                                                     retrouve Julia Watt, batteuse énervée       soutiers, des damnés qui ne transigent
                                              Boston / Usa                                                               au sein de La Bastard auxquelles se         jamais. Générosité et sincérité comme
                                                                                                                         joint Jessie Dennis (basse). Les trois      étendard. Et un premier album
                                              Blue as I can be ! Des bancs de
                                                                                                                         pétroleuses rallument la mèche avec         éponyme sorti chez Beast Records qui
                                              l’Université à leur premier album
                                                                                                                         un nouveau projet post-grunge/post-         témoigne de cette exigence. D’abord
                                              sorti en 2001, de Boston à Memphis
                                                                                                                         punk, aux riffs musclés et à la voix        projet solo de Ben Borneo (chant-
                                              où les deux inséparables travaillent
                                                                                                                         urgente. Après une collaboration avec       guitare, ex-Silver Moon, ex-Mexibones),
                                              avec Greg “ oblivian ” Cartwright,
                                                                                                                         Bench Press (révèlation de l’édition        le groupe prend finalement forme à
                                              Margaret Garrett (chant-guitare) et
                                                                                                                         2018), “ Weird friends ” (étranges amis),   quatre avec l’arrivée de Blutch (Strong
les kitschenette’s                            Tara McManus (batterie-claviers)
                                                                                                                         sort en 2018 et nous rappelle au            Come ons) et de la section rythmique
sa int-M a lo / Bzh                           entretiennent une flamme intacte
                                                                                                                         meilleur des girls bands 90’s : Breeders,   actuelle composée de Jeff (Ex-heavy
                                              pour le blues rock séminal de howlin’
Le troisième volet de la “ Trilogie                                                                                      L7. Batterie, basse et guitare tendues,     Barry Jeff) à la batterie et de Chacha
                                              Wolf (auquel leur nom fait référence)
frenchie ” des décalés malouins                                                                                          voix revendicatrice et puissante,           (Boogers) à la basse. Quatre briscards
                                              ou pour celui de ses héritiers les plus
confirme que le sextet n’a pas                                                                                           les Moody Beaches se révèlent               à l’âme rock authentique, quatre
                                              brillants : Jeffrey Lee Pierce (The
abandonné son humour et son savoir-                                                                                      aussi inquiétantes que captivantes.         puristes qui donnent sans reprendre !
                                              Gun Club), Jon Spencer, The Gories,
faire aux puissances maléfiques de                                                                                       Welcome back girlzzz !
                                              Morphine. Du blues rock s’écharpant
la culture digitale. La Demoiselle et
                                              avec le punk : un son brut, une attitude
ses cinq Messieurs poursuivent leur
                                              moderne et glam. Shake it, shake it
exploration malicieuse du monde
                                              babies !
des sixties et des yéyés avec une
"...deliriously unhinged rock n roll that has been flooring Adelaide audiences... It
   seems counter-intuitive to say a band is “perfecting” a sound so loose and visceral,
        but by the beard of Zeus they ’re really nailing it..." - Walter Marsh RIPitUP

st morris sinners
  St. Morris Sinners formed in late 2011. They soon made a name for themselves around       Handsome Jack                                                                            knuckle Head
aAdelaide
  del        a ide / austr a lie
          as an exciting live band, drawing influence from artists such as: Nick Cave,
  Jonathan Richman and The Triffids (Just to name a few.) - They have blended a cocktail
                                                                                            ne w Yor k / Usa                             Grindhouse                                  a lsace / fr a nce
Depuis 2011, les St Morris Sinners
  of musical genres into their own style of dirty alternative rock.
                                                                                            Quel meilleur breuvage que celui que         Melbour ne / austr a lie                    Un duo en liberté, une ruée vers
dispensent un dirty blues punk
                                                                                            l’on goûte au pied du tonneau ?                                                          le fuzz, vers un ouest américain
touchant et écorché. Des histoires
                                                                                            Le trio de Lockport (NY) ne tourne pas
                                                                                                                                         Avec Grindhouse (le moulin),                  BIOGRAPHIE
                                                                                                                                                                                     fantasmé. Un Eldorado blues rock
d’amour perdu, de mort et                                                                                                                attendez-vous à vous faire moudre                  Des confins de l’Amérique aride des déserts de l’ouest et des marécages pois-
                                                                                            autour de la chope mais l’empoigne           menu menu ! Qu’on se le dise, les           et dark country. Deux fuzz cowboys
                                                                                                                                                                                      seux du Mississippi naissent des musiques qui racontent des histoires de voyages,

d’addictions incarnées par Stephen                                                                                                                                                    de chaleur et de tempêtes. A la fois rock, blues et country le duo Knuckle Head

                                                                                            fermement. Les chevelus que l’on                                                         (Jack Escobar & Jock Alva) qui sentent
                                                                                                                                                                                      porté par Jack et Jock assume et revendique haut et fort ses influences «made in

“ Slippery ” Johnson, chanteur inspiré                                                                                                   Australiens de Melbourne ne font             US». Point de groupe ou de chanteur adulé cité en référence, ici on parle plutôt de
                                                                                                                                                                                      virée en bécane et de soif sans limite de liberté et de bourbon. Ça cogne, c’est roots

                                                                                            croirait débarqués d’un road movie           pas le déplacement pour broder              l’essence et la poussière. Un chanteur
                                                                                                                                                                                      et sexy à souhait, totalement irrévérencieux et sacrément classieux. A découvrir de

par la lumière du désespoir et                                                                                                                                                        toute urgence.
                                                                                                                                                                                                                                                                    Live! Colmar

                                                                                            woodstockien se régalent (et                 les napperons de mamie. Lourd,              guitariste (Jack) aux racines country
l’absurdité du monde. Des textes
                                                                                            régalent) avec le meilleur du swamp          ironique et déménageur, excessif            et blues qui se gave de stoner, de
profonds, un chant habité, une guitare
                                                                                            blues et du boogie rock américain.           et provo, le groupe de Mick ”Two            psychedelic et de desert rock, de
et une basse incandescentes (Django
                                                                                            Bien sûr, on pense immédiatement             Fingers ” Simpson renverse les tables       doom et de sludge metal. Un batteur
Martin-Rowe et George Thalassoudis),
                                                                                            au monument Creedence Clearwater             et les conventions avec un garage           (et guitariste), Jock, inconditionnel
une batterie maîtresse (Angus Mason) :
                                                                                            Revival grande époque, au rock               proto punk détraqué. Concerts               dévoreur de hard rock, de rock
les St Morris Sinners s’inscrivent dans
                                                                                            sudiste de Lynryd Skynyrd, au                maboules, exubérance potache,               sudiste et de hip hop alternatif. Duo
la digne lignée des glorieux Nick
                                                                                            psychédélique Grateful Dead, mais            imagerie vintage (“ Can I drive your        bouillonnant et sexy, roots et dirty,
Cave, Beast of Bourbon ou Gun Club.
                                                                                            peut-on leur en faire le reproche ?          Commodore ? ”, un troisième album           Knuckle head engloutit les kilomètres
Des morceaux qui prennent vie dans
                                                                                            Certainement pas. Bien au contraire.         sorti en 2018, tribute à la holden          et les concerts comme un gang de
un rugissement de frustrations et sous
                                                                                            “ Everything’s Gonna Be Alright ” (tout      Commodore, célèbre modèle de                outlaws en cavale sous un soleil de
les traits d’un Stephen Johnson exalté,
                                                                                            ira bien), sorti chez Alive Records          voiture de sport Australienne) et           plomb. Une alchimie explosive de
au charme diaboliquement pervers.
                                                                                            dégage une telle chaleur, une telle          nostalgie revendiquée de la culture         blues graisseux et de heavy rock,
                                                                                            envie de regoûter à ces harmonies            populaire de l’Australie 80’s/ 90’s : les   de slides et de riffs rugueux. Bikes,
                                                                                            classieuses, à ces guitares luxuriantes      quatre Grindhouse roulent pied au           Bourbon and Gazoline !
                                                                                            que l’on ne peut dire que “Merci !” et       plancher sur des chemins défoncés
                                                                                            “Encore !”.                                  par les Cosmic Psychos ou autres
                                                                                                                                         Supersuckers. Just a Rock’n’Roll band !

steal shit do drugs
se attle / Usa

Un nom absurde et une classe terrible.
Difficile de ne pas succomber, de ne                                                                                                                                                 shifting sands
pas devenir accro à cette came-là.                                                                                                                                                   Br isba ne / austr a lie
Fidèle à sa réputation maintes fois                                                         the kill devil Hills                         Cannon fodder
vérifiée de place forte de l’indie rock                                                                                                                                              2017 : les deux frères Corbett (Geoff
                                                                                            fr em a ntle / austr a lie                   le M a ns / fr a nce
américain, Seattle ne nous déçoit                                                                                                                                                    et Ben) mettent K.o le public du
pas avec S.S.D.D. Bien plus encore,                                                         “ Drinking Too Much ” : le morceau           on connaît Chris Martini, fougueux          Binic Folks Blues Festival. Du sang
le groupe du flamboyant frontman                                                            culte de heaten Songs ( 2004)                guitariste des non moins tempétueux         et des larmes. De la fureur et de
Kennedy Carda s’arroge la place                                                             repris par le Loup-garou James Leg           head on. Avec Cannon Fodder, Mr.            la sensibilité à fleur de peau. Trois
d’enfant terrible préféré. Un enfant                                                        résonne encore dans les oreilles des         Chris (guitare, claviers) s’entoure de      univers, trois projets (SixFthick, Gentle
turbulent à l’ADN dandy punk, un                                                            festivaliers de Binic. Un morceau-           Miss Alice Martini (basse, chœurs)          Ben & his Sensitive Side, Shifting
garnement effronté, moderne et                                                              hymne qui balise de main de maître le        et de Nico Wireman (batterie,               Sands) poignants d’authenticité et
racé. Un quintette passé sur les bancs                                                      territoire des Kill Devil hills. Après 15    chœurs) pour ce projet swamp rock           de sincérité. 2019 : Geoff Corbett,
des meilleures écoles du garage,                                                            ans d’activité - d’activisme – le sextet     turbocompressé. Du swamp rock               l’attachant Loup de mer à la voix
du post-punk et la no-wave US :                                                             Australien sort en 2018 son cinquième        Australien griffé Spencer P. Jones          écorchée fait une nouvelle escale à
The Intelligence, Coconut Cooluts,                                                          album (Pink Fit). Le groupe de               et Beast of Bourbon, du blues rock          Binic. Mélancolique et tourmenté, le
Monogamy Party ou The Dutchess and                                                          Brendon humphries réunit la crème            irrigué par le Memphis de Greg              beautiful loser de Macleay Island nous
The Duke. Intelligemment chaotique,                                                         des musiciens de l’ouest-australien          “ oblivian ” Cartwright. Un V12 made        enfoncera avec délectation dans ses
batailleur et nihiliste, Steal Shit Do                                                      (dont les membres des Floors) et             in Le Mans Motor City qui colle les         sables mouvants (Shifting Sands) et
Drugs flirte avec The Fall et Pere Ubu                                                      confirme toute la classe qu’on lui           passagers au siège baquet, une              son folk blues gainsbouro-rimbaldien.
dans une post-punk party à ne louper                                                        connaît. Du blues rock rugissant, libre      mécanique puissante et nerveuse             Chœurs et claviers aériens, guitares
sous aucun prétexte !                                                                       et poétique. Un songwriting de haute         estampillée Beast Records, l’écurie         acoustiques et poésie à la gueule de
                                                                                            volée, mélancolique et lumineux qui          Rennaise qui accueille le premier           bois, les Shifting Sands de Captain
                                                                                            secoue les tripes. C’est aux côtés des       album du trio. only the best on Beast !     Geoff atterrissent en équilibre
                                                                                            plus grands, Nick Cave, Kim Salmon,                                                      délicieusement précaire avec “ Crystal
                                                                                            The Drones, Gallon Drunk que se                                                          Cuts ”, sublime et précieux nouvel
                                                                                            classent les K.D.h. Never rockin’ too                                                    album. A New Burning Flame.
                                                                                            much !

Red
fr a nce
                                                                                                                                         Prettiest eyes
Regard malicieux derrière ses fines
                                                                                                                                         los a ngeles / Usa
lunettes, casquette de skater vissée
à la cool, courte barbe rousse, voix                                                                                                     C’est sur le fameux et désormais
                                                                                                                                                                                     saba lou
suavement éraillée, RED (olivier                                                                                                         incontournable label californien
                                                                                            Cathedrale                                                                               Ber lin / a llem agne
Lambin) tient à la fois du hobo                                                                                                          Castle Face (John Dwyer - le boss-
                                                                                            toulouse / fr a nce
kerouacquien et bourlingueur                                                                                                             oh Sees, Ty Segall, King Gizzard,           Bon sang ne saurait mentir ! Une voie
que du kid lunaire et espiègle.                                                             Quel meilleur endroit qu’une                 Kelley Stoltz...) que le trio angelino      royale, celle du grand King Khan, le
À bientôt cinquante ans, le talentueux                                                      Cathedrale pour faire résonner les           sort Pools (2018), sauvage et               roi de la soul garage psychédélique.
musicien semble hors du temps.                                                              guitares et le garage pop punk ? Peu         surprenant deuxième album. Basse,           Une jeune fille de 19 ans bercée au
Il y a déjà 18 ans, sortait Felk,                                                           importe le flacon, pourvu qu’on ait          batterie-chant, claviers et effets          son des disques d’un papa qui l’initie
merveille de folk et d’électronica.                                                         - à défaut de Foi - l’ivresse : les quatre   électroniques perturbés : Prettiest         aux mets les plus goûtus : Ramones et
Le folk freak revient aujourd’hui                                                           inclassables Toulousains brouillent          Eyes élargit encore davantage le            Sun Ra, Stooges, Buddy holly et Sam
avec Felk Moon : même minimalisme                                                           les pistes et réussissent à faire            spectre de sa bizarrerie. Du synth-         Cooke, early rock’n’roll, punk et funk
intimiste et crépusculaire, même                                                            cohabiter pop anglaise, post-punk            punk aliéné pour fans de Suicide            70’s, doo-wop, country and calipso.
onirisme mélancolique, mêmes                                                                et rock garage US, Kinks, Stooges,           ou des Screamers, du rock garage            Après un premier enregistrement dès
chemins de traverse. Un disque                                                              Devo, Beatles et oh Sees ! Les quatre        au groove ravageur, de la noise             ses six ans puis un second deux ans
précieux et unique (comme chacune                                                           apprentis démons avouent avoir               psychédélique futuriste, un chant           plus tard, la délicieuse Saba Lou sort
des pochettes qu’il dessine lui-même),                                                      vendu leur âme au diable pour faire          intoxiqué : les trois latinos de L.A.       son premier album “ Planet Enigma ”
une pépite qui invite à ralentir le                                                         du rock, mais leur liturgie païenne          démantibulent les chapelles du rock         à 15 ans ! Une luxuriante planète
temps, à se déconnecter d’un monde                                                          ralliera fervents fidèles et ouailles        orthodoxe avec un rare culot. Brutal,       teintée de soul, de folk et de rock
qui va trop vite.                                                                           égarées pour une Messe iconoclaste           dangereux, chargé d’électricité,            60’s, aux mélodies et aux lignes de
                                                                                            et provocatrice. Un Total Rift, un           l’explosif arsenal Prettiest Eyes           guitare chaudes, aux textes classieux
                                                                                            premier album sorti en 2017 qui ne           embrase les scènes en défiant les           et introspectifs. Une planète voisine
                                                                                            sacrifie rien sur l’Autel de la Raison.      convenances. Alright, I’m ready to go !     de celle de Cat Power, à l’atmosphère
                                                                                            Une expérience ardente !                                                                 stimulante et libérée. Viva la reine de
                                                                                                                                                                                     Saba (Lou) !
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                                         Association La Nef-D-Fous
                                Mairie de Binic - 2 quai de Courcy - 22520 Binic
                                            lanefdfous@gmail.com

                                         Attachée Presse Nef D Fous
                                                 Gilou Le Gruiec
                                              +33 (0)6 81 98 86 76
                                           giloulegruiec@gmail.com

                                         Attachée Presse nationale
                                               Dali Zourabichvili
                                             +33 (0)6 66 47 00 99
                                        dali@totalblamblampromo.com

                     | www.biniC -folks- blues-festival.Com |

artwork Arrache Toi Un oeil / maquette Aline Demail / textes Sylvain Bidoire (édito) - Mickael Le Bourhis (groupes)
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