Centre sportif à Saint-Bruno: l'opposition force la tenue d'une étude comparative entre 4 emplacements - Le Montarvillois

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Centre sportif à Saint-Bruno: l'opposition force la tenue d'une étude comparative entre 4 emplacements - Le Montarvillois
Centre sportif à Saint-Bruno:
l’opposition force la tenue
d’une étude comparative entre
4 emplacements
Les retombées positives de la nouvelle dynamique au conseil
municipal se font déjà sentir. C’est ainsi qu’en tant que
groupe des élus majoritaires au conseil, nous pouvons annoncer
que quatre emplacements feront l’objet d’une étude comparative
en vue de la construction du centre sportif avec piscine.

L’objectif d’implanter de nouvelles infrastructures sportives
répondant aux attentes de la population montarvilloise demeure
une priorité pour les membres du conseil.

Rappelons qu’une pétition de plus de 2000 signataires
s’opposant à l’implantation du centre sportif au parc
Rabastalière a été déposée à la Ville de Saint-Bruno-de-
Montarville en janvier dernier. Il nous apparaît donc
important de présenter à la population les avantages et
inconvénients de différentes localisations, afin de nous
assurer du meilleur choix pour notre communauté. Nous avons
donc demandé à l’administration municipale de nous présenter
une analyse comparative de différents sites sur notre
territoire qui pourraient accueillir un centre sportif avec
piscine.

4 endroits ont été identifiés et seront considérés dans
l’étude comparative. Parmi eux, le parc Rabastalière et le
pôle sportif du parc Marie-Victorin. Contrairement au maire
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Martin Murray qui s’est toujours opposé à cette démarche, nous
sommes d’avis qu’elle aurait dû être réalisée dès le départ.

Nous sommes confiants que les résultats nous permettront de
proposer un site qui réponde aux attentes du plus grand nombre
et qui respecte la capacité́ de payer des Montarvillois et
Montarvilloises. Nous sommes impatients de mettre ce projet en
marche!

Source communiqué de presse: Marilou Alarie, Joël Boucher,
Louise Dion, Caroline Cossette, Jacques Bédard

Résidence pour aînés sur
l’ilôt Natrel, un projet
imposant    que     certains
souhaitent imposer.

      Marilou
Alarie
Centre sportif à Saint-Bruno: l'opposition force la tenue d'une étude comparative entre 4 emplacements - Le Montarvillois
Malgré les consultations publiques et la claire volonté
exprimée par les Montarvillois de voir au centre-ville, sur le
site de l’ancienne laiterie Natrel, un projet de développement
dynamique qui permet une mixité d’occupation et un bâti à
échelle humaine ne dépassant pas 4 étages, l’administration du
maire Murray revient aujourd’hui à la charge en proposant des
modifications au plan d’urbanisme lesquelles ne respectent pas
les conclusions des consultations ni même les engagements pris
par sa formation politique lors de la récente élection.

L’objectif de ses modifications? Permettre un complexe
immobilier de cinq (5) étages comprenant 300 unités
d’habitation réservées exclusivement aux aînés sur le terrain
de l’ancienne laiterie Natrel au cœur du centre-ville de
Saint-Bruno.

Et pourtant:

      Ce projet immobilier ne cadre pas avec les objectifs
     définis dans la Vision stratégique 2035 adoptée en 2015
     par la Ville de Saint-Bruno pour le secteur du centre-
     ville.
     Ce projet ne rencontre pas les orientations et
     recommandations de l’étude d’urbanistes conseils
     intitulée « Définition d’un parti d’aménagement pour le
     centre-ville » et commandée par la Ville de St-Bruno à
     l’organisme Vivre en ville, lequel a réalisé cette étude
     à la suite des consultations publiques « Imaginons St-
     Bruno » en 2015.
     Ce projet n’est aucunement conforme au plan d’urbanisme
     adopté en décembre 2017 à la suite d’un exercice de
     consultation publique.
     Le plan d’urbanisme ne permet pas que soient implantés
     sur l’îlot Natrel des immeubles de plus de quatre (4)
     étages et ne permet pas non plus l’usage « habitations
     collectives », un usage nécéssaire au modèle d’affaire
     du promoteur.
      Ce projet fût sévérement critiqué par les citoyens lors
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de la consultation/séance d’information publique sur
     l’îlot Natrel, en mai 2018.
     Lors de sa réunion du 19 septembre dernier, le comité
     consultatif d’urbanisme de la ville de Saint-Bruno fût
     incapable de recommander favorablement au membres du
     conseil de ville les modifications règlementaires
     nécessaires à la réalisation du projet.

Un événement connu par peu de personnes autres que les membres
du conseil est révélateur du parti pris du maire favorable à
un projet de résidence pour personnes agées au détriment d’un
développement rejoignant ceux exprimés lors des consultations
publiques.

Quelques mois avant que la Société en commandite RPA 2 Saint-
Bruno ne fasse l’acquisition de l’ancienne laiterie du centre-
ville, le 21 octobre 2016, le maire avait pris l’initiative,
à l’insu des membres de son conseil, d’informer les vendeurs,
la Coopérative Agropur, qu’il souhaitait un projet d’envergure
à cet endroit et qu’il serait favorable à modifier la
règlementation municipale pour pouvoir accueillir, sur cet
important îlot central, des immeubles résidentiels et
commerciaux de 6 étages! Ces modifications étaient
significatives puisque, à l’époque, seuls les immeubles
commerciaux comptant un maximum de deux étages étaient permis
à cet endroit.

Voilà pourquoi lors du dépôt du projet de plan d’urbanisme au
début de l’année 2017, la possibilité d’implanter sur l’îlot
Natrel des immeubles de 6 étages fût présentée au public. Les
citoyens ont été nombreux à se questionner sur l’origine de
cette volonté de désormais permettre des édifices d’une telle
hauteur à cet endroit. Cette volonté était après tout
contraire aux conclusions des consultations publiques de 2015
et aux recommandations des urbanistes conseil mandatés par la
ville.

Quelques mois plus tard, à l’automne 2017, à l’approche des
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élections, la pression citoyenne pour le respect d’un
développement à échelle humaine et avec une mixité sociale sur
l’îlot central fut telle que le Parti montarvillois dut
prendre l’engagement de limiter la hauteur des immeubles à 4
étages et de ne pas permettre les habitations
collectives/résidences pour aînés sur ce lot dans son futur
plan d’urbanisme.

Une fois élue, l’équipe du Parti montarvillois a d’abord
respecté sa parole en adoptant, au mois de décembre 2017, un
plan d’urbanisme conforme à ses engagements.

Mais hélas, cela ne fut que de courte durée. Le maire a vite
fait de mettre en place un comité de travail composé d’élus,
de trois représentants du promoteur et de quelques citoyens
choisis par le maire lui-même. Ce comité allait, on le devine,
recommander que soit réalisé le projet souhaité par le
promoteur. M. Murray et son équipe pouvait maintenant renier
leurs engagements électoraux sous prétexte qu’un comité de
travail était en faveur du projet.

 Malheureusement, on peut conclure encore une fois que la
volonté des citoyens semble être bien peu considérée voir
méprisée à côté des intérêts des promoteurs privés. Ce sont
ces derniers encore aujourd’hui qui, avec la complicité de
l’administration municipale, tentent d’imposer leur modèle
d’affaires et de développement.

Les citoyens ont raison de réclamer un développement du
centre-ville qui respecte les besoins variés, un développement
du site Natrel reposant sur une mixité d’occupation, une
densité qui respecte les prérogatives du plan métropolitain
d’aménagement et un bâti davantage en harmonie avec celui
existant. Il faudra l’exprimer à nouveau lors de la
consultation publique du 8 novembre prochain. Si
l’administration Murray persiste dans son intention de
modifier le plan d’urbanisme au profit du promoteur COGIR,
nous devons réclamer un référendum où tous les électeurs
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pourront s’exprimer et pas seulement les riverains au projet
car le développement du centre-ville de Saint-Bruno concerne
tous ses citoyens.

Tous les Montarvillois et Montarvilloises sont invité(e)s à
participer à l’assemblée publique de consultation sur les
modifications réglementaires demandées par le promoteur pour
réaliser son projet.

Date: 8 novembre 2018
Lieu: Hôtel de Ville
Heure: 18:30

Marilou Alarie,

Conseillère municipale district 6, Saint-Bruno-de-Montarville

LA CONSEILLÈRE DE SAINT-
BRUNO,   CAROLINE    COSSETTE
QUITTE LE PARTI MONTARVILLOIS
La conseillère du district 3, Mme Caroline Cossette annoncera
dans un communiqué conjoint avec le Parti Montarvillois son
départ de ce parti.

Nous ignorons encore les motifs de ce départ, mais elle a
mentionné au Le Montarvillois.com qu’elle siégerait dorénavant
comme indépendante.

Pour expliquer sa décision, Mme Cossette a choisi la voie du
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communiqué conjoint avec le Parti Montarvillois, car elle
souhaite exprimer aux électeurs qui l’ont appuyé lors de la
dernière élection « qu’elle demeure la même personne avec les
mêmes valeurs » qui l’ont conduit à se présenter comme
conseillère municipale.

Actuellement, Mme Cossette est l’élue responsable du
développement économique, de la culture et de la vie
communautaire et a comme autres responsabilités :

Comité consultatif sur le milieu de vie
Comité de retraite des cols bleus de Saint-Bruno-de-
Montarville
Comité de retraite des cols blancs de l’Agglomération de
Longueuil

Alain Dubois

Saint-Bruno abritera un des
plus importants centres de
données au Canada
Les efforts du gouvernement municipal du maire Murray pour
insuffler un nouveau dynamisme économique à la ville porte
fruit.   Les annonces de nouvelles entreprises qui viennent
s’établir à Saint-Bruno-de-Montarville sont presque
hebdomadaire. Les revenus que la ville en retirera seront,
selon le maire Martin Murray, en grande partie investit dans
l’amélioration des infrastructures de Saint-Bruno, entre
autre, dans la construction d’un audacieux complexe sportif
dans le centre-ville. Un projet qui comme, il l’a mentionné
lors du dernier conseil municipal, devra se faire sans aucune
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augmentation de taxe pour les Montarvillois.

La dernière annonce concerne l’implantation d’un nouveau
campus de 150 MW de l’entreprise COLO-D qui deviendra ainsi le
plus important fournisseur de services de centres de données
pour grandes entreprises au Canada.

                              «Érigé sur un terrain de plus de
                              22 acres, ce campus avant-
                              gardiste nommé D3, troisième
                              site de COLO-D, sera aménagé et
                              opéré en utilisant les dernières
                              technologies vertes disponibles.
                              Les clients pourront tirer parti
                              de la stabilité de l’énergie
                              renouvelable du Québec et ainsi
                              améliorer leur responsabilité
                              sociale»,    explique   Patrick
David, président et chef de la direction de COLO-D.
Le campus de 500 000 pieds carrés sera approvisionné par deux
alimentations électriques de 315 kV redondantes, chacune
desservie par deux postes haute tension. Son emplacement
stratégique est considéré comme l’un des plus fiables et
sécuritaires en Amérique du Nord en termes d’approvisionnement
d’énergie électrique.

«Le nouveau campus D3 nous permettra de nous positionner parmi
les leaders nord-américains en solutions de centres de données
pour grandes entreprises. Nous sommes enthousiastes de pouvoir
offrir un écosystème riche et unique de centres de données aux
entreprises souhaitant déployer des solutions à grande échelle
dans une région en voie de devenir une plaque tournante
mondiale en centres de données », se réjouit M. David,
rappelant que Montréal s’impose déjà comme l’un des marchés
les plus prometteurs dans ce secteur en Amérique du Nord.

COLO-D offre une connectivité de très haut niveau aux grandes
entreprises ayant des besoins spécifiques en termes d’échange
de trafic, d’interconnexions réseau et de partage de contenu.
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Le campus D3 offrira une multitude de liens entièrement
redondants et diversifiés, y compris des liaisons vers des
centres de télécommunication internationaux. Ce campus sera
également connecté aux autres centres de données de COLO-D via
des routes de fibres optiques diverses offrant aux entreprises
la possibilité de créer des solutions redondantes de geo-
clustering sur des sites situés dans différentes zones
climatiques et sismiques.

Alain Dubois & communiqué de presse COLO-D

Projet de station thermale à
Saint-Bruno: une autre étape
de franchie.

Violaine
Trudeau

Le Groupe SKYSPA (le «Groupe») vient d’annoncer l’introduction
de nouveaux partenaires au sein de son organisation, ce qui
lui permet la mise en action de son plan de développement ,
ainsi que la réalisation de son projet de station thermale à
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Saint-Bruno-de-Montarville.

Avec le soutien renouvelé d’Investissement Québec, partenaire
du Groupe depuis ses débuts, s’ajoute celui des Fonds
régionaux de solidarité FTQ Montérégie, ainsi que ceux de
nouveaux investisseurs privés. Patrick Rake, déjà propriétaire
du groupe Sky Spa, mais aussi de Spa Nordic Station à Magog,
demeure pour l’instant le principal actionnaire.

Avec l’arrivée de ces investisseurs, tout est maintenant en
place pour espérer une première pelletée de terre au plus tard
en octobre 2018.

Grâce à cette étape, les plans sont présentement sur les
tables d’au moins six firmes professionnelles, que ce soit en
architecture, en ingénierie ou autres. L’objectif du Groupe
est de permettre une intégration la plus naturelle possible au
pied du Mont-Saint-Bruno. «Nous avons fait faire plusieurs
études environnementales auparavant afin de nous assurer
qu’aucun milieu humide ni habitat naturel adjacents ne soient
touchés par la construction de nos installations. De plus,
nous avons fait le choix d’utiliser la géothermie pour être
écoénergétique.», explique M. Rake.

                                  Patrick Rake
Au sujet de l’environnement, Patrick Rake affirme s’être
assuré que son projet n’aille aucunement à l’encontre des
différents groupes environnementaux:. «J’ai répondu à toutes
les demandes et questions. Nous avons même rencontré nos
futurs voisins! Pour nous, c’était important de garantir que
les habitants autour soient rassurés.», ajoute-t-il. À ce
compte, il a choisi la firme Projet Paysage pour l’aménagement
paysager qui aura pour mission d’offrir la quiétude pour tous
en éliminant les bruits environnants.

De plus, il est fort probable que les résidents de la région
aient droit à certains rabais:. «Je fais déjà ça pour les gens
de Magog. Pour moi, c’est la meilleure façon d’avoir des
ambassadeurs autour!» explique M. Rake.

Rappelons que le projet de la station thermale s’étendra sur
près de 60 000 mètres carrés situés sur le rang des Vingt-Cinq
Est, et sera construit en deux phases. La première phase
représente un investissement de plus de 12 millions de dollars
et devrait contribuer à la création de près de 100 nouveaux
emplois.

Idéalement, la construction débutera cet automne et le nom du
projet sera dévoilé au même moment. De par sa proximité avec
Montréal, la station de ski Mont-Saint-Bruno et le parc de la
Société des établissements de plein air du Québec («Sépaq»),
le projet devrait constituer pour la région un nouvel attrait
majeur en plus de plusieurs retombées économiques.

Violaine Trudeau
L’œuvre de Betty Palladio,
Agata no 1, coup de cœur 2018
des Montarvillois
C’est l’œuvre Agata no 1, qui a conquis le cœur du public dans
le cadre de l’édition 2018 de l’exposition des artistes
locaux. L’artiste Betty Palladio a ainsi a remporté le prix
coup de cœur. Elle a reçu son prix, un chèque-cadeau de 250 $
à utiliser chez De Serres, de la part du maire, monsieur
Martin Murray.

En tout, 320 citoyens de Saint-Bruno ont voté pour leur œuvre
préférée dans le cadre de ce nouveau concours, où ils devaient
choisir parmi la quarantaine d’œuvres présentées.

L’exposition des artistes locaux s’est tenue du 27 mai au
8 juillet; rappelons que les artistes montarvillois sont
invités, chaque année, à y présenter leur œuvre. Ils courent
la chance d’y gagner l’une des deux bourses de 1 000 $ remises
aux récipiendaires, et les œuvres gagnantes sont ajoutées à la
collection de la Ville et exposées dans un des édifices
municipaux. Cette année, les lauréats étaient madame Micheline
Legaré, pour l’œuvre Polémique ou réflexion, ainsi que
monsieur Aidan Warnock, pour Tir na nόg.

Nos félicitations à la récipiendaire!

LeMontarvillois.com

Source: Communiqué, Ville de Saint-Bruno-de-Montarville
Québec et Ottawa accordent
plus de 1 M$ pour développer
les     exportations      et
l’innovation des entreprises
de    l’agglomération     de
Longueuil
Les gouvernements du Québec et du Canada renouvellent, à
hauteur de 1 078 000 $, leurs contributions financières
respectives pour les trois prochaines années à Développement
économique de l’agglomération de Longueuil (DEL) afin qu’il
continue, à titre d’organisme régional de promotion des
exportations (ORPEX), à aider les entreprises montarvilloises
et des autres villes    de l’agglomération de Longueuil à
réaliser des démarches d’exportation et à mieux se préparer
pour la commercialisation de leurs produits et services sur
les marchés hors Québec. L’apport du gouvernement
du Canada comporte     également    un   volet   de   soutien   à
l’innovation.

La députée de Longueuil-Charles-LeMoyne , Mme Sherry Romanado,
au nom du ministre de l’Innovation, des Sciences et du
Développement économique et ministre responsable de
Développement économique Canada pour les régions du Québec
(DEC), l’honorable Navdeep Bains, et la députée de Laporte et
                               me
whip en chef du gouvernement, M Nicole Ménard, au nom de la
vice‑première ministre, ministre de l’Économie, de la Science
et de l’Innovation et ministre responsable de la Stratégie

numérique, M m e Dominique Anglade, en ont fait l’annonce
aujourd’hui.
Pour réaliser ses activités d’accompagnement à l’exportation,
évaluées à 1,3 M$, DEL reçoit du ministère de l’Économie, de
la Science et de l’Innovation (MESI) une contribution
financière non remboursable de 360 000 $. Cette aide est
accordée par l’entremise du Programme Exportation (PEX) dans
le cadre de la mise en œuvre de la Stratégie québécoise de
l’exportation 2016-2020, qui est coordonnée par Export Québec.
Pour sa part, DEC accorde une contribution financière
non remboursable de 718 000 $, en vertu du Programme de
développement économique du Québec.

Les ORPEX aident notamment les entreprises :

     à élaborer un plan d’affaires international;
     à obtenir de l’information sur l’exportation;
     à organiser leurs actions pour percer les marchés
     extérieurs;
     à recevoir un diagnostic sur leur capacité à exporter;
     à connaître les possibilités de financement pour leurs
     projets d’exportation;
     à acquérir une formation spécialisée.

«Développement       économique       de   l’agglomération
de Longueuil contribue, depuis 2002, à la vitalité économique
de la région de Longueuil par sa vaste gamme de services de
formation, d’accompagnement et de consultation offerts aux
entreprises exportatrices et innovantes. Cet organisme est un
précieux      allié      des     entrepreneurs       établis
à Boucherville, Brossard, Longueuil, Saint-Bruno-de-
Montarville et Saint-Lambert, et c’est pourquoi nous sommes
heureux de soutenir son développement. » Sherry Romanado,
députée de Longueuil-Charles-LeMoyne.

«DEL est un partenaire stratégique. D’une part, il travaille
conjointement avec la Direction régionale de la Montérégie du
MESI et Export Québec dans la sensibilisation, la formation et
la préparation des entreprises de la région à l’exportation.
D’autre part, il constitue une ressource de choix pour les
entreprises de l’agglomération de Longueuil qui ont besoin
d’un accompagnement de première ligne et d’une expertise
professionnelle            et        technique          pour
exporter.    »  Lucie    Charlebois,    ministre    déléguée
à la Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé
publique et aux Saines habitudes de vie et ministre
responsable de la région de la Montérégie

Julie        Ethier,
directrice   générale
de   Développement
économique      de
l’agglomération
de Longueuil

«Sachant que près de la moitié de nos quelque 800 entreprises
manufacturières sont exportatrices, le soutien financier des
ordres fédéral et provincial, conjugué à celui des villes de
l’agglomération, est capital pour faciliter et accélérer les
projets d’exportation des entreprises. DEL est fier de
contribuer à la réussite des entreprises démarrant leurs
activités à l’exportation ou en phase de diversification ou de
consolidation de marchés. » Julie Ethier, directrice générale
de Développement économique de l’agglomération de Longueuil

Faits saillants :

     Issu d’une volonté concertée des milieux économique et
politique, Développement économique de l’agglomération
de Longueuil a été créé en 2002 afin de donner à
l’agglomération de Longueuil la force économique pour se
développer. DEL est un organisme sans but lucratif qui
offre ses services à l’ensemble des entreprises
manufacturières, technologiques et industrielles
établies     dans    les   cinq    villes    suivantes
: Boucherville, Brossard, Longueuil, Saint-Bruno-de-
Montarville et Saint‑Lambert.
Les ORPEX appuient les bureaux régionaux du MESI et
Export Québec dans la sensibilisation, la formation et
la préparation des entreprises de leur région à
l’exportation. Chaque organisme a pour rôle de
contribuer à l’atteinte des mesures 2 et 7 de
la Stratégie québécoise de l’exportation 2016-2020, soit
Mieux orienter la stratégie d’exportation des
entreprises et Préparer et diffuser des formations en
développement de marchés, en logistique et en marketing.
Ils font également la promotion de l’exportation auprès
des entreprises.
Le gouvernement    du   Québec   a   lancé   la   Stratégie
québécoise de l’exportation 2016‑2020, laquelle est
dotée d’une enveloppe de 536,8 millions de dollars, avec
pour objectif d’accompagner 4 000 entreprises dans leurs
démarches d’exportation.
Le PEX a notamment pour objectifs de sensibiliser les
entreprises québécoises au potentiel de croissance que
représentent les exportations et, par la suite, de les
soutenir dans la conquête et la diversification des
marchés extérieurs.
DEC est l’un des six organismes de développement
régional sous la responsabilité du ministre de
l’Innovation, des Sciences et du Développement
économique, l’honorable Navdeep Bains.

L’année 2018 marque le 50e anniversaire du développement
économique régional fédéral au Québec : un demi-siècle
d’actions concrètes consacrées à l’essor des régions et
     des entreprises d’ici.

Source: Communiqué,   Développement économique Canada pour les
régions du Québec

Les maires de l’agglomération
de   Longueuil    s’unissent
autour   de  la   Vision   du
transport en commun 2025
                      Le Maire de Saint-Bruno-de-Montarville,
                      Martin Murray, s’est joint aux autres
                      maires de l’agglomération de Longueuil
                      lors de l’annonce d’un nouveau plan de
                      développement du transport en commun pour
                      l’ agglomération.

Afin d’améliorer la qualité de vie des résidents de
l’agglomération de Longueuil et dans le but de diminuer la
congestion routière qui croît à une vitesse fulgurante, les
municipalités de l’agglomération se sont rassemblées autour
d’une vision intégrée du transport en commun. Née de cette
précieuse collaboration, la Vision du transport en commun 2025
permettra à la troisième plus importante société de transport
au Québec d’offrir aux citoyens de l’agglomération
de Longueuil un service performant, efficace et axé sur la
mobilité durable.

«Le parc automobile de l’agglomération augmentant à un ratio 3
fois supérieur à celui de sa population, une mobilisation des
élus municipaux était nécessaire afin de développer un plan
concerté reflétant les besoins des citoyens et surtout,
structurant pour le développement urbain», mentionne Pierre
Brodeur, président du c.a. du Réseau de transport
de Longueuil et maire de Saint-Lambert. La Vision s’inscrit
ainsi dans le schéma d’aménagement et de développement de
l’agglomération de Longueuil et avec la Politique de mobilité
durable du gouvernement du Québec afin de maximiser les
investissements faits en transport en commun, et ainsi
contribuer au succès du REM.

Les citoyens au cœur de la vision

La concertation des maires de l’agglomération est motivée par
l’idée d’offrir des services adaptés à la réalité des citoyens
et des entreprises et ainsi, améliorer leur qualité de vie.
Pour arriver à augmenter la part modale du transport en
commun, les maires misent donc sur un nouveau réseau flexible,
qui permettra de diminuer le temps de déplacement et la
desserte de nouveaux secteurs.

Quatre projets structurants :

     FAIRE DU REM UN SUCCÈS : Assurer l’accès aux nouvelles
     stations par des voies réservées multimodes, et le
     déploiement de services de transport en commun fréquents
     et réguliers tout au long de la journée pour s’y rendre.
     PROLONGEMENT DE LA LIGNE JAUNE : Faciliter les
     déplacements à l’est de l’agglomération permettant ainsi
     aux usagers de gagner du temps grâce à ce projet attendu
     depuis plus de 50 ans.
     TRAMWAY SUR TASCHEREAU : Lier l’est et l’ouest de
l’agglomération par un tramway à haute fréquence qui
     s’intégrera parfaitement au REM et au métro et qui
     contribuera à revitaliser le boulevard Taschereau.
     RÉSEAU RAPIDE D’AGGLOMÉRATION ET CORRIDORS EXPRESS
     : Améliorer la fluidité des transports à l’intérieur de
     l’agglomération et avec la Couronne Sud grâce à des
     voies réservées, des feux intelligents et des
     stationnements incitatifs.

En bref, une vision de transport en commun :

     COHÉRENTE : Planification de projets structurants en
     favorisant le maillage avec le réseau existant et des
     projets en cours de développement.
     SIMPLIFIÉE : Nouveaux outils de planification et
     d’information en temps réel pour faciliter les
     déplacements : transport à la demande dans certains
     secteurs (ex. : taxi sur demande), infos en temps réel,
     annonces vocales à bord, statut des stationnements
     incitatifs et des supports à vélos, etc.
     DURABLE : Flotte de véhicules complètement hybrides ou
     électriques (incluant wi-fi et prises USB), véhicules de
     petites tailles pour certains secteurs, panneaux
     horaires en temps réel à énergie solaire, voies
     réservées, etc.

 «Je lance aujourd’hui un message à tous les candidats qui
aspirent à représenter une circonscription électorale dans la
région : l’agglomération de Longueuil s’attend à ce que vous
vous engagiez à réaliser les projets de transport en commun
qui sont attendus par la population et que vous preniez
position en faveur de la vision 2025 de notre agglomération
afin d’améliorer la qualité de vie de nos citoyens»,
soutient Sylvie Parent, mairesse de Longueuil.

Pour   plus  de   détails      sur    la   vision,    visitez
le www.vision2025tc.com

SOURCE: Communiqué RTL

Photo officielle du dévoilement de la Vision 2025 du transport
en commun de l’agglomération de Longueuil. Monsieur Pierre
Brodeur, maire de Saint-Lambert et président du conseil
d’administration du Réseau de transport de Longueuil (RTL),
monsieur Raouf Absi, maire suppléant de Boucherville, madame
Sylvie Parent, mairesse de Longueuil, madame Doreen Assaad,
mairesse de Brossard, Monsieur Martin Murray, maire de Saint-
Bruno-de-Montarville et monsieur Michel Veillette, directeur
général du RTL

Photo : RTL | Pascale Simard, Alpha Presse inc.

Québec accorde 2 millions à
Ski Saint-Bruno
La ministre du Tourisme, Mme Julie Boulet a annoncé hier que le
gouvernement du Québec allait attribuer une aide financière de
2 126 800 $ à Ski Saint-Bruno pour soutenir le développement
de sa station de ski. Cette initiative totalise des
investissements de plus de 7 millions de dollars dans la
région de la Montérégie.

L’aide financière provient du Programme de soutien aux
stratégies de développement touristique, volet 1 – Appui à
la Stratégie de mise en valeur du tourisme hivernal, du
ministère du Tourisme.

«Il s’agit d’une excellente nouvelle pour le développement
touristique de Ski Saint-Bruno, qui accueille plus de
400 000 visiteurs chaque année. Je suis convaincue que cette
aide financière lui permettra d’attirer encore plus de
touristes d’ici et d’ailleurs et de fidéliser sa clientèle
actuelle, notamment les Québécois voyageant au Québec, grâce
au développement et à la diversification de son offre quatre
saisons. » Julie Boulet, ministre du Tourisme

«Ski Saint-Bruno fait partie de ces produits touristiques qui
font la fierté des gens de la Montérégie. En tant que ministre
responsable de la région, cette nouvelle me réjouit puisque
les investissements du gouvernement du Québec permettront de
maintenir et de créer des postes chez cet important employeur
de la Montérégie, qui emploie 900 personnes annuellement, dont
565 moniteurs.» Lucie Charlebois, ministre déléguée à la
Réadaptation, à la Protection de la jeunesse, à la Santé
publique et aux Saines habitudes de vie          et   ministre
responsable de la région de la Montérégie

Faits saillants :

     Le projet de Ski Saint-Bruno comprend l’amélioration de
     la capacité d’enneigement de la station et la
     réalisation de travaux d’infrastructures, notamment sur
     certaines pistes pour les rendre plus sécuritaires,
     bonifier l’offre et faciliter l’apprentissage. Il
     comprend aussi l’optimisation de la capacité des
     remontées mécaniques ainsi que le développement et la
     diversification de l’offre quatre saisons.
     L’investissement du gouvernement du Québec permettra
     entre autres de stimuler la création d’emplois et
     entraînera une augmentation du nombre de visiteurs ainsi
     qu’un accroissement des dépenses touristiques dans la
     région.
     La Stratégie de mise en valeur du tourisme hivernal vise
à faire du Québec l’une des principales      destinations
     touristiques hivernales qui misent sur le   développement
     d’une offre variée d’activités permettant   aux visiteurs
     de vivre une expérience totale durant       cette saison
     unique.

SOURCE: Communiqué , Cabinet de la ministre du Tourisme

Photo:   Ski   Saint-Bruno

Selon    les     projections
réalisées par Qc125, la CAQ
remporte   Montarville    et
balaie le Québec
La campagne électorale débutera officiellement le jeudi 23
août prochain et se terminera le jour du vote, soit le 1er
octobre.

Jusqu’à présent les sondages donnent tous une nette victoire à
la CAQ. Par contre, déterminer le nombre de sièges que ce
parti et les autres remporteront demeure un exercice
hasardeux. Pour répondre à ce défi, Philippe J. Fournier,
professeur de physique et d’astronomie au Cégep de Saint-
Laurent à Montréal, a mis au point un logiciel qui utilise
un générateur de chiffres aléatoires afin de compiler des
votes. Ces chiffres sont ensuite classés en ordre et associés
à un parti selon les projections des sondages et des tendances
électorales récents.

Sa première projection électorale de la présente campagne
québécoise donne à la Coalition Avenir Québec (CAQ) une large
victoire, non seulement dans la circonscription de
Montarville, mais l’ensemble du Québec, particulièrement dans
le centre du Québec et dans la région de la capitale
nationale. Le Parti libéral du Québec (PLQ) serait lui
cantonné à l’ile de Montréal et dans l’Outaouais. Le Parti
Québécois deviendrait un parti régional car l’ensemble de sa
députation serait issue de l’est du Québec (côté nord et
Gaspésie). Québec solidaire fermerait la marche en faisant
élire 4 ou 5 députés à Montréal.

Tableau : 1

Quelques projections :

Nathalie Roy dans Montarville serait certaine à 99 % de se
voir confier un troisième mandat pour la CAQ
Dans Marie-Victorin, la lutte est chaude et entre l’actuelle
et jeune députée du Parti Québécois, Catherine Fournier (
31,5%) et la caquiste Martyne Prévost (32.35%).

Le député caquiste Simon Jolin-Barette   serait, lui   aussi,
facilement réélu.
Le ministre Gaétan Barrette dans La Pinière serait assuré de
la victoire, et ce, à 99 %.

Dans la   circonscription de Taillon, c’est le candidat vedette
de la CAQ, le clinicien, chercheur     et professeur de
neurosciences et de pédiatrie, le Dr Lionel Carmant qui
prendrait le siège de   péquiste Diane Lamarre.

Dans La Prairie, le libéral et ancien député de l’ADQ, Richard
Merlini, perdrait son siège en faveur du candidat de   la CAQ,
Stéphane le Bouyonnec.

En 2014, 83% des électeurs de Montarville ont voté!

Alain Dubois

Images et source: QC125.com
Un contrebandier de                               tabac
Montarvillois écope                               d’une
amende de 78 480 $
Revenu Québec annonce que les 12 personnes ont été reconnues
coupables d’infractions liées à la contrebande de tabac. Ces
personnes ont été condamnées par la Cour du Québec à payer des
amendes totalisant 2 437 705,24 $, dans des délais variant de
4 à 18 mois.

Ces personnes se sont notamment vu reprocher d’avoir vendu,
livré ou eu en leur possession du tabac destiné à la vente au
détail au Québec et dont le paquet n’était pas       identifié
conformément à la Loi concernant l’impôt sur le      tabac. De
plus, elles n’étaient pas inscrites aux fichiers     de Revenu
Québec et n’étaient titulaires d’aucun des permis   exigés par
la Loi pour exercer des activités commerciales      liées aux
produits du tabac.

Parmi ces 12 contrebandiers, on retrouve le Montarvillois
Alexandre Descarries qui s’est vu reprocher d’avoir vendu,
livré ou eu en sa possession du tabac destiné à la vente au
détail au Québec. Ce citoyen de Saint-Bruno-de-Montarville a
écopé d’une amende de 78 480 $

Cette condamnation est le résultat d’une opération effectuée
par la Sûreté du Québec. Le 22 juillet 2015, des policiers ont
effectué une perquisition visant un véhicule, à Coteau-du-Lac,
et y ont saisi 720 kilos de tabac de contrebande. La cour a
ordonné la confiscation et la destruction du tabac saisi,
ainsi que la suspension du permis de conduire de M. Descarries
pour une période de 60 jours.

Revenu Québec tient à informer les personnes exerçant des
activités commerciales liées aux produits du tabac qu’elles
doivent être titulaires des permis exigés par la Loi pour
manufacturer, importer, transporter, entreposer ou vendre en
gros des produits du tabac. De plus, le tabac destiné à la
vente au détail au Québec doit être identifié de la manière et
aux conditions prescrites par règlement. Le non-respect de
l’une de ces obligations constitue une infraction et peut
entraîner une amende minimale de 6 000 $ ainsi qu’une peine
d’emprisonnement maximale de deux ans. Les personnes qui
achètent du tabac de contrebande pour leur consommation
personnelle s’exposent, quant à elles, à une amende minimale
de 350 $.

Les autres contrebandiers qui ont été reconnus coupables sont:
Mike Carey, Les Coteaux, Ronen Revizada, Thornhill (Ont.),
Gaétan Tremblay, Saguenay

Jeffrey Arthur Adams. Summerstown (Ont.), Lucienne Roux,
Saint-Norbert-d’Arthabaska, Michel Prévost, Warwick, Johanne
Dagenais, Beauharnois, Darlène Higden, Montréal

Tommy Peterson Bellevue-Trudel, Montréal-Nord, Denis Brochu,
Montréal ,Claude Martel, Weedon

Source: Communiqué Revenu Québec

Saint-Bruno-de-Montarville, à
nouveau première au palmarès
des    meilleures      villes
canadiennes pour les familles
Pour une deuxième année consécutive, la Ville de Saint-Bruno
est nommée la meilleure ville au Canada pour les familles et
quatrième ville canadienne (dont la première au Québec) où il
fait bon vivre par le magazine MoneySense, qui dévoilait, le
31 juillet dernier, son palmarès annuel sur la qualité de vie
au pays.

                             Le maire de Saint-Bruno, Martin
                             Murray, s’est réjoui de cette
                             distinction   qui valorise
                             l’ensemble de la communauté
                             montarvilloise. « Il s’agit
                             d’une distinction majeure qui
                             est le fruit des nombreux
                             efforts pour faire de notre
                             ville une collectivité viable et
                             épanouie. Nous sommes fiers des
                             programmes offerts aux familles,
dont entre autres celui des parcs récréatifs, qui a un
caractère unique et novateur. » Découlant des plans d’action
de la politique familiale, la Ville a mis en œuvre plusieurs
programmes au cours des dernières années. Parmi ceux-ci,
mentionnons « Un nouvel enfant! Un arbre! », « Une naissance,
un livre », le comité consultatif Tribune jeunesse, le
programme de Taxi-Ados, le cinéparc, ainsi que les nombreuses
fêtes familiales gratuites et à grand déploiement comme la
Fête du Lac et la Féerie au Lac du Village et la Fête de
clôture des parcs.

«Il faut aussi souligner que Saint-Bruno est accréditée
“Municipalité amie des enfants” depuis 2012». Le territoire de
la Ville compte un nombre élevé d’écoles, de garderies, de
centres de la petite enfance (CPE) et d’organismes dédiés à la
famille, en plus de bénéficier du cadre enchanteur du parc
national du Mont-Saint-Bruno et de 23 parcs municipaux,
aménagés et entretenus avec soin, été comme hiver, par une
équipe dévouée. On y trouve de nombreux plateaux sportifs tels
des terrains de soccer, baseball, football, basketball,
volleyball, mais aussi de pickleball, une piste de BMX et des
jeux d’eau.

MoneySense établit son classement en évaluant notamment la
population âgée de 15 ans et moins, le pourcentage d’élèves
dans la population, le nombre de garderies et d’établissements
scolaires pour 1000 habitants, le coût moyen des frais de
garde d’enfant, et le pourcentage de foyers comptant des
enfants.

Saint-Bruno s’illustre                       également
pour sa qualité de vie
En plus de trôner au sommet des
endroits pour une famille, Saint-
Bruno s’illustre également pour sa
qualité de vie. Parmi les 415
municipalités canadiennes que le
magazine MoneySense a évaluées
cette année, Saint-Bruno occupe le

4 e rang des villes canadiennes et
le premier rang des villes
québécoises où il fait bon vivre.
« Notre défi pour les prochaines
années est de continuer de faire
mieux. Nous le pouvons et, à ce titre, les idées pour
améliorer notre cadre de vie à tous sont les bienvenues », de
conclure le maire.

Depuis 2005, MoneySense analyse la qualité de vie des villes
canadiennes et dresse son palmarès « Best places to live » en
accordant des points qui prennent en considération plus de
trente critères, comme la vitalité économique, le revenu
familial, le taux de chômage, le taux de criminalité, l’accès
à la propriété, l’accès à un médecin de famille et à des
services de loisir, etc.

Pour consulter le palmarès MoneySense 2018 (en
anglais): https://www.moneysense.ca/spend/real-estate/canadas-
best-places-for-families-2018-100/

Source: Communiqué Ville de Saint-Bruno

Photos:   Courtoisie Robert Laflamme

Sur le même sujet:
Saint-Bruno-de-Montarville, première au palmarès des
meilleures villes canadiennes où élever des enfants (2107)

Populaires:
Ilot Natrel : Lettre au Maire Martin Murray
Saint-Bruno: Roxanne et Thierry Kobloth après le vin et la
bière, ils se lancent dans l’eau-de-vie et le whisky…

La majorité des Montarvillois
d’accord avec le projet de
complexe sportif
Les résultats de consultations publiques montrent que la
majorité des Montarvillois sont favorables à la construction
du complexe multisport dans leur ville. Un résultat qui n’est
pas surprenant, car un sondage maison publié par Le
Montarvillois dans le groupe Saint-Bruno-de-Montarville d’hier
à aujourd’hui arrivait non seulement à la même conclusion mais
à des résultats quasiment identiques .

Dans un communiqué émis par la ville de Saint-Bruno, on
apprend que 87% des 319 répondants se sont dits favorables au
projet et une majorité d’entre eux seraient aussi en faveur de
l’emplacement proposé (le parc la Rabastalière). Par contre,
le communiqué se garde d’indiquer le pourcentage de citoyens
en défaveur de cet emplacement, ce qui laisse supposer que
celui-ci n’est pas aussi significatif. Dans le rapport de
consultation commandé à l’Institut du Nouveau-Monde, on peut
lire qu’effectivement en prenant en compte la localisation,
près de 40% des citoyens sont défavorables au projet et que «
Les motifs les plus récurrents des répondants et des
participants aux séances publiques en défaveur du projet sont
la nécessité de relocaliser le terrain de balle molle et,
parmi les participants aux séances de consultation, le manque
d’espace dans le parc Rabastalière » (p. 16 )

                          Tableau 1
Tableau 2

Le rapport des consultations fait aussi état des activités et
installations à prioriser. Au premier rang, la piscine
(natation et activités aquatiques), puisque 77% des 465
répondants au questionnaire en ligne l’ont priorisée, suivie
du conditionnement physique à 67 %, du yoga à 52 % et du
badminton à 44%.

                          Tableau 3
Les recommandations et défis identifiés dans le rapport de
l’Institut du Nouveau Monde sont principalement : proposer des
équipements modulables afin de combiner au mieux les besoins
similaires de différentes activités; créer des partenariats
avec d’autres villes et d’autres organisations pour améliorer
l’offre de services en sports et loisirs; aménager des
infrastructures selon les normes de l’accessibilité
universelle (personnes handicapées); concevoir des
installations en complémentarité avec ceux disponibles dans
les villes voisines; proposer une offre de services qui
permette à des enfants et à leurs parents de pratiquer chacun
des activités spécifiques durant les mêmes plages horaires;
imaginer une programmation inclusive qui proposerait, d’une
part, avec le personnel d’encadrement nécessaire, des
infrastructures qui s’adressent à chaque niveau de pratique,
du débutant à la compétition et pour tous les âges, et d’autre
part des équipements et des installations permettant
d’accueillir des compétitions d’envergure (gradins, services
de restauration, etc.).

Le projet de construction du complexe sportif est estimé entre
45 et 50 millions de dollars.

Alain Dubois

Rapport   de   consultation,   Projet   de   complexe   multisport
(Institut du Nouveau-Monde): PDF, ICI

Avis: Certains    éléments de ce texte sont tirés textuellement
du rapport publié par l’Institut du Nouveau-Monde

Jacques Bédard conseiller
municipal, district 7, Saint-
Bruno-de-Montarville
Je suis père de deux enfants et avec la même conjointe depuis
35 ans. Du côté professionnel, je suis spécialisé en
alimentation depuis près de 40 ans et chef d’entreprise depuis
27 ans.
Mes premiers mandats à la ville en 2013 ont été: le
développement économique, l’implantation du Marché Public et
de la Féerie de Noël. À voir la quantité d’entreprises qui
frappent maintenant à la porte de la ville pour acheter un
terrain dans nos parcs industriels ainsi que la popularité des
deux marchés publics, je crois avoir livré la marchandise, et
ce, sans faire beaucoup de bruit dans les médias.

Dans ce nouveau mandat, mes dossiers sont la mobilité, la
circulation et les finances. En ce qui concerne la mobilité,
les citoyens seront à même de constater que plusieurs
nouvelles voies cyclables seront implantées dans les 3
prochaines années. Près de 3 Millions de dollars seront
investis pour réaliser le plan ambitieux de sécuriser les
cyclistes au centre-ville en plus de déployer un réseau de
mobilité active qui deviendra, je le souhaite, la référence
dans la région de Montréal. Il est évident que de passer de la
théorie à l’implantation réelle de la mobilité active
bousculera la primauté actuelle des automobilistes. La
réduction à une voie dans les deux sens sur le boulevard
Clairevue, de la rue Deslières jusqu’à Montarville en sera un
bel exemple.

Au niveau du comité circulation, nous travaillons à trouver
des solutions pour limiter la circulation de transit. Trois
points «chauds» sont identifiés. La Montée Montarville avec le
transit en PM vers St-Julie, Le Grand-Boulevard au Sud 116
avec son lot de trafic du matin et du soir et finalement le
transit via le Sommet Trinité. Nous travaillons aussi à créer
un document qui sera disponible sur le site web de la ville
pour guider les citoyens qui considèrent avoir une
problématique liée à la circulation dans leur rue. Ce document
sera un «pas à pas» pour ouvrir et structurer leur demande
d’intervention à la ville.

Les finances! Nous pouvons affirmer que depuis les fusions &
défusions, les finances de Saint-Bruno sont à leur meilleur.
Le comité des finances a le mandat de faire des
recommandations au conseil sur les moyens de favoriser la
taxation sur l’utilisateur-payeur. Exemple : étendre
progressivement l’installation obligatoire de compteurs d’eau.
Ceux-ci sont déjà obligatoires pour les industries et les
commerces.

La vitalité et la densification du centre-ville devront se
faire en harmonie avec la qualité de vie des résidents.
Beaucoup de projets viendront modifier l’aspect du centre-
ville (centre du district) dans les prochaines années.
L’obligation de densification n’est pas une lubie des élus
locaux, mais bien une obligation des paliers supérieurs.
Saint-Bruno n’y échappera pas. J’invite donc les citoyens du
district à consulter le document «Vision 2035» sur le site de
la ville et à m’écrire pour me faire part de leurs suggestions
dans le but de faciliter et d’harmoniser les impératifs et
leur qualité de vie.

Jacques Bédard, conseiller du district 7, Saint-Bruno-de-
Montarille

Jacques.Bedard@stbruno.ca
Tous les mois, Le Montarvillois donne la parole       à une
conseillère/ un conseiller municipal afin qu’il/elle partage
avec ses concitoyen/nes     ses priorités comme élu-es et
l’avancement des dossiers (comités) qui sont sous sa
responsabilité…

Vincent Fortier, conseiller du district 2: La noblesse de la
politique

Caroline Cossette (district 3): Saint-Bruno, une ville riche
et pleine d’atouts économiques

Martin   Guèvremont   (district   4):   Deuxième   mandat…   la
concrétisation des projets

Photo: Ville de Saint-Bruno-de-Montarville

De gauche à droite, messieurs Jean-Luc Couture, président du
CLD de l’agglomération de Longueuil, Daniel Tousignant,
président de la Chambre de commerce Mont-Saint-Bruno et
Jacques Bédard, conseiller de la Ville de Saint-Bruno,
responsable du projet du marché public.

À Saint-Bruno: Surplus                                   de
potager à partager
Issu du mouvement international initié à Todmorden en
Angleterre, ce projet prône entre autre le partage des
récoltes et la réduction du gaspillage alimentaire.
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