UNE ANNÉE DE DÉVELOPPEMENT DE L'AGRICULTURE - BIOLOGIQUE DANS LE MORBIHAN PAR LE GAB 56 - Agrobio Bretagne
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UNE ANNÉE DE DÉVELOPPEMENT DE L’AGRICULTURE BIOLOGIQUE DANS LE MORBIHAN PAR LE GAB 56
LE GAB 56
LE SPÉCIALISTE DE LA BIO
DU MORBIHAN
2
DOMAINES DE ____
COMPÉTENCES
→ Agronomie
→ Élevage
→ Cultures
→ Règlementation
→ Installation agricole
→ Mise en marché
→ Transformation à la ferme
→ Conseil aux décideurs sur
la transition agricole alimentaire
387
NOS
3 ADHÉRENTS
1
SPÉCIALITÉS NOS
FORCES VIVES
→ La substitution de pratiques en
faveur de l’agro-écologie
→ Le changement global de système
de production
→ La production en agriculture
biologique
→Les circuits de commercialisation
343
PAYSAN(NE)S
24
PORTEURS
21
OPÉRATEURS
maitrisés par les producteurs DE PROJET D’AVAL
→ La restauration collective bio et
locale
→ Accompagnement des collectivités
au déploiement de plans bio
16 11 2
NOS
ACTIONS 4 PAYSAN(NE)S
au conseil
SALARIÉ(E)S STAGIAIRES
d’administration
→ Formations d’agriculteurs
→ Démonstrations matériel
→ Suivi de projets de recherche
→ Organisation d’évènements
→ Mise en place et accompagnement
de filières bio & locales 29 13
→ Accompagnement au mieux ADHÉRENT(E)S ADHÉRENT(E)S
manger référent(e)s sur leur territoire mandaté(e)s par le conseil
mandaté(e)s par le conseil d’administration, pour
→ Défense syndicale des producteurs d’administration. nous représenter dans des
biologiques (aides, cahier des charges,
(dont 13 administrateurs) réunions réseau ou externes,
foncier…)
expert(es) dans leur filière
de production ou sur une
thématique.
2
LA BIO
EN BRETAGNE
+7,5%
EN 6
MOIS
LA BIO DANS LE MORBIHAN
EN CROISSANCE D’ANNÉE EN ANNÉE, 3 357
FERMES EN BIO
ET CRÉATRICE D’EMPLOIS !
____
+7,5%
86%
MOIS
EN 6
2,2 UTH
PAR FERME EN MOYENNE
762
FERMES EN BIO
DES COMMUNES
ont au moins une ferme bio
(estimation à fin juin 2019)
+20%EN 1
AN
9,7 %
85%
DES COMMUNES ARRÊTS DE
11 DES FERMES
BRETONNE
ont au moins une ferme bio CERTIFICATION*
ARRÊTS DE
58
CERTIFICATION*
10,1 % 7%
DES FERMES
DU DÉPARTEMENT
DE LA SAU
DU MORBIHAN 262
NOUVELLES
FERMES BIO*
Source : Observatoire de la production bio en Bretagne – édition 2020 – chiffres au 30 juin 2019
* Sur le premier semestre 2019
3
2019, UNE NOUVELLE ORGANISATION
La stratégie de PAR PÔLE DE DÉVELOPPEMENT
notre GAB à
l’épreuve ____
des défis de
demain.
La nouvelle orga-
nisation par pôle,
rumine et agit de-
puis maintenant une
année et son rodage est bientôt
optimum.
Le cap et la direction donnés au
Responsable du pôle
développement de la bio que l’on
souhaite, sont continuellement Jean-Luc GICQUEL
questionnés par notre réseau et Éleveur bovins lait - GUILLIERS
nos partenaires plus ou moins
proches. Ce questionnement Coordinatrice du pôle
peut faire douter mais notre
Sophie MILHEM
charte FNAB reste à ce jour notre
référentiel, notre identité, le pro-
Missions du pôle PÔLE VIE
jet auquel nous nous rattachons ASSOCIATIVE
pour nos positions, postures et & SYNDICALE
■ Animer la vie associative du GAB
actions du GAB.
et le lien FRAB et FNAB
Décidons de la stratégie au ser- ■ Répondre et être force de proposition sur des
vice de notre projet, et c’est actions syndicales
cela que nous avons travaillé en ■ Dynamiser le lien avec les adhérent(e)s et faciliter
Conseil d’administration, avec les la mise en réseau entre adhérents
responsables dédiés de chaque ■ Proposer des actions de communication pour
pôle pour définir une planifica- accroître la visibilité extérieure du GAB
tion de nos orientations, avec une
quête d’idéale à 3 ans !
Adoptons ces plans stratégiques
par une gouvernance sociocra-
tique : l’intelligence collective au
service de décisions sans objec-
tion.
Agissons de manière engagée et
cohérente avec à l’esprit, la pri- Responsable du pôle
mauté du changement indivi- Patrick GUILLERME
duel au service de la transition de
Éleveur bovins lait - THEIX
notre modèle agricole et alimen-
taire. PÔLE
TERRITOIRES
&
Le développement d’une bio du- PROMOTION
rable, éthique et avant tout hu- DE LA BIO
maine, demeure un défi consi-
dérable mais est également
une belle promesse d’harmonie
entres paysans-nes de cette terre
et de symbiose avec la nature.
Coordinatrice du pôle
Fabien TIGEOT
Éleveur en bovins viande - BOHAL Lise ALLAIN
Président du GAB 56
Missions du pôle
rte
c ha ■ Développer des projets/partenariats avec les collectivi-
tre tés (pays, communes, EPCI, bassins versants)
No
■ Animer, et appuyer le réseau des adhérents
•
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« référent(e)s territoriaux » du GAB
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■ Promouvoir la bio et sensibiliser le grand public via des
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Coordinateur du pôle
Responsable du pôle Pierre BOUILLET Missions du pôle
Jean-Charles MÉTAYER ■ Centraliser toutes les demandes
Éleveur volailles de chair - COLPO d’approvisionnement en produits bios
(collectivités, magasins, transformateurs,
expéditeurs)
■ Accompagner ces demandes
■ Contribuer à la structuration de l’offre en
produits bio
■ Mettre en lien offre et demande
■ Accompagner en individuel et en collectif
agriculteur(trice)s bio et porteurs de projet sur
PÔLE
FILIÈRES commercialisation / transformation
Responsables du pôle : Productions animales
Sébastien BARON Claude LE PRIOL
Éleveur bovins lait - ALLAIRE Éleveur bovins lait - BAUD
PÔLE
PRODUCTION
Responsable du pôle : Productions végétales
Étienne RICHARD Dominique DUBREUIL
Polyculteur éleveur Maraîcher - PLOERMEL
NOYAL PONTIVY
Missions du pôle
■ Promouvoir la bio auprès des professionnels et porteurs de Coordinatrice du pôle
projet installation / conversion
■ Accompagner en individuel et en collectif les agricul- Véronique JARDIN
teurs(trices) et les porteurs de projet
■ Mener des programmes essais/expérimentations toutes filières
confondues
■ Mettre à disposition des adhérent(e)s des outils techniques
5
PÔLE VIE ASSOCIATIVE ET SYNDICALE
LE GAB MOBILISÉ EN 2019 SUR LE DOSSIER AIDES BIO
____
Par Louise LE MOING
Voilà 3 ans que je re- Chargée de mission politiques
présente le GAB publiques à la FRAB Bretagne
et la FRAB sur le
dossier aides, au-
près du Conseil Les différents types de soutiens directs aux agriculteurs bio sont une pré-
Régional et de occupation constante du réseau. Le travail syndical se fait aux niveaux dé-
la DRAAF, ap- partemental par le GAB, régional par la FRAB et national par la FNAB, en lien
puyé par Louise étroit.
Le Moing, salariée
à la FRAB. Depuis la Les gains syndicaux obtenus en 2019 :
dernière programmation PAC,
le Conseil Régional est devenu ■■ Retards de paiement
autorité de gestion à la place de Début 2019, la FNAB attaque l’Etat en justice et obtient gain de cause pour 5
l’état. Nous participons donc agriculteurs.
aux différentes Commissions
Agro-Environmentales (CAE), La FRAB et les GAB relaient l’action, et un article dans Ouest-France paraît en
pour amender les modalités mars. Rencontres FRAB-DRAAF-Région en mai et juillet, les paiements sont ac-
de financement et de fonction- célérés et les dossiers bio sont remis sur le dessus de la pile !
nement aux côtés des différents ■■ Financement des aides bio et des MAE système pour les bio reconduites
financeurs et organisations agri- dans les mêmes conditions que 2018. Une victoire dans un contexte budgé-
coles. taire tendu ! Le dialogue s’est poursuivi en fin d’année puis début 2020 afin
La dernière programmation eu- qu’aucun agriculteur bio ne soit privé d’aides en 2020.
ropéenne censée se terminer ■■ Crédit d’impôt bio
en 2020, devrait se prolonger 2
ans supplémentaires. Elle nous Suite au passage de 2 500 à 3 500€ en 2018, le plafond de minimis a été relevé
a apporté de la frustration, no- à 20 000€ en 2020.
tamment sur les versements en ■■ Prochaine PAC
retard. La prochaine programma-
tion risque d’être moins favorable Le bureau FRAB et Sébastien (voir témoignage ci-contre) ont rencontré 11 élus
vu la diminution des budgets. du Conseil Régional afin d’expliquer les propositions du réseau pour la pro-
chaine PAC : mettre en son cœur et simplifier, le soutien à l’agriculture biolo-
Pour ma part, cela demande une gique
bonne connaissance du fonc-
tionnement de la PAC et des
MAEC, pour pouvoir défendre CHIFFRES
au mieux les producteurs bio DE L’ACTION :
quelle que soit la mesure choisie.
Louise assure toutes les relations
techniques auprès de nos inter-
locuteurs, ainsi qu’avec la FNAB.
10
Lorsqu’il y a besoin d’un position-
nement politique, pour appuyer
ou contrer une décision, nous en ADMINISTRATEURS
3
RENCONTRES
2
RENCONTRES
parlons systématiquement en des 4 GAB impliqués AVEC LE CONSEIL AVEC LA DRAAF
CA GAB et FRAB, puis j’interviens RÉGIONAL
pour défendre les dossiers liés
aux particularités biologiques.
C’est une mission intéressante
et indispensable surtout dans
une période de transition pour
anticiper les changements et
simplifier les déclarations dont
les agriculteurs ont la charge.
2
PARTICIPATIONS DE LA FRAB
Sébastien BARON - 1 CAE (aides et MAE)
- Comité technique
Éleveur laitier - ALLAIRE
Administrateur du GAB 56
de modernisation
(soutiens investissements)
1
GROUPE
5
ARTICLES ET
Référent aides pour la région TECHNIQUE BRÊVES
Bretagne AIDES BIO ET MAE SYMBIOSE
6
PÔLE VIE ASSOCIATIVE ET SYNDICALE Le 17 juin 2019,
ON DIT NON AUX SERRES CHAUFFÉES ! une conférence
de presse était
organisée sur
____ notre ferme par le
GAB, pour amplifier la
Par Dominique DUBREUIL mobilisation citoyenne au-
Administrateur du GAB tour de la pétition « non aux serres
chauffées ». L’occasion pour moi
d’interpeller le ministre de l’agri-
Face à des projets industriels usurpant le label bio en profitant du flou ré- culture pour l’appeler à prendre
glementaire, le réseau FNAB a réclamé un durcissement du guide de lecture ses responsabilités !
national pour mieux encadrer la production sous serres chauffées pour les Au final, le résultat des négocia-
légumes d’été en bio. tions nous apparaît comme une
Au printemps 2019, au fil des négociations avec le Comité National de l’Agri- victoire en demi-teinte, mais avec
culture Biologique, le réseau FNAB, s’est allié à différentes ONG partenaires quand même une évolution no-
(Fondation Nicolas Hulot, Réseau Action Climat France, Greenpeace) pour faire toire du cahier des charges qui va
pression et défendre : limiter les dérives.
■■ Le respect de la saisonnalité et des cycles naturels Il faut encore rester mobilisés,
s’assurer du respect des nouvelles
■■ Une plus grande cohérence environnementale pour les produits bio règles, la vigilance reste donc de
■■ Une maîtrise des filières et des marchés par les producteurs contre les mise au sein du réseau (en particu-
logiques d’intégration et d’industrialisation de l’alimentation lier au sujet de la méthanisation).
Cette campagne médiatique a été menée sur différents fronts : J’ai le sentiment que nous sor-
tons renforcés de ce bras de fer
■■ Politique, via notre lobbying auprès des parlementaires locaux qui a permis qui nous a permis d’afficher clai-
de porter notre message au plus haut lieu rement nos différences et nos va-
■■ Médiatique, la pétition nationale « pas de tomates bio en hiver » et nos re- leurs, pour défendre une bio tou-
vendications ont été relayées par de très nombreux médias locaux, régionaux jours plus exigeante et en phase
et nationaux avec les enjeux et les attentes de
notre société.
CHIFFRES A titre personnel, ce combat
CLÉS DU PÔLE : syndical a mobilisé beaucoup
d’énergie dans des domaines in-
habituels (lobbying politique, mé-
diatique…) à une période de l’an-
née ou le travail ne manquait pas
sur la ferme ! Mais c’est surtout une
satisfaction d’avoir apporté ma pe-
8
RÉUNIONS
6
RÉUNIONS DE BUREAU
tite contribution pour faire avancer
notre cause commune, et l’idée
DU CONSEIL D’ADMINISTRATION que nous nous faisons de la bio. Il
le bureau étant composé
de 4 administrateurs faut savoir reconnaître les avan-
cées que nous avons obtenues et
surtout se dire que l’avenir serait
bien pire si nous n’avions rien
fait !
Dominique DUBREUIL
Maraîcher - PLOËRMEL
Administrateur du GAB 56
8 50
REPRÉSENTATIONS
CONSEILS D’ADMINISTRATION FRAB
( 2 administrateurs EXTÉRIEURES
de chaque GAB breton) qui ont mobilisé 1 à 3
administrateurs à chaque rendez-vous.
5
PARTICIPATIONS
10
FLASHS
AU COMITÉ SAFER (56) VIE ASSOCIATIVE ET SYNDICALE
adressés aux adhérents
7
Reprendre les GRAS
Comme la majori-
PÔLE PRODUCTION
té des maraîchers EXPÉRIMENTER, C’EST DANS NOTRE ADN !
d’aujourd’hui je
suis non issu du
milieu agricole
____
et cultive sur
une petite surface Par Maëla PEDEN, Céline ROLLAND,
(1ha8) en légumes Olivia TREMBLAY, et Valérian LEBON
diversifiés. Mes pra- Technicien(ne)s au GAB 56
tiques, quant à elles, évoluent au
fur et à mesure que les saisons
défilent. Une visite de ferme, la Programme « Persyst » en maraîchage :
lecture d’un livre, des vidéos et
pour la pérennité des systèmes maraîchers
cela chamboule mon fonctionne-
ment. En maraîchage, des essais sont lancés sur la station d’essais de la PAIS à Morlaix,
Mon métier reflète mes valeurs, et sur plus de 10 fermes bio en Bretagne. Ils ont pour objectif d’améliorer la
et celles inscrites dans la charte fertilité des sols, tout en améliorant les conditions de travail et en réduisant
FNAB résument bien celles la dépendance aux intrants sur la ferme. Deux fermes morbihannaises se sont
que je porte. Adhérer au GAB, lancées dans l’aventure avec pour l’une, l’objectif d’arrêter le travail du sol, et
c’est adhérer à ses valeurs ! Nos pour l’autre, d’optimiser l’utilisation de couverts (en interculture et en culture).
croyances, c’est-à-dire comment
CHIFFRES
nous pratiquons nos métiers, évo-
DE L’ACTION :
luent via nos rencontres, forma-
tions et expérimentations.
5
Le programme PERSYST aura
probablement un impact sur
la conduite de ma ferme. J’ai DÉPARTEMENTS
choisi l’angle : expérimentation
sur l’évolution de la fertilité des 10 5 ans 6
FERMES PARTENAIRES ASSOCIÉS
sols et l’organisation du travail. Je PARTICIPANTES DE RECHERCHE dont 2 instituts
participe à ce programme, car ET D’EXPÉRIMENTATION de recherche
j’y vois l’opportunité qu’il donne
toujours plus de pertinence à
mes pratiques, et que d’autres
maraîchers puissent, demain, bé-
néficier des essais et expériences
menés et analysés dans le cadre
de ce travail .
Germain MAHÉO PERPeT : prolonger la pérennité des prairies
Maraîcher - KERVIGNAC d’association graminées-légumineuses.
Quels sont les principaux facteurs expliquant la pérennité des prairies, se-
mées dans les systèmes laitiers du Grand Ouest ? Comment gérer les prairies,
pour améliorer leur pérennité et favoriser leur évolution vers des prairies per-
manentes productives de bonne qualité ? Pour répondre à ces questions, le
projet « PERPeT » dans lequel le GAB 56 est impliqué depuis 5 ans, a mené
depuis 2015 quatre expérimentations sur des fermes du Grand Ouest : sur
le pâturage hivernal et estival, l’égrainage naturel et l’alternance fauche pâture.
Ces études se sont terminées en 2019 et leurs résultats seront diffusés en 2020.
CHIFFRES
DE L’ACTION :
13
STRUCTURES
70
FERMES SITES
4
MODALITÉS DE GESTION
PARTENAIRES D’EXPÉRIMENTATION DES PRAIRIES ÉTUDIÉES
DU PROJET
8
Je participe au
projet AEP car
les échanges en
groupe rassurent
et permettent
d’avancer plus vite.
Je suis de nature curieuse, j’aime la
nouveauté et prendre des risques
Groupe « AEP » : pour expérimenter de nouvelles
pratiques ou nouvelles cultures. Le
développer la surface en oléagineux biologiques colza était produit sur la ferme, en
L’objectif de ce groupe de 6 agriculteurs, est de développer les surfaces en conventionnel, je l’avais délaissé
colza, en précisant les itinéraires techniques. Le bilan de la première année car c’est une culture compliquée à
est très positif avec de bons rendements obtenus et un essaimage des sur- réussir en bio. Le projet AEP, dé-
faces semées chez d’autres producteurs bio. marré en 2018, permet de ré-en-
visager la mise en place de cette
Les suivis de parcelles continueront en 2020, avec la même modalité de semis : culture sur la ferme et ouvre de
nouvelles pistes sur la façon de la
4 kg 5 kg 15 kg conduire techniquement.
de colza SAMMY de trèfle d’Alexandrie de sarrasin La culture de colza en association
avec d’autres espèces a montré
CHIFFRES ses preuves pour cette 1ère année
DE L’ACTION : d’essais. Il reste à confirmer cette
pratique cette année.
Pour moi, s’engager dans des
32 Qtx/ha
RENDEMENT
groupes et mener des expérimen-
tations sur sa propre ferme est
riche d’enseignements et nous
place dans une posture de pay-
6 5 san chercheur que je trouve in-
téressante. Le suivi technique des
PARCELLES SUIVIES SUR DES SURFACES PARTENAIRES ASSOCIÉS parcelles d’essais nous aide à pro-
LE DÉPARTEMENT SEMÉES EN COLZA SUR au projet, dont Ecodis
gresser et à innover. En testant de
LE DÉPARTEMENT qui en est l’initiateur
nouvelles pratiques, je vise aussi
une meilleure valorisation de mes
cultures.
Jean Yves COUEDEL
1
Cultivateur - SARZEAU
CHIFFRES
CLÉS DU PÔLE : JOURNÉE
dédiée à l’enseignement
agricole dans le cadre du
33
salon La terre est notre
6
DEMI-JOURNÉES « MON JOURNÉES
métier (3 conférences, 4
fermes ouvertes), pour
de formation pour 477 participant(e)s
-
1ER RDV AVEC LA BIO »
pour les futur(e)s 224 participant(e)s
installé(e)s
- 4
- 4 DÉMONSTRATIONS
99
PORTEURS(SES)
PORTES OUVERTES
organisées en bovins lait, 1
grandes cultures, maraî- PLATEFORME DE
DE PROJET
chage et bovins viande, DÉSHERBAGE MÉCANIQUE
à l’installation
pour 250 participant(e)s. 300 participant(e)s
ont contacté le GAB
- -
Participation de la LPO,
pour mise en avant du
programme « des terres et
60 des ailes »
8
PRODUCTEURS(TRICES)
accompagné(e)s pour un
- GROUPES D’ÉCHANGES
60aine de participant(e)s
changement de pratiques
-
-
9
PÔLE FILIÈRES
PLUS DE BIO EN RESTAURATION COLLECTIVE :
CAAP OU PAS CAAP ?...
____
D’ici le 1er janvier
2022, la loi Egalim im-
pose à la restauration collective
publique d’introduire 50% de pro-
duits « durables et de qualité »,
dont au moins 20% de produits
bio. C’est une belle opportunité
pour les producteurs (trices) du
réseau de diversifier leurs canaux
de commercialisation et de conti-
nuer à ancrer la bio dans les stra-
tégies des collectivités locales.
Les Défis « CAAP » (Cuisine A
Alimentation Positive), que le
GAB56 a développés arrivent à
point nommé pour accompagner
les collectivités dans la mise en
place de cette loi. Ils s’appuient
sur une recette gagnante qui fait
Par Julie BEAUCÉ
la spécificité de notre accompa-
Conseillère restauration collective
gnement en RHD : faire dialoguer
toutes les parties prenantes de
la restauration collective, sélec- Après avoir mené le premier Défi français sur le Pays de Vannes en 2017-
tionner les fournisseurs(euses), 2018, le GAB a réitéré en 2019, avec une deuxième édition du Défi Cuisines à
repenser les menus et surtout, Alimentation Positive sur le Pays lorientais.
recréer des liens « sensibles »
entre la production agricole et De septembre 2018 à décembre 2019, les cuisines centrales de Lanester et
la consommation alimentaire. Quéven (1700 et 700 couverts / j), la cuisine municipale de Guidel (810 cou-
verts/j) et la cuisine du collège Charles de Gaulle à Ploemeur (450 couverts/j) ont
Dotés de leur site internet, les Dé- relevé le challenge d’introduire plus de produits bio locaux à budget constant.
fis CAAP se positionnent en outils
pratiques de la transition alimen- Visite de ferme bio, formation diététique, formation à la cuisine des protéines
taire des territoires. C’est pour végétales … l’accompagnement collectif couplé au suivi individuel des établis-
cela qu’une première formation sements a permis des résultats probants :
a été proposée aux salariés(es) du ■■ + 8 points de bio en moyenne dans les repas
réseau FNAB en janvier 2020 et
que les Défis seront présentés ■■ du bio en majorité local (à 40%) et en circuit-court (à 30%).
sur le stand de l’Agence Bio au ■■ une baisse moyenne de 0,01€ du coût matière, les participants ont réussi à
Salon International de l’Agricul- augmenter leurs achats bio sans augmenter leur budget alimentaire !
ture 2020.
Et bientôt d’autres Défis français ?
Julian RENARD
Chargé de mission Après de si bons résultats, les Défis cuisine morbihannais ont commencé à
Alimentation à la FNAB essaimer . L’année 2019 a ainsi vu la création du site :
www.cuisinesaalimentationpositive.fr.
Un outil qui professionnalise et rend accessible l’outil de relevé d’achats.
Et le GAB56 a commencé à former les animateurs du réseau FNAB pour faire
naître d’autres Défis cuisine en région !
CHIFFRES
DE L’ACTION :
+ 22%
DE BIO
pour le lauréat du Défi,
4
ÉTABLISSEMENTS
AVEC -0,02€ DE COÛT MATIÈRE
-
5
de restauration collective accompagnés
- PRODUCTEURS ET
3660 GROUPEMENT DE PRODUCTEURS
fournisseurs des collectivités
CONVIVES CONCERNÉS
- -
10PÔLE FILIÈRES
QUAND L’OIGNON FAIT LA FORCE, Les distributeurs
LA CHARTE FNAB PREND TOUT SON SENS du Morbihan ont
sollicité le GAB
56 pour fédérer
____ les maraîchers au-
tour d’un projet com-
mun de planification et de
logistique.
Si les magasins Biocoop et
quelques magasins spécialisés
indépendants sont demandeurs,
peu de maraîchers avançaient
avec confiance dans ce projet. Fi-
nalement c’est en faisant qu’on a
trouvé un certain nombre de ré-
ponses !
Avec l’appro-
bation de
quelques gé-
rants de ma-
gasins, moi et
Adrien, nous
Par Pierre BOUILLET sommes décidés
Coordinateur du pôle filières à démarrer un sys-
tème simple et léger.
Après une mise au point tech-
Le projet démarre par le point 2 de notre charte FNAB : « pour une économie nique, les premières commandes
équitable dans les territoires ». ont démarré rapidement. Les vo-
lumes sont vite devenus impor-
Fort de ses adhérents le GAB permet de mettre en relation les acteurs de la tants, et bientôt nous allons officia-
filière et de les faire se rencontrer. liser le projet par une association
Les distributeurs adhérents peuvent s’engager et aller plus loin et travail- des maraîchers et magasins bio.
ler en coopération avec les producteurs. Biocoop par exemple, a pu jouer la Pour notre part c’est un plaisir
transparence auprès des maraichers en indiquant des quantités de légumes d’avoir pu participer à la créa-
relocalisables auprès des producteurs, sur la base des commandes passées tion de cette filière avec des
jusqu’ici à la plateforme grand Ouest. Jamais auparavant cela n’avait été fait ! collègues morbihannais, car elle
Pour construire des filières innovantes, durables et équitables, il nous pa- donne du sens à tout notre travail
rait évident de rassembler tout le monde autour de la table. de maillage local , avec des acteurs
motivés et surtout diversifiés.
La filière légume profite de la volonté de ces hommes et de ces femmes qui
souhaitent favoriser le développement d’organisations collectives. Nous invitons à nouveau celles
et ceux qui seraient intéressés
Des pistes d’amélioration ? Oui, il nous reste à construire un projet équitable à venir nous rejoindre, à prendre
et donc rémunérateur. Comment et avec qui ? En accueillant et en accompa- part aux prochaines réunions pour
gnant les nouveaux acteurs, alors si le cœur vous en dit rejoignez le mouve- construire ensemble une filière à
ment ! notre image !
CHIFFRES
CLÉS DU PÔLE :
4 Tudual AUFFRET
PORTES OUVERTES et Adrien VANDERMERSCH
professionnelles avec une entrée filière Maraîchers - CLÉGUEREC
- et ELVEN
51 2
PRODUCTEURS(TRICES) JOURNÉE/SOIRÉE FILIÈRE
appuyés sur des projets œufs et légume frais.
-
de commercialisation
-
25 34
OPÉRATEURS AVAL
CONTACTS AVEC DES COLLECTIVITÉS ACCOMPAGNÉS OU RENCONTRÉS
dont 15 collectivités accompagnées dans des démarches collectives
sur le volet restauration (dont 9 accompagnés individuellement)
- -
11PÔLE TERRITOIRES
ET PROMOTION DE LA BIO
FAIRE ÉMERGER DES PISTES NOUVELLES
SUR NOS TERRITOIRES !
La Charte de l’agri- ____
culture et de l’alimen-
tation du Pays de Lorient, alliance
de territoire entre le monde agri-
cole (dans sa diversité), les élus et
la société civile, porte une ambi-
tion spécifique en faveur de la
« transition », et ce alors même
que la bio est déjà très présente
chez nous.
A cet effet, le programme d’ac-
tion partenarial ambitionne no-
tamment le doublement de la
SAU en bio, pour arriver à un ob- Par Lise ALLAIN
jectif plus ambitieux que la loi, et le Coordinatrice du pôle territoires
développement des achats des et promotion de la bio
communes produits bio. Un plan
de développement de la bio est Les idées reçues pour développer la bio sont nombreuses « Sans incitation
apparu nécessaire, et nous avons financière nous ne changerons jamais les pratiques ! », « Il faudrait des espaces
souhaité : tests pour les laisser essayer ! ». Si on a tous tendance et envie de se projeter
dans l’action pour « faire bouger les choses », la posture que propose le GAB
■■ Une approche partenariale à dans son accompagnement aux territoires se veut différente. Avant d’entrer
tous les niveaux entre le GAB, la dans l’action: redonner confiance aux collectivités qui sont légitimes pour inter-
CRAB, Optim’ism, et les 2 inter- venir sur la question agricole en produisant avec elles et les acteurs du territoire
communalités, en lien avec les des éléments d’aide à la décision.
élus et des représentants de la
société civile ; C’est le pari que nous avons fait en 2019 en lançant le premier Plan Bio Territo-
rial morbihannais sur le Pays de Lorient. En impliquant des partenaires privés
■■ Une approche incitative et locaux dès sa construction (Biocoop 7 épis et Belz saison, Crédit agricole Mor-
porteuse d’opportunités écono- bihan, Laiterie de Kerguillet, et Véolia Eau Lorient), nous marquions l’ouverture
miques positives pour les agricul- d’un projet singulier.
teurs, en phase avec les caracté-
ristiques propres à notre territoire. Nous avons fait la proposition d’élargir notre prisme en collectant auprès
de 60 agriculteurs, des données de l’ordre du vécu, du ressenti sur leur mé-
Travailler avec les organisations tier, grâce à l’outil d’aide à la décision OPAAL construit par notre réseau. En
professionnelles compétentes et parallèle, s’est opérée la mobilisation des opérateurs aval dont 16 ont été ques-
légitimes, comme le GAB, per- tionnés de manière individuelle sur les freins et leviers pressentis à une struc-
met par exemple de : turation. Nous savons maintenant quels sont les profils majoritaires sur le
■■ s’adresser à tous les acteurs territoire, et les propositions d’actions sont déjà bien avancées. Une belle
économiques du territoire suite qui s’annonce pour 2020.
■■ additionner les expertises, ana-
9
lyses et savoir-faire
CHIFFRES
■■ approcher la question de l’agri- CLÉS DU PÔLE : ENTRETIENS SPÉCIFIQUES
culture durable sur notre terri- au développement de la bio
toire dans un cadre ouvert, parta- DÉVELOPPEMENT DE LA BIO SUR avec les collectivités
-
gé et… consensuel. LES TERRITOIRES
La priorité donnée au « faire
avec » fait que notre projet est
moins d’aller vite que loin, pour la
29
PAYSAN(NE)S RÉFÉRENT(E)S
20
prospérité et la durabilité du Pays dont 7 nouvelles recrues en 2019 RÉUNIONS DE COLLECTIVITÉS
-
impliquant nos référents territoriaux
de Lorient.
-
Tristan DOUARD
Vice-président en
110
PARTICIPANTS AU COLLOQUE
10
OUTILS DE PLANIFICATION
charge de l’économie «OSER LA BIO POUR SON TERRITOIRE» TERRITORIALE
Lorient agglomération à Vannes où le GAB est impliqué ( PAT, PCAET…)
- -
1227
11
Roi Morvan
Communauté Pontivy
Communauté 10
18 21
14 20 Ploërmel
Communauté
Centre Morbihan
Communauté
22
Lorient 25 19
Agglomération 16
24
12
5 23
CC De l’Oust à Brocéliande
Blavet 17 Communauté
Bellevue 15
Auray - Quiberon
13 Océan
Terre Atlantique
14 Golf du Morbihan 8
Vannes Agglomération
2 Questembert
Communauté Communauté de commnes
4 Pays de Redon
3 1
(partie Morbihannaise)
6 7 9
29
Arc Sud
UNE ÉQUIPE DE PAYSAN(NE)S Bretagne
AU SERVICE DES TERRITOIRES 28
Cap Atlantique
CC de Belle-Ile-en-Mer (partie Morbihannaise)
26
Référent territorial producteur
Administrateur
Auray Quiberon Terre Atlantique Pontivy Communuauté Dominique Dubreuil
19 Ferme de Gourhert
Fabrice Le Garrec Etienne Richard
1 EARL Les Primevères 10 EARL Lis Ar Parkou 20 Paul Mauguin
Yoann Huon Stéphane Henry Jean-François Bato
2 Ferme de Kerdelam 11 Ferme de Quelenesse 21 Miellerie Herboristerie de Brocéliande
Sylvain Pichonnet CCBBO Centre Morbihan Communauté
3 EARL du Champ du Trèfle Ludovic Massard
Golfe Morbihan Vannes 12
Jean Francois Bréhaut 22 Ferme de Cardenoual
Ferme de Legevin
Agglomération Yves Jardin
Lorient Agglomération 23 Ferme de Kerhors
Patrick Guillerme
4 13
Max Schaffer
GAEC de Brural OPTIM Insertion Solidarité Morbihan 24 Jean Noël Le Quintrec
Jean Charles Metayer Jean Francois Conan Amélie Peckle
5 EARL Ferme de Kerdroguen 14 GAEC de Bontul 25 Ferme de la Roche Bleue
Jean Philippe Mahéo Oust à Brocéliande Communauté Belle Ile-en-Mer
6 EARL Les Bio de Baden Fabien Tigeot Baptiste Vasseur
15 GAEC La Ville Aly 26 GAEC de Kerzo
Marion Chauveau
7 GAEC Chèvrerie Kerlébik Benoit Colleaux Roi Morvan Communauté
16 GAEC Des Ecotones
Questembert Communauté Hugo Bogrand
Nathalie Urien 27
Mathilde Hors 17 SCEA Terres du Launay
8 GAEC Ker Denved
Panier du Glouby
Arc Sud Bretagne
Ploërmel Communauté
Nathalie Bodiguel
9
Eric Lucas Jean Luc Gicquel 28
EARL du Temple de Bas 18 EARL la Crème Rit
Ferme de Madon
CC Pays de Redon (partie 56)
Sébastien Baron
CHIFFRES 29 GAEC de Brandéha
CLÉS DU PÔLE :
6 15
PROMOTION DE LA BIO
2
COLLECTIVITÉS FORMÉES
FERMES MOBILISÉES
lors de la Fête du lait
ÉVÉNEMENTS ORGANISÉS
dans le cadre de la campagne bio et
-
local c’est l’idéal
-
pour le déploiement de
Défi Foyers À Alimentation Positive
- 1 150 14 000
16 PETITS DÉJEUNERS
bio servis lors de la Fête du lait
CLICS PAR AN
sur notre carte bonplanbio
- -
PARTENAIRES DE L’ALIMENTATION
formés à la posture d’accompagnement
aux changements d’habitudes
alimentaires
- 13LA FÉDÉRATION RÉGIONALE DES
AGROBIOLOGISTES DE BRETAGNE :
LA DIFFÉRENCIATION EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE,
ON Y VA… OU PAS ?
La bio attire et sé- ____
duit de nouveaux opé-
rateurs et consommateurs, c’est
un succès dont le réseau FNAB
peut se prévaloir ! Mais la rançon
du succès, c’est de devoir faire face
à des velléités d’opérateurs n’ayant
que la vision de marché et peu de
préoccupations de cohérence, de
durabilité et de relations commer-
ciales équitables.
Comment nous différencier et
faire valoir les valeurs et la vision
de notre réseau ? Notre combat Par Sébastien JULLIARD
contre les serres chauffées est un chargé d’études observatoire régional
exemple d’action de lutte contre le à la FRAB
développement d’une bio incohé-
rente. Nul doute que d’autres com- Dans un contexte d’augmentation de la demande, le marché de la bio a vu ar-
bats seront encore à livrer dans les river de nouveaux acteurs, engendrant un risque d’une agriculture bio à deux
mois et années à venir ! vitesses. C’est dans ce cadre qu’il a été décidé en 2019, d’orienter l’étude théma-
tique annuelle de l’observatoire de la production biologique en Bretagne, sur la
Mais au-delà de cette lutte, le
différenciation. Une étude oui, mais par quelle porte d’entrée ?
développement actuel de la
bio nous amène à ré-interroger Trois grands axes d’étude ont été dégagés :
notre projet politique et l’enjeu
de pouvoir faire valoir nos choix et →→ faire un état des lieux des attentes et pratiques des agriculteurs bio
nos engagements quotidiens sur bretons
nos fermes, pour une bio qui a du Excepté chez les éleveurs de monogastriques, la plupart des fermes bio bre-
sens ! tonnes ont des pratiques mieux disantes que le règlement UE. Les producteurs
veulent une bio plus respectueuse de l’environnement, du climat ou de la bio-
N’hésitez pas à venir construire ce diversité.
projet avec nous, dans vos GAB, à
la FRAB ou dans les temps de ré- →→ faire un bilan de BioCohérence 10 ans après sa création (marque privée
flexion nationale ! initiée par le réseau FNAB)
Bio Cohérence n’a pas réussi à séduire : ni les producteurs, ni les consomma-
teurs. Manque de visibilité, désaccord avec le cahier des charges… Autant de
Julien SAUVÉE raisons qui d’après les réponses à l’enquête, expliquent cet « échec ».
Producteur en élevage
porçins en Ille et Vilaine →→ interroger les Organisations Économiques de Producteurs Bio (OEPB)
président de la FRAB sur leurs stratégies de différenciation
Elles travaillent toutes avec des produits différenciés, et tendent à avoir un ca-
hier des charges commun pour ne pas perdre le consommateur.
+ de 80%
CHIFFRES
CLÉS DE L’ÉTUDE :
DES OEPB INTERROGÉES
-
376
PRODUCTEURS RÉPONDANTS
une dizaine
DE PARTENAIRES
impliqués dans le COPIL
- -
14EN 2019, 16 ADMINISTRATEURS
AU SERVICE DU DÉVELOPPEMENT
DE LA BIO MORBIHANNAISE
10 2
3 1
5 8 6 16
12 13 9
11
15 7
4 14
6 Patrick GUILLERME
11
1 Fabien TIGEOT
Kerrec
Élodie GUELVOUT
Président (Bureau) Kergal Remungol - 56500 EVELLYS
56450 THEIX
La Ville Aly - 56140 BOHAL 06 20 44 60 23
02.97.43.22.69
06.71.51.37.24 guelvout.elodie@orange.fr
ampgbrural@orange.fr
fermedelavillealy@orange.fr
7 Amélie PECKLE 12 Fabrice LE GARREC
2
Le Noterio / 56340 CARNAC
Jean-François BOULO Kerbastard - 56500 MOREAC
Le Pâtis - 56220 CADEN 02.97.52.95.85 / 06.75.48.05.40
02 90 73 54 65 - 06 37 65 85 48
les-primeveres2@wanadoo.fr
06 72 16 29 13 lafermedelarochebleue@gmail.com
jfboulo@gmail.com
8 Claude LE PRIOL 13 Etienne RICHARD
Guenolay
3 Pascal LE NORMAND Loposcoal
56250 NOYAL-PONTIVY
56 150 BAUD
La Hellaye
56250 SULNIAC 06.72.09.38.55
02.97.51.00.90 / 06.60.30.83.46
etienne.richard@live.fr
claude-le-priol@orange.fr
02.97.53.26.81 / 06.25.17.26.28
pascallenormand@yahoo.fr
9 Sébastien BARON 14 Hugo BOGRAND
Launay - Locuon
4 Jean Luc GICQUEL Gaudu
56160 PLOERDUT
56350 BEGANNE
Secrétaire (Bureau) 02 97 39 46 32 - 06 88 36 47 06
02.99.72.80.34
La Mormazière hugobogrand@hotmail.fr
06.14.39.10.56 / 02.99.72.80.34
56490 GUILLIERS
earlbaron56@orange.fr
02.97.74.42.05 / 06.88.20.20.91 15 Mathilde HORS
Kerlac
gicqueljeanluc@sfr.fr
10 Jean-Noël LE QUINTREC
56230 MOLAC
5 Jean Charles METAYER Roz’avel
02.97.45.74.02 / 06.10.13.34.74
mathildehors@hotmail.fr
Trésorier (Bureau) 56500 BIGNAN
Kerdroguen 02.97.60.10.97 / 06.70.82.48.83
56390 COLPO jn-lequintrec@wanadoo.fr
16 Dominique DUBREUIL
06.12.62.48.53 4 Gourhert
lafermedekerdroguen@orange.fr 56800 PLOËRMEL
15PÔLE VIE ASSOCIATIVE ET SYNDICALE
GAB 56
Véronique RIO Sophie MILHEM ZA de Keravel - 56390 LOCQUELTAS
Assistante administrative Directrice 02 97 66 32 62
et financière gab56@agrobio-bretagne.org
v.rio@agrobio-bretagne.org s.milhem@agrobio-bretagne.org
02.97.66.32.62 02.97.66.32.63
retagn e.org/gab-56
PÔLE PRODUCTION www.agrobio-b
Véronique JARDIN Céline ROLLAND Arnaud LECLER
Coordinatrice pôle production Technicienne cultures Référent bassins versants
Référente installation et transmission et monogastriques et monogastriques
v.jardin@agrobio-bretagne.org c.rolland@agrobio-bretagne.org a.lecler@agrobio-bretagne.org
• www.atelierdoppio.fr
02.97.66.37.77 02.97.66.33.83 02.97.66.05.83
Conception et création :
Olivia TREMBLAY Valérian LEBON Maëla PEDEN
Technicienne élevage bovins Technicien élevage bovins Technicienne maraîchage
et ovins / caprins et petits fruits
o.tremblay@agrobio-bretagne.org v.lebon@agrobio-bretagne.org m.peden@agrobio-bretagne.org
02.97.66.88.35 02.97.66.05.84 02.97.66.39.99
PÔLE TERRITOIRES ET PÔLE FILIÈRES
PROMOTION DE LA BIO
Lise ALLAIN Pierre BOUILLET Julie BEAUCÉ
Coordinatrice pôle territoires Coordinateur pôle filières Conseillère restauration
et promotion de la bio collective
l.allain@agrobio-bretagne.org p.bouillet@agrobio-bretagne.org j.beauce@agrobio-bretagne.org
02.97.66.88.34 02.97.66.38.88 02.97.66.38.88Vous pouvez aussi lire
