Market News Etudes Economiques & Stratégie - Aurel BGC
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Market News Etudes Economiques & Stratégie Des marchés dans l’attente des chiffres de l’inflation aux Etats-Unis S&P 500 : 4 351 (- 0,2%) / VIX : 19,85 (- 0,8%) Dow Jones : 34 378 (- 0,3%) / Nasdaq : 14 466 (- 0,2%) Nikkei : 28 189 (- 0,2%) / Hang Seng : Fermé / Asia Dow : - 0,3% Pétrole (WTI) : 80,52 $ (- 0,2%) 10 ans US : 1,582% / €/$ : 1,1551 $ / S&P F : - 0,1% (À 7h40 heure de Paris, Source : Marketwatch) Indice S&P 500 Etats-Unis Encore en baisse. Le recul est modéré mais traduit clairement une fébrilité des investisseurs dans l’attente du début de la saison des earnings. L’indice S&P 500 est passé du positif au négatif, et inversement, durant l’ensemble de la séance, fluctuant entre 4 370 et 4 350, pour clôturer sur le bas de ce couloir, à 4 351, en baisse de 0,2%. Le Dow Jones perd 0,3% et le Nasdaq seulement 0,1%, profitant de la hausse de 1,7% de l’action Tesla après l’annonce de vente record en Chine (56 006 véhicules sur le mois dernier). Le VIX recule de 0,8% à 19,85. L’actualité des sociétés ou économique était faible, mais elle va s’accélérer à partir d’aujourd’hui avec la publication des bancaires (JP Morgan aujourd’hui) et des prix à la consommation sur septembre. Ce soir, les minutes du dernier FOMC seront aussi publiées. Parmi les onze secteurs majeurs du S&P-500, six ont terminé dans le rouge, au premier rang desquels les services de communication. Les plus fortes baisses sont dans le secteur des semi-conducteurs (- 1,3% pour le Soxx) avec un recul de 3,3% pour Micron, - 4,0% pour Citrix ou – 3,5% pour Western Digital. Le cabinet de recherche TrendForce annonce une correction en 2022 sur le marché des puces dites DRAM, utilisées dans les ordinateurs PC et les serveurs informatiques. Après des mois à courir derrière la demande, l'offre devrait finalement la dépasser et faire chuter les prix, selon le cabinet. Au niveau des valeurs, l’action Nike a gagné 2,0% après la publication d'une note d’un analyste faisant valoir que les problèmes d'approvisionnement actuels de l'équipementier sportif américain étaient transitoires. Merck (- 0,4%) prévoit d'augmenter considérablement la production de son traitement antiviral oral Covid-19 l'année prochaine en raison de la hausse de la demande des gouvernements. Le laboratoire américain prévoit de doubler sa capacité de production de molnupiravir en 2022, selon le Financial Times. La société a déclaré qu'elle avait conclu des accords avec Singapour, la Nouvelle-Zélande, l'Australie et la Corée du Sud pour fournir des doses. Curevac (- 4,6%) arrête le développement de son premier vaccin expérimental à ARN messager contre la Covid-19. La biotech allemande cotée sur le Nasdaq préfère se concentrer sur un autre vaccin à ARN messager, dit de deuxième génération, développé en partenariat avec GlaxoSmithKline. En juin, le groupe avait annoncé que ce premier vaccin n'était efficace qu'à 48%. General Motors (+ 1,5%) a conclu un accord en vertu duquel LG Electronics lui remboursera les coûts et dépenses associés au rappel des véhicules électriques Chevrolet Bolt en raison de défauts de fabrication des modules de batterie fournis par LG. GM devrait recouvrir 1,9 Md $ sur les 2 Mds $ de dollars de charges associées aux rappels. La
Commission européenne devrait ouvrir une enquête approfondie sur le projet de rachat d'Arm par Nvidia (- 0,1%) pour 54 Mds$, ont déclaré trois sources proches du dossier, les concessions proposées la semaine dernière par le groupe américain étant jugées insuffisantes. Southwest Airlines (+ 1,0%) a annoncé s'attendre à une reprise normale de ses vols cette semaine après plus de 2 500 annulations depuis samedi, à la suite, selon la compagnie, de conditions météorologiques défavorables et de problèmes de trafic aérien en Floride. La plateforme d'échanges de cryptomonnaies Coinbase a reculé de 2,8% après les déclarations du COE de la banque américaine JP Morgan Chase, pour qui le bitcoin « n'a aucune valeur ». Après une chevauchée qui l'a vu prendre plus de 40% en dix jours, le bitcoin reprenait son souffle (- 3,4%) à 55 389 $. En électronique, ce matin, l’action Apple est en recul de 1,3%. Selon Bloomberg, la société va « probablement » réduire la production de l’iPhone 13 jusqu’à 10 millions d’unité du fait des pénuries des composants. Apple pourrait produire « seulement » 90 millions d’iPhones 13 au cours du quatrième trimestre en raison d’une pénurie de composants de Broadcom et Texas Instruments. Mais, selon plusieurs analystes, Apple ferait face à de nombreuses difficultés. La production d’iPhone 13 avait été retardée par une pénurie de modules de caméra du fait des problèmes de fabrication au Vietnam, où de nombreuses usines ont été fermées. Certaines installations de production en Chine ont été entravées par les pénuries continues d’électricité. L’article de Bloomberg note qu’Apple achète des composants sans fil de Broadcom et des pièces liées à l’affichage de Texas Instruments. Asie Les marchés asiatiques sont en légère baisse. Les investisseurs sont prudents avant la publication des prix à la consommation aux Etats-Unis et face à la nervosité de Wall Street. L’indice Nikkei recule de 0,2%. Le contexte actuel pour les marchés est plutôt morose, entre hausses des prix de l'énergie, difficultés d'approvisionnement, resserrement monétaire en vue aux Etats-Unis et en Europe et crise immobilière en Chine. La publication de bons chiffres de commerce extérieur en Chine, sur le mois de septembre, n’a pas eu d’impact positif sur les marchés asiatiques. Les investisseurs nippons préfèrent retenir l’information de Bloomberg sur la baisse de la production d’iPhone 13. Les titres de fournisseurs japonais d'Apple étaient en baisse, comme ceux de TDK (- 0,4%) et Murata (- 0,7%). Les fabricants nippons d'équipements pour l'industrie des semi-conducteurs faisaient aussi grise mine, comme Tokyo Electron (- 1,0%), Advantest (- 0,9%) et surtout Screen Holdings (- 2,5%). Le yen remonte un peu face au dollar, à raison d'un dollar pour 113,43 yens contre 113,61 yens mardi soir. Parmi les principaux exportateurs, Panasonic perd plus de 1%, Mitsubishi Electric recule de 0,4% et Sony recule de près de 1%, tandis que Canon progresse de 0,2%. La séance de négociation matinale à Hong Kong a été annulée en raison d’une alerte au typhon émise par le gouvernement. Les activités pourraient reprendre dans l’après-midi si l’alerte est levée. Selon la dernière mise à jour météorologique de l’Observatoire de Hong Kong, le signal du typhon devrait perdurer toute la journée. Shanghai, de son côté, affiche un léger gain, de 0,1%. Le Kospi est plus dynamique avec une hausse de 1,0% mais la bourse australienne recule de 0,1%, pénalisée par des chiffres de contamination encore élevé. Victoria a signalé 1 571 nouveaux cas de COVID-19 et treize décès mardi, avec un total de 19 861 cas actifs à Victoria. La Nouvelle-Galles du Sud a enregistré 444 nouveaux cas locaux et quatre décès. Le secteur minier est en légère hausse. Au niveau des cours du pétrole, la pause se prolonge ce matin en Asie. Le WTI recule de 0,1% mais reste au-dessus des 80 $.
Change €/$ Changes et Taux L’euro a connu un plus bas de 14 mois face au dollar sur la séance d’hier. Le billet vert profite d’anticipation de tapering de la banque centrale dès le mois de novembre, alimenté par des discours plus « faucon » de deux membres du FOMC (cf. ci-dessous) et d’anticipation d’une inflation encore forte sur le mois de septembre. L’euro est descendu jusqu'à 1,1524 $ pour un euro, pour la première Taux 10 ans (US) fois depuis le 22 juillet 2020, et, à la clôture de Wall Street, elle évoluait tout près de ce seuil, à 1,1530 $. Le dollar a accroché mardi 113,79 yens, du jamais vu depuis le 12 mars 2018. Le discours du FMI, très inquiet sur la croissance Mondiale, malgré des révisions chiffrées mineures, a bénéficié au dollar, considéré comme une « devise refuge » lorsque les incertitudes économiques augmentent. Sur le marché obligataire, les taux longs américains se sont légèrement détendus mais, en Europe, la remontée des taux se poursuit, malgré des données économiques mitigées, comme l’enquête ZEW. Les taux à 10 ans allemands gagnent 2 pb, à – 0,1040% (plus haut depuis le 20 mai) et les OAT prennent 1,5 pb, à 0,2280%. Les Bonos stagnent à 0,513% et les BTP Italiens se détendent de 0,8 pb, à 0,906%. Au niveau des taux longs américains, ils reculent de 1 pb, à 1,595% alors que les cours du WTI marquent une pause et dans l’attente de la publication des prix à la consommation, aujourd’hui. Le mouvement le plus violent est sur les Gilts britanniques, qui après une semaine de forte dégradation, se replient de 3,5 pb, à 1,155% après un plus haut à 1,20 la veille. Les produits et fonds de cryptomonnaies ont attiré 226,2 millions $ de flux nouveaux la semaine dernière, marquant leur huitième semaine consécutive d'afflux, selon un rapport du gestionnaire d'actifs numériques CoinShares. Sur une période de huit semaines, le total des entrées de produits cryptographiques a atteint 638 millions $, avec un total de 6,3 Mds $ depuis le début de l'année. Le bitcoin récolte 225 millions $, pour une quatrième semaine consécutive de flux net positif. Lundi, le bitcoin a atteint son plus haut niveau en cinq mois, à un peu moins de 58 000 $. Depuis son plus bas niveau de 28 600 $ atteint en juin, le bitcoin a gagné environ 88 %. Glassnode estime que le bitcoin a connu une augmentation de l'activité sur le réseau de blockchain au cours de la première semaine d'octobre, ce qui suggère que la nouvelle demande commence à entrer au quatrième trimestre. L'Ethereum a connu des sorties mineures totalisant 14 millions $, alors qu'il continue de perdre des parts de marché au profit du bitcoin. D'autres altcoins tels que solana et cardano ont enregistré des entrées de 12,5 millions $ et 3 millions $, respectivement. Alors que d'autres jetons numériques, à savoir polkadot, ripple et litecoin ont affiché des sorties de fonds. Pétrole (WTI) Pétrole Les cours du pétrole sont restés proches de leurs plus hauts sur la séance d’hier, portés par un sentiment d’une offre restreinte. Le prix du baril de Brent de la mer du Nord pour livraison en décembre recule de 23 cents ou 0,3% par rapport à la clôture de la veille, à 83,42 $ à Londres. A New York, au terme d'une séance volatile, le WTI pour le mois de novembre a grappillé 12 cents ou 0,1% à 80,64 $. Le WTI se maintient au-dessus du seuil symbolique des 80 $, malgré le renforcement du dollar qui handicape d'ordinaire la montée des cours du pétrole. Le prix du brut était aussi tiré par celui des contrats sur l'essence, qui ont terminé en hausse. Après une folle semaine qui l'aura vu battre mercredi un record historique à 162,12 € le mégawattheure (MWh), le marché de référence du gaz européen, le TTF (Title Transfer Facility) néerlandais, a grappillé 0,6% à 85,69 €, un prix cependant trois fois supérieur à celui de mi-juin. La cheffe économiste du FMI, Gita Gopinath a estimé pour sa part que les prix de l'énergie devraient cesser de baisser d'ici la fin du 1er trimestre 2022.
Les « news Market Mover » Gazprom a commencé à puiser dans ses réserves de gaz naturel pour augmenter ses livraisons à l’Europe. Banque centrale : une hausse des taux directeurs de la BoE de plus en plus probable après les chiffres de l’emploi de septembre, la BCE doit adapter son programme APP si le PEPP est progressivement éteint selon M. Villeroy de Galhau, les membres du FOMC annoncent le tapering pour début novembre ! Gazprom a commencé à puiser dans ses réserves de gaz naturel pour alimenter son réseau de distribution et tenter de stabiliser les prix, a déclaré mardi le vice- ministre russe des Affaires étrangères. Dans une interview à la BBC, Sergueï Riabkov a rejeté les soupçons selon lesquels la Russie restreint ses livraisons de gaz à l'Europe. Un groupe d'eurodéputés a demandé à la Commission européenne d'enquêter sur le rôle éventuel joué par Gazprom dans la flambée actuelle du prix du gaz. Ces parlementaires soupçonnent le géant gazier russe de manipulation de marché afin d'exercer des pressions sur les Européens pour qu'ils acceptent une mise en service rapide du nouveau gazoduc Nord Stream 2 entre la Russie et l'Allemagne. Deux membres de la banque centrale américaine ont déclaré, hier, que le rythme du programme d'achat d'obligations devait être réduit, confirmant les attentes d’un tapering dès le mois prochain. De nouveaux progrès substantiels ont été réalisés par l’économie et les objectifs sur les prix ont été atteints et sont « pratiquement respectés » ce qui concerne l'emploi a déclaré Clarida dans des remarques préparées à l'Institute of International Finance. L'économie s'est renforcée et « les conditions sur le marché du travail ont continué de s'améliorer », a déclaré Clarida, bien qu'il ait noté que la pandémie continue de peser sur l'emploi et la participation. Il a répété que la banque centrale, lors de sa dernière réunion, avait convenu que la réduction des achats « pourrait bientôt être justifiée » et se terminerait probablement au milieu de l'année prochaine. Plus tôt, le président de la Fed d'Atlanta, Rafael Bostic, a déclaré que le rapport sur l'emploi du mois dernier montrait des progrès suffisants et qu’il approuvait un tapering en novembre : « Je serais à l'aise à partir de novembre » a-t-il déclaré dans une interview au Financial Times ; « Je pense que des progrès ont été réalisés, et plus tôt nous avancerons, mieux ce sera ». Enfin, Clarida a été clair : si l'inflation ne commence pas à baisser l'année prochaine, comme la plupart des membres du Fed s'y attendent toujours, la banque centrale pourrait être contrainte de relever les taux d'intérêt, avant que le marché du travail ne soit complètement « guéri ». « Les risques pour l'inflation sont à la hausse », a reconnu Clarida, mais les anticipations d'inflation restent ancrées : « La grande inconnue à l'heure actuelle est le temps qu'il faudra pour que ces effets de goulot d'étranglement se répercutent. (…) Mon scénario central n'est pas pour la stagflation à moyen terme ». La BCE devrait conserver en partie la flexibilité que lui offre actuellement son Programme d'achats d'urgence face à la pandémie (PEPP) lorsqu'elle renouera avec une politique plus conventionnelle, a déclaré mardi François Villeroy de Galhau, l'un des membres du Conseil des gouverneurs de l'institution. « L'APP pourrait bénéficier, davantage encore que d'une augmentation des volumes fixés, de l'adjonction d'une certaine forme de flexibilité des achats au cours du temps », a déclaré François Villeroy de Galhau. Le PEPP offre à la BCE davantage de souplesse dans ses achats d'actifs, qu'il s'agisse de leur catégorie, du volume et du calendrier, par rapport à l'APP, créé antérieurement et fixé à 20 milliards par mois.
L'emploi salarié en Grande-Bretagne a augmenté en septembre à un niveau record, peu avant la fin du programme de chômage partiel financé par le gouvernement, ce qui pourrait encourager la Banque d'Angleterre (BoE) à aller de l'avant vers un premier relèvement de ses taux d'intérêt. L'emploi salarié a cru de 207.000 le mois dernier par rapport à août, une croissance inédite depuis 2014, à la faveur de créations de postes dans l'hôtellerie et la restauration et d'une forte demande des employeurs qui ont notamment sollicité les agences d'intérim. Sur la période juin-août, le salaire hebdomadaire moyen a augmenté de 7,2% comparé à la même période de 2020, mais il a ralenti par rapport à une hausse précédente de 8,3%. Hors primes, la hausse est de 6,0%. Selon l'Office national de la statistique (ONS), le rythme sous-jacent de la croissance des salaires, en tenant compte de la manière dont les pertes d'emplois pendant le confinement ont affecté principalement les salariés les moins bien payés, se situe plutôt entre 4,1% et 5,6% en termes nominaux. Avant la crise sanitaire, ce rythme était d'environ 3%. en collaboration avec Ce document est un extrait du Morning Economique d’Aurel BGC/Altair Economics et peut être considéré comme un avantage non- monétaire mineur. Il ne contient aucune recommandation d’analyste mais a pour but de résumer des informations publiques. Il est également disponible gratuitement et sans limitation sur le site internet d’Aurel BGC. Disclaimer Ce document d’information s’adresse exclusivement à une clientèle de professionnels et d’investisseurs qualifiés. Bien que les informations exposées dans ce document proviennent de sources considérées comme dignes de foi, Aurel-BGC et ses filiales n’en garantissent ni l’exactitude, ni l’exhaustivité, ni la fiabilité. Les opinions et appréciations peuvent être modifiées ou abandonnées sans avis préalable. Aurel-BGC n’est pas dans l’obligation de mettre à jour les informations contenues dans ce document. Les calculs et évaluations présentés ont pour but de servir de base à nos discussions. Vous vous engagez à effectuer de façon indépendante votre propre évaluation de l’opportunité et de l’adaptation à vos besoins des opérations proposées, notamment en ce qui concerne les aspects juridiques, fiscaux et comptables. En outre, ce document ne peut être considérée comme une offre ou une sollicitation de souscription, d’achat, de vente ou de prêt de valeurs mobilières ou autres instruments financiers et n’a pas vocation à servir de base à un quelconque contrat. La responsabilité d’Aurel- BGC ne saurait être engagée, en cas d’erreur ou d’omission de la part de la Recherche crédit d’Aurel-BGC, ou en cas d’investissement inopportun de votre part. Aurel-BGC peut entretenir ou avoir entretenu des rapports avec les entreprises concernées par le présent document ou leur avoir fourni des services d’investissement. Occasionnellement, Aurel-BGC, ainsi que ses collaborateurs (autres que les auteurs de ce document) peuvent détenir des positions sur les instruments mentionnes dans le présent document. Aurel-BGC et ses filiales ou les personnes qui y sont associées peuvent avoir une position acheteuse ou vendeuse sur des valeurs mobilières ou autres instruments financiers auxquels il est fait référence ici. Aurel-BGC n’est pas dans l’obligation de mettre à jour les informations contenues dans ce document. Aurel-BGC dispose et gère des procédures de « barrières à l’information » pour prévenir et éviter les conflits d’intérêts eu égard aux recommandations d’investissement. Ces procédures peuvent être détaillées sur demande auprès du Responsable de la conformité des services d’investissement. Ce document étant la propriété d’Aurel-BGC et/ou d’une de ses filiales, toute reproduction même partielle ou divulgation à des tiers est interdite sans l’autorisation préalable d’Aurel-BGC. Le présent document n’est pas destiné à une clientèle privée. Ce document ne peut pas être diffusé en dehors de l’Union Européenne. Ce document ne peut être distribué dans cette forme à quiconque aux Etats-Unis. BGC Financial L.P., société de droit américain du groupe BGC Partners assure la distribution de la recherche d’Aurel BGC auprès des « major US institutional investors ». Aurel BGC, filiale du groupe BGC Partners, est une entreprise d’investissement réglementée par l’Autorité de Contrôle Prudentiel et de Résolution, ainsi que par l’Autorité des Marchés Financiers. Un avertissement complet sur les activités de recherche d’Aurel BGC se trouve sur www.aurel-bgc.com Copyright © Aurel-BGC, 2021, Tous droits réservés.
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