Tour de France " entreprises et biodiversité " Session 2014
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Tour de France « entreprises et biodiversité » Session 2014 Ministère de l’écologie, du développement durable et de l’énergie Commissariat général au développement durable Bureau des secteurs professionnels MEDDE – CGDD/SEEIDD/sous directions IDAE 1 Ministère de l'Écologie, du Développement durable, et de l’Énergie www.developpement-durable.gouv.fr
Qu’est-ce que la biodiversité ? La biodiversité, c’est tout le vivant et la dynamique des interactions en son sein. Plus précisément, c’est l’ensemble des milieux naturels et des formes de vie (plantes, animaux, être humains, champignons, bactéries, virus…) ainsi que toutes les relations et les interactions qui existent, d’une part, entre les organismes vivants eux-mêmes, et, d’autre part, entre ces organismes et leurs milieux de vie (océans, prairies, forêts…) 2
La préservation de la biodiversité en quelques chiffres Une enquête du MEDDE parue en 2014 sur l’économie de l’environnement http://www.statistiques.developpement- durable.gouv.fr/publications/p/2101/1256/leconomie-lenvironnement-2012- edition-2014.html Dépense en faveur de la biodiversité en France estimée à 2.2 milliards d’euros en 2012 (+ 4.7 % par rapport à l’année précédente, concerne surtout la gestion des espaces et des espèces) Les acteurs publics sont les principaux contributeurs (3/4 de la dépense) Les entreprises participent à hauteur de 17 % de la dépense (protection de l’air, gestion des eaux usées, traitement des déchets) 4
La biodiversité, un capital pour mon entreprise Enquête du MEDDE menée en 2010 auprès de 3600 entreprises sur les liens unissant l’entreprise à la biodiversité. 1/3 des entreprises ont conscience de leur dépendance vis-à-vis des services fournis par la biodiversité. Qu’entend – on par services rendus par la biodiversité (services écosystémiques)? Notion popularisée par la publication du Millenium Ecosystem Assessment en 2005, programme de travail international conçu pour répondre aux besoins des décideurs et du public en matière d’information scientifique relative aux conséquences des changements que subissent les écosystèmes pour le bien-être humain ainsi qu’aux possibilités de réagir à ces changements. 5
La biodiversité, un capital pour mon entreprise La biodiversité assure 3 types de services à mon entreprise : Un service d’approvisionnement : alimentation, eau, construction, pharmacie… Un service de régulation : prévention des crues et des inondations, régulation du climat par fixation et stockage du CO2… Un service culturel et social : valeur esthétique des paysages, fréquentation touristique, rôle des espaces verts en milieu urbain... 6
La biodiversité, un capital pour mon entreprise Le Millenium Ecosystem assessment a montré que 60 % des 24 services écosystémiques identifiés à l’échelle mondiale étaient dégradés. 20% des récifs de corail de la planète ont disparu et plus de 20% sont dégradés 35% de forêts de mangrove ont disparu 7
La biodiversité, un capital pour mon entreprise L’action d’une entreprise peut impacter les fonctionnalités écologiques, voire les services écosystémiques Exemples : Assèchement de zones humides lors de l’aménagement d’un site industriel : réduction du potentiel de rétention d’eau et augmentation du risque d’inondation Prélèvement d’eau et rejets d’eau chaude dans le milieu naturel : modification des flux liquides, modification de certains habitats Rejets azotés / phosphatés : conséquence sur les services de production aquacole en aval 8
Le projet de loi biodiversité Pourquoi une nouvelle loi ? Répondre aux enjeux majeurs de la perte accélérée de biodiversité en se dotant de principes ambitieux et d’outils efficaces Moderniser le cadre législatif (loi sur la protection de la nature -1976-) Mieux concilier les activités humaines et la biodiversité 9
Le projet de loi biodiversité Genèse Engagements pris dans le cadre de la Stratégie nationale de la biodiversité 2011 – 2020 Engagements pris dans le cadre de la Conférence environnementale 2012 avec une table ronde consacrée à la biodiversité Engagements pris dans le cadre de la Conférence environnementale 2013 avec un table ronde consacrée à la biodiversité marine 10
Le projet de loi biodiversité Les grandes étapes construites autour d’un axe fort : écoute et concertation avec les acteurs Débats en régions co-pilotés par l’Etat et le conseil régional, consultation des instances régionales (dont les entreprises) Consultation du comité de suivi de la SNB, du conseil national pour la protection de la nature (CNPN), du comité national trame verte et bleue (CNTVB), du conseil national mer et littoral (CNML) Consultation du Conseil national de la transition écologique (syndicats de salariés et d’employeurs, CT, associations, élus). 11
Le projet de loi biodiversité Contenu Loi divisée en 6 grands titres Principes fondamentaux (services rendus par les éco-systèmes, ERC sont renforcés par leur inscription dans la loi, introduction d’unouveau principe : solidarité écologique) Gouvernance Agence française de la biodiversité Accès aux ressources génétiques et partage des avantages (APA) Espaces naturels et protection des espèces Paysages 12
Le projet de loi biodiversité Ce qui change … Une vision dynamique qui s’appuie sur une approche écosystèmique « prise en compte de l’interdépendance des écosystèmes et des êtres vivants, dont l’humain, entre eux et avec les milieux naturels ou aménagés, dans toute prise de décision publique ayant une incidence sur les écosystèmes » La biodiversité n’est plus opposée à d’autres domaines. Exemple : création des zones de conservation halieutique où l’on protège la ressource mais également les fonctions liées à cette ressource ( reproduction des espèces, alimentation humaine, mais aussi les activités économiques…) 13
Le projet de loi biodiversité Ce qui change … Une gouvernance simplifiée Le projet de loi propose une simplification des instances administratives nationales pour les rendre plus lisibles et plus efficientes, en distinguant bien les instances d’expertise scientifique et technique, des instances de débat et de discussion. 3 instances : Le comité national de la biodiversité (instance d’échange sur les orientations stratégiques composée des parties intéressées - dont les entreprises - par la biodiversité) et des comités régionaux de la biodiversité créés dans chaque région (à la place de comités TVB) Conseil national de protection de la nature (instance d’expertise scientifique et technique) L’agence française de la biodiversité 14
L’agence française pour la biodiversité Rôle de l’AFB Sur le modèle de l’ADEME, appui technique ou financier à l’ensemble des acteurs concernés (publics ou privés) Appui à la gestion des espaces naturels et à l’exercice de la police de l’eau de la nature et des milieux aquatiques Représentation internationale au sein des instances techniques Développement de la connaissance via des programmes d’études, de recherche, de prospective 15
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Focus sur la composition de l’Agence française de la biodiversité 4 opérateurs intégrés… ONEMA (office national des eaux et des milieux aquatiques) Agence des aires marines protégées Etablissement public des parcs nationaux de France Groupement d'intérêt public "Atelier technique des espaces naturels". …des opérateurs rattachés (parcs nationaux) et des opérateurs associés : Museum national d’histoire naturelle, office national de la chasse et de la faune sauvage… 17
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Focus sur la composition de l’Agence française de la biodiversité Le 29 octobre dernier la ministre a annoncé la mise en place de l’équipe de préfiguration de l’agence. L’équipe sera dirigée par Olivier Larroussinie, directeur de l’Agence des aires marines protégées. Elle sera également composée de Gilles Boeuf, président du Muséum national d’histoire naturelle, qui en sera le conseil scientifique, et d’Annabelle Jaeger, présidente de l’Agence régionale pour l’environnement et l’écodéveloppement dans la région Provence-Alpes-Côte d’Azur, qui apportera son expérience d’animation des politiques territoriales. Le projet de future agence sera parrainé par l’astrophysicien Hubert Reeves. Calendrier fixé par la ministre : « installation avant fin 2015 ». 19
Le projet de loi biodiversité Focus : ce qui change pour les entreprises La biodiversité n’est plus opposée au secteur économique (création des zones de conservation halieutique et principe de complémentarité entre écologie et agriculture) 20
Le projet de loi biodiversité Focus : ce qui change pour les entreprises La biodiversité intègre l’analyse économique : services rendus par les éco- systèmes, biodiversité source d’innovation et d’emplois (capital économique à préserver) Une sécurité juridique renforcée pour les entreprises avec le dispositif d’accès et de partage des avantages (APA) découlant de l’utilisation des ressources génétiques (Titre IV du projet de loi) : des entreprises moins vulnérables aux accusations de biopiraterie, des approvisionnements sécurisés 21
Le projet de loi biodiversité L’accès aux ressources génétiques et partage des avantages (APA) Contexte international : - Convention sur la Diversité Biologique, en vigueur depuis 1993 - Protocole de Nagoya signé par la France en 2011, à ratifier en 2015 - Règlement européen voté en avril 2014, d’application automatique dans tous les Etats membres (mais avec un délai d’1 an) Comment ça marche? Si un projet de recherche & développement (utilisant des ressources génétiques) débouche sur la commercialisation d’un produit : procédure d’autorisation comprenant une description du projet, une caractérisation des avantages issus des ressources génétiques, une proposition de partage des avantages (ex : dispositifs de formation, de structuration d’une filière…). Si absence d’utilisation commerciale: simple déclaration auprès de l’autorité compétente (ministère selon le secteur d’activité) 22
Le projet de loi biodiversité L’accès aux ressources génétiques et partage des avantages (APA) Le MEDDE a mis en place une procédure à caractère volontaire (formulaires de demande d’accès aux ressources génétiques). Si une PME veut anticiper l’impact de la mise en œuvre de l’APA sur un projet de recherche ou de commercialisation, ou pour toute autre question, un contact : apa@developpement-durable.gouv.fr 23
Le biomimétisme Les entreprises du génie écologique ont recours au biomimétisme puisqu’elles s’inspirent de la nature pour restaurer des milieux écologiques. Film sur le génie écologique http://www.dailymotion.com/video/xve5r5_le-genie-ecologique-une-filiere-d- avenir_news#.UaMk90qO5IE 24
Des outils pour mieux prendre en compte la biodiversité Photo 25
Ebevie, un outil pour sensibiliser Ebevie : un outil d'auto-évaluation, gratuit, au service des entreprises (E pour évaluation, B pour biodiversité et E pour entreprise) Ebevie se présente sous la forme d’un parcours organisé en 3 niveaux ( comprendre, évaluer, agir) articulé autour des différentes fonctions de l’entreprise (RH, management, marketing, vente...). A la fin du parcours, des actions à mettre en œuvre sont proposées afin que l’entreprise intègre mieux la biodiversité dans sa stratégie de développement Quels enjeux pour mon entreprise ? comprendre l’intérêt de la biodiversité pour mon entreprise évaluer et limiter les impacts de mon activité sur la biodiversité http://www.developpement-durable.gouv.fr/Evaluez-l- interdependance-de-votre.html 26
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Evaluation des services rendus par la biodiversité Evaluer pour maintenir les services écosystémiques Coût de l’inaction politique en termes de perte de biodiversité et de services écosystémiques d’ici à 2050 évalué à 7 point du PIB mondial (source TEEB). Le MEDDE a engagé en 2012 l’évaluation des services écosystémiques à travers le programme EFESE. Objectif : mesurer les services rendus (une vingtaine de services a été identifiée) d’ici fin 2015. Entreprises consultées (représentées dans le comité de pilotage d’EFESE) Des travaux concluants sur le service de pollinisation avec production d’indices de vulnérabilité par département. Guide en cours d’élaboration pour aider à évaluer les services rendus par les écosystèmes au niveau local. 31
Indice de vulnérabilité de la production agricole au service de pollinisation par département en 2010. Les valeurs présentées explicitent la part de la valeur marchande de la production agricole destinée à l’alimentation humaine dépendant du service de pollinisation. (Données : BD Carto IGN, Agreste, FAO, Inra ; Traitement : CGDD, Cerema) Données Haute Garonne : 3 % / Données Tarn et Garonne : 42.5 % 32
Quelques chiffres sur l’évaluation économique des services rendus À l’échelle internationale, 25 à 50 % des médicaments seraient issus des ressources génétiques sur un marché total de 640 milliards de dollars (convention sur la diversité biologique 2008). En France, le secteur pharmaceutique représente un chiffre d’affaires de 52 milliards d’euros en 2012, 10 % de celui-ci étant consacré à la recherche et au développement. En 2011, le secteur de la biodiversité, de la nature et des paysages regroupait 13 800 emplois(équivalents temps plein). Les effectifs y ont connu une augmentation annuelle moyenne de 3 % entre 2004 et 2011. Il représente une forte valeur ajoutée, soit 1 milliard d’euros. 33
Métiers de la biodiversité La filière du génie écologique Un plan d'action ministériel dédié à la filière vise à favoriser son développement Constitution d’un réseau génie écologique Homologation d’une norme de méthodologie sur la conduite d’opérations de génie écologique en milieux aquatiques Réalisation d’un film de présentation de la filière / Prix génie écologique Création d’un annuaire des entreprises du génie écologique 34
La stratégie nationale pour la biodiversité La stratégie nationale pour la biodiversité (SNB) est la concrétisation de l’engagement français au titre de la convention sur la diversité biologique, ratifiée par la France en 1994. Faisant suite à la première stratégie (2004-2010), la SNB 2011-2020 structurée en 6 orientations stratégiques et déclinée en 20 objectifs, a pour ambition de : Préserver et restaurer, renforcer et valoriser la biodiversité En assurer l’usage durable et équitable Réussir pour cela l’implication de tous et de tous les secteurs d’activité 35
La SNB : un cadre de référence Un cadre cohérent pour que tous les acteurs aux différents niveaux territoriaux et dans tous les secteurs d’activités, puissent contribuer sur une base volontaire, en assumant leurs responsabilités. Trois étapes : Adhésion à la SNB (par une signature de l’entreprise) Engagement volontaire (à partir d’un programme d’actions satisfaisant 10 caractéristiques actées lors de l’élaboration de la stratégie). Des outils : guide pour l’action, fiches d’auto-évaluation Reconnaissance SNB de l’engagement par le Comité national SNB après évaluation (valorisation et communication nationale) 36
Adhérer à la SNB cela signifie Adhérer à la vision, à l’ambition et aux principes de gouvernance de la Stratégie nationale pour la biodiversité (2011-2020) Susciter l’envie d’agir pour la biodiversité / Préserver le vivant et sa capacité à évoluer / Investir dans un bien commun, le capital écologique / Assurer un usage durable et équitable de la biodiversité / Assurer la cohérence des politiques et l’efficacité de l’action / Développer, partager et valoriser les connaissances S’engager à diffuser, promouvoir cette stratégie et ses modalités d’application, par l’information et par la pédagogie au sein de ses réseaux et auprès de ses partenaires / partager les enseignements de ses expériences en faveur de la biodiversité Prendre connaissance et faire connaître les outils proposés par la stratégie, pour s’engager dans l’action / étudier, dans un délai maximal de deux ans, la possibilité et les conditions de mise en oeuvre d’un engagement volontaire, dans le cadre de son activité 37
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Suivi du projet Le rapportage au Comité de la SNB Le porteur rend compte de ce suivi au Comité national de la SNB. Il envoie pour ce faire : •un bilan à mi-parcours •un rapport final en fin de projet. 41
Adhésions à la SNB évolution des adhésions à la SNB 400 350 établis s em ents publics 300 as s ociations de protection de 250 l'environnem ent s yndicats de s alariés 200 150 entrepris es et organis ations profes s ionnelles 100 collectivités territoriales 50 0 adhés ions fin 2012 adhés ions fin 2013 adhés ions prem ier trim es tre 2014 42
PME et SNB Typologie des adhésions à la SNB (mars 2014) collectivités territoriales 13% 12% associations de protection de l'environnement 6% organisations professionnelles 2% syndicats de salariés 8% TPE PME 38% ETI 11% GE 1% 9% établissements publics 43
PME et SNB • Le nombre des entreprises et organisations professionnelles adhérentes à la SNB a progressé de 11% de fin 2012 à fin 2013 et de 9 % de fin 2013 au premier trimestre 2014. • Le nombre de PME adhérentes à la SNB a progressé de 8 % de fin 2012 à fin 2013 et de 22 % de fin 2013 au premier trimestre 2014. • Les PME représentent 8 % des adhésions à la SNB (part comparable à celle des TPE) au premier trimestre 2014. 44
Exemples d’entreprises reconnues « SNB » en 2013 Ciments Calcia : « Système de Management de la Biodiversité (SMBio) » François-Tourisme-Consultants : « Le programme « ECORISMO pour la biodiversité » dans le secteur du tourisme » Les Mazures : « Les Mazures, maison d’hôtes éco-responsable » 45
A vous de jouer! 46
Depuis 2014, Un prix « génie écologique » Prix lancé par l’Astee (association scientifique et technique pour l’eau et l’environnement) et soutenu par le MEDDE, les Agences de l’eau, les Offices de l’eau et l’ONEMA. Sept prix sont décernés dans les catégories suivantes : gestion alternative des eaux usées et pluviales ; prévention du risque d’inondations ; préservation de la ressource en eau potable ; lutte contre les pollutions diffuses agricoles ; préservation des écosystèmes marins ; préservation des écosystèmes aquatiques continentaux. Un grand prix sera également décerné pour récompenser le projet le plus exemplaire. 47
Prix entreprises et environnement Prix Entreprises et Environnement, créés en 1987, ont depuis 2010 une nouvelle catégorie « Biodiversité et entreprises» Objectif pour l’Etat : Reconnaissance, par l'Etat, des entreprises les plus vertueuses et les plus innovantes en matière de biodiversité. Impact pour les entreprises : Retombées médiatiques avec remise des prix par le ministre au salon Pollutec et réalisation d’un film pour le vainqueur de la catégorie biodiversité 48
Prix entreprises et environnement Focus sur l’édition 2013 Environ 50 entreprises ont candidaté dans la catégorie Entreprise et biodiversité. Grand vainqueur Andromède Océanologie avec DONIA : application smartphone qui permet aux plaisanciers ou capitaines de yacht d’éviter d’ancrer dans les herbiers sous- marins de Méditerranée. http://www.dailymotion.com/video/x17xppe_prix- entreprises-environnement-2013-andromede-oceanologie-l-application- smartphone-pour-la-biodivers_news En 2015 : appel à candidatures ouvert entre juin et septembre 2015 49
Mécénat environnemental Trophées du mécénat d’entreprise 2013 : 8 projets récompensés Les « Trophées du mécénat d’entreprise pour l’environnement et le développement durable récompensent des partenariats originaux entre une entreprise et un organisme d’intérêt général (association, ONG, collectivité…). L’édition 2013 a été marquée par la place des projets développés à l’international et l’implication du secteur de la recherche. 5 catégories, parmi lesquelles la biodiversité 50
Mécénat environnemental Dans la catégorie biodiversité Projet lauréat 2013 : le fonds de soutien aux atlas de la biodiversité communale Projet présenté par le fonds de dotation pour la biodiversité et GRTgaz. Objectif : améliorer la connaissance de la biodiversité sur le territoire et son intégration dans les politiques d’aménagement tout en favorisant l’implication des citoyens. Le projet intègre une démarche de solidarité avec notamment les communes rurales. Edition 2015 : dépôt des dossiers entre fin août et fin septembre. Cérémonie de remise des trophées : décembre 2015 51
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