Cité ouvrière dite Cité Florival - Références du dossier
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
Alsace, Haut-Rhin Guebwiller 178 à 247 rue de la République, 1 à 53 rue d' Angreth, 2 à 36 rue Jean-Jaurès Cité ouvrière dite Cité Florival Références du dossier Numéro de dossier : IA68009518 Date de l'enquête initiale : 2014 Date(s) de rédaction : 2018 Cadre de l'étude : enquête thématique départementale vallées vosgiennes du Haut-Rhin Degré d'étude : étudié Désignation Dénomination : cité ouvrière Appellation : Cité Florival Parties constituantes non étudiées : jardin, école, logement de contremaître, logement d'ouvriers Compléments de localisation Milieu d'implantation : en ville Références cadastrales : 2018, 15, 4, 5, 7, 32 à 34, 37 à 40, 62, 63, 67 à 75, 97 à 114 ; 2018, 28, 1 à 7, 9 à 39, 118, 119, 148 à 150, 176 à 179, 189 à 192 Historique Implantation originelle La cité Florival est implantée à la porte d’entrée ouest de la ville de Guebwiller, au lieu-dit Angreth, sur des prés de fauche et des terres cultivées qui s’étendent sur la rive droite de la rivière Lauch, de part et d’autre du chemin vicinal reliant Lautenbach à Guebwiller. Les premières constructions, initiées par Jean-Jacques Bourcart et ses fils, sont édifiées sur une parcelle de 80 ares dans le prolongement oriental de leur filature fondée en 1852 (étudiée, IA68009508). Au sud-ouest s’étend une vaste parcelle qui se partage entre forêt et terres cultivées. C’est au sein de cette emprise que Charles Bourcart (1828-1909) établit, à partir de 1861, sa résidence connue sous le nom de Bois Fleuri (étudiée, IA68009523). Au nord-est se déploient les ateliers de l’usine Nicolas Schlumberger (étudiée, IA68009504) fondée en 1810 autour de l’ancien moulin dénommé Bleichenmühle. Enfin, au sud-est, se dresse le château d’Angreth, édifice fortifié dont la vocation était de veiller, à distance, sur la porte ouest de la ville. Développement du site En 1853, Jean-Jacques Bourcart (1801-1855) et ses fils Henri (1824-1902) et Charles (1828-1909) décident d’édifier une cité ouvrière de 32 logements pour les ouvriers de leur filature de Guebwiller, prenant modèle sur la Cité ouvrière de Mulhouse en cours de réalisation. Ils font appel à l’architecte Émile Muller (1823-1889) qui a signé les plans de la cité mulhousienne. La construction est réalisée en deux tranches. En 1853, 16 habitations groupées en deux bâtiments sont édifiées (A et B). MM. Bourcart sollicitent une subvention de l’État pour réaliser des équipements collectifs, aide qui leur est refusée du fait du caractère privé de leur initiative. De fait, ces habitations sont destinées exclusivement à la location, aucune cession n’étant envisagée. Une seconde tranche (C et D) est réalisée l’année suivante avec la construction de 16 nouveaux logements et vraisemblablement de l’école (E) et de l’épicerie (F). En 1860, les principaux industriels de Guebwiller se regroupent et créent la Société des cités ouvrières de Guebwiller. Les membres fondateurs en sont Ferdinand Frey, Jean Schlumberger-Dollfus, Albert de Bary, Nicolas Schlumberger- Hartmann et Charles Bourcart. L’objet de cette société, précisé dans ses statuts, est la « construction à Guebwiller et dans son rayon de maisons d’ouvriers présentant toutes les conditions de salubrité et favorisant autant que possible la vie de famille par la bonne disposition intérieure ». Dès l’origine, il est prévu la construction d’immeubles de logements ouvriers groupés en deux cités d’égale importance, dont l’une située vers le bas de la ville (la Cité Grün, étudiée IA68009519) et 6 juin 2023 Page 1
Alsace, Haut-Rhin, Guebwiller, , 178 à 247 rue de la République, 1 à 53 rue d' Angreth, 2 à 36 rue Jean-Jaurès Cité ouvrière dite Cité Florival IA68009518 l’autre vers le haut de la ville, dans le prolongement des constructions réalisées par Jean-Jacques Bourcart et ses fils. Cette dernière forme avec les logements ouvriers de la famille Bourcart la Cité Florival. En 1861, la Société des cités ouvrières de Guebwiller fait édifier une première construction avec 24 logements contigus et adossés par rangées (H). Ces logements conçus pour les ouvriers du lieu sont destinés à la vente. La même année, la famille Bourcart fait construire huit nouveaux logements accolés en rez-de-chaussée (G) et vraisemblablement la maison destinée aux contremaîtres (K). En outre, les Bourcart ont établi au sein de leur cité, une pension où l’on reçoit de jeunes ouvrières. Ils accordent gratuitement l’usage d’une maison meublée à une famille de leur choix à condition de loger, nourrir et blanchir toute jeune fille de leur fabrique qui veut y prendre asile. En 1862, la Société des cités ouvrières de Guebwiller réalise deux nouveaux bâtiments comportant respectivement 10 (I) et 12 logements (J), de superficie supérieure aux premières habitations réalisées. En 1865, on dénombre ainsi 95 logements au sein de la Cité Florival dont 49 réalisés et conservés par la famille Bourcart et 46 construits par la Société des cités ouvrières de Guebwiller dont plus de la moitié a été cédée à leurs occupants. La Société projette alors la construction de cinq nouveaux bâtiments regroupant 42 habitations au sud des logements existants. Ce projet ne sera pas réalisé. Dans le dernier quart du 19e siècle, la famille Bourcart accroît encore le nombre de ses logements en rehaussant le bâtiment composé d’habitations en rez-de-chaussée (G). Celui-ci est pourvu d’un étage dont les huit logements sont desservis par une galerie extérieure en bois qui vient flanquer l’élévation sud. L’école et l’épicerie perdent leur fonction originelle et sont converties en logements. Au début des années 1960, la société Filatures et Tissages Bourcart, confrontée à de graves difficultés, cède ses logements ouvriers de la Cité Florival à l’entreprise N. Schlumberger et Cie. Peu à peu, l’ensemble de ces logements est toutefois vendu à des particuliers. Ils subissent alors, pour certains, des transformations ou des extensions au gré des besoins de leurs nouveaux propriétaires. L’ensemble est néanmoins relativement préservé notamment les premières constructions datées de 1853 et 1854 qui ont conservé leur parti d’origine. Période(s) principale(s) : 3e quart 19e siècle () Période(s) secondaire(s) : 4e quart 19e siècle () Dates : 1853 (daté par source), 1854 (daté par source), 1861 (daté par source), 1862 (daté par source) Auteur(s) de l'oeuvre : Jean-Jacques Bourcart (auteur commanditaire, attribution par source), Henri Bourcart (auteur commanditaire, attribution par source), Charles Bourcart (auteur commanditaire, attribution par source), Emile Muller Description La Cité Florival se compose de deux entités qui s’imbriquent : les constructions réalisées par la famille Bourcart et celles que l’on doit à la Société des cités ouvrières de Guebwiller. Pour l'identification des bâtiments, se reporter au plan de situation du site figurant dans les illustrations (IVR42_20186801026NUDA). La cité ouvrière Bourcart se compose de quatre immeubles comportant chacun huit logements contigus et adossés (A, B, C et D), d’une ancienne maison d’école (E) et d’une épicerie (F) toutes deux reconverties en habitation, d’une maison destinée aux contremaîtres (K) et d’un immeuble en bande, rehaussé par la suite et abritant 16 logements après transformation (G). Les quatre immeubles comportant huit logements chacun (A, B, C et D) sont de conception identique. Élevés en maçonnerie enduite sur un soubassement en blocs de grès bouchardé, ils comportent un sous-sol, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un comble à surcroît couverts d’un toit à longs pans et tuiles mécaniques. Les encadrements rectangulaires des baies et le bandeau d’appui sont en grès. Les élévations nord et sud comportent huit travées d’ouvertures soit deux travées par logement. Chacun des huit logements, répartis par moitié de part et d’autre de l’axe longitudinal de l’immeuble, bénéficie d’une entrée indépendante précédée d’un escalier en grès à trois marches et d’une parcelle de terrain individualisée. Organisés sur deux niveaux, ils se composent d’une entrée, d’un WC, d’une cuisine et d’un séjour au rez-de-chaussée, de deux chambres et d’un débarras à l’étage. L’ancienne maison d’école (E) est implantée entre les immeubles édifiés en 1853 (A et B) et ceux réalisés l’année suivante (C et D). De plan rectangulaire, elle comporte un sous-sol, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un comble à surcroît couverts d’un toit à longs pans et tuiles mécaniques. Elle est construite en maçonnerie enduite sur un soubassement en blocs de grès bouchardé. Les encadrements rectangulaires des baies avec appuis saillants et le bandeau d’étage sont en grès. Sur l’élévation ouest, le comble est ajouré par une baie en triplet avec linteau décoré d’une petite corniche saillante. L’ancienne épicerie (F) est implantée dans le prolongement oriental des immeubles édifiés en 1854 (C et D). De plan rectangulaire, elle comporte un sous-sol, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un comble à surcroît couverts d’un toit à longs pans et tuiles mécaniques. Elle est construite en maçonnerie enduite sur un soubassement en blocs de grès bouchardé. Les encadrements rectangulaires des baies avec appuis saillants sont en grès. L’élévation sud est percée, au rez-de-chaussée, d’une devanture dans sa travée médiane. Celle-ci est encadrée de grès mouluré avec corniche saillante décorée de volutes. La porte d’entrée de la boutique est délimitée par deux poteaux de fonte décorés qui portent la plaque du fondeur « Carl FLINK Mannheim ». La maison destinée aux contremaîtres (K) est établie à l’extrémité est de la Cité Florival. De plan rectangulaire, elle comporte un sous-sol, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un comble à surcroît couverts d’un toit à longs 6 juin 2023 Page 2
Alsace, Haut-Rhin, Guebwiller, , 178 à 247 rue de la République, 1 à 53 rue d' Angreth, 2 à 36 rue Jean-Jaurès Cité ouvrière dite Cité Florival IA68009518 pans et tuiles mécaniques. Elle est construite en maçonnerie enduite sur un soubassement en blocs de grès bouchardé. Les encadrements rectangulaires des baies avec appuis saillants sont en grès. Aujourd’hui reconvertie, elle comportait à l’origine deux grands logements desservis chacun par une entrée indépendante précédée, sur l’élévation sud, d’un escalier en grès de cinq marches. L’immeuble édifié au sud-ouest de la cité (G) abrite 16 logements, huit en rez-de-chaussée résultant de la construction initiale et huit à l’étage réalisés lors d’une phase d’extension. De plan rectangulaire, le bâtiment comporte un sous- sol, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un comble à surcroît couverts d’un toit à longs pans et tuiles en écaille. Il est construit en maçonnerie enduite sur un soubassement en blocs de grès bouchardé. Les encadrements rectangulaires des baies avec appuis saillants et le bandeau de niveau sont en grès. L’élévation méridionale est flanquée d’une galerie extérieure essentée de planches avec couvre-joints et reposant sur des poteaux de bois découpés. Elle dessert les logements à l’étage et les greniers à l’étage de comble. Des tirants métalliques, vraisemblablement installés au moment du rehaussement de l’immeuble, assurent la stabilité de l’ensemble au niveau de la dalle haute du rez-de-chaussée. Les logements du rez-de-chaussée sont accessibles par la rue de la République. Ils disposent néanmoins tous d’une porte à l’arrière, sur la rue Jean-Jaurès, afin de pouvoir accéder au sous-sol, desservi par des escaliers extérieurs aménagés en façade sud de l’immeuble. Les logements réalisés par la Société des cités ouvrières de Guebwiller au sein de la Cité Florival se composent de trois immeubles établis sur la partie orientale de l’emprise (H, I et J) et adoptant tous le modèle des habitations contigües et adossées. L’immeuble le plus ancien (H) comporte 24 logements avec jardin individuel. Élevé en maçonnerie enduite sur un soubassement en blocs de grès, il comporte un sous-sol, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un comble à surcroît couverts d’un toit à longs pans et tuiles mécaniques. Les baies sont encadrées de grès avec linteaux saillants de briques en arc segmentaire. Les élévations nord et sud comportent 24 travées d’ouverture soit deux travées par logement. Répartis par moitié de part et d’autre de l’axe longitudinal de l’immeuble, chacun des 24 logements bénéficie d’une entrée indépendante et d’une parcelle de terrain individualisée. L’immeuble qui lui fait face, au sud-ouest (I), abrite 10 logements. Il est construit en maçonnerie enduite sur un soubassement en blocs de grès bouchardé et comporte un sous-sol, un rez-de-chaussée surélevé, un étage carré et un comble à surcroît couverts d’un toit à longs pans et tuiles mécaniques. Les baies à appui saillant sont encadrées de grès. Chaque logement, desservi par une entrée individuelle, occupe trois travées d’ouverture et dispose d’une parcelle de terrain privative. Le dernier immeuble (J) édifié dans le prolongement oriental du précédent est de conception strictement identique à la différence qu’il comporte un module à trois travées supplémentaires abritant ainsi 12 logements. Eléments descriptifs Matériau(x) du gros-oeuvre, mise en oeuvre et revêtement : grès, maçonnerie, enduit ; essentage de planches Matériau(x) de couverture : tuile mécanique, tuile en écaille Plan : plan rectangulaire régulier Étage(s) ou vaisseau(x) : sous-sol, rez-de-chaussée surélevé, 1 étage carré, comble à surcroît Type(s) de couverture : toit à longs pans Statut, intérêt et protection Statut de la propriété : propriété d'une personne privée Présentation La rédaction de ce dossier intervient dans le cadre d'une enquête thématique, menée en 2014 par Jérôme Raimbault et Frank Schwarz, visant à interroger la transformation du paysage des vallées vosgiennes du Haut-Rhin sous l’effet de l’industrialisation. La présentation de l'historique de la cité ouvrière donne ainsi lieu à une organisation spécifique des informations permettant de mettre en exergue divers aspects de la problématique retenue. La campagne de prises de vues professionnelles est assurée par Christophe Hamm complétée des vues prises au cours de l'enquête par Jérôme Raimbault et la cartographie du site, par Abdessalem Rachedi. Références documentaires Bibliographie • PENOT, Achille. Les cités ouvrières de Mulhouse et du département du Haut-Rhin. Paris : Lacroix, 1867. 6 juin 2023 Page 3
Alsace, Haut-Rhin, Guebwiller, , 178 à 247 rue de la République, 1 à 53 rue d' Angreth, 2 à 36 rue Jean-Jaurès Cité ouvrière dite Cité Florival IA68009518 Illustrations Plan de situation de la cité ouvrière. Vue de la cité ouvrière des Ets Jean- Dess. Jean-Luc Stadler Jacques Bourcart & Fils, vers 1855. Plan d'implantation, élévations, coupe IVR42_20186801026NUDA Phot. Jérôme Raimbault et plans des niveaux des habitations IVR42_20196800621NUC2A ouvrières réalisées par la Société des cités ouvrières de Guebwiller. Phot. Frank Repro. Inv. Schwarz IVR42_20196800681NUC2A Vue de la Cité Florival en Vue d'ensemble de la Cité Florival 1905, depuis le sud-est. et le château d'Angreth en médaillon Phot. Jérôme Raimbault en 1912, depuis le sud-est. IVR42_20196800683NUC2A Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800685NUC2A Vue de l'épicerie et de la boulangerie de la Cité Florival, en 1911. Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800684NUC2A Vue d'ensemble de la Cité Florival Vue de la Cité Florival en en 1932, depuis le sud-est. Vue de l'élévation méridionale 1945, depuis le sud-est. Phot. Jérôme Raimbault de l'immeuble (G) de la Cité Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800686NUC2A Florival pourvu d'une galerie pour IVR42_20196800687NUC2A desservir les habitations de l'étage. Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800682NUC2A 6 juin 2023 Page 4
Alsace, Haut-Rhin, Guebwiller, , 178 à 247 rue de la République, 1 à 53 rue d' Angreth, 2 à 36 rue Jean-Jaurès Cité ouvrière dite Cité Florival IA68009518 Vue aérienne de la Cité Vue d'ensemble des deux Vue d'ensemble de l'immeuble Florival, depuis le nord-est. premiers immeubles (A et B) (A) édifié en 1853 au sein de Phot. Christophe Hamm édifiés en 1853 au sein de la la Cité Florival, depuis le sud. IVR42_20186800729NUCA Cité Florival, depuis le sud. Phot. Jérôme Raimbault Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800689NUC2A IVR42_20196800688NUC2A Vue d'ensemble de l'immeuble Vue d'ensemble des deux immeubles Vue de détail du mur-pignon (A) édifié en 1853 au sein de (C et D) édifiés en 1854 au sein de l'immeuble (A) édifié en la Cité Florival, depuis l'est. de la Cité Florival, depuis le sud. 1853 au sein de la Cité Florival. Phot. Jérôme Raimbault Phot. Jérôme Raimbault Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800691NUC2A IVR42_20196800692NUC2A IVR42_20196800690NUC2A Vue d'ensemble des deux immeubles Vue d'ensemble de l'ancienne école (C et D) édifiés en 1854 au sein (E) de la Cité Florival, depuis l'ouest. de la Cité Florival, depuis l'est. Phot. Jérôme Raimbault Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800694NUC2A IVR42_20196800693NUC2A Vue d'ensemble de l'ancienne épicerie de la Cité Florival (F), depuis le sud. Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800695NUC2A 6 juin 2023 Page 5
Alsace, Haut-Rhin, Guebwiller, , 178 à 247 rue de la République, 1 à 53 rue d' Angreth, 2 à 36 rue Jean-Jaurès Cité ouvrière dite Cité Florival IA68009518 Vue d'ensemble de l'immeuble (G) Vue d'ensemble de l'immeuble (G) rehaussé au cours du dernier quart rehaussé au cours du dernier quart du 19e siècle, depuis le sud-ouest. du 19e siècle, depuis le nord-ouest. Phot. Christophe Hamm Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20186800766NUCA IVR42_20196800697NUC2A Vue de détail de la vitrine percée sur l'élévation méridionale de l'ancienne épicerie (F) de la Cité Florival. Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800696NUC2A Vue d'ensemble de l'immeuble (H) édifié en 1861 au sein de la Cité Florival, depuis l'ouest. Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800700NUC2A Vue partielle de la galerie Vue de détail des deux travées qui flanque l'élévation constituant l'une des 16 habitations méridionale de l'immeuble (G). qui composent l'immeuble (G). Phot. Jérôme Raimbault Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800699NUC2A IVR42_20196800698NUC2A Vue d'ensemble de l'immeuble Vue d'ensemble de l'immeuble Vue d'ensemble de l'immeuble (I) (H) édifié en 1861 au sein de la (I) édifié en 1862 au sein de la édifié en 1862 au sein de la Cité Cité Florival, depuis le nord-est. Cité Florival, depuis le sud-est. Florival, depuis le nord-ouest. Phot. Jérôme Raimbault Phot. Jérôme Raimbault Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800701NUC2A IVR42_20196800702NUC2A IVR42_20196800703NUC2A 6 juin 2023 Page 6
Alsace, Haut-Rhin, Guebwiller, , 178 à 247 rue de la République, 1 à 53 rue d' Angreth, 2 à 36 rue Jean-Jaurès Cité ouvrière dite Cité Florival IA68009518 Vue d'ensemble de l'immeuble (J) Vue d'ensemble de l'immeuble édifié en 1862 au sein de la Cité (J) édifié en 1862 au sein de Florival, depuis le nord-ouest. la Cité Florival, depuis le sud. Phot. Jérôme Raimbault Phot. Jérôme Raimbault IVR42_20196800704NUC2A IVR42_20196800705NUC2A Auteur(s) du dossier : Frank Schwarz, Jérôme Raimbault Copyright(s) : (c) Région Grand-Est - Inventaire général 6 juin 2023 Page 7
Vous pouvez aussi lire