Dîner communautaire de - Pâques Le 26 mars 2017 journée
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(Bulletin d’échanges) Mars 2017 55e Édition Dîner communautaire de Pâques Le 26 mars 2017 journée nationale des cuisines collectives Drôle de chasse aux cocos Les gestes réparateurs Sourire sans Fin Centre de solidarité familial 2-A, rue Sainte-Famille Saint-Rémi (Québec) J0L 2L0 Tél. : 450 454-5747 Téléc. : 450 454-5640 Courriel : info@souriresansfin.org
Sommaire 2- Sommaire 4- Les gestes réparateurs 8- Dîner communautaire de Pâques 9- Le 26 mars 2017 journée nationale des cuisines collectives 10- Drôle de chasse aux cocos 17- Mars mois de la nutrition 14- Fondation Maman Dion, c’est le temps de faire votre demande… 18- Recettes 20- Des objets au secours des enfants stressés 22- La semaine des Popotes roulantes 23- vente du sac brun 24- Les fruits et légumes à consommer l’hiver 27- Sudoku 28- Agenda 2
Les gestes réparateurs Valérie Brousseau-Dubé, Sexologue B.A. Coordonnatrice en prévention Famille/Enfance/ Jeunesse Lorsque nous faisons face à une situation où nous devons interve- nir auprès de notre enfant après qu’il ait commis un comportement négatif, il nous arrive comme parent d’être à court d’idées face aux conséquences à appliquer. De nombreuses études ont démontré que les interventions faites dans le seul but de punir ont beaucoup moins d’impact que celles qui impliquent des gestes de réparation. Il importe toutefois de bien réfléchir au sens que nous voulons donner au geste afin que notre enfant prenne conscience de ses agissements, mais aussi afin que la « victime » soit d’accord avec le geste et que cela lui fasse plaisir. Ainsi, le geste réparateur devrait aller dans le même sens que la valeur que nous voulons transmettre à notre enfant ou l’apprentis- sage que nous voulons qu’il fasse. Il devrait permettre au fautif de réparer face à l’autre et face à lui-même. Il ne devrait pas être axé sur le sentiment de culpabilité ou laisser place à la critique. Surtout, il devrait venir de l’enfant afin qu’il prenne véritablement conscience de l’impact de ses comportements. Voici quelques exemples de gestes réparateurs : 4
Présenter des excuses verbales ou écrites. Faire un dessin d’excuses pour faire plaisir à la personne impli- quée. Perdre le privilège d’être seul dans une pièce de la maison pendant une semaine. Réparer ce qu’il a endommagé ou dé- bourser son coût. Faire des travaux communautaires à la maison en lien avec le geste commis (ex. : balayer la chambre de son frère, laver la table de sa sœur s’il y a fait des dessins, etc.). Offrir son temps libre à son frère ou sa sœur (ex. : l’aider à faire le ménage de sa chambre, à faire ses devoirs, etc.). Faire le sac à dos de son frère ou sa sœur le matin afin de l’aider avant d’aller à l’école s’il l’a dérangé ou lui a fait de la peine. Fabriquer un objet, un bricolage, etc. pour le donner à son frère ou sa sœur (choisir quelque chose qu’il ou elle aime). 5
Faire un message écrit pour toute la famille nommant à tous l’impor- tance du respect dans la famille, de la non-violence, etc. Rétablir publiquement la réputation de son frère ou de sa sœur à l’école ou sur les réseaux sociaux (s’il a fait circuler une rumeur, par exemple). Faire une carte accompagnée d’un texte pour se faire pardonner son geste. Donner un cadeau fait maison (ex. : assiette de fruits frais, biscuits, etc.). Assumer la responsabilité de la se- maine de son frère ou de sa sœur (ex. : arroser les plantes, sortir les vidanges). Donnez un coup de main à ses parents pour les tâches quotidiennes. Rédiger une réflexion sur ce qui s’est passé et la présenter aux per- sonnes concernées. Se retirer volontairement d’un endroit ou d’une activité plaisante afin de laisser la place à son frère ou sa sœur. Animer un jeu extérieur avec son frère, sa sœur ou ses amis. 6
Offrir ses services selon l’un de ses talents pour une jour- née (ex. : faire des tresses, faire des bracelets, jouer une pièce de guitare, etc.). S’impliquer pour une journée dans l’activité sportive, cultu- relle ou autre de son frère ou de sa sœur afin de l’encoura- ger. Offrir un jeu personnel à son frère ou sa sœur comme ca- deau de réparation. Laisser son playstation à son frère ou sa sœur pour une se- maine. Dire une qualité à son frère ou sa sœur à tous les jours au déjeuner. Etc…. Il existe bien d’autres gestes pouvant tout aussi s’adapter à la situation et à votre quotidien. Faites preuve de créa- tivité ! 7
Les cuisines collectives… c’est plus que de la cuisine!!! Le 26 mars 2017 journée nationale des cuisines collectives Une cuisine collective, c’est un petit groupe de personnes qui mettent en commun temps, argent et compétences pour confectionner des plats sains, économiques et appétissants. Les participants (es) choisissent ensemble des recettes, dres- sent des mets assaisonnés d’humour et de fierté qu’ils et qu’elles rapportent à la maison. Il y a plus de 1382 groupes de cuisines collectives répartis aux quatre coins de la province. Ces groupes auraient cuisiné un total de 1 361 468 portions l’année dernière! Les participants (es) des cuisines collectives ont le choix de l’autonomie ali- mentaire… le choix de prendre leur alimentation en main. Chez nous, dans la MRC Jardins de Napierville, c’est à « Sourire Sans Fin » que l’on trouve des groupes de cuisines collectives, c'est-à-dire plus d’une quarantaine de personnes qui sont ve- nus (es) cuisiner durant l’année tout en ayant du plaisir. BRAVO! À tous les participants (es), impliqués (es) à fond. Pour de plus amples informations sur les cuisines collectives, vous pouvez communiquer avec Jessica à Sourire sans Fin au 450 454-5747. 9
Drôle de chasse aux cocos Par Julie Deneault Intervenante Enfance/Jeunesse GROUPE D'ÂGE 2-5ans SPHÈRE DE DÉVELOPPEMENT Développement social Développement cognitif Motricité globale APPRENTISSAGES Collaborer pour une même tâche stimuler la mémoire Faire des hypothèses, des déductions Comprendre des consignes Bouger MATÉRIEL Œufs de pâques en plastique qui se séparent en deux moitiés Bouts de papier Crayons Friandises, collants ou autres petites surprises. 10
PRÉPARATION- Écrire ou dessiner, sur les bouts de papier, des actions à faire. Ex : Faire une pirouette, chanter une chanson, faire une grimace, rapporter un caillou, sauter sur un pied, etc. Mettre les bouts de papiers dans les œufs et les cacher dans la maison ou à l’extérieur si la température le permets DÉROULEMENT- Préciser les limites du terrain si la chasse se fait à l’exté- rieur. Inviter les enfants à partir à la recherche d’un œuf à la fois. Quand les enfants en ont trouvé un, ils vous le rap- portent. Vous pouvez alors ouvrir l’œuf ensemble et deman- der aux enfants de faire ce qui est indiqué sur le bout de papier. Après avoir fait l’action, les enfants peuvent rece- voir une petite friandise ou une surprise de votre choix et repartent à la recherche d’un autre œuf. VARIANTES Varier le nombre d’œufs selon l’âge et l’évolution des en- fants. Vous pouvez imposer des cri- tères de recherche, ex : trou- ver un œuf rouge… 11
Mars, mois de la nutrition : Mangez bien, vivez mieux! Mars étant le mois de la nutrition, Sourire sans fin vous invite à vous questionner face aux habitudes alimentaires. Voici un article fort intéressant concernant les combats face à l’ali- mentation. La campagne du Mois de la nutrition 2017 a pour objectif d’aider les gens à mettre fin au combat avec les aliments en les guidant dans une approche en trois étapes visant à amé- liorer leur relation avec les aliments, peu importe la difficulté rencontrée. Le slogan de la campagne est Mettez fin au combat avec les aliments! Ciblez le problème, renseignez- vous et demandez de l’aide. Manger devrait être une activité agréable et non pas une source quotidienne de frustration et de confusion. Si les ali- ments sont pour vous une source de combat, essayez cette approche en trois étapes : Ciblez le problème. Déterminez ce qui est à l’origine de votre combat avec les aliments. Renseignez-vous. Servez-vous de faits provenant de sources crédibles pour décider des mesures qui doivent être prises pour régler le problème. Demandez de l’aide. Mettez votre plan à exécution grâce au soutien d’une diététiste, de votre famille et de vos amis. À l’occasion de la campagne du Mois de la nutrition 2017, nous nous servirons de cinq exemples courants de « combats alimentaires » pour illustrer l’approche en trois étapes. Ces 12
exemples sont inspirés des questions fréquemment posées aux diététistes des centres d’appels de Saine alimenta- tion Ontario et de HealthLink BC. Les cinq exemples de « combats alimentaires », qui seront présentés chaque se- maine du mois, sont : LES MODES ALIMENTAIRES : Hum! Comment puis-je savoir à quels renseignements sur la nutrition me fier? LES PROBLÈMES DIGESTIFS : Pouah! Qu’est-ce qui cause tous ces gaz? LES MANGEURS DIFFICILES : Argh! Pourquoi les repas en fa- mille sont-ils synonymes de chaos? L’ALIMENTATION ET LE STRESS : Au secours! Pourquoi est-ce que je me tourne toujours vers les aliments quand je vis une période de stress? LA PRISE EN CHARGE D’UNE MALADIE (P. EX. LE DIABÈTE) : Pfff... Comment puis-je prendre en charge mon diabète?? Pour tout savoir sur les activités offertes près de chez vous, lire des articles très intéressants et découvrir d’excellentes recettes consulter les diverses sections au site internet sui- vant : http://www.dietitians.ca/Downloads/Public/ NM2017-Amb-Toolkit-FRE.aspx 13
Fondation Maman Dion, c’est le temps de faire votre demande… Karine Gendron Coordonnatrice des pro- grammes sociocommunautaires Vous êtes une famille à faible revenu et vous avez besoin d’aide pour la rentrée des classes? En leur procurant le matériel scolaire de base, les lu- nettes suite à un diagnostic effectué par un optomé- triste et les vêtements pour leur entrée en classe, la Fondation maman Dion encourage l’épanouissement en milieu scolaire, l’estime de soi et le désir de réus- sir des enfants issus de milieux défavorisés de toutes les régions du Québec, inscrits dans les écoles pu- bliques primaires et secondaires reconnues par le mi- nistère de l’Éducation, du Loisir et du Sport. Conditions d’admissibilité 14
-Être une famille à faible revenu et avoir obtenu le statut de résident permanent du Canada ou être un ci- toyen canadien; -Résider au Québec -Votre enfant doit être inscrit en classe régulière dans un établissement public d’enseignement primaire ou secondaire reconnu par le ministère de l’Éducation, du Loisir et du Sport du Québec; Veuillez prendre note que si votre demande est accep- tée, vous devrez fournir : -Une copie de votre Avis de cotisation de l’Agence du revenu du Canada confirmant le montant de votre re- venu indiqué à la ligne 150; -Une copie de l'Avis annuel de la Régie des rentes du Québec, sur lequel est indiqué votre revenu annuel familial; -Une copie de la première page du bulletin de chacun de vos enfants admissibles. Si vous êtes en mesure d’identifier un intervenant ou un professionnel qui pourra confirmer votre situation, votre demande pourrait être priorisée; En remplissant le formulaire de demande d’aide, vous acceptez que la Fondation maman Dion effectue les vérifications d’usage; 15
Le comité de sélection de la Fondation maman Dion se réserve le droit d’annuler toute demande qui n’est pas conforme; Toute demande reçue après le 30 mars 2017 sera re- fusée. Si vous êtes éligibles, veuillez suivre les étapes sui- vantes afin de remplir en ligne votre formulaire de demande d’aide pour la rentrée scolaire 2017-2018. Vous devez remplir un formulaire pour chacun de vos enfants; Tous les formulaires doivent être remplis en ligne et soumis au plus tard le 30 mars 2017. Dirigez-vous sur www.jedonneenligne.org/fondationmamandion/ pour remplir vos formulaires. Ayez en main le dernier bulletin de votre enfant et votre déclaration d’impôt 2015. Le temps maximal alloué pour remplir un for- mulaire en ligne est de 60 minutes; 16
Vous devez nous faire parvenir uniquement par la poste, à l'adresse suivante, les documents exigés. Fon- dation maman Dion, 130A, rue Notre-Dame, Charle- magne (Québec) J5Z 1H2. Une copie de l'Avis de cotisation de l’Agence du reve- nu du Canada confirmant le montant votre revenu in- diqué à la ligne 150; Une copie de l'Avis annuel de la Régie des rentes du Québec, sur lequel est indiqué votre revenu annuel fa- milial; Une copie de la première page du bulletin de chacun de vos enfants admissibles. Seules les familles sélectionnées recevront une ré- ponse de la Fondation, au plus tard le 26 mai 2017, par appel téléphonique. Bien que la Fondation maman Dion souhaite être en mesure d’aider toutes les fa- milles, elle doit malheureusement établir des limites pour certaines demandes étant donné leur nombre et leur diversité. Si vous ne disposez pas d’un ordinateur et d’un accès Internet, certains sont disponibles dans les différentes bibliothèques municipales et un ordinateur est aussi à votre disposition dans la salle communautaire de Sou- rire sans Fin. Source : http://www.fondationmamandion.org/fr/aide- rentree-scolaire.html 17
Recette de nos minis-cuistots TREMPETTE DE YOGOURT POUR FRUITS FRAIS Donne 8 portions Ingrédients 125 g. de fromage à la crème allégé Philadelphia aux fraises 375 ml (1 ½ tasse) de yogourt sans gras à la vanille Préparation 1. Ramollir le fromage à l’aide d’un fouet. 2. Ajouter le yogourt et battre bien vigoureusement jusqu’à l’obtention d’une consistance lisse. 3. Servir la trempette accompagnée de fruits frais de ton choix. 18
BISCUITS AUX CANNEBERGES ET À L’AVOINE Donne 12 biscuits Ingrédients 1 tasse (250 ml) de farine de blé entier ½ c. thé (2 ml) de poudre à pâte 1 tasse (250 ml) de gruau ½ tasse (250 ml) de canneberges sé- chées ½ tasse (125 ml) de margarine ½ tasse (125 ml) de cassonade 1 œuf 1 c. thé (5 ml) de vanille Préparation 1. Mélanger ensemble la farine, la poudre à pâte, le gruau et les canneberges dans un petit bol. 2. Dans un plus grand bol, défaire la margarine en crème avec les œufs, la cassonade et la farine et bien brasser pour obtenir un mé- lange crémeux. 3. Ajouter à ce mélange le mélange d’ingrédients secs et bien brasser 1. Portionner les biscuits avec une cuillère sur une plaque à biscuit non graissée. Cuire les biscuits au four à 350o f environ 12 minutes. 19
Des objets au secours des en- fants stressés Par Sandra Trudeau Intervenante Famille/enfance Tous les enfants vivent du stress. Heureusement, certains objets peuvent aider à passer au travers. L’anxiété est normale : tous les êtres humains en souffrent à un moment ou à un autre, à différents degrés. Les enfants ne sont malheureusement pas immunisés contre elle. Au contraire! Nous vivons en effet en des temps où la compétition et le succès personnel sont fortement ap- plaudis, et la pression sur les individus est importante. Lorsque bien géré, le stress n’est pas néfaste. Par exemple, tous les comédiens, avant d’entrer en scène, vivent ce qu’on appelle le «trac», et ce stress, canalisé, s’avère même positif. Même chose pour les athlètes qui se préparent pour une compétition. Souvenez-vous des papillons que vous aviez dans le ventre, avant une présentation orale à l’école : cette sensation peut être désagréable pour certains, mais, au final, elle n’en demeure pas moins éphémère. Génération «stress» Le véritable problème survient lorsqu’on peine à gérer cette anxiété de base. Lorsque l’anxiété n’est pas contrôlée, elle peut rapidement empoisonner la vie de celui qui en souffre, en plus d’entraîner des troubles de comportement ou phy- sique, comme l’énurésie nocturne. Des activités qui soulagent le stress: • Prendre quelqu’un dans ses bras • Écouter de la musique 20
• Pratiquer son sport favori • S’amuser avec son animal de compagnie • Prendre une marche • Regarder des photos On peut aussi fabriquer des objets relaxants, qui, en période de stress, permettront à l’enfant de se calmer : comme les bouteilles sensorielles. Vous pouvez aussi vous procurer en ma- gasin des tubes sensoriels: on retourne ces gros sabliers colorés et on observe les gouttes d'huile et d'eau s'écouler régulièrement jusqu'au bas. Il s’agit d’un exercice fascinant et apaisant. La balle antistress demeure bien entendu un classique : offerte en plusieurs couleurs et plusieurs formats, elle aide certains en- fants à rester dans le moment présent, au lieu de se perdre dans le tourbillon de leurs pensées. On aime aussi beaucoup les «amilourds»: des coussins de 1 ou 2 kilogrammes, que l’on dépose sur les épaules ou les cuisses. Non seulement ils sont mignons, ils permettent à l’enfant de s’apaiser. De plus, ils aident ce dernier à se concentrer. Source: mamampourlavie 21
La semaine des Popotes roulantes à lieu du 26 mars au 1er avril 2017. Pour cette occasion, Sourire sans Fin tient à remercier tous les bénévoles qui font le succès de notre service de Popote roulante. Fondée en 1994, le service de popote roulante de Sourire sans Fin ne pourrait être accompli sans ses équipes de bénévoles engagées qui, tous les vendre- dis, s’activent à planifier et à préparer des repas va- riés aux saveurs d’autrefois et qui sont ensuite livrés en apportant un peu de bonheur dans certains foyers. Envie de faire partie d’une équipe stimulante et dy- namique ? N’attendez plus et inscrivez-vous afin de devenir bénévoles pour l’équipe de popote roulante de votre choix! Vous pouvez également profiter de ce service, en vous informant auprès de Jessica au 450 454-5747. 22
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Les fruits et légumes à consommer l’hiver Par Jessica Pion Intervenante socio-alimentaire Voici une petite liste des fruits et légumes à inté- grer à notre alimentation en hiver. Les légumes d’hiver du Québec: Betteraves, carottes, céleris-raves, rutabagas et panais au cœur de la saison froide, les légumes-racines se déclinent en mille et une recettes pour varier les plaisirs gustatifs. On peut notamment les rôtir, les réduire en soupe ou les gratiner. On fait le plein de calcium en cuisi- nant les choux. Du chou frisé dans nos pâtes et sur nos pizzas pour une touche de verdure. Du chou rouge braisé dans notre assiette pour une touche de couleur. Des choux de Bruxelles hachés dans nos salades pour une touche de modernité. Reines de l’automne, les courges sont encore présentes sur les étals des mar- chés l’hiver. Macaronis au fromage, quiche et cari sont des façons 24
originales de les apprêter. Pour un repas santé, on peut aussi remplacer nos pâtes par de la courge spaghetti. Souvent redoutée pour son amertume, l’endive se marie très bien avec le fromage. En salade, on la sert avec des tartines de ricotta ou un fromage brie. Les oignons et les échalotes françaises apportent de la sa- veur à nos plats. On se réchauffe avec une soupe à l’oignon gratinée et on ajoute quelques échalotes dans notre sand- wich pour faire changement. Incontournables en hiver, le poireau et la pomme de terre se prêtent parfaitement aux plats réconfortants. Rien de tel qu’une crème de poireaux ou qu’un gratin de pommes de terre au jambon après une promenade sous les flocons! Les fruits d’hiver du Québec: Récoltées à l’automne, les pommes et les poires se conser- vent tout l’hiver. On en profite pour les cuisiner en version sa- 25
lée, comme dans des côtelettes de porc aux pommes et bette à carde. On peut aussi les intégrer dans une croustade, un pain-gâteau ou une tarte: ainsi les becs sucrés ont l’embarras du choix pour le dessert! Les fruits et légumes d’hiver importés: Ces produits ne poussent pas chez nous, mais l’hiver est la meil- leure saison pour les déguster. En provenance de Floride ou du Maroc, les agrumes s’accordent bien avec le poisson et la volaille. On les ajoute à nos smoothies pour profiter de toutes leurs vitamines. Riche en acides gras et en potassium, l’avocat est idéal pour les salades-repas. On peut aussi l’incor- porer dans nos desserts, comme dans cette tarte au chocolat ou ces brownies végétaliens. On comble notre manque de soleil en dégustant des fruits tropicaux, comme la banane, le litchi et la grenade. Bon appétit !! 26
Sudoku 27
Mars & Avril 2017 2 mars Vente du sac brun Le 8 mars Journée de la femme 17 mars Souper bénéfice Du 13 au 19 mars Semaine québécoise des popotes roulantes 26 mars Journée des cuisines collectives 6 avril Vente du sac brun 14 avril Vendredi Saint fermé 17 avril Lundi de Pâques fermé Du 23 au 29 avril Semaine de l’action bénévole Heures d’ouverture de la Boutique 2A, rue Ste-Famille, Saint-Rémi 450 454-1331 Mardi 9 h à 17 h Mercredi 9 h à 17 h Jeudi 9 h à 18h * jusqu’à 20h lors du Sac Brun Vendredi 9 h à 18 h Samedi 10 h à 17 h Vêtements usagés pour toute la famille, Incluant une section maternité, jouets et meubles pour enfants. 28
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