La loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
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Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 La loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne La loi pour l’Accès au Logement et un Urbanisme Rénové a été adoptée définitivement le 20 février 2014 par l’Assemblée Nationale et le Senat, puis validée par le Conseil Constitutionnel et promulguée le 26 mars 2014. Elle comporte nombre de dispositions qui apportent des modifications notables des règles d’urbanisme. Certaines dispositions de la loi entrent en vigueur dès maintenant, d’autres doivent attendre les décrets d’application pour devenir effectives. Dans l’ensemble, l’entrée en vigueur des principales dispositions interviendra courant 2014. Depuis plusieurs mois, la Bresse bourguignonne s’inscrit dans une phase de réflexion sur l’organisation du territoire avec la nouvelle Charte de développement du Pays (dorénavant porté par le Syndicat mixte), l’élaboration du SCoT et plus localement la mise en place de PLU et de cartes communales. Le territoire doit donc se saisir de cette nouvelle loi dont principalement 2 objectifs impacteront l’urbanisme de la Bresse bourguignonne : « Engager la transition écologique des territoires » « Moderniser les règles d’urbanisme » 1 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 ENGAGER LA TRANSITION ECOLOGIQUE DES TERRITOIRES DENSIFIER EN ZONE URBAINE Le texte comprend des mesures dont l’objectif est de permettre de construire davantage là où les besoins sont les plus importants. Permettre la densification des quartiers pavillonnaires existants : Pour favoriser la densification de ces espaces, le règlement des PLU n’a plus la possibilité de fixer une taille minimale de « E NGAGER LA TRANSITION ECOLOGIQUE DES TERRITOIRES » terrain, mécanisme qui contribuait à l’étalement urbain. Le Coefficient d’Occupation des Sols (COS) est également supprimé. Cette suppression doit être prise en compte dans les procédures en cours, y compris lorsque le projet de PLU a été arrêté. Les documents en vigueur pourront intégrer cette mesure par une modification simplifiée. Jusqu’à leur caducité, cette suppression ne s’applique pas aux POS. Ces documents étant appelés à disparaitre, le maintien des deux dispositions permet aux communes de se consacrer à l’élaboration d’un document d’urbanisme plus abouti que le POS, qui formalise une véritable réflexion sur les formes urbaines. Par conséquent, les dispositifs basés sur le COS, tels que le bonus de constructibilité ou le transfert de COS, disparaissent ou doivent découler des autres règles du PLU. Pour les lotissements, la subdivision des lots est facilitée. Les PLU et les POS ayant institué un contrôle des divisions de terrains bâtis intègrent la suppression du dispositif par le biais d’une modification simplifiée. En l’absence de modification intégrants ces dispositions, il appartient à l’autorité chargée de délivrer les autorisations d’urbanisme d’écarter systématiquement l’application de ces règles et de se baser uniquement sur les autres règles fixées par le PLU. Préserver ou créer des espaces naturels en ville : La loi instaure un coefficient de biotope (ratio entre la surface favorable à la nature et la surface d'une parcelle construite) pour éviter que la densification se fasse aux dépens des espaces de nature en milieu urbain. Il s’agit de facultés nouvelles et non d’obligation de faire. 2 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 Moderniser le droit de préemption urbain pour permettre de mettre en œuvre des politiques foncières plus efficaces. Dans les communes qui affichent un retard par rapport à leurs obligations de construction de logements sociaux, l’exercice du droit de préemption par le Préfet est renforcé. Les intercommunalités ont désormais la possibilité de se doter d’une zone d’aménagement différé locale, où s’applique leur droit de préemption. De plus, les collectivités peuvent avoir plus d’informations sur un bien et le visiter avant de préempter. En Bresse bourguignonne, l’objectif de « densification en zone urbaine » se traduit par le recentrage des futures constructions « E NGAGER LA TRANSITION ECOLOGIQUE DES TERRITOIRES » dans les zones bien dotées en services de proximités et équipements, ceci pour limiter l’isolement des personnes âgées ou la précarité engendrée par les coûts de déplacement par exemple. La mise en place d’outils d’aménagement, type ZAD, permettra d’avoir une politique foncière et des projets d’aménagement ambitieux. Le territoire devra également procéder au « toilettage des documents d’urbanisme » comme le demande la loi pour intégrer les nouvelles dispositions ou supprimer les règles devenues illégales. DONNER UN COUP D ’ARRET A L’ARTIFICIALISATION DES SOLS Reclassement des anciennes zones à urbaniser : On observe dans les PLU un surdimensionnement des zones ouvertes à l’urbanisation qui ne correspond , ni à l’usage réel des terrains, ni à la réalité des projets d’aménagement envisagés. L’objectif de la loi est de favoriser l’optimisation du tissu déjà urbanisé au lieu de privilégier l’urbanisation des zones 1AU pour l’accroissement d’une commune. La loi impose donc deux nouvelles dispositions : Afin de modifier son PLU pour urbaniser une zone 2AU, la commune doit produire une délibération motivée démontrant que cette ouverture à l’urbanisation est rendue nécessaire par un tissu urbain (zone U) qui n’offre pas d’autres possibilités pour la construction. L’ouverture à l’urbanisation d’une zone 2 AU de plus de 9 ans impose une procédure de révision du PLU. Les zones ayant fait l’objet d’acquisitions foncières significatives par la collectivité ne sont pas concernées. Les zones classées 2AU qui n’auront fait l’objet d’aucun projet d’aménagement ou d’acquisition foncière dans un délai de 9 ans seront automatiquement reclassées en zones N ou A. Elles ne pourront plus être ouvertes à l’urbanisation, sauf à engager une procédure de révision du PLU. 3 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 Lutter contre le mitage et protéger les espaces agricoles et naturels : En zone rurale, les terres agricoles sont petit à petit grignotées par des constructions. Ce mode d’urbanisation est de plus en plus couteux en termes d’équipements, de services publics et de réseaux. Il est consommateur de terres cultivables et nuit à la qualité du paysage en banalisant les espaces. En Bresse bourguignonne, le niveau de consommation d’espace est parmi les plus élevés de Saône-et-Loire et en forte progression depuis les 15 dernières années. La loi ALUR entend stopper ce processus en renforçant les principes limitant la constructibilité. Le champ d’intervention de la Commission Départementale de Consommation des Espaces Naturels (CDCEA) est élargi. Pour les communes soumises au RNU, la possibilité de déroger à la règle de constructibilité limitée par délibération motivée est « E NGAGER LA TRANSITION ECOLOGIQUE DES TERRITOIRES » davantage encadrée. La délibération devra justifier que le projet est de l’intérêt de la commune, en particulier pour éviter une diminution de la population. Mais, elle devra également prouver que le projet ne porte pas atteinte à la sauvegarde des espaces naturels et des paysages, à la salubrité et à la sécurité publique et n’entraine pas un surcroit important de dépenses publiques. Cette délibération devra être prise après avis conforme* de la CDCEA (* à la différence de l’avis simple dont le caractère est indicatif, l’avis conforme revêt un caractère impératif ; le maire ou le président de la collectivité est tenu de le suivre). Pour les communes couvertes par un PLU, la loi rend exceptionnelle la possibilité d’utiliser le « pastillage » qui permet de délimiter en zone agricole, naturelle et forestières, des Secteurs (constructibles) de Taille et de Capacité d’Accueil Limitées (STECAL). Ces pastilles seront désormais délimitées avec l’accord du Préfet et près avis de la CDCEA pour renforcer la maîtrise de l’urbanisation sur ces espaces. Dans les zones agricoles ou naturelles, le PLU a la possibilité de désigner les bâtiments qui en raison de leur intérêt architectural ou patrimonial peuvent faire l’objet d’un changement de destination ou d’une extension limitée (uniquement en zone A), sous conditions qu’ils ne compromettent pas l’exploitation et après avis conforme de la CDCEA (ou commission départementale de la nature, des paysages et des sites pour les autorisations en zone N). Renforcer le principe d’urbanisation limitée en l’absence d’un SCoT applicable : La règle de calcul définissant le périmètre des « 15 km » autour des agglomérations est clarifiée. D’après cette nouvelle méthode de calcul, de nouvelles communes en Bresse bourguignonne, près de la moitié, sont concernées par l’article L 122-2 du code de l’urbanisme. 4 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 « E NGAGER LA TRANSITION ECOLOGIQUE DES TERRITOIRES » Les dérogations ne peuvent être données par le Président de l’établissement qui porte le SCoT qu’après avis de la CDCEA. L’interdiction d’ouverture à l’urbanisation porte sur les zones à urbaniser délimitées par les PLU après le 1 er juillet 2002, les zones A et N des POS et des PLU, les secteurs non constructibles des cartes communales, les secteurs en dehors des parties actuellement urbanisées. Supprimer les POS : La loi ALUR met fin aux plans d’occupation des sols (POS) En l’absence de transformation des POS en PLU au 1 er janvier 2016, le POS devient caduc et le territoire qu’il couvre se voit appliquer le RNU (pas de retour au document antérieur). Les dispositions du POS restent en vigueur jusqu’à l’approbation du nouveau PLU, si la procédure est lancée au plus tard le 31 décembre 2015 et achevée au plus tard 3 ans après la publication de la loi (27 mars 2017). La loi précise que le maire dont la commune est soumise au RNU doit recueillir l’avis conforme du préfet sur les autorisations d’urbanisme. 5 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 10 POS en Bresse bourguignonne sont concernés par cette mesure (L’Abergement Ste Colombe, Baudrières, Branges, Lessard en Bresse, Louhans- Chateaurenaud, Ormes, Ouroux sur Saône, St Christophe en Bresse, St Etienne en Bresse, St Usuge). Certains de ces documents couvrent des communes où les enjeux sont forts, notamment Louhans (PLU en cours d’élaboration) et Branges dans la centralité bressane*, Ouroux-sur-Saône identifiée comme pôle d’équilibre* ainsi que les communes de la frange ouest du territoire, soumises à la pression foncière du fait de la proximité de Chalon-sur-Saône. Le retour au RNU pour ces communes est difficilement envisageable. (*voir l’organisation territoriale proposée dans les travaux de diagnostic du SCoT) La transformation des POS en PLU est un gage de meilleure prise en compte du volet environnemental dans les politiques locales d’aménagement et de « E NGAGER LA TRANSITION ECOLOGIQUE DES TERRITOIRES » planification. En effet, les PLU doivent se conformer aux lois SRU et Grenelle d ont les objectifs ne sont pas pris en compte dans les POS. Maitriser l’aménagement commercial : Pour stopper le développement de friches commerciales, la loi crée pour les porteurs de projets d’équipement commerciaux, une obligation d’organiser la remise en état du terrain ou de traiter une friche. Afin de limiter la consommation d’espaces et l’imperméabilisation des sols, la superficie des parcs de stationnement des équipements commerciaux est plus strictement limitée. La superficie des parkings peut représenter au maximum les ¾ de la surface du bâti. La localisation des « drive » est soumise à autorisation d’exploitation commerciale afin de rendre aux élus la maitrise de leur implantation. Renforcer la loi pour mieux traiter les sols pollués : Pour permettre le recyclage maitrisé d’anciens sites industriels en vue de satisfaire les nouveaux besoins immobiliers liés aux stratégies de renouvellement urbain et de lutte contre l’étalement urbain, la loi prévoit, - D’améliorer l’information des populations sur la pollution et prévenir l’apparition des risques sanitaires liés - D’encourager l’engagement des acteurs publics et privés dans le redéploiement des friches vers un usage résidentiel - D’opérer une clarification des responsabilités des acteurs et établir un cadre sécurisé propice à la réhabilitation des friches (l’incertitude des règles actuelles paralyse les acteurs du secteur) 6 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 - De concourir au développement d’entreprises spécialisées dans le traitement des sites et sols pollués et à l’essor d’une filière économique intégrée Les collectivités bressanes pourront s’adosser sur ces dispositifs pour trouver une réponse aux problématiques de la friche « Morey » à Cuiseaux et la friche ferroviaire de St-Bonnet-en-Bresse par exemple. De nombreuses communes et projets de Bresse bourguignonne seront concernés par ces mesures dont l’objectif est de « limiter l’artificialisation des sols ». Les communes devront prochainement lancer des procédures de révision/élaboration de documents d’urbanisme ou s’inscrire avec leur communauté de communes dans l’élaboration d’un PLUi. La réflexion globale « E NGAGER LA TRANSITION ECOLOGIQUE DES TERRITOIRES » lancée à l’échelle du SCoT sur la consommation d’espace, le modèle de développement, les formes urbaines, … permet de définir une organisation territoriale qui guidera les communes et communautés de communes dans leurs choix d’urbanisation. 7 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 MODERNISER LES REGLES D’URBANISME FAVORISER LES PLANS LOCAUX D’URBANISME INTERCOMMUNAUX Transfert automatique de la compétence PLU aux communautés de communes : Ce transfert intervient au terme d'un délai de trois ans suivant la publication de la loi, soit le 26 mars 2017, afin de laisser aux intercommunalités et aux équipes municipales le temps de se préparer. Un mécanisme de minorité de blocage permet aux maires de reporter le transfert de la compétence PLU au niveau intercommunal s’ils rassemblent un quart des communes représentant au moins 20 % de la population d’une communauté. « M ODERNISER LES REGLES D ’ URBANISME » Une clause de revoyure prévoit que le conseil communautaire et les communes délibèrent sur le transfert de compétence au niveau intercommunal à chaque fois qu’il est renouvelé (un transfert volontaire entre chaque renouvellement reste également possible). Avant le délai de trois ans prévu par la loi, les modalités de transfert de compétences actuellement prévues par le code général des collectivités territoriales demeurent. En termes de documents d’urbanisme, l’intercommunalité est la règle, et non plus l’exception. Elaboration du PLUi : La communauté de communes compétente engage une procédure de PLUi au plus tard lorsqu’elle révise un des PLU applicables sur son périmètre. Elle peut poursuivre en accord avec la commune une procédure initiée avant le transfert de compétences. Elle peut conduire des modifications de documents municipaux tant qu’un PLUi n’est pas exécutoire. Pour faciliter l’élaboration des premiers PLUi, la loi rend aussi facultative l’intégration des plans locaux de l’habitat et des plans de déplacement urbain dans le PLUi. Afin d’encourager l’élaboration des PLUi et de promouvoir cet outil de planification, l’Etat a créé en 2012 le Club PLUi. Il a vocation à fédérer et faire travailler ensemble les professionnels en charge de PLUi par l’animation d’un réseau. En Bourgogne, il existe un Club PLUi territorialisé animé par la DREAL. Compte tenu des évolutions législatives, le Syndicat Mixte et les communautés de communes de la Bresse bourguignonne pourraient intégrer ce réseau afin de réfléchir à l’opportunité de mise en place des PLUi. 8 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 CLARIFIER LA HIERARCHIE DES NORMES DANS LES DOCUMENTS D ’URBANISME Renforcement du rôle du SCoT intégrateur : Dans un souci de simplification, le SCoT est l’unique document intégrant les documents de rang supérieur (Schéma Régional de Cohérence Ecologique par exemple). Les élus qui élaborent leur PLU n’auront plus que le SCoT à examiner pour assurer le lien juridique entre le PLU et les normes supérieures. De plus, afin que l’intégration des différents documents soit plus rapidement effective, le délai de mise en compatibilité du PLU avec le SCOT est réduit à 1 an. Il est porté à 3 ans si la mise en compatibilité implique une révision du document. De nouvelles obligations pour le SCOT : Le rapport de présentation du SCoT identifie, en prenant en compte la qualité « M ODERNISER LES REGLES D ’ URBANISME » des paysages et du patrimoine architectural, les espaces dans lesquels les PLU doivent analyser les capacités de densification et de mutation. Ce travail doit permettre l’identification des espaces « stratégiques » pour le SCoT au rega rd de ces préoccupations. Le SCoT comprend un diagnostic agricole du territoire, qui complète le diagnostic économique. Il prend spécifiquement en compte l’impact de l’activité agricole sur l’ensemble de l’économie du territoire à moyen terme, afin de mieux préserver le foncier, les exploitations agricoles et leurs conditions de fonctionnement. En termes de mobilité et déplacements, le PADD du SCoT devra intégrer une approche qualitative prenant en compte les temps de déplacement. Conforter le rôle du SCoT comme document pivot de l’aménagement commercial : Le document d’aménagement commercial (DAC) est supprimé, au bénéfice du document d’orientation et d’objectifs (DOO), qui précise les orientations relatives à l’équipement commercial et artisanal. Il définit dès lors les localisations préférentielles des commerces en prenant en compte les objectifs de revitalisation des centres-villes, de maintien d’une offre commerciale diversifiée de proximité, permettant de répondre aux besoins courants de la population tout en limitant les obligations de déplacement et les émissions de gaz à effet de serre. Le SCoT fixe des conditions aux implantations commerciales. Identification des potentiels de densification des zones déjà urbanisées : le rapport de présentation du PLU analyse la capacité de densification et de mutation de tous les secteurs bâtis et expose les dispositions qui favorisent la densification. Il inventorie les capacités de 9 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 stationnement ouvert au public et les possibilités de mutualisation de ces espaces. Analyse de la consommation d’espace dans les PLU : elle doit porter sur les 10 dernières années ou depuis la dernière révision. Le PADD fixe des objectifs chiffrés de modération de la consommation d’espace. Toutes ces dispositions seront prises en compte dans l’élaboration du SCoT de la Bresse bourguignonne. Afin de minimiser les procédures de mise en compatibilité des documents d’urbanisme avec le SCoT, il est important que les communautés de communes et communes associent étroitement le Syndicat Mixte à l’élaboration des PLUi et PLU. « M ODERNISER LES REGLES D ’ URBANISME » 10 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
Syndicat mixte de la Bresse bourguignonne – Mai 2014 « M ODERNISER LES REGLES D ’ URBANISME » Retrouver cette fiche sur notre site internet dans la rubrique « SCOT » www.pays-bresse-bourguignonne.com/le-scot/ CONTACT MARINE CAUSSE Chargée de mission SCOT Scot.bresse.bourguignonne@orange.fr 03.85.75.76.00 11 la loi ALUR et la planification urbaine en Bresse bourguignonne
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