FRANCE LE DS DESIGN STUDIO PARIS DÉVOILE SES SECRETS AU DS WORLD PARIS - CCFA

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ANALYSE DE PRESSE DE 14H00 21/03/2019

FRANCE

LE DS DESIGN STUDIO PARIS DÉVOILE SES SECRETS AU DS WORLD
PARIS
Pour la première fois, le DS Design Studio Paris quitte son atelier pour s’installer sur les trois
niveaux du DS World Paris, situé au 33 rue François 1er à Paris, afin de présenter ses œuvres et
d’échanger avec les visiteurs. Les femmes et les hommes du style de DS Automobiles, sous la
direction du directeur du style Thierry Metroz, dévoilent des projets inédits et partagent leurs secrets
dans le cadre d’une exposition inédite baptisée « Confidence, l’esthétique des sens ».

A l’occasion de cette résidence artistique, les travaux de la soixantaine de personnes qui
composent le DS Design Studio Paris sont présentés à travers les différentes équipes des styles
extérieur, intérieur, ProLab, VLab, des modeleurs, de l’atelier Couleurs et Matières, des selliers, etc.
Source : COMMUNIQUE DE PRESSE DS (19/3/19)

Par Alexandra Frutos

RENAULT-NISSAN-MITSUBISHI PRÉSENTE SON CLOUD MONDIAL
Fruit de la collaboration entre Renault-Nissan-Mitsubishi et Microsoft, l’Alliance Intelligent Cloud,
présenté le 20 mars, est la plateforme digitale qui doit équiper les futures productions du groupe
franco-japonais dès la fin de l’année en cours, à commencer par la Renault Clio V et la Nissan Leaf.
Ce projet ambitieux a été concrétisé par l’utilisation de Microsoft Azure, grâce à un partenariat
global signé entre RNM et le géant de l’informatique américain.

Concrètement, l’Alliance Intelligent Cloud va donner aux trois constructeurs la possibilité de délivrer
des services connectés sur la quasi-totalité des 200 marchés couverts par les membres de
l’Alliance, dont l’Europe et le Japon, dans un tout premier temps. Pour ce faire, la plateforme
mondiale a été conçue pour être capable de collecter, de gérer et d’analyser un large volume de
données générées par les véhicules connectés pour fournir des services intelligents. Elle est
d’ailleurs présentée comme « la plus puissante et la plus étendue au monde », par Kal Mos,
directeur véhicules connectés de l’Alliance.

Les véhicules utilisant l’Alliance Intelligent Cloud disposeront d’un accès continu à l’Internet. Cela
permettra de bénéficier de diagnostics détaillés à distance, d’un déploiement de logiciels, de mises
à jour du système informatique, mais aussi de services d’info-divertissement. A l’avenir, l’Alliance
Intelligent Cloud sera capable de connecter les véhicules de l’Alliance à une infrastructure de villes
intelligentes et à des partenaires potentiels, ont fait savoir les constructeurs.
Source : JOURNALAUTO.COM (20/3/19)

Par Alexandra Frutos

DACIA DÉVOILE LES TARIFS DE LA SÉRIE LIMITÉE TECHROAD
Dacia dévoile les prix de la série limitée Techroad, présentée au Salon de l’Automobile de Genève.
Les tarifs s’échelonnent de 18 900 euros (TCe 130 4X2à à 21 750 euros (Blue dCi 115 4X4) sur le
Duster, de 13 130 euros (TCe 90) à 15 030 euros (Blue dCi 95) sur la Sandero, de 14 010 euros
(TCe 90) à 15 910 euros (Blue dCi 95) sur le Logan MCV, de 15 650 euros (TCe 130 ; 5 places) à
18 100 euros (Blue dCi 115 ; 7 places) sur le Lodgy et de 15 450 euros (TCe 130) à 16 900 euros
(Blue dCi 95) sur le Dokker.
Source : AUTOPLUS.FR (21/3/19)

Par Alexandra Frutos

ENGIE TESTE LE VÉHICULE DE LOISIR À HYDROGÈNE NEXO
Hyundai a livré le 19 mars en France son premier exemplaire du véhicule à hydrogène Nexo. Celui-
ci a rejoint la flotte de l’énergéticien Engie Cofely, qui en a commandé trois au total. Ces véhicules
compléteront son parc de 50 Renault Kangoo Z.E. H2 déployé en Ile-de-France en 2017.

Le Nexo est commercialisé depuis le dernier Mondial de l’Automobile de Paris et Hyundai a déjà
enregistré une dizaine de commandes. Il succède à l’ix35 Fuel Cell, modèle écoulé à une centaine
d’exemplaires en France.
Source : FLOTAUTO.COM (19/3/19)

Par Alexandra Frutos

ARRÊTER LES VÉHICULES À THERMIQUE COÛTERA UNE FORTUNE
Un rapport présenté le 20 mars par l’Office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et
technologiques (Opecst) dresse « les scénarios technologiques permettant d’atteindre l’objectif d’un
arrêt de la commercialisation des véhicules thermiques en 2040 ». Présidé par le sénateur de la
Meuse Gérard Longuet et le député de l’Essonne Cédric Villani, l’Opecst avait été saisi, en juillet
2018, conjointement par la commission du développement durable et de l’aménagement du
territoire et la commission des affaires économiques de l’Assemblée nationale afin de faire des
propositions avant l’examen du projet de loi d’orientation sur les mobilités. Les rapporteurs,
Huguette Tiegna et Stéphane Piednoir, se montrent « globalement confiants dans la capacité de
l’industrie et de la recherche française à tirer parti des transformations en cours dans l’industrie
automobile ». Néanmoins, ils considèrent qu’il convient de ne « pas sous-estimer les risques
associés à un tel bouleversement ».

Les enjeux sont considérables. La filière automobile représente 16 % du chiffre d’affaires de
l’industrie manufacturière française, avec plus de 4 000 entreprises industrielles et 440 000 salariés,
ainsi que près de 130 000 sociétés de service employant 480 000 salariés.

Les rapporteurs de l’Opecst ont, notamment, fait appel à l’expertise du Commissariat à l’énergie
atomique et aux énergies alternatives (CEA) et de l’IFP Energies nouvelles afin d’élaborer plusieurs
scénarios et en tirer des recommandations. Les trois scénarios envisagés (« médian », « pro-
batterie » et « pro-hydrogène ») tablent sur des progrès importants en R&D et sur une baisse
significative du prix des batteries au lithium et des piles à combustible à hydrogène pour tendre vers
la « disparition totale des véhicules thermiques non hybrides en 2040 ».

Le scénario « pro-hydrogène » montre que cette technologie pourrait jouer un « rôle important » si
des progrès techniques beaucoup plus rapides que prévus permettent une baisse accélérée des
prix. Mais les rapporteurs se gardent bien de prendre partie pour une technologie plutôt qu’une
autre et réaffirment le principe de « neutralité technologique », garant de la liberté des industriels.

Quel que soit le scénario retenu, les émissions de CO2 devraient être divisées par cinq entre
aujourd’hui et 2040 pour atteindre la neutralité carbone en 2050. Mais les coûts associés à cette
transition seront « très élevés », prévient l’Opecst. Le rapport évoque le chiffre astronomique de
500 milliards d’euros. L’impact le plus important pour les finances publiques est lié à la disparition
progressive de la TICPE (taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques), qui
devrait représenter 37,7 milliards d’euros en 2019.

Les coûts liés à la mise en place des infrastructures (bornes de recharge et stations à hydrogène)
sont évalués, selon les scénarios, entre 30,7 et 108 milliards d’euros. Le rapport estime que 65 %
des logements pourraient, à terme, être équipé d’un point de recharge et préconise de rendre
obligatoire l’installation d’au moins un point de recharge dans les stations-service et sur tout parking
de supermarché de plus de 50 places.

Tant que les prix des véhicules à faibles émissions n’auront pas baissé, l’Opecst encourage par
ailleurs le gouvernement à consolider et à compléter les aides existantes. Ainsi, pour l’achat d’un
modèle électrique, le bonus écologique doit être maintenu à 6 000 euros jusqu’en 2030 avant de
passer à 3 000 euros. Il est fixé et maintenu à 10 000 euros jusqu’en 2040 pour les véhicules à
hydrogène. Le rapport propose également une prime de conversion exceptionnelle pour renouveler
le parc automobile le plus ancien et donc le plus polluant (normes Euro-1 à Euro-4).

Afin de soutenir la création d’une industrie européenne des batteries, l’Opecst préconise enfin
d’instaurer des critères de qualité environnementale pour limiter leur empreinte carbone lors de la
fabrication, en termes de performance de recyclage ou d’approvisionnement responsable en
matières premières.
Source : MONDE (21/3/19)

Par Alexandra Frutos

PRÈS DE 31 000 PERSONNES VICTIMES DE CONDUCTEURS NON
ASSURÉS EN 2018
D’après un rapport publié le 20 mars par le FGAO (Fonds de garantie des assurances obligatoires
de dommages), près de 31 000 personnes ont été victimes de conducteurs non couverts par les
assurances en 2018, un chiffre en augmentation de 12 % depuis 2013 pour l’ensemble des
accidents. Dans le détail, sur les 30 873 victimes de la circulation automobile prises en charge par
le FGAO, 25 973 ont été victimes de conducteurs non assurés, 3 772 de conducteurs non identifiés
et 1 128 de conducteurs non garantis, c’est-à-dire dont l’assureur a contesté la couverture, comme
par exemple en cas de fausse déclaration.

Le FGAO sert à indemniser ces victimes d’accidents causés par des conducteurs sans assurance.
Ses fonds proviennent d’une contribution prélevée sur chaque contrat d’assurance automobile. 69
% des victimes ont subi un dégât matériel, tandis que 31 % d’entre elles ont été des victimes
corporelles : 9 518 personnes ont été blessées et 109 sont mortes. Ces dernières victimes
corporelles ont perçu 100 millions d’euros sur les 119 millions d’indemnisations versées au total l’an
passé, un montant global en progression de 32 % depuis 2013, essentiellement dû à la hausse des
indemnités versées en dommages corporels.

Plus de 80 % des accidents impliquant des conducteurs non assurés sont survenus sur des routes
communales et départementales, précise le FGAO. Concernant le profil des auteurs de ces
accidents, 76 % étaient des hommes et plus de 46 % étaient âgés de moins de 30 ans. Par ailleurs,
26 % de ces auteurs non assurés n’avaient pas de permis de conduire valide. A noter aussi que 18
% de ces auteurs ont contrôlés positifs au test d’alcoolémie au moment de l’accident, tandis que les
délits de fuite sont en forte progression.

D’après l’Onisr (Observatoire national interministériel de la sécurité routière), cité par le FGAO, 800
000 conducteurs roulaient sans assurance en 2017.
Source : AM-TODAY.COM (20/3/19)

Par Alexandra Frutos

ALLEMAGNE

BMW TABLE SUR UNE LÉGÈRE HAUSSE DE SES VENTES MAIS SUR
UN NET RECUL DE SON BÉNÉFICE AVANT IMPÔTS
A l’occasion de sa conférence de presse annuelle, le groupe BMW a publié son rapport annuel.

Le constructeur a notamment annoncé qu’il tablait sur une légère hausse des ventes de ses
marques BMW et Mini et sur une marge opérationnelle comprise entre 6 et 8 %.

En revanche, le groupe devrait subir un “net recul” (soit au moins 10 % de baisse) de son bénéfice
avant impôts en 2019, après une diminution de 8,1 % en 2018. Les investissements dans
l’électromobilité, les effets de change négatifs et la hausse attendue des matières premières
devraient en effet peser sur le résultat de cette année. A cela s’ajoutent des charges
exceptionnelles pour atteindre les objectifs européens de réduction des émissions de CO2

Le groupe allemand a donc indiqué dans un communiqué qu’il allait lancer un programme de
réduction des coûts portant sur 12 milliards d’euros d’économies d’ici à 2022.

Source : AFP, XINHUA NEWS, JOURNALAUTO.COM AUTOMOTIVE NEWS EUROPE,
AUTOMOBILWOCHE (20/3/19)

Par Cindy Lavrut

UN ACCORD A ÉTÉ TROUVÉ POUR LE TRANSFERT DE 2 000
SALARIÉS D’OPEL CHEZ SEGULA
Un accord a été trouvé avec les représentants du personnel d’Opel pour le transfert de 2 000
salariés de la marque à l’éclair chez Segula. En effet, 2 000 des 7 000 ingénieurs du centre de
Rüsselsheim doivent être transférés chez le Français.
Après des mois de conflit, Opel a donc trouvé un accord avec comité d’entreprise en vue de réduire
les effectifs de son centre de recherche et de développement de Rüsselsheim.

La volonté de transférer une partie des ingénieurs du centre de Rüsselsheim d’Opel à Segula
avait été annoncé par le Groupe PSA en novembre dernier.

Segula a d’ailleurs indiqué vouloir créer un centre de design à Rüsselsheim, avec les salariés
d’Opel qu’il aura récupéré.

Aux termes de l’accord conclu mercredi avec le comité d’entreprise, les ingénieurs du centre de
R&D d’Opel à Rüsselsheim qui ne souhaitent pas rejoindre les rangs de Segula pourront quitter
l’entreprise en choisissant entre trois options, à savoir un départ à la retraite anticipée, un
programme de mise à la retraite progressive ou des indemnités.

PSA, qui a racheté Opel en 2017, s’est félicité de cet accord et a souligné que le comité
d’entreprise avait démontré sa capacité à “trouver des solutions pour renforcer durablement la
performance d’Opel dans le meilleur intérêt des employés”.

Après le départ des 2 000 ingénieurs, le centre de Rüsselsheim continuera à concevoir des
véhicules pour Opel et le groupe PSA. Le site deviendra le centre mondial de compétences du
groupe français dans quinze domaines, dont l’hydrogène, les utilitaires ou le nouveau moteur à
essence 1,6 litre.
Source : ECHOS (21/3/19), XINHUA NEWS, AUTOMOBILWOCHE, SPIEGEL (20/3/19)

Par Cindy Lavrut

BMW LANCERA LA SÉRIE 2 GRAN COUPÉ
Dans un communiqué, BMW a annoncé qu’il lancerait la Série 2 Gran Coupé, un coupé à 4 portes.
Le modèle sera dévoilé en première mondiale au Salon de Los Angeles en novembre 2019, puis
sera commercialisé au printemps 2020.

A l’occasion de la conférence de presse annuelle, Harald Krüger, président du groupe BMW, a
dévoilé un premier aperçu du futur modèle.

Ce véhicule “très orienté sur le design” ciblera en particulier des clients modernes et urbains.

La Série 2 Gran Coupé mettra l’accent sur l’individualité, l’esthétique et l’émotion sur le segment
des voitures compactes de haut de gamme.

Le futur modèle se basera sur la plateforme dédiée aux modèles à traction, à l’instar de la Série 1 ;
il partagera de ce fait de nombreuses avancées technologiques avec la Série 1.

D’ailleurs, la nouvelle Série 1 sera elle aussi présentée au cours de l’année 2019.
Source : AUTOMOBILWOCHE (20/3/19)

Par Cindy Lavrut

PORSCHE AVANCE DANS SES PRÉPARATIONS POUR LE
LANCEMENT DE LA TAYCAN
Dans un entretien accordé à Automotive News Europe, le directeur de la production de Porsche,
Albrecht Reimold a indiqué que la marque avançait dans ses préparations en vue du lancement de
son premier modèle 100 % électrique, la Taycan.

Actuellement, Porsche est en phase de pré-production dite “série zéro”, qui est la dernière étape
avant le début de l’assemblage des exemplaires destinés à la commercialisation.

Le constructeur a donc confirmé que la Taycan commencera à être produite à compte du mois de
septembre, pour des premières livraisons dès la fin de l’année.

L’usine de Zuffenhausen (qui assemblera la Taycan) devrait fonctionner à pleines capacités dès
2020, afin de faire face à la forte demande attendue pour ce futur modèle.

M. Reimold a d’ailleurs précisé que Porsche avait investi environ un million d’euros dans son usine
de Zuffenhausen, dont quelque 700 millions d’euros alloués à la production de la Taycan et 300
millions d’euros pour préparer la production de la huitième génération de la 911.

Interrogé sur les synergies de production entre la Taycan, la 911 et la 718, M. Reimold a précisé
que la Taycan bénéficiera d’ateliers de carrosserie et de peinture spécifiques. Néanmoins, les
modèles sportifs (911 et 718) pourront être peints dans l’atelier dédié à la Taycan. En revanche,
l’inverse ne sera pas vrai, en raison des dimensions de la Taycan (supérieures à celles des 911 et
718). Il en sera de même pour l’assemblage final (celui de la 911 pourra être réalisé sur la ligne
d’assemblage de la Taycan, mais pas l’inverse).

De plus, tout comme Volkswagen, Porsche souhaite abaisser son empreinte CO2 et voudrait que la
production de la Taycan devienne à terme totalement neutre en CO2 (probablement à l’horizon
2025).
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE

Par Cindy Lavrut

BOSCH PROPOSE UNE APPLICATION QUI ALERTE LES
CONDUCTEURS LORSQU’UN AUTOMOBILISTE ROULE EN
CONTRESENS
L’équipementier allemand Bosch propose une application (basée sur le cloud) qui alerte les
conducteurs lorsqu’un automobiliste roule en contresens sur les nationales et autoroutes.

Rien qu’en Allemagne, la radio d’information sur le trafic diffusée sur les routes signale chaque
année quelque 2 000 cas d’automobilistes qui remontent des voies en sens inverse.

Son système, surnommé “le sauveur de vie des nuages” (en référence au cloud, le nuage
informatique) peut alerter les conducteurs de situations à risque (dont les automobilistes en sens
inverse) dans 13 pays européens.

Pour détecter les automobilistes en sens inverse, l’application de Bosch repère le déplacement d’un
véhicule par rapport au sens de circulation sur une route spécifique.

Bosch a précisé que plus nombreuses seront les voitures équipées de ce système, plus
l’application sera efficace, ce qui créera un “réseau de circulation sécurisé” plus étendu.

En outre, son application regroupera les alertes diffusées par une quinzaine de radios allemandes
qui alertent leurs auditeurs lors de la présence d’un automobiliste en contresens.
Source : AUTOMOBILWOCHE (21/3/19)

Par Cindy Lavrut
LES SALARIÉS ALLEMANDS DE PORSCHE VONT TOUCHER UN
BONUS DE 9 700 EUROS
Les quelque 25 000 salariés allemands de Porsche vont toucher un bonus record de 9 700 euros
au titre de l’année 2018.

Ce bonus se compose de deux parties, à savoir un versement de 9 000 euros pour la performance
des salariés, et un paiement supplémentaire de 700 euros qui sera abondé sur le fonds de retraite.

L’an dernier, Porsche a vendu 256 255 voitures (+ 4 %). La marque a réalisé un chiffre d’affaires de
25,8 milliards d’euros (+ 10 %) et un bénéfice opérationnel de 4,3 milliards d’euros (+ 4 %). La
marge opérationnelle s’est établie à 16,6 %.

Pour l’année 2019, Porsche se dit à nouveau optimiste, notamment grâce au lancement de la
nouvelle génération de la 911, de variations du Cayenne et de la 718, malgré les difficultés liées au
passage au cycle WLTP et à la crise du diesel.
Source : AUTOMOBILWOCHE, JOURNALAUTO.COM (20/3/19)

Par Cindy Lavrut

CHINE

KARMA DÉVOILERA UN CONCEPT AU SALON DE SHANGHAI
Le constructeur Karma Automotive (anciennement Fisker, rebaptisé Karma depuis qu’il est détenu
par le groupe chinois Wanxiang) dévoilera un concept au Salon de Shanghai au mois d’avril.

Ce concept est issu de la coopération entre Karma et l’entreprise italienne de design et d’ingénierie
Pininfarina.

Ce concept développé avec Pininfarina est l’un des trois produits que Karma prévoit de présenter
au Salon de Shanghai.
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (20/3/19)

Par Cindy Lavrut

GEELY A DÉGAGÉ UN BÉNÉFICE NET DE 12,55 MILLIARDS DE YUANS
Le groupe chinois Geely a dégagé un bénéfice net de 12,55 milliards de yuans (1,645 milliard
d’euros ; + 18 %), sur un chiffre d’affaires de 106,60 milliards de yuans (13,97 milliards d’euros), en
hausse de 14,9 %.

Le groupe Geely a vendu 1,5 millions de véhicules l’an dernier (+ 20 %).

Le constructeur chinois a précisé que les incertitudes économiques en Chine ont affecté la
demande mais Geely a précisé n’avoir manqué son objectif de ventes que de 5 %. Ses ventes ont
particulièrement reculé au quatrième trimestre (- 44 %).
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE, GASGOO.COM (21/3/19)

Par Cindy Lavrut
NISSAN REVOIT À LA BAISSE SON OBJECTIF DE VENTES EN CHINE
POUR 2022
Nissan a revu à la baisse, de 8 %, son objectif de ventes en Chine pour 2022, à 2,39 millions
d’unités, soit une baisse de 220 000 unités environ en termes de volume par rapport à l’objectif
initial.

En 2018, le constructeur a vendu 1,56 million de véhicules sur le marché chinois, en hausse de 3,4
%, sur un marché total en recul de 6%, à 22,7 millions d’unités.

Nissan ne prévoit pas de nouveautés pour le marché chinois avant 2020 et sa filiale Infiniti n’en
lancera qu’en 2021. “Nous maintenons intact notre engagement en Chine. Mais nous allons
privilégier la rentabilité aux volumes”, a déclaré Hiroto Saikawa, directeur général de Nissan.

Dans le cadre du plan à moyen terme de Nissan, la Chine doit représenter un tiers de son chiffre
d’affaires d’ici à 2022.
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (20/3/19)

Par Juliette Rodrigues

CORÉE DU SUD

LA CORÉE DU SUD VEUT INSTALLER DES STATIONS DE
DISTRIBUTION D’HYDROGÈNE PRODUIT À PARTIR DE BIOGAZ
En Corée du Sud, le ministère du Commerce, de l’Industrie et de l’Energie a annoncé qu’il
investirait 9,5 milliards de wons (7,4 millions d’euros) au cours des trois prochaines années afin
d’installer des stations de distribution d’hydrogène produit à partir de biogaz.

Ce projet s’inscrit dans la vision du gouvernement de bâtir une société où l’hydrogène est utilisé
comme principale source d’énergie pour la production d’électricité, les véhicules et d’autres usages
quotidiens.

Le projet sera centré sur le développement de technologies permettant d’obtenir de l’hydrogène à
partir de biogaz non utilisé et sur l’installation de stations pour alimenter des autobus à piles à
combustible.

Le ministère compte choisir à partir de vendredi les organisations qui participeront à ce projet.
Source : YONHAP (21/3/19)

Par Frédérique Payneau

HYUNDAI VEUT VENDRE 70 000 NOUVELLES SONATA EN CORÉE DU
SUD CETTE ANNÉE
Lors du lancement de la huitième génération de la Sonata en Corée du Sud aujourd’hui, Hyundai a
annoncé qu’il avait pour ambition d’écouler 70 000 exemplaires de la nouvelle berline sur le marché
coréen cette année. Il a précisé qu’il avait reçu 12 323 précommandes pour le modèle.

Plus longue, plus basse et plus large que le modèle qu’elle remplace, la nouvelle Sonata arbore des
lignes plus sportives. Coté moteurs, la voiture est lancée avec un moteur à essence de 2 litres et un
moteur aux GPL de 2 litres. Une motorisation hybride et un moteur turbo à essence de 1,6 litre
compléteront l’offre au second semestre.
Les prix de la nouvelle Sonata démarrent à 23,5 millions de wons (18 270 euros).

Hyundai a précisé qu’il commencerait à exporter la nouvelle berline cette année.
Source : YONHAP (21/3/19)

Par Frédérique Payneau

ETATS-UNIS

FORD PRODUIRA DES VÉHICULES ÉLECTRIQUES AUX ETATS-UNIS
ET LE PROCHAIN TRANSIT CONNECT AU MEXIQUE
Ford a modifié une nouvelle fois ses projets de production de véhicules électriques et autonomes
en Amérique du Nord.

Le constructeur a annoncé hier que son usine de Flat Rock, près de Detroit, deviendrait un second
site de production de véhicules électriques à batteries, en plus d’une usine à Cuautitlan au
Mexique. Il renonce ainsi à son projet d’établir un centre pour les véhicules autonomes à Flat Rock
et produira ces véhicules sur un autre site dans l’Etat du Michigan.

Les 900 millions de dollars que Ford comptait dépenser jusqu’en 2023 pour produire des véhicules
autonomes à Flat Rock seront en grande partie alloués aux véhicules électriques et à la prochaine
génération de la Mustang, ont indiqué des dirigeants de l’entreprise. L’usine doit perdre sa
deuxième équipe au printemps, mais celle-ci sera réintroduite à l’avenir et 900 nouveaux emplois
seront crées sur le site.

Ford produira au Mexique un tout-chemin de loisir électrique à batterie, inspiré de la Mustang et
doté d’une grande autonomie, qui est attendu en 2020. L’usine de Flat Rock fabriquera les futurs
véhicules électriques du constructeur qui seront basés sur une nouvelle architecture dédiée.

Ford n’a pas dévoilé où serait situé son centre de véhicules autonomes, ni donné d’informations sur
les investissements et les emplois associés à ce projet. Il a indiqué que le site équiperait des
véhicules hybrides développés à cet effet. La production doit démarrer en 2021 et les véhicules
seront destinés à un usage commercial plutôt qu’aux particuliers.

Ford a en outre indiqué qu’il assemblerait le prochain Transit Connect au Mexique. La décision de
ne plus importer le véhicule d’Espagne (et auparavant de Turquie) lui permettra d’accroître son
contenu nord-américain afin de satisfaire aux exigences du nouvel accord de libre-échange entre
les Etats-Unis, le Mexique et le Canada. La troisième génération du petit utilitaire, qui devrait être
commercialisée en 2021, sera fabriquée à Hermosillo, où la production de la Ford Fusion et de la
Lincoln MKZ doit cesser à une date non précisée.
Source : AUTOMOTIVE NEWS (20/3/19)

Par Frédérique Payneau

INDE

L’INDE VA METTRE EN PLACE UN PLAN DE SOUTIEN AUX DEUX-
ROUES ÉLECTRIQUES ET TRANSPORTS PUBLICS ÉLECTRIQUES
Le gouvernement indien a annoncé un plan de soutien de 100 milliards de roupies (près de 1,3
milliard d’euros) pour les trois prochaines années, destiné à l’achat de deux-roues électriques et
aux transports publics électriques. L’Inde avait consacré 9 milliards de roupies (115 millions
d’euros) seulement au soutien de l’électrique depuis 2015.

Dans le détail, les subventions seront allouées à 1 million de deux-roues, 500 000 rickshaw, 7 000
autobus et 55 000 taxis ou voitures de flotte.

Le choix du gouvernement indien est dicté à la fois par la congestion des rues dans les centres-
villes indiens et par le nombre encore limité de voitures personnelles dans le pays. Le plan
prévoirait également la création d’infrastructures de recharge pour les véhicules électriques.

Le plan du gouvernement a été bien accueilli par les constructeurs automobiles indiens. Il devrait
également satisfaire Ola, l’Uber indien, qui prévoit de mettre en circulation pas moins de 10 000
rickshaws électriques au cours des douze prochains mois et un million de voitures électriques d’ici à
2021. Pour mener à bien ses ambitions dans les véhicules électriques, Ola a officialisé mardi une
levée de fonds de 260 millions d’euros dans le cadre d’un partenariat avec Hyundai et Kia.

L’Inde s’est fixé d’ambitieux objectifs pour diminuer la pollution qui étouffe une partie du pays. New
Delhi, en particulier, souffre d’une des pires pollutions atmosphériques de la planète.
Source : LES ECHOS (21/3/19)

Par Juliette Rodrigues

RÉPUBLIQUE TCHÈQUE

LE BÉNÉFICE OPÉRATIONNEL DE SKODA A RECULÉ DE 14,6 %
Le bénéfice opérationnel de Skoda a reculé de 14,6 % en 2018, à 1,38 milliard d’euros, sur un
chiffre d’affaires de 17,3 milliards d’euros (contre 16,6 milliards d’euros en 2017).

L’an dernier, la marque tchèque a vendu plus de 1,2 million de véhicules, réalisant ainsi un record
de ventes.

Bernhard Maier, patron de Skoda, a déclaré que 2018 avait été une année de défis, entre le
passage au cycle WLTP et le conflit commercial entre la Chine et les Etats-Unis.

Du fait de ces difficultés, Skoda a lancé au premier semestre de 2018 un nouveau plan de réduction
des coûts qui devrait permettre d’économiser 500 millions d’euros par an à compter de 2020.

Néanmoins, le constructeur a confirmé qu’il allait investir 2 milliards d’euros dans l’électromobilité et
les services de mobilité au cours des 4 prochaines années. D’ici à la fin de 2022, Skoda aura lancé
plus de 30 modèles nouveaux et restylés, dont plus d’une dizaine seront électrifiés.
Source : AUTOMOBILWOCHE

Par Cindy Lavrut

ROYAUME-UNI

TOYOTA VA FABRIQUER UNE NOUVELLE VOITURE HYBRIDE POUR
SUZUKI AU ROYAUME-UNI
Toyota a annoncé qu’il allait fabriquer une nouvelle voiture hybride pour son partenaire Suzuki au
Royaume-Uni. Toyota a expliqué qu’il allait fournir “un véhicule hybride électrique” à son
compatriote Suzuki, qui sera inspiré du modèle Toyota Corolla Wagon. Les moteurs seront
fabriqués à Deeside (pays de Galles) et les véhicules assemblés à Burnaston.

Le nouveau véhicule qui sera commercialisé par Suzuki devrait être fabriqué à partir de la fin 2020,
a ajouté Toyota, qui n’a pas précisé si de nouveaux emplois seraient créés localement. Ce modèle
assurera la pérennité de l’activité des usines concernées.

“C’est une bonne nouvelle pour nos usines au Royaume-Uni”, s’est réjoui Marvin Cooke, directeur
général de Toyota au Royaume-Uni. “Produire des véhicules supplémentaires pour d’autres clients
est un exemple parmi d’autres des efforts que nous faisons pour conserver nos opérations
manufacturières au Royaume-Uni aussi compétitives que possible”, a-t-il ajouté.

La stratégie de Toyota a été perturbée par la perspective du Brexit, à l’instar de ses concurrents
japonais Nissan et Honda qui eux aussi assemblent des centaines de milliers de voitures chaque
année au Royaume-Uni – dont une bonne partie est exportées vers les autres pays de l’UE.

Début mars, le président pour l’Europe de Toyota, Didier Leroy, avait prévenu qu’il serait
“extrêmement compliqué” de fabriquer de nouveaux modèles dans ses usines britanniques en cas
de Brexit sans accord, laissant planer le doute sur sa volonté d’investir dans le pays.

Il a souligné que Toyota n’avait pas “pour projet de se retirer du Royaume-Uni et d’arrêter la
production” dans ce pays, mais a ajouté qu’un Brexit dur engendrerait “une montagne” de
problèmes pour ses usines britanniques.

Les autorités britanniques ont toutefois promis que, même en cas de Brexit sans accord, les pièces
détachées du secteur automobile venant de l’UE ne seraient pas taxées à l’importation. Mais les
professionnels du secteur sont quand même très inquiets, évoquant notamment des complications
réglementaires, qui perturberaient le rythme bien huilé des échanges nécessaires pour la
fabrication d’automobiles nécessitant de très nombreux composants.

Toyota a investi un total de 2,75 milliards de livres depuis le début de sa présence industrielle au
Royaume-Uni au début des années 1990, dont 240 millions de livres récemment pour moderniser
son usine d’assemblage de Burnaston afin d’y produire la nouvelle Corolla. Toyota emploie quelque
3 200 personnes sur ses deux sites de production britanniques.
Source : AUTOMOTIVE NEWS (20/3/19)

Par Juliette Rodrigues

SUÈDE

VOLVO CARS TABLE SUR UNE FORTE HAUSSE DES VENTES DE SES
VOITURES HYBRIDES RECHARGEABLES
Volvo Cars table sur une forte hausse des ventes de ses voitures hybrides rechargeables d’ici à la
fin de l’année. Les variantes hybrides rechargeables devraient ainsi représenter 20 à 25 % de ses
ventes totales.

Cette forte hausse attendue s’explique notamment par le fait que Volvo Cars avait jusqu’à présent
sous-estimé la demande pour sa famille de modèles hybrides rechargeables.

Le constructeur suédois commercialise des versions hybrides rechargeables des véhicules de loisir
XC90 et XC60 et des breaks V90 et V60. Ces variantes représentent déjà environ 10 à 15 % des
ventes totales de Volvo Cars dans le monde.
Toutefois, le constructeur n’avait pas prévu suffisamment de batteries et moteurs électriques (ainsi
que d’autres composants essentiels pour les transmissions hybrides rechargeables) pour pouvoir
répondre à la demande pour ses modèles hybrides rechargeables. Faute d’un approvisionnement
suffisant, le constructeur ne peut donc pas satisfaire à la demande.

Actuellement, le constructeur accélère son approvisionnement et sa production des composants
nécessaires pour produire des modèles hybrides rechargeables, ce qui permettra de mieux
répondre à la demande.

Malgré cet approvisionnement insuffisant, Volvo Cars a déjà vendu 26 800 hybrides rechargeables
en Europe l’an dernier (contre 16 000 en 2017).
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (21/3/19)

Par Cindy Lavrut

VOLVO CARS VA AJOUTER DES CAPTEURS POUR ÉVITER LA
CONDUITE EN ÉTAT D’ÉBRIÉTÉ
Volvo Cars va ajouter des capteurs pour éviter la conduite en état d’ébriété. Des caméras et
capteurs contrôleront les éventuels signes d’ébriété ou de distraction chez le conducteur pour
prévenir les accidents.

Ces capteurs seront en premier lieu installés sur les véhicules dérivés de la plateforme SPA2,
comme le XC90 par exemple, et ce à compter de la prochaine décennie.

Parmi les comportements qui seront détectés par ce capteur, le système pourra détecter l’absence
de mouvement du volant pour des périodes prolongées, les yeux fermés, des temps de réaction
lents ou encore d’importants coups de volant.

Après la détection de tels comportements (ébriété, fatigue ou distraction par un téléphone
portable)à, le véhicule pourrait intervenir en limitant la vitesse, en alertant le service Volvo on Call
(le système d’appel d’urgence de Volvo Cars) ou en ralentissant voire en stationnant la voiture.

Ce système est une avancée supplémentaire vers l’objectif de Volvo Cars de ne plus enregistrer
d’accident de la route mortel impliquant un modèle de leur marque à compter de 2020.

“En termes de sécurité routière, nous préférons éviter les accidents plutôt que de réduire leurs
conséquences”, a expliqué le responsable du développement de Volvo Cars, Henrik Green.
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE, AUTOMOBILWOCHE (20/3/19)

Par Cindy Lavrut

VOLVO CARS LANCE LA CLÉ DÉMATÉRIALISÉE CARE KEY
Le constructeur suédois Volvo Cars lance la clé dématérialisée Care Key qui permettra de faciliter
l’autopartage.

A compter de 2021, Volvo Cars équipera tous ses modèles de cette clé Care Key.

Cette clé dématérialisée permettra au propriétaire d’une Volvo de fixer des limitations de vitesse à
leur voiture avant de la prêter à une personne inexpérimentée par exemple.

Hakan Samuelsson, président de Volvo Cars, a déclaré vouloir ouvrir un débat sur la question de
savoir si les constructeurs ont le droit voire l’obligatoire d’installer des technologies qui modifieraient
les comportements des conducteurs d’automobiles.

Par exemple, Volvo Cars a récemment annoncé qu’il allait limiter la vitesse de tous ses
véhicules.
Source : XINHUA NEWS (20/3/19)

Par Cindy Lavrut
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