Centre sportif à Saint-Bruno: l'opposition force la tenue d'une étude comparative entre 4 emplacements - Le Montarvillois
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Centre sportif à Saint-Bruno: l’opposition force la tenue d’une étude comparative entre 4 emplacements Les retombées positives de la nouvelle dynamique au conseil municipal se font déjà sentir. C’est ainsi qu’en tant que groupe des élus majoritaires au conseil, nous pouvons annoncer que quatre emplacements feront l’objet d’une étude comparative en vue de la construction du centre sportif avec piscine. L’objectif d’implanter de nouvelles infrastructures sportives répondant aux attentes de la population montarvilloise demeure une priorité pour les membres du conseil. Rappelons qu’une pétition de plus de 2000 signataires s’opposant à l’implantation du centre sportif au parc Rabastalière a été déposée à la Ville de Saint-Bruno-de- Montarville en janvier dernier. Il nous apparaît donc important de présenter à la population les avantages et inconvénients de différentes localisations, afin de nous assurer du meilleur choix pour notre communauté. Nous avons donc demandé à l’administration municipale de nous présenter une analyse comparative de différents sites sur notre territoire qui pourraient accueillir un centre sportif avec piscine. 4 endroits ont été identifiés et seront considérés dans l’étude comparative. Parmi eux, le parc Rabastalière et le pôle sportif du parc Marie-Victorin. Contrairement au maire
Martin Murray qui s’est toujours opposé à cette démarche, nous sommes d’avis qu’elle aurait dû être réalisée dès le départ. Nous sommes confiants que les résultats nous permettront de proposer un site qui réponde aux attentes du plus grand nombre et qui respecte la capacité́ de payer des Montarvillois et Montarvilloises. Nous sommes impatients de mettre ce projet en marche! Source communiqué de presse: Marilou Alarie, Joël Boucher, Louise Dion, Caroline Cossette, Jacques Bédard Résidence pour aînés sur l’ilôt Natrel, un projet imposant que certains souhaitent imposer. Marilou Alarie
Malgré les consultations publiques et la claire volonté exprimée par les Montarvillois de voir au centre-ville, sur le site de l’ancienne laiterie Natrel, un projet de développement dynamique qui permet une mixité d’occupation et un bâti à échelle humaine ne dépassant pas 4 étages, l’administration du maire Murray revient aujourd’hui à la charge en proposant des modifications au plan d’urbanisme lesquelles ne respectent pas les conclusions des consultations ni même les engagements pris par sa formation politique lors de la récente élection. L’objectif de ses modifications? Permettre un complexe immobilier de cinq (5) étages comprenant 300 unités d’habitation réservées exclusivement aux aînés sur le terrain de l’ancienne laiterie Natrel au cœur du centre-ville de Saint-Bruno. Et pourtant: Ce projet immobilier ne cadre pas avec les objectifs définis dans la Vision stratégique 2035 adoptée en 2015 par la Ville de Saint-Bruno pour le secteur du centre- ville. Ce projet ne rencontre pas les orientations et recommandations de l’étude d’urbanistes conseils intitulée « Définition d’un parti d’aménagement pour le centre-ville » et commandée par la Ville de St-Bruno à l’organisme Vivre en ville, lequel a réalisé cette étude à la suite des consultations publiques « Imaginons St- Bruno » en 2015. Ce projet n’est aucunement conforme au plan d’urbanisme adopté en décembre 2017 à la suite d’un exercice de consultation publique. Le plan d’urbanisme ne permet pas que soient implantés sur l’îlot Natrel des immeubles de plus de quatre (4) étages et ne permet pas non plus l’usage « habitations collectives », un usage nécéssaire au modèle d’affaire du promoteur. Ce projet fût sévérement critiqué par les citoyens lors
de la consultation/séance d’information publique sur l’îlot Natrel, en mai 2018. Lors de sa réunion du 19 septembre dernier, le comité consultatif d’urbanisme de la ville de Saint-Bruno fût incapable de recommander favorablement au membres du conseil de ville les modifications règlementaires nécessaires à la réalisation du projet. Un événement connu par peu de personnes autres que les membres du conseil est révélateur du parti pris du maire favorable à un projet de résidence pour personnes agées au détriment d’un développement rejoignant ceux exprimés lors des consultations publiques. Quelques mois avant que la Société en commandite RPA 2 Saint- Bruno ne fasse l’acquisition de l’ancienne laiterie du centre- ville, le 21 octobre 2016, le maire avait pris l’initiative, à l’insu des membres de son conseil, d’informer les vendeurs, la Coopérative Agropur, qu’il souhaitait un projet d’envergure à cet endroit et qu’il serait favorable à modifier la règlementation municipale pour pouvoir accueillir, sur cet important îlot central, des immeubles résidentiels et commerciaux de 6 étages! Ces modifications étaient significatives puisque, à l’époque, seuls les immeubles commerciaux comptant un maximum de deux étages étaient permis à cet endroit. Voilà pourquoi lors du dépôt du projet de plan d’urbanisme au début de l’année 2017, la possibilité d’implanter sur l’îlot Natrel des immeubles de 6 étages fût présentée au public. Les citoyens ont été nombreux à se questionner sur l’origine de cette volonté de désormais permettre des édifices d’une telle hauteur à cet endroit. Cette volonté était après tout contraire aux conclusions des consultations publiques de 2015 et aux recommandations des urbanistes conseil mandatés par la ville. Quelques mois plus tard, à l’automne 2017, à l’approche des
élections, la pression citoyenne pour le respect d’un développement à échelle humaine et avec une mixité sociale sur l’îlot central fut telle que le Parti montarvillois dut prendre l’engagement de limiter la hauteur des immeubles à 4 étages et de ne pas permettre les habitations collectives/résidences pour aînés sur ce lot dans son futur plan d’urbanisme. Une fois élue, l’équipe du Parti montarvillois a d’abord respecté sa parole en adoptant, au mois de décembre 2017, un plan d’urbanisme conforme à ses engagements. Mais hélas, cela ne fut que de courte durée. Le maire a vite fait de mettre en place un comité de travail composé d’élus, de trois représentants du promoteur et de quelques citoyens choisis par le maire lui-même. Ce comité allait, on le devine, recommander que soit réalisé le projet souhaité par le promoteur. M. Murray et son équipe pouvait maintenant renier leurs engagements électoraux sous prétexte qu’un comité de travail était en faveur du projet. Malheureusement, on peut conclure encore une fois que la volonté des citoyens semble être bien peu considérée voir méprisée à côté des intérêts des promoteurs privés. Ce sont ces derniers encore aujourd’hui qui, avec la complicité de l’administration municipale, tentent d’imposer leur modèle d’affaires et de développement. Les citoyens ont raison de réclamer un développement du centre-ville qui respecte les besoins variés, un développement du site Natrel reposant sur une mixité d’occupation, une densité qui respecte les prérogatives du plan métropolitain d’aménagement et un bâti davantage en harmonie avec celui existant. Il faudra l’exprimer à nouveau lors de la consultation publique du 8 novembre prochain. Si l’administration Murray persiste dans son intention de modifier le plan d’urbanisme au profit du promoteur COGIR, nous devons réclamer un référendum où tous les électeurs
pourront s’exprimer et pas seulement les riverains au projet car le développement du centre-ville de Saint-Bruno concerne tous ses citoyens. Tous les Montarvillois et Montarvilloises sont invité(e)s à participer à l’assemblée publique de consultation sur les modifications réglementaires demandées par le promoteur pour réaliser son projet. Date: 8 novembre 2018 Lieu: Hôtel de Ville Heure: 18:30 Marilou Alarie, Conseillère municipale district 6, Saint-Bruno-de-Montarville LA CONSEILLÈRE DE SAINT- BRUNO, CAROLINE COSSETTE QUITTE LE PARTI MONTARVILLOIS La conseillère du district 3, Mme Caroline Cossette annoncera dans un communiqué conjoint avec le Parti Montarvillois son départ de ce parti. Nous ignorons encore les motifs de ce départ, mais elle a mentionné au Le Montarvillois.com qu’elle siégerait dorénavant comme indépendante. Pour expliquer sa décision, Mme Cossette a choisi la voie du
communiqué conjoint avec le Parti Montarvillois, car elle souhaite exprimer aux électeurs qui l’ont appuyé lors de la dernière élection « qu’elle demeure la même personne avec les mêmes valeurs » qui l’ont conduit à se présenter comme conseillère municipale. Actuellement, Mme Cossette est l’élue responsable du développement économique, de la culture et de la vie communautaire et a comme autres responsabilités : Comité consultatif sur le milieu de vie Comité de retraite des cols bleus de Saint-Bruno-de- Montarville Comité de retraite des cols blancs de l’Agglomération de Longueuil Alain Dubois Saint-Bruno abritera un des plus importants centres de données au Canada Les efforts du gouvernement municipal du maire Murray pour insuffler un nouveau dynamisme économique à la ville porte fruit. Les annonces de nouvelles entreprises qui viennent s’établir à Saint-Bruno-de-Montarville sont presque hebdomadaire. Les revenus que la ville en retirera seront, selon le maire Martin Murray, en grande partie investit dans l’amélioration des infrastructures de Saint-Bruno, entre autre, dans la construction d’un audacieux complexe sportif dans le centre-ville. Un projet qui comme, il l’a mentionné lors du dernier conseil municipal, devra se faire sans aucune
augmentation de taxe pour les Montarvillois. La dernière annonce concerne l’implantation d’un nouveau campus de 150 MW de l’entreprise COLO-D qui deviendra ainsi le plus important fournisseur de services de centres de données pour grandes entreprises au Canada. «Érigé sur un terrain de plus de 22 acres, ce campus avant- gardiste nommé D3, troisième site de COLO-D, sera aménagé et opéré en utilisant les dernières technologies vertes disponibles. Les clients pourront tirer parti de la stabilité de l’énergie renouvelable du Québec et ainsi améliorer leur responsabilité sociale», explique Patrick David, président et chef de la direction de COLO-D. Le campus de 500 000 pieds carrés sera approvisionné par deux alimentations électriques de 315 kV redondantes, chacune desservie par deux postes haute tension. Son emplacement stratégique est considéré comme l’un des plus fiables et sécuritaires en Amérique du Nord en termes d’approvisionnement d’énergie électrique. «Le nouveau campus D3 nous permettra de nous positionner parmi les leaders nord-américains en solutions de centres de données pour grandes entreprises. Nous sommes enthousiastes de pouvoir offrir un écosystème riche et unique de centres de données aux entreprises souhaitant déployer des solutions à grande échelle dans une région en voie de devenir une plaque tournante mondiale en centres de données », se réjouit M. David, rappelant que Montréal s’impose déjà comme l’un des marchés les plus prometteurs dans ce secteur en Amérique du Nord. COLO-D offre une connectivité de très haut niveau aux grandes entreprises ayant des besoins spécifiques en termes d’échange de trafic, d’interconnexions réseau et de partage de contenu.
Le campus D3 offrira une multitude de liens entièrement redondants et diversifiés, y compris des liaisons vers des centres de télécommunication internationaux. Ce campus sera également connecté aux autres centres de données de COLO-D via des routes de fibres optiques diverses offrant aux entreprises la possibilité de créer des solutions redondantes de geo- clustering sur des sites situés dans différentes zones climatiques et sismiques. Alain Dubois & communiqué de presse COLO-D Projet de station thermale à Saint-Bruno: une autre étape de franchie. Violaine Trudeau Le Groupe SKYSPA (le «Groupe») vient d’annoncer l’introduction de nouveaux partenaires au sein de son organisation, ce qui lui permet la mise en action de son plan de développement , ainsi que la réalisation de son projet de station thermale à
Saint-Bruno-de-Montarville. Avec le soutien renouvelé d’Investissement Québec, partenaire du Groupe depuis ses débuts, s’ajoute celui des Fonds régionaux de solidarité FTQ Montérégie, ainsi que ceux de nouveaux investisseurs privés. Patrick Rake, déjà propriétaire du groupe Sky Spa, mais aussi de Spa Nordic Station à Magog, demeure pour l’instant le principal actionnaire. Avec l’arrivée de ces investisseurs, tout est maintenant en place pour espérer une première pelletée de terre au plus tard en octobre 2018. Grâce à cette étape, les plans sont présentement sur les tables d’au moins six firmes professionnelles, que ce soit en architecture, en ingénierie ou autres. L’objectif du Groupe est de permettre une intégration la plus naturelle possible au pied du Mont-Saint-Bruno. «Nous avons fait faire plusieurs études environnementales auparavant afin de nous assurer qu’aucun milieu humide ni habitat naturel adjacents ne soient touchés par la construction de nos installations. De plus, nous avons fait le choix d’utiliser la géothermie pour être écoénergétique.», explique M. Rake. Patrick Rake
Au sujet de l’environnement, Patrick Rake affirme s’être assuré que son projet n’aille aucunement à l’encontre des différents groupes environnementaux:. «J’ai répondu à toutes les demandes et questions. Nous avons même rencontré nos futurs voisins! Pour nous, c’était important de garantir que les habitants autour soient rassurés.», ajoute-t-il. À ce compte, il a choisi la firme Projet Paysage pour l’aménagement paysager qui aura pour mission d’offrir la quiétude pour tous en éliminant les bruits environnants. De plus, il est fort probable que les résidents de la région aient droit à certains rabais:. «Je fais déjà ça pour les gens de Magog. Pour moi, c’est la meilleure façon d’avoir des ambassadeurs autour!» explique M. Rake. Rappelons que le projet de la station thermale s’étendra sur près de 60 000 mètres carrés situés sur le rang des Vingt-Cinq Est, et sera construit en deux phases. La première phase représente un investissement de plus de 12 millions de dollars et devrait contribuer à la création de près de 100 nouveaux emplois. Idéalement, la construction débutera cet automne et le nom du projet sera dévoilé au même moment. De par sa proximité avec Montréal, la station de ski Mont-Saint-Bruno et le parc de la Société des établissements de plein air du Québec («Sépaq»), le projet devrait constituer pour la région un nouvel attrait majeur en plus de plusieurs retombées économiques. Violaine Trudeau
L’œuvre de Betty Palladio, Agata no 1, coup de cœur 2018 des Montarvillois C’est l’œuvre Agata no 1, qui a conquis le cœur du public dans le cadre de l’édition 2018 de l’exposition des artistes locaux. L’artiste Betty Palladio a ainsi a remporté le prix coup de cœur. Elle a reçu son prix, un chèque-cadeau de 250 $ à utiliser chez De Serres, de la part du maire, monsieur Martin Murray. En tout, 320 citoyens de Saint-Bruno ont voté pour leur œuvre préférée dans le cadre de ce nouveau concours, où ils devaient choisir parmi la quarantaine d’œuvres présentées. L’exposition des artistes locaux s’est tenue du 27 mai au 8 juillet; rappelons que les artistes montarvillois sont invités, chaque année, à y présenter leur œuvre. Ils courent la chance d’y gagner l’une des deux bourses de 1 000 $ remises aux récipiendaires, et les œuvres gagnantes sont ajoutées à la collection de la Ville et exposées dans un des édifices municipaux. Cette année, les lauréats étaient madame Micheline Legaré, pour l’œuvre Polémique ou réflexion, ainsi que monsieur Aidan Warnock, pour Tir na nόg. Nos félicitations à la récipiendaire! LeMontarvillois.com Source: Communiqué, Ville de Saint-Bruno-de-Montarville
Québec et Ottawa accordent plus de 1 M$ pour développer les exportations et l’innovation des entreprises de l’agglomération de Longueuil Les gouvernements du Québec et du Canada renouvellent, à hauteur de 1 078 000 $, leurs contributions financières respectives pour les trois prochaines années à Développement économique de l’agglomération de Longueuil (DEL) afin qu’il continue, à titre d’organisme régional de promotion des exportations (ORPEX), à aider les entreprises montarvilloises et des autres villes de l’agglomération de Longueuil à réaliser des démarches d’exportation et à mieux se préparer pour la commercialisation de leurs produits et services sur les marchés hors Québec. L’apport du gouvernement du Canada comporte également un volet de soutien à l’innovation. La députée de Longueuil-Charles-LeMoyne , Mme Sherry Romanado, au nom du ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique et ministre responsable de Développement économique Canada pour les régions du Québec (DEC), l’honorable Navdeep Bains, et la députée de Laporte et me whip en chef du gouvernement, M Nicole Ménard, au nom de la vice‑première ministre, ministre de l’Économie, de la Science et de l’Innovation et ministre responsable de la Stratégie numérique, M m e Dominique Anglade, en ont fait l’annonce aujourd’hui.
Pour réaliser ses activités d’accompagnement à l’exportation, évaluées à 1,3 M$, DEL reçoit du ministère de l’Économie, de la Science et de l’Innovation (MESI) une contribution financière non remboursable de 360 000 $. Cette aide est accordée par l’entremise du Programme Exportation (PEX) dans le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie québécoise de l’exportation 2016-2020, qui est coordonnée par Export Québec. Pour sa part, DEC accorde une contribution financière non remboursable de 718 000 $, en vertu du Programme de développement économique du Québec. Les ORPEX aident notamment les entreprises : à élaborer un plan d’affaires international; à obtenir de l’information sur l’exportation; à organiser leurs actions pour percer les marchés extérieurs; à recevoir un diagnostic sur leur capacité à exporter; à connaître les possibilités de financement pour leurs projets d’exportation; à acquérir une formation spécialisée. «Développement économique de l’agglomération de Longueuil contribue, depuis 2002, à la vitalité économique de la région de Longueuil par sa vaste gamme de services de formation, d’accompagnement et de consultation offerts aux entreprises exportatrices et innovantes. Cet organisme est un précieux allié des entrepreneurs établis à Boucherville, Brossard, Longueuil, Saint-Bruno-de- Montarville et Saint-Lambert, et c’est pourquoi nous sommes heureux de soutenir son développement. » Sherry Romanado, députée de Longueuil-Charles-LeMoyne. «DEL est un partenaire stratégique. D’une part, il travaille conjointement avec la Direction régionale de la Montérégie du MESI et Export Québec dans la sensibilisation, la formation et la préparation des entreprises de la région à l’exportation. D’autre part, il constitue une ressource de choix pour les
entreprises de l’agglomération de Longueuil qui ont besoin d’un accompagnement de première ligne et d’une expertise professionnelle et technique pour exporter. » Lucie Charlebois, ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie et ministre responsable de la région de la Montérégie Julie Ethier, directrice générale de Développement économique de l’agglomération de Longueuil «Sachant que près de la moitié de nos quelque 800 entreprises manufacturières sont exportatrices, le soutien financier des ordres fédéral et provincial, conjugué à celui des villes de l’agglomération, est capital pour faciliter et accélérer les projets d’exportation des entreprises. DEL est fier de contribuer à la réussite des entreprises démarrant leurs activités à l’exportation ou en phase de diversification ou de consolidation de marchés. » Julie Ethier, directrice générale de Développement économique de l’agglomération de Longueuil Faits saillants : Issu d’une volonté concertée des milieux économique et
politique, Développement économique de l’agglomération de Longueuil a été créé en 2002 afin de donner à l’agglomération de Longueuil la force économique pour se développer. DEL est un organisme sans but lucratif qui offre ses services à l’ensemble des entreprises manufacturières, technologiques et industrielles établies dans les cinq villes suivantes : Boucherville, Brossard, Longueuil, Saint-Bruno-de- Montarville et Saint‑Lambert. Les ORPEX appuient les bureaux régionaux du MESI et Export Québec dans la sensibilisation, la formation et la préparation des entreprises de leur région à l’exportation. Chaque organisme a pour rôle de contribuer à l’atteinte des mesures 2 et 7 de la Stratégie québécoise de l’exportation 2016-2020, soit Mieux orienter la stratégie d’exportation des entreprises et Préparer et diffuser des formations en développement de marchés, en logistique et en marketing. Ils font également la promotion de l’exportation auprès des entreprises. Le gouvernement du Québec a lancé la Stratégie québécoise de l’exportation 2016‑2020, laquelle est dotée d’une enveloppe de 536,8 millions de dollars, avec pour objectif d’accompagner 4 000 entreprises dans leurs démarches d’exportation. Le PEX a notamment pour objectifs de sensibiliser les entreprises québécoises au potentiel de croissance que représentent les exportations et, par la suite, de les soutenir dans la conquête et la diversification des marchés extérieurs. DEC est l’un des six organismes de développement régional sous la responsabilité du ministre de l’Innovation, des Sciences et du Développement économique, l’honorable Navdeep Bains. L’année 2018 marque le 50e anniversaire du développement économique régional fédéral au Québec : un demi-siècle
d’actions concrètes consacrées à l’essor des régions et des entreprises d’ici. Source: Communiqué, Développement économique Canada pour les régions du Québec Les maires de l’agglomération de Longueuil s’unissent autour de la Vision du transport en commun 2025 Le Maire de Saint-Bruno-de-Montarville, Martin Murray, s’est joint aux autres maires de l’agglomération de Longueuil lors de l’annonce d’un nouveau plan de développement du transport en commun pour l’ agglomération. Afin d’améliorer la qualité de vie des résidents de l’agglomération de Longueuil et dans le but de diminuer la congestion routière qui croît à une vitesse fulgurante, les municipalités de l’agglomération se sont rassemblées autour d’une vision intégrée du transport en commun. Née de cette précieuse collaboration, la Vision du transport en commun 2025 permettra à la troisième plus importante société de transport
au Québec d’offrir aux citoyens de l’agglomération de Longueuil un service performant, efficace et axé sur la mobilité durable. «Le parc automobile de l’agglomération augmentant à un ratio 3 fois supérieur à celui de sa population, une mobilisation des élus municipaux était nécessaire afin de développer un plan concerté reflétant les besoins des citoyens et surtout, structurant pour le développement urbain», mentionne Pierre Brodeur, président du c.a. du Réseau de transport de Longueuil et maire de Saint-Lambert. La Vision s’inscrit ainsi dans le schéma d’aménagement et de développement de l’agglomération de Longueuil et avec la Politique de mobilité durable du gouvernement du Québec afin de maximiser les investissements faits en transport en commun, et ainsi contribuer au succès du REM. Les citoyens au cœur de la vision La concertation des maires de l’agglomération est motivée par l’idée d’offrir des services adaptés à la réalité des citoyens et des entreprises et ainsi, améliorer leur qualité de vie. Pour arriver à augmenter la part modale du transport en commun, les maires misent donc sur un nouveau réseau flexible, qui permettra de diminuer le temps de déplacement et la desserte de nouveaux secteurs. Quatre projets structurants : FAIRE DU REM UN SUCCÈS : Assurer l’accès aux nouvelles stations par des voies réservées multimodes, et le déploiement de services de transport en commun fréquents et réguliers tout au long de la journée pour s’y rendre. PROLONGEMENT DE LA LIGNE JAUNE : Faciliter les déplacements à l’est de l’agglomération permettant ainsi aux usagers de gagner du temps grâce à ce projet attendu depuis plus de 50 ans. TRAMWAY SUR TASCHEREAU : Lier l’est et l’ouest de
l’agglomération par un tramway à haute fréquence qui s’intégrera parfaitement au REM et au métro et qui contribuera à revitaliser le boulevard Taschereau. RÉSEAU RAPIDE D’AGGLOMÉRATION ET CORRIDORS EXPRESS : Améliorer la fluidité des transports à l’intérieur de l’agglomération et avec la Couronne Sud grâce à des voies réservées, des feux intelligents et des stationnements incitatifs. En bref, une vision de transport en commun : COHÉRENTE : Planification de projets structurants en favorisant le maillage avec le réseau existant et des projets en cours de développement. SIMPLIFIÉE : Nouveaux outils de planification et d’information en temps réel pour faciliter les déplacements : transport à la demande dans certains secteurs (ex. : taxi sur demande), infos en temps réel, annonces vocales à bord, statut des stationnements incitatifs et des supports à vélos, etc. DURABLE : Flotte de véhicules complètement hybrides ou électriques (incluant wi-fi et prises USB), véhicules de petites tailles pour certains secteurs, panneaux horaires en temps réel à énergie solaire, voies réservées, etc. «Je lance aujourd’hui un message à tous les candidats qui aspirent à représenter une circonscription électorale dans la région : l’agglomération de Longueuil s’attend à ce que vous vous engagiez à réaliser les projets de transport en commun qui sont attendus par la population et que vous preniez position en faveur de la vision 2025 de notre agglomération
afin d’améliorer la qualité de vie de nos citoyens», soutient Sylvie Parent, mairesse de Longueuil. Pour plus de détails sur la vision, visitez le www.vision2025tc.com SOURCE: Communiqué RTL Photo officielle du dévoilement de la Vision 2025 du transport en commun de l’agglomération de Longueuil. Monsieur Pierre Brodeur, maire de Saint-Lambert et président du conseil d’administration du Réseau de transport de Longueuil (RTL), monsieur Raouf Absi, maire suppléant de Boucherville, madame Sylvie Parent, mairesse de Longueuil, madame Doreen Assaad, mairesse de Brossard, Monsieur Martin Murray, maire de Saint- Bruno-de-Montarville et monsieur Michel Veillette, directeur général du RTL Photo : RTL | Pascale Simard, Alpha Presse inc. Québec accorde 2 millions à Ski Saint-Bruno La ministre du Tourisme, Mme Julie Boulet a annoncé hier que le gouvernement du Québec allait attribuer une aide financière de 2 126 800 $ à Ski Saint-Bruno pour soutenir le développement de sa station de ski. Cette initiative totalise des investissements de plus de 7 millions de dollars dans la région de la Montérégie. L’aide financière provient du Programme de soutien aux stratégies de développement touristique, volet 1 – Appui à la Stratégie de mise en valeur du tourisme hivernal, du
ministère du Tourisme. «Il s’agit d’une excellente nouvelle pour le développement touristique de Ski Saint-Bruno, qui accueille plus de 400 000 visiteurs chaque année. Je suis convaincue que cette aide financière lui permettra d’attirer encore plus de touristes d’ici et d’ailleurs et de fidéliser sa clientèle actuelle, notamment les Québécois voyageant au Québec, grâce au développement et à la diversification de son offre quatre saisons. » Julie Boulet, ministre du Tourisme «Ski Saint-Bruno fait partie de ces produits touristiques qui font la fierté des gens de la Montérégie. En tant que ministre responsable de la région, cette nouvelle me réjouit puisque les investissements du gouvernement du Québec permettront de maintenir et de créer des postes chez cet important employeur de la Montérégie, qui emploie 900 personnes annuellement, dont 565 moniteurs.» Lucie Charlebois, ministre déléguée à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé publique et aux Saines habitudes de vie et ministre responsable de la région de la Montérégie Faits saillants : Le projet de Ski Saint-Bruno comprend l’amélioration de la capacité d’enneigement de la station et la réalisation de travaux d’infrastructures, notamment sur certaines pistes pour les rendre plus sécuritaires, bonifier l’offre et faciliter l’apprentissage. Il comprend aussi l’optimisation de la capacité des remontées mécaniques ainsi que le développement et la diversification de l’offre quatre saisons. L’investissement du gouvernement du Québec permettra entre autres de stimuler la création d’emplois et entraînera une augmentation du nombre de visiteurs ainsi qu’un accroissement des dépenses touristiques dans la région. La Stratégie de mise en valeur du tourisme hivernal vise
à faire du Québec l’une des principales destinations touristiques hivernales qui misent sur le développement d’une offre variée d’activités permettant aux visiteurs de vivre une expérience totale durant cette saison unique. SOURCE: Communiqué , Cabinet de la ministre du Tourisme Photo: Ski Saint-Bruno Selon les projections réalisées par Qc125, la CAQ remporte Montarville et balaie le Québec La campagne électorale débutera officiellement le jeudi 23 août prochain et se terminera le jour du vote, soit le 1er octobre. Jusqu’à présent les sondages donnent tous une nette victoire à la CAQ. Par contre, déterminer le nombre de sièges que ce parti et les autres remporteront demeure un exercice hasardeux. Pour répondre à ce défi, Philippe J. Fournier, professeur de physique et d’astronomie au Cégep de Saint- Laurent à Montréal, a mis au point un logiciel qui utilise un générateur de chiffres aléatoires afin de compiler des votes. Ces chiffres sont ensuite classés en ordre et associés à un parti selon les projections des sondages et des tendances
électorales récents. Sa première projection électorale de la présente campagne québécoise donne à la Coalition Avenir Québec (CAQ) une large victoire, non seulement dans la circonscription de Montarville, mais l’ensemble du Québec, particulièrement dans le centre du Québec et dans la région de la capitale nationale. Le Parti libéral du Québec (PLQ) serait lui cantonné à l’ile de Montréal et dans l’Outaouais. Le Parti Québécois deviendrait un parti régional car l’ensemble de sa députation serait issue de l’est du Québec (côté nord et Gaspésie). Québec solidaire fermerait la marche en faisant élire 4 ou 5 députés à Montréal. Tableau : 1 Quelques projections : Nathalie Roy dans Montarville serait certaine à 99 % de se voir confier un troisième mandat pour la CAQ
Dans Marie-Victorin, la lutte est chaude et entre l’actuelle et jeune députée du Parti Québécois, Catherine Fournier ( 31,5%) et la caquiste Martyne Prévost (32.35%). Le député caquiste Simon Jolin-Barette serait, lui aussi, facilement réélu.
Le ministre Gaétan Barrette dans La Pinière serait assuré de la victoire, et ce, à 99 %. Dans la circonscription de Taillon, c’est le candidat vedette de la CAQ, le clinicien, chercheur et professeur de neurosciences et de pédiatrie, le Dr Lionel Carmant qui prendrait le siège de péquiste Diane Lamarre. Dans La Prairie, le libéral et ancien député de l’ADQ, Richard Merlini, perdrait son siège en faveur du candidat de la CAQ, Stéphane le Bouyonnec. En 2014, 83% des électeurs de Montarville ont voté! Alain Dubois Images et source: QC125.com
Un contrebandier de tabac Montarvillois écope d’une amende de 78 480 $ Revenu Québec annonce que les 12 personnes ont été reconnues coupables d’infractions liées à la contrebande de tabac. Ces personnes ont été condamnées par la Cour du Québec à payer des amendes totalisant 2 437 705,24 $, dans des délais variant de 4 à 18 mois. Ces personnes se sont notamment vu reprocher d’avoir vendu, livré ou eu en leur possession du tabac destiné à la vente au détail au Québec et dont le paquet n’était pas identifié conformément à la Loi concernant l’impôt sur le tabac. De plus, elles n’étaient pas inscrites aux fichiers de Revenu Québec et n’étaient titulaires d’aucun des permis exigés par la Loi pour exercer des activités commerciales liées aux produits du tabac. Parmi ces 12 contrebandiers, on retrouve le Montarvillois Alexandre Descarries qui s’est vu reprocher d’avoir vendu, livré ou eu en sa possession du tabac destiné à la vente au détail au Québec. Ce citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville a écopé d’une amende de 78 480 $ Cette condamnation est le résultat d’une opération effectuée par la Sûreté du Québec. Le 22 juillet 2015, des policiers ont effectué une perquisition visant un véhicule, à Coteau-du-Lac, et y ont saisi 720 kilos de tabac de contrebande. La cour a ordonné la confiscation et la destruction du tabac saisi, ainsi que la suspension du permis de conduire de M. Descarries pour une période de 60 jours. Revenu Québec tient à informer les personnes exerçant des activités commerciales liées aux produits du tabac qu’elles doivent être titulaires des permis exigés par la Loi pour
manufacturer, importer, transporter, entreposer ou vendre en gros des produits du tabac. De plus, le tabac destiné à la vente au détail au Québec doit être identifié de la manière et aux conditions prescrites par règlement. Le non-respect de l’une de ces obligations constitue une infraction et peut entraîner une amende minimale de 6 000 $ ainsi qu’une peine d’emprisonnement maximale de deux ans. Les personnes qui achètent du tabac de contrebande pour leur consommation personnelle s’exposent, quant à elles, à une amende minimale de 350 $. Les autres contrebandiers qui ont été reconnus coupables sont: Mike Carey, Les Coteaux, Ronen Revizada, Thornhill (Ont.), Gaétan Tremblay, Saguenay Jeffrey Arthur Adams. Summerstown (Ont.), Lucienne Roux, Saint-Norbert-d’Arthabaska, Michel Prévost, Warwick, Johanne Dagenais, Beauharnois, Darlène Higden, Montréal Tommy Peterson Bellevue-Trudel, Montréal-Nord, Denis Brochu, Montréal ,Claude Martel, Weedon Source: Communiqué Revenu Québec Saint-Bruno-de-Montarville, à nouveau première au palmarès des meilleures villes
canadiennes pour les familles Pour une deuxième année consécutive, la Ville de Saint-Bruno est nommée la meilleure ville au Canada pour les familles et quatrième ville canadienne (dont la première au Québec) où il fait bon vivre par le magazine MoneySense, qui dévoilait, le 31 juillet dernier, son palmarès annuel sur la qualité de vie au pays. Le maire de Saint-Bruno, Martin Murray, s’est réjoui de cette distinction qui valorise l’ensemble de la communauté montarvilloise. « Il s’agit d’une distinction majeure qui est le fruit des nombreux efforts pour faire de notre ville une collectivité viable et épanouie. Nous sommes fiers des programmes offerts aux familles, dont entre autres celui des parcs récréatifs, qui a un caractère unique et novateur. » Découlant des plans d’action de la politique familiale, la Ville a mis en œuvre plusieurs programmes au cours des dernières années. Parmi ceux-ci, mentionnons « Un nouvel enfant! Un arbre! », « Une naissance, un livre », le comité consultatif Tribune jeunesse, le programme de Taxi-Ados, le cinéparc, ainsi que les nombreuses fêtes familiales gratuites et à grand déploiement comme la Fête du Lac et la Féerie au Lac du Village et la Fête de clôture des parcs. «Il faut aussi souligner que Saint-Bruno est accréditée “Municipalité amie des enfants” depuis 2012». Le territoire de la Ville compte un nombre élevé d’écoles, de garderies, de centres de la petite enfance (CPE) et d’organismes dédiés à la famille, en plus de bénéficier du cadre enchanteur du parc national du Mont-Saint-Bruno et de 23 parcs municipaux,
aménagés et entretenus avec soin, été comme hiver, par une équipe dévouée. On y trouve de nombreux plateaux sportifs tels des terrains de soccer, baseball, football, basketball, volleyball, mais aussi de pickleball, une piste de BMX et des jeux d’eau. MoneySense établit son classement en évaluant notamment la population âgée de 15 ans et moins, le pourcentage d’élèves dans la population, le nombre de garderies et d’établissements scolaires pour 1000 habitants, le coût moyen des frais de garde d’enfant, et le pourcentage de foyers comptant des enfants. Saint-Bruno s’illustre également pour sa qualité de vie En plus de trôner au sommet des endroits pour une famille, Saint- Bruno s’illustre également pour sa qualité de vie. Parmi les 415 municipalités canadiennes que le magazine MoneySense a évaluées cette année, Saint-Bruno occupe le 4 e rang des villes canadiennes et le premier rang des villes québécoises où il fait bon vivre. « Notre défi pour les prochaines années est de continuer de faire mieux. Nous le pouvons et, à ce titre, les idées pour améliorer notre cadre de vie à tous sont les bienvenues », de conclure le maire. Depuis 2005, MoneySense analyse la qualité de vie des villes canadiennes et dresse son palmarès « Best places to live » en accordant des points qui prennent en considération plus de trente critères, comme la vitalité économique, le revenu
familial, le taux de chômage, le taux de criminalité, l’accès à la propriété, l’accès à un médecin de famille et à des services de loisir, etc. Pour consulter le palmarès MoneySense 2018 (en anglais): https://www.moneysense.ca/spend/real-estate/canadas- best-places-for-families-2018-100/ Source: Communiqué Ville de Saint-Bruno Photos: Courtoisie Robert Laflamme Sur le même sujet: Saint-Bruno-de-Montarville, première au palmarès des meilleures villes canadiennes où élever des enfants (2107) Populaires: Ilot Natrel : Lettre au Maire Martin Murray Saint-Bruno: Roxanne et Thierry Kobloth après le vin et la bière, ils se lancent dans l’eau-de-vie et le whisky… La majorité des Montarvillois d’accord avec le projet de complexe sportif Les résultats de consultations publiques montrent que la majorité des Montarvillois sont favorables à la construction du complexe multisport dans leur ville. Un résultat qui n’est pas surprenant, car un sondage maison publié par Le Montarvillois dans le groupe Saint-Bruno-de-Montarville d’hier
à aujourd’hui arrivait non seulement à la même conclusion mais à des résultats quasiment identiques . Dans un communiqué émis par la ville de Saint-Bruno, on apprend que 87% des 319 répondants se sont dits favorables au projet et une majorité d’entre eux seraient aussi en faveur de l’emplacement proposé (le parc la Rabastalière). Par contre, le communiqué se garde d’indiquer le pourcentage de citoyens en défaveur de cet emplacement, ce qui laisse supposer que celui-ci n’est pas aussi significatif. Dans le rapport de consultation commandé à l’Institut du Nouveau-Monde, on peut lire qu’effectivement en prenant en compte la localisation, près de 40% des citoyens sont défavorables au projet et que « Les motifs les plus récurrents des répondants et des participants aux séances publiques en défaveur du projet sont la nécessité de relocaliser le terrain de balle molle et, parmi les participants aux séances de consultation, le manque d’espace dans le parc Rabastalière » (p. 16 ) Tableau 1
Tableau 2 Le rapport des consultations fait aussi état des activités et installations à prioriser. Au premier rang, la piscine (natation et activités aquatiques), puisque 77% des 465 répondants au questionnaire en ligne l’ont priorisée, suivie du conditionnement physique à 67 %, du yoga à 52 % et du badminton à 44%. Tableau 3
Les recommandations et défis identifiés dans le rapport de l’Institut du Nouveau Monde sont principalement : proposer des équipements modulables afin de combiner au mieux les besoins similaires de différentes activités; créer des partenariats avec d’autres villes et d’autres organisations pour améliorer l’offre de services en sports et loisirs; aménager des infrastructures selon les normes de l’accessibilité universelle (personnes handicapées); concevoir des installations en complémentarité avec ceux disponibles dans
les villes voisines; proposer une offre de services qui permette à des enfants et à leurs parents de pratiquer chacun des activités spécifiques durant les mêmes plages horaires; imaginer une programmation inclusive qui proposerait, d’une part, avec le personnel d’encadrement nécessaire, des infrastructures qui s’adressent à chaque niveau de pratique, du débutant à la compétition et pour tous les âges, et d’autre part des équipements et des installations permettant d’accueillir des compétitions d’envergure (gradins, services de restauration, etc.). Le projet de construction du complexe sportif est estimé entre 45 et 50 millions de dollars. Alain Dubois Rapport de consultation, Projet de complexe multisport (Institut du Nouveau-Monde): PDF, ICI Avis: Certains éléments de ce texte sont tirés textuellement du rapport publié par l’Institut du Nouveau-Monde Jacques Bédard conseiller municipal, district 7, Saint- Bruno-de-Montarville Je suis père de deux enfants et avec la même conjointe depuis 35 ans. Du côté professionnel, je suis spécialisé en alimentation depuis près de 40 ans et chef d’entreprise depuis 27 ans.
Mes premiers mandats à la ville en 2013 ont été: le développement économique, l’implantation du Marché Public et de la Féerie de Noël. À voir la quantité d’entreprises qui frappent maintenant à la porte de la ville pour acheter un terrain dans nos parcs industriels ainsi que la popularité des deux marchés publics, je crois avoir livré la marchandise, et ce, sans faire beaucoup de bruit dans les médias. Dans ce nouveau mandat, mes dossiers sont la mobilité, la circulation et les finances. En ce qui concerne la mobilité, les citoyens seront à même de constater que plusieurs nouvelles voies cyclables seront implantées dans les 3 prochaines années. Près de 3 Millions de dollars seront investis pour réaliser le plan ambitieux de sécuriser les cyclistes au centre-ville en plus de déployer un réseau de mobilité active qui deviendra, je le souhaite, la référence dans la région de Montréal. Il est évident que de passer de la théorie à l’implantation réelle de la mobilité active bousculera la primauté actuelle des automobilistes. La réduction à une voie dans les deux sens sur le boulevard Clairevue, de la rue Deslières jusqu’à Montarville en sera un bel exemple. Au niveau du comité circulation, nous travaillons à trouver des solutions pour limiter la circulation de transit. Trois
points «chauds» sont identifiés. La Montée Montarville avec le transit en PM vers St-Julie, Le Grand-Boulevard au Sud 116 avec son lot de trafic du matin et du soir et finalement le transit via le Sommet Trinité. Nous travaillons aussi à créer un document qui sera disponible sur le site web de la ville pour guider les citoyens qui considèrent avoir une problématique liée à la circulation dans leur rue. Ce document sera un «pas à pas» pour ouvrir et structurer leur demande d’intervention à la ville. Les finances! Nous pouvons affirmer que depuis les fusions & défusions, les finances de Saint-Bruno sont à leur meilleur. Le comité des finances a le mandat de faire des recommandations au conseil sur les moyens de favoriser la taxation sur l’utilisateur-payeur. Exemple : étendre progressivement l’installation obligatoire de compteurs d’eau. Ceux-ci sont déjà obligatoires pour les industries et les commerces. La vitalité et la densification du centre-ville devront se faire en harmonie avec la qualité de vie des résidents. Beaucoup de projets viendront modifier l’aspect du centre- ville (centre du district) dans les prochaines années. L’obligation de densification n’est pas une lubie des élus locaux, mais bien une obligation des paliers supérieurs. Saint-Bruno n’y échappera pas. J’invite donc les citoyens du district à consulter le document «Vision 2035» sur le site de la ville et à m’écrire pour me faire part de leurs suggestions dans le but de faciliter et d’harmoniser les impératifs et leur qualité de vie. Jacques Bédard, conseiller du district 7, Saint-Bruno-de- Montarille Jacques.Bedard@stbruno.ca
Tous les mois, Le Montarvillois donne la parole à une conseillère/ un conseiller municipal afin qu’il/elle partage avec ses concitoyen/nes ses priorités comme élu-es et l’avancement des dossiers (comités) qui sont sous sa responsabilité… Vincent Fortier, conseiller du district 2: La noblesse de la politique Caroline Cossette (district 3): Saint-Bruno, une ville riche et pleine d’atouts économiques Martin Guèvremont (district 4): Deuxième mandat… la concrétisation des projets Photo: Ville de Saint-Bruno-de-Montarville De gauche à droite, messieurs Jean-Luc Couture, président du CLD de l’agglomération de Longueuil, Daniel Tousignant, président de la Chambre de commerce Mont-Saint-Bruno et Jacques Bédard, conseiller de la Ville de Saint-Bruno, responsable du projet du marché public. À Saint-Bruno: Surplus de potager à partager Issu du mouvement international initié à Todmorden en Angleterre, ce projet prône entre autre le partage des récoltes et la réduction du gaspillage alimentaire.
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