7 Bonne Année - Modèle Assia Sever - Photographe Pascal Martin - Janvier 2015 - GOLD 10
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- Janvier 2015 - Envoi sur demande à anny.dimelow@telenet.be - N° 217 Beauté & Elégance Modèle Assia Sever - © Photographe Pascal Martin - Janvier 2015 Bonne Année Prestige
Cuisine thaï La Thaïlande a toujours représenté le rêve et l’exotisme. Ah, l’Asie et ses paysages merveilleux, la gentillesse de ses habitants et leur visage toujours souriant. Il y a aussi sa cuisine aux mille saveurs, promptes à laisser un goût fait pour perdurer sur la langue et le palais. Authentique restaurant thaïlandais, L’éléphant bleu a su combiner les mets traditionnels et l’attente d’une clientèle européenne, sans rien trahir du savoir-faire séculaire, transmis de génération en génération. A la tête de l’établissement, on retrouve une femme déterminée, qui se ne laisse rien conter et qui mène son entreprise avec un professionnalisme à toute épreuve, au point que certains l’ont parfois comparée à un Pierre Wynants de chez nous. Au départ de l’aventure, les plus fidèles clients savent qu’une belle histoire d’amour a scellé le destin de Karl Steppé, un féru d’Asie, et de Nooror Somany. L’idée de concevoir un restaurant 100% ancré dans la tradition a fort vite germé. Deux autres couples thaïlandais ont fort vite décidé de les rejoindre pour embarquer dans une belle
aventure. Pour séduire un public citadin, il incombait de leur offrir du dépaysement sans buter contre les stéréotypes. Le cadre devait être optimal, à la fois exotique et universel. Une belle demeure située chaussée de Waterloo ne pouvait pas mieux les satisfaire. Directement séduits, les patrons ont choisi de l’aménager en tenant compte du goût de chacun, sans barioler l’ensemble, sans surcharge et sans effets kitch. Il fallait que les murs fassent authentiques, même si tout le monde sait qu’il entre dans un quartier huppé de la capitale, là où chacun sort avec une belle toilette et ne répugne pas à garer une belle mécanique. Outre l’accueil et la décoration, « L’éléphant bleu » tient l’essentiel de sa réputation à sa carte aux mille embranchements. A côté de buffets somptueux, elle offre des avancées gourmandes dans l’univers de la gastronomie thaïlandaise avec des viandes préparées avec des épices que nous utilisons peu chez nous, ainsi que des poissons et des crustacés d’une fraîcheur exceptionnelle. Pour ceux qui ne se sont jamais familiarisés avec ces plats, le personnel se fera un plaisir de suggérer tel ou tel menu « découverte », qui s’adapte aux goûts de tout un chacun. Les plats relevés peuvent être compensés par des saveurs d’une douceur surprenante. Au fil du temps, « L’éléphant bleu a acquis une réputation non usurpée. La facilité de l’usage des euphémismes pourrait nous pousser à écrire qu’il s’agit du meilleur restaurant thaïlandais de la capitale. Comme toujours, pour se forger un avis, l’idée consiste à aller l’essayer soi- même. Comme on dit ! Blue Elephant 1120 chaussée de Waterloo à 1180 Bruxelles Tél :02.374.49.62 Anny Dimelow
L’ART DE PRENDRE SOIN DE SON DIAMANT 5 astuces pour une femme avertie Ce n’est pas parce que votre diamant est éternel qu’il ne mérite pas un entretien régulier ! C’est à l’occasion des fêtes de fin d’année que ces Mesdames sortent leur plus belles parures, qui, bien souvent, ont besoin d’un petit coup d’éclat. Prendre soin d’une pierre précieuse est un art et nombreuses sont celles qui n’osent pas manipuler la pierre, ne savent pas quels produits utiliser (ou pas !), et sont réticentes à confier la pierre à un bijoutier inconnu. Le diamant est, certes, inaltérable, toutefois la pierre peut perdre de sa brillance avec le temps, attirer la poussière ou se ternir par la pollution ou le frottement. Aujourd’hui Raphael Ringer, fondateur de Jardin de Diamants, révèle les secrets de l’entretien du diamant au quotidien – des conseils simples, faciles et de bon sens, qui sont toutefois essentiels à la brillance et la beauté de la pierre.
« La plupart des femmes avouent ne pas savoir comment prendre soin de leur diamant et ne savent pas en qui avoir confiance. Pourtant quelques conseils de grand-mères sont toujours d’actualité, nettoyer un diamant soi-même n’est pas si difficile » explique Raphael Ringer. Rappel en cinq points. A vos bloc- notes et surtout, vos chiffons. 1. Utilisez du savon et une brosse à dent: tous les deux à trois mois, nettoyez le diamant avec simplement un savon doux et une brosse à dent en quelques minutes. La brosse à dent vous permet d’atteindre les petits endroits inaccessibles. Rincez à l’eau tiède et séchez avec un chiffon doux ou une peau de chamois. Une méthode très simple mais étonnement efficace. 2. Vérifiez les griffes de la monture une fois par an : au fil du temps les griffes de la monture peuvent se relâcher et la pierre a tendance à bouger. Il est fortement recommandé de s’adresser à votre joailler de confiance pour contrôler la solidité de la monture et resserrer les griffes si nécessaire. Votre bijoutier nettoiera la pierre et la monture par la même occasion. 3. Choisissez le bon vêtement : la monture du diamant comporte souvent des griffes dans lesquelles s’entremêlent les fils de laine, cashmere, angora, fourrure et autres tissus qui ont tendance à pelucher. Enfilez d’abord votre pull/veste puis votre bague/parure/bracelet. 4. Ne pas utiliser d’eau de javel ou autres produits corrosifs ou encore huileux : les produits corrosifs, même s’ils ne vont pas abîmer le diamant, pourraient altérer la monture. Evitez d’exposer votre diamant aux produits cosmétiques ou huileux (gels, laques, crème solaire etc…) qui risquent de le ternir. 5. Au quotidien : rangez votre diamant et vos pierres précieuses dans des écrins séparés de vos autres bijoux, vos bijoux risquent de se rayer entre eux. Retirez vos bijoux lors de tâches importantes tels que ménage, travaux, jardinage, déménagement, le diamant risque de cumuler résidus et impuretés. Heureuses propriétaires d’un diamant, quelque soit sa taille et sa valeur, tout diamant mérite un entretien de luxe, à la hauteur de la valeur non seulement économique mais surtout sentimentale du précieux bijou.
ISIO 4 LESIEUR à l'heure de la cuisine thaïe au BLUE ELEPHANT de BRUXELLES Unanimement considérée comme faisant partie d’une des traditions gastronomiques les plus raffinées du monde, la cuisine thaïlandaise est également une des plus saines qui se puisse imaginer. Les nombreux légumes et herbes mis en oeuvre dans cette pratique alimentaire aussi haute en parfums qu’en saveurs contribuent largement à une diététique aussi équilibrée que plaisante au palais. Quoi de plus naturel que d’y associer les huiles ISIO 4 et ISIO 4 Olive de Lesieur ? Présentant un profil lipidique très performant grâce à leur composition unique, celles- ci présentent en outre la caractéristique de respecter la saveur des aliments qu’elles accompagnent. ISIO 4 et ISIO 4 Olive : un mariage idéal avec la cuisine asiatique Embarquement immédiat pour une découverte culinaire réussie : ISIO 4 et ISIO 4 Olive se marient idéalement avec la cuisine asiatique et thaïe en particulier. Voilà pourquoi, en association avec le célèbre restaurant thaïlandais Blue Elephant et son executive chef Sathit « Joe » Srijettanont, ces huiles de qualité se mettent aujourd’hui en scène dans une déclinaison de recettes aussi dépaysantes que délicieuses.
Sushi Daily poursuit son expansion et ouvre son 300ème kiosque à Las Palmas aux îles Canaries Sushi Daily, la marque spécialiste du sushi intégrée au cœur des grandes surfaces Carrefour Market et Carrefour Planet poursuit son développement et franchit la barre des 300 kiosques en s’installant à Las Palmas aux îles Canaries. Elle poursuit également son expansion en Belgique avec de nouvelles ouvertures prévues en fin d’année et au cours de l’année prochaine. Déjà implantée en Belgique, France, Espagne, Italie, Pays-Bas et Allemagne, Sushi Daily annonce son arrivée aux îles Canaries, au sein de l’enseigne Carrefour à Las Palmas. Avec l’ouverture de ce 300ème kiosque, les Artisans du Sushi réaffirment leur volonté d’offrir une cuisine créative de qualité et confirment le succès de ce concept innovant. Journée internationale du Chocolat Pour la deuxième année consécutive, Bruxelles accueillera le Salon du Chocolat avec cette fois, une surface de plus de 6000 m² consacrée au chocolat sous toutes ses formes. De quoi offrir aux exposants et aux visiteurs un plus grand confort, notamment par les facilités d’accès et de parking du site. Encore plus d’artisans, de conférences, d’ateliers, de démonstrations, pour ravir petits et grands ! Durant 3 jours, rendez-vous au Palais 1 de Brussels Expo à Bruxelles pour des dégustations et démonstrations exceptionnelles. Du 6 au 8 février 2015 http://brussels.salon-du-chocolat.com
Record du monde à Bruxelles Une planche crayonnée de Hergé vendue à 355.000 € à Bruxelles ! Mis aux enchères à Bruxelles chez « Banque Dessinée », un double crayonné de Hergé a été vendu à 280.000 € (355.000 €, frais compris). Un prix jamais atteint pour une double planche crayonnée de l’auteur belge. Cette double planche recto verso à la mine de plomb était destinée à préparer « Les Bijoux de la Castafiore » en 1963. Elle illustre la méthode de travail de l'artiste qui s'attaque à la mise en place des décors, des dialogues et des personnages, et permet de comprendre les évolutions qui conduisent aux planches encrées définitives. A ce jour, le meilleur score pour un double crayonné de Hergé était de 240.000 €, hors frais. Il s’agit donc d’un record du monde pour cette œuvre exceptionnelle signée par le génial créateur de Tintin.
MAQUILLAGE : POURQUOI LE BRÉSIL EST-IL UN MARCHE A PART ! On le sait tous les feux sont au vert concernant l’évolution du secteur du maquillage au Brésil. Mais attention, ce marché est loin d’être aussi simple qu’il y paraît. Il est bien différent des autres grands marchés mondiaux que sont l’Europe, les Etats-Unis et l’Asie. Les habitudes de consommation, la culture, le climat sont autant de facteurs qui influencent les femmes brésiliennes dans leur approche du « paraître ». Trop de maquillage et vous serez vite catalogué comme la caricature d’un « clown » de cirque. Oui ! Vous avez bien lu, un « clown » ! Le mat règne en maître dans ce pays de deux cent millions d’habitants dont une bonne centaine de millions de femmes. Maquillage, skin care, la frontière est extrêmement étroite pour les brésiliennes. Source Beauteam Le fond de teint a fêté ses 100 ans ! Max Factor est une marque de cosmétiques américaine, créée par Maksymilian Faktorowicz (1877-1938). Maksymilian Faktorowicz était maquilleur artistique à Hollywood, d’origine juive polonaise. Son entreprise Max Factor & Company a été fondée en 1909 et est devenue, tout comme sa marque de cosmétiques et son fondateur, une vraie légende dans le monde du maquillage. Jusqu’en 1973 Max Factor & Company s’est développée à l’international, et depuis 1991 la marque appartient au groupe Procter & Gamble Co. Max Factor a une longue tradition dans le domaine du maquillage artistique qui remonte à plus de 100 ans. La carrière de Maksymilian Faktorowicz en tant que précurseur dans l’industrie beauté a commencé en Russie avec l’ouverture d’un magasin pour produits capillaires et de beauté, et à Hollywood avec l’invention du premier maquillage pour film "Flexible Greasepaint". Au contraire des produits qui existaient jusqu’alors et que Max Factor trouvait "tout simplement terribles", ce maquillage conférait aux acteurs un air naturel. Le premier vrai fond de teint était créé. Ce sont les 100 ans de ce fond de teint révolutionnaire que nous fêtons cette année. Source : beautypress
L'école belge de majordomes est reconnue par la famille royale britannique La « School for Butlers and Hospitality », l'école belge de majordomes à Bruxelles, a récemment reçu la prestigieuse reconnaissance de City & Guilds à Londres. Cette organisation est connue internationalement pour la reconnaissance de formations de haut niveau et constitue une référence unique pour des milliers d'employeurs à travers le monde. « Grâce à cette certification, notre école de majordomes se place au même niveau que les majordomes de la maison royale britannique. Il y a quelques années, à la demande de la Reine, le majordome en chef du palais de Buckingham a mis au point une formation de majordomes destinée à garantir un niveau élevé », déclare Vincent Vermeulen, le directeur de l'école belge de majordomes. « Le programme a été peaufiné en collaboration avec l'université de West London et le célèbre hôtel Savoy. Jusqu'il y a peu, les écoles de majordomes n'étaient pas reconnues. Mais grâce à l'important travail que notre équipe a fourni en vue d'obtenir cette reconnaissance, la situation évolue », indique le directeur. Les anciens et futurs étudiants peuvent obtenir ce certificat en suivant un module complémentaire, qui vient s'ajouter au diplôme que l'école délivre déjà. Tradition britannique City & Guilds est une organisation créée il y a plus de 135 ans. Elle a reçu pour la première fois le sceau royal de la Reine Victoria et c'est la Princesse Anne, la fille de la Reine Elisabeth, qui en est actuellement la présidente. L'organisation est réputée pour la reconnaissance de formations pour différents niveaux. La formation de majordomes est de niveau 3, ce qui correspond à un niveau universitaire et les étudiants peuvent y renforcer leurs qualités de leadership.
« Notre formation de majordomes en quatre semaines est déjà très intensive mais, à présent, nous allons intégrer plusieurs sujets passionnants conformément à ce programme de qualité. Les étudiants apprendront par exemple à manipuler et nettoyer les armes de chasse et à entretenir des meubles anciens uniques », déclare Boudewijn Van Lotringen, majordome en chef de l'école. « Non seulement le contenu des cours est unique, mais c'est aussi le cas du système d'apprentissage », poursuit M. Van Lotringen. « Dorénavant, nous appliquons une méthode spécifique d'évaluation et de suivi des étudiants, entièrement conforme aux normes de City & Guilds ». Première mondiale La School for Butlers and Hospitality à Bruxelles est à présent le premier institut en dehors du Royaume-Uni qui soit mentionné sur la brochure internationale de City & Guilds. Dans les mois à venir, de nouvelles levées de majordomes participeront aux formations en Belgique et à l'étranger. « De plus en plus d'étudiants internationaux s'inscrivent à notre école ; par exemple, lors de la dernière formation en date, nous avons enregistréla participation d'un étudiant du Mexique et, lors des prochaines formations, nous accueillerons notamment des majordomes venus de France, du Maroc et de Grèce », ajoute Vincent Vermeulen. L'ambition de l'école ne s'arrête cependant pas à la formation de majordomes. La School for Butlers and Hospitality organise également des ateliers sur le comportement que doit avoir un gentleman, le coaching de vente, des formations pour le personnel de vol et même des séminaires pour des particuliers. Et pourquoi ne pas accueillir vos invités avec le style que confère un majordome pendant les fêtes...?
La gagnante de Miss France 2015 est Camille Cerf, Miss Nord-Pas- de-Calais FRANCE - La France a trouvé sa nouvelle Miss. Camille Cerf 20 ans, Miss Nord-Pas-de-Calais, a remporté le concours Miss France 2015 qui s'est déroulé ce samedi 6 décembre 2014 au Zénith d'Orléans. Elle succède ainsi à l'Orléanaise Flora Coquerel et offre pour la première fois à sa région le titre de Miss France. Miss Nord-Pas-de- Calais a ainsi devancé Miss Tahiti, sa première dauphine, et Miss Côte d'Azur, 2e dauphine. Les Miss Aquitaine et Alsace ont été couronnées respectivement 3e et 4e dauphines, au terme du vote des téléspectateurs lors du 68e concours Miss France. Camille Cerf était la grande favorite des internautes avant même la soirée de l'élection. Le jury qui était présidé par Patrick Bruel n'a pas eu facile dans son choix, mais en définitive ce sont les télespectateurs qui ont eu le dernier mot. Christian Bouvy
Mademoiselle Lola, une gamme glamour . Son coloris prune dévoile une féminité à l'esprit rétro. Un tulle élastique et une dentelle de coton foisonnée à la main... Une pure merveille... VELA LINGERIE : 0488 42 13 60 NOUVEAUTÉ Miss Europe - OPTEZ POUR LA MANUCURE CONFETTIS ! Un air de fête chic s’invite sur vos ongles avec la nouveauté Miss Europe : les kits de Vernis Confettis ! Ces vernis à la base transparente sont remplis de particules qui rappellent ces petits bouts de papier que l’on jette en l’air lors des grands évènements. évène Ils permettent d’obtenir un rendu nail art à la fois original et élégant. Chaque kit est composé d’un duo pour ongles, à utiliser ensemble ou séparément selon les envies. Source beautypress
Jean Pierre KOTCHIAN Il y a quelques jours, une élue me demandait, dans cette aventure, quels étaient pour moi les plus belles rencontres ??? Sans hésitation, si je dois en retenir une c’est celle avec Jean Pierre KOTCHIAN, au delà de son talent, c’est l’homme que j’apprécie, il résume ma philosophie l’humain avant tout. Jean Pierre est né à Saint-Etienne le 20 septembre 1955, très vite il se passionne pour les arts et dès l’âge de huit ans il observe les couleurs et les formes que la nature lui offre. Au cours d’une visite à Paris en compagnie de ses parents, il s’arrête devant les fresques du panthéon dont une plus particulièrement » le martyr de st Denis » par Léon BONNAT, c’est une véritable révélation. Sa passion pour la peinture, l’imaginaire, le fait petit à petit glisser dans une autre ouverture d’esprit à travers le monde de l’astronomie. C’est un domaine qui, pour lui, permet de rêver. Il sort d’un conformisme régulant les pensées d’un contexte de vie qui lui est imposé. Né d’un milieu modeste dans une ville ouvrière, son destin devait être tracé. Etudes de mécanique, l’usine, il ne pouvait s’épanouir. Alors il engrangeait des idées, inventait des échappatoires. Pendant des années, il navigue au gré d’une société qu’il repousse. Il rentre dans l’administration policière en 1977. Il se retrouve affecté à LYON. C’est une chance pour lui. La capitale des Gaules foisonne d’intérêt. Il commence par les visites de musées, de galeries de peinture. Le dessin commence à envahir ses moments de libre. Pas beaucoup de révélation, mais un plaisir de comprendre les formes et couleurs qu’il a si souvent observées. En 1983, retour à Sainté, en 1987 Jean-Pierre loue un appartement rue Liogier. En plein divorce il essaie de se reconstruire. Il décide de concrétiser son intérêt pour la peinture et le rêve. Il commence à peindre. Son premier tableau le château lui vaut quelques critiques constructives de la part de ses amis. Alors encouragé, il poursuit son évolution. Il croise le chemin de Gérard VOULOUZAN lui-même peintre. Ce dernier l’aide à emménager dans son nouvel appartement. Et observant les lieux, VOULOUZAN découvre les peintures de Jean Pierre. Il lui organise une première exposition au musée de la Mine à VILLARS. Dès lors,
Jean pierre se met au travail. Il enchaine expositions sur expositions. Sa production s’affine petit à petit et son centre d’intérêt pour le surréalisme est de plus en plus fort. Il côtoie dans ses journées, DALI, MAGRITTE, TANGUY et bien d’autres peintres encore. C’est le début d’une longue histoire d’autodidacte. En 1991 rencontre avec les Artistes de France et Maurice Schoppig président de l’association. Cette étape aura été très importante. De nombreuses critiques lui valent d’être en forte progression. Au cours de l’année 1992, lors d’une exposition au caveau de St Galmier, il fait la connaissance de Jean CHEVAUCHET peintre parisien qui ne fera que l’encourager à continuer dans ses recherches et ce dernier ne manquera pas de donner quelques conseils au cours de multiples rencontres. En 2013 lors d’une exposition il m’invite à Rochetaillée, et je tombe sous le charme des tableaux d’abord et de l’homme ensuite, il expose aujourd’hui au NEC de Saint Priest en Jarez, après une belle consécration en septembre dernier, le 1er prix de peinture à la journée des peintres à Rochetaillée 2014. www.lestephanoisalacasquette.fr contact 07.81.66.41.57 rendez vous le 15 mai 2015 à 20 H. Chivas 12 'Made for Gentlemen' by Bremont La célébration de l'artisanat, du style et de la générosité L’artisanat, le style et la générosité sont au cœur de la nouvelle collaboration entre Chivas Regal et la marque horlogère britannique de renom, Bremont. Connue pour la fabrication de chronomètres magnifiquement et ingénieusement conçus, Bremont a collaboré avec Chivas pour concevoir la dernière édition limitée Chivas 12 Made for Gentlemen by Bremont ainsi que des montres ‘Chivalry’ collector qui célèbreront l'excellence et la précision du luxe.
La cité du dragon Rien ne devait amener madame Liem à ouvrir un restaurant dans la capitale. La vie pousse parfois les gens à dévier de leur parcours initial pour s’engouffrer dans une voie qui ne leur semblait pas destinée. Bien que Chinoise, la future patronne de « La cité du Dragon » est née à Saïgon, parce que ses parents avaient fui le communisme. Ils y exerçaient le métier de commerçants. Pour suivre des études supérieures, elle débarque à Liège et empoche un diplôme universitaire. La situation politique s’étant entre-temps détériorée au Vietnam, elle choisit de ne pas y retourner et de tout mettre en œuvre pour permettre aux siens de la rejoindre en Europe. Pour eux, que faire dans un pays où on ne connaît pas grand-chose ? Comment faire reconnaître leurs talents ? Malgré la suggestion d’être engagée dans le domaine des finances, l’idée d’ouvrir un restaurant s’impose lentement telle une évidence. Dans une ville de plus en plus hétéroclite, pourquoi ne pas essayer de vivre en faisant découvrir la véritable cuisine cantonaise ? La maman de madame Liem a toujours été admirée par ses proches pour ses dons culinaires. L’important restait à établir une carte et à attirer les premiers clients. Selon l’anecdote, les amis et voisins ont servi de cobayes, apportant des avis précieux sur la direction à emprunter. En 1978, « Le Dragon » ouvre ses portes à Liège et connaît rapidement un afflux inespéré, au point de pousser la patronne à ouvrir un deuxième établissement dans la même ville. Poussée par le succès, elle n’hésite pas longtemps avant de monter à Bruxelles et de poser les bases de « La cité du Dragon » que nous connaissons, en n’économisant pas sur la décoration et en cherchant à flatter le regard autant que les sens gustatifs. Il suffit de pénétrer dans les locaux pour être ébahi par l’immense verrière qui laisse couler une lumière foudroyante, le bassin où évoluent des kois lymphatiques et le jardin agrémenté de multiples statues. Naturellement, l’important demeure ce qui passe par la fourchette. Les tables gastronomiques caractérisent le restaurant, dont le maître mot reste la convivialité, avec des mets aussi fins que le canard à la pékinoise, la fondue chinoise ou le cochon laqué. Pour les groupes, chaque vendredi et samedi soir, des buffets permettent aux amis et aux familles de se retrouver pour se détendre la semaine de travail. Sans être outrancièrement sophistiqué, chaque plat met en avant la qualité, la sélection de produits frais et la diversité. Pour plagier, le mot du poète : « Ici, on voyage autant par les yeux que par le goût ». L’ambiance est feutrée et cossue, sans excès, et on ne sort pas déçu. Chaussée de Waterloo 1022 – 1024 à 1180 Uccles www.citedudragon.be Anny Dimelow
Les fils à papa Lorsqu’on écrit « Les fils à papa », on songe directement à tourner sept fois sa langue dans la bouche plutôt que de déblatérer contre quelqu’un ou de raconter des bêtises. En fait, il ne s’agit pas de juger tel homme public entré en politique grâce à son père. La question est de poser un regard le plus objectif sur un restaurant qui se targue d’une enseigne qui se veut autant un clin d’œil qu’un slogan pour insister sur l’hérédité. Non, les patrons ne sont pas entrés en restauration par hasard ! Ils ont suivi le parcours de leurs parents, eux-mêmes restaurateurs. En somme, une espèce de label ou de garantie. Tombés petits dans le métier et motivés à force de voir pratiquer leurs aînés, cela ne suffit malheureusement pas toujours pour réussir. Après moult recherches, ils ont découvert un ancien hôtel de maître et l’ont aménagé pour lui conférer une allure à la fois chic, aimable et chaleureuse. Plutôt que de choisir un mobilier rustique et des peintures murales aux couleurs vives, il ont préféré un design élancé, avec des chaises noires et des tables assorties, des photographies en beau noir et blanc pour orner les vantaux et des spots discrets qui déploient une lumière rayonnante et non agressive. Le métissage culturel est entré dans la cuisine, en ne privilégiant aucune orientation particulière et en refusant toute restriction, pourvu que la qualité soit au rendez-vous et plaise. L’inspiration est née de la fusion de quatre horizons, avec un zeste de spécialités belges, une part de mets français, un chouia d’Italie et des influences asiatiques. Contrairement à ce que certains grincheux pourraient craindre, chaque plat est maîtrisé par le chef qui connaît son job, les ficelles de celui-ci, et qui possède une expérience de nombreuses années dans l’horeca. A la carte, on découvre plusieurs délices dont on ne se lasse jamais de vanter les mérites. Essayez l’américain préparé minute accompagné de frites maison ou les croquettes de crevettes grises de la mer du Nord. Au rayon exotique, pourquoi ne se pas risquer à déguster un panier de dim sum aux scampis ou une portion de boeuf sauté aux pousses de soja, dont vous parlerez longtemps ? Pour les clients pressés, un joli plat du jour les attend à 10 euros. Une formule all in permet également de manger (si réservation préalable) entre 29,50 et 65 euros par couvert. On ne vantera jamais assez le rapport qualité / prix. Aller au restaurant à ce tarif- là est plus qu’un cadeau qu’on s’offre à soi-même en toutes circonstances. Y emmener votre chéri ou vos parents ne vous portera financièrement pas le coup de grâce et ils seront vous remercier comme il se doit. Avenue Gustave Demey, 57 – 1160 Bruxelles 02 374 41 44 www.lesfilsapapa.be Anny Dimelow
A. Lange & Söhne remporte le Bucherer Watch Award 2014 Plébiscitée par le public, la Grande Lange 1 Phases de Lune de A. Lange & Söhne, présentée en janvier dernier au Salon International de la Haute Horlogerie à Genève, a remporté le premier Bucherer Watch Award. Ce prix récompense l’excellence et la créativité en matière de Haute Horlogerie. BENEATH THE MAGIC OF PRECIOUS STONES LIES STUNNING MECHANICAL VIRTUOSITY Frédéric Jouvenot graces the Fine Watchmaking garden with the blossoming of an unprecedented complication: Surya, the world’s first watch to show the hours by means of 12 jumping petals. Crafted in pink sapphires, the latter change colour to depict the cycles of day and night while displaying the upcoming hour and the hour that has just elapsed. Like historical automata, the secret of this spectacular corolla in motion can be found in the most complex mechanism, concealed beneath the central minutes disc. An inner case placed at the heart of the watch comprises a hundred or so parts – including 24 jewels activating the jumping petals – cleverly interacting to create the magic of Surya.
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