INFECTIONS DE LA PEAU ET DES TISSUS MOUS - COURS IFSI 2021 F-Xavier CATHERINE Département des maladies infectieuses et tropicales - IFSI DIJON
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INFECTIONS DE LA PEAU ET DES TISSUS MOUS COURS IFSI 2021 F-Xavier CATHERINE Département des maladies infectieuses et tropicales CHU Dijon
PLAN Généralités Bactériologie Infections bactériennes DHB DHBN Impétigo/furoncle/anthrax Infection virale HSV-VZV Rougeole Infection parasitaire Gale Infections fongiques Candidoses superficielles
Généralités : Surface 1,70 m2 2 couches superposées : - épiderme couche cornée = squelette des kératinocytes - derme tissu de soutien Fonctions : - rôle protecteur - rôle de sécrétion - rôle de respiration - rôle d’absorption - rôle sensoriel tactile
Généralités Protection naturelle Protection mécanique = cornéocytes Protection chimique : pH cutané 5,5 Sébum : film hydrophobe renforce barrière kératinocytaire/ s’oppose adhésion bactéries Substances antibactérienne : défensines, lysosyme, cathélicidines… Protection biologique : Bactéries commensales Réseau immunitaire : C de Langerhans, macrophages et lymphocytes dermiques
Généralités Protection naturelle Pathologies Protection mécanique = cornéocytes Rupture : Frottement, plaies, lésions grattage, fissuration, injection… Protection chimique : pH cutané 5,5 Modification pH Sébum : film hydrophobe renforce barrière Disparition film/détergents kératinocytaire/ s’oppose adhésion bactéries Substances antibactérienne : défensines, Modification adhésion germes/bactéries : staph doré lysosyme, cathélicidines… chez atopique Protection biologique : Bactéries commensales Disparition flore : antiseptique Réseau immunitaire : C de Langerhans, Statut permanent germes : atopiques, diabétiques, macrophages et lymphocytes dermiques dialysés... Altération mécanismes immunitaire : Photoexposition, immunosupresseurs, diabetes Conditions physiques : chaleur + humidité = macération
Bactériologie Flore Habitat Commensale : Streptocoques/microcoques SCN : épi, capitis, saprophy A : pharynx, B: TD, vagin, rhinopharynx S. aureus Bactéries ubiquitaire homme, animaux CGN : Neisseria BG+ : Rhinopharynx/génitale Aéro : corynébactéries Ana : propionibacterium Régions humides : creux axillaires BGN : Proteus Région séborrheiques, région anale Pseudomonas Transitoire : Région digestive/urinaire S. aureus Plaies chroniques BGN : E. coli, proteus, pseudomonas
Bactériologie Flore Habitat Commensale : Streptocoques/microcoques A : pharynx, B: TD, vagin, rhinopharynx SCN : épi, capitis, saprophy Bactéries ubiquitaire homme, animaux S. aureus CGN : Neisseria Rhinopharynx/génitale BG+ : Aéro : corynébactéries Ana : propionibacterium Régions humides : creux axillaires BGN : Région séborrheiques, région anale Proteus Pseudomonas Région digestive/urinaire Transitoire : S. aureus Plaies chroniques BGN : E. coli, proteus, pseudomonas
Bactériologie Flore Habitat Commensale : Streptocoques/microcoques A : pharynx, B: TD, vagin, rhinopharynx SCN : épi, capitis, saprophy Bactéries ubiquitaire homme, animaux S. aureus CGN : Neisseria Rhinopharynx/génitale BG+ : Aéro : corynébactéries Ana : propionibacterium Régions humides : creux axillaires BGN : Région séborrheiques, région anale Proteus Pseudomonas Région digestive/urinaire Transitoire : S. aureus Plaies chroniques BGN : E. coli, proteus, pseudomonas
ÉRYSIPÈLE = DHB Infections bactériennes Atteinte primitive aigue non nécrosante du tissu cutané et sous-cutané Rare chez l’enfant Adulte > 40 ans Incidence 10 à 100 cas/an/100 000 habitants Bactério : S. β-hémolytique groupe A Toxi-infection Faible densité bactérienne
Érysipèle = DHB Facteurs favorisants : Porte entrée loco-régionale : plaie, piqûres insectes, intertrigo… Diabète Immunosuppression Insuf veineuse Lymphodème Obésité... Diagnostic : Clinique Début brutal, fièvre 40°C, frissons Placard inflammatoire circonscrit, bourrelet périphérique Décollement bulleux ADP homolatérale lymphangite
Érysipèle = DHB Formes topo : Visage (5 à 10 %), mb sup, thorax, abdomen, périnéo-génitale Paraclinique : NFS, CRP, hémoc? Prélèvement bulles? Complications : Rôle des AINS Extension DHBN Récidive 20 % FdR persistants Décompensation tares : diabète… Complications post strepto rares
Érysipèle = DHB Traitement Instauré rapidement Antibiothérapie : Β-lactamines IV puis PO 7j si hospitalisation TTT adjuvant : Repos Correction FdR VAT Porte entrée… Hygiéne cutanée soigneuse Contention élastique
DHBN : Ø aponévrose Fasciite nécrosante Physiopatho : Nécrose de l’hypoderme et thrombose vasculaire ischémie locale, infection et mauvaise diffusion des atb Nécrose de l’aponévrose puis du derme Urgence médico-chirurgicale < 1/100 000 hab/an Mortalité 30 %
DHB/Fasciite nécrosante Facteurs de risque : Diabétique (25 à 30 %) RR= 4 à 7 Tb vx périphérique (36%) Obésité Age > 50ans Alcoolisme (15 à 20 %) RR = 2 Immunodéprimés :VIH RR 9 à 49 / cancer RR = 7
DHB/Fasciite nécrosante Facteurs de risque : Green, Chest 1996 Diabétique (25 à 30 %) RR= 4 à 7 Tb vx périphérique (36%) Obésité Age > 50ans Alcoolisme (15 à 20 %) RR = 2 Immunodéprimés : VIH RR 9 à 49 / cancer RR = 7 Lésions cutanées : (Steven CID 2005) Ulcères, maux perforants Chirurgies Varicelle (enfant) : 30 à 50 % des cas pédiatriques Injections IV (toxico) Piqure insectes, dermabrasion
DHB/Fasciite nécrosante AINS : Rôle néfaste ibuprofène DHBN ou dans son aggravation au cours varicelle RR 11 Choc streptococcique RR 16 Clinique : Nécrose (peau cartonnée, taches cyaniques, peau froide) Douleur intense/hypoesthésie Crépitation neigeuse Retentissement générale : Signe de sepsis/choc septique Défaillance multiviscérale
DHB/Fasciite nécrosante AINS : Rôle néfaste ibuprofène DHBN ou dans son aggravation au cours varicelle RR 11 Choc streptococcique RR 16 Clinique : Nécrose (peau cartonnée, taches cyaniques, peau froide) Douleur intense/hypoesthésie Crépitation neigeuse Retentissement générale : Signe de sepsis/choc septique Défaillance multiviscérale
DHB/Fasciite nécrosante : formes cliniques Gangrène de Fournier Cervico-thoracique
DHB/Fasciite nécrosante EX paraclinique : écho Bactério : Hémocultures Ponction sous cutanée Biologie : NFS, plaq, coag Fonct rein, iono CPK, BH lactates Imagerie : Écho : gg de Fournier
DHB/Fasciite nécrosante EX paraclinique : TDM Bactério : Hémocultures Ponction sous cutanée Biologie : NFS, plaq, coag Fonct rein, iono CPK, BH lactates Imagerie : Écho : gg de Fournier TDM/IRM
Urgence: Réanimation Fasciite • Antibiotiques actifs sur : Streptocoques Anaérobies Entérobactéries Pseudomonas S. aureus → Β-lactamines + inhibiteur bétalactamase ou anti-anaérobie + aminoside • Chirurgie : excision / lavage / amputation • Vaccination
2. Impetigo : Infection épidermique à S. β-hémolytique A et/ou S. aureus Épidémio: Infection auto et hétéro-inoculable, non immunisante. Enfants > adultes Complique une affection prurigineuse préexistante (ectoparasitose) Dg : Vésiculo-bulle à contenu trouble, flasque et fragile évoluant vers une érosion recouverte de croûtes jaunâtre : mélicériques à extension centrifuge +/- areole inflammatoire périphérique
Peu symptomatique Impétigo Lésions d’âges différents Svt péri orificielle puis diffusion Adénopathies régionales Absence de signes généraux TTT : Local, lavage bi quoitidien eau et savon Antiseptique : chlorhexidine Corps gras ATB général si étendue 10 j
Infection d’un follicule pilosébacé Furoncle S. aureus Évolue en 5 à 10 j vers nécrose et élimination follicule pileux (bourbillon) F. Favorisants : Diabète, immunosuppression, atopie, carence martiale, facteurs génétiques Topographie : dos, épaules, nuques, cuisses, fesses
Anthrax : agglomérat de furoncle réalisant un placard Anthrax / Furonculose inflammatoire hyper algique parsemé de pustules (manipulation de furoncles) Signes généraux : fièvres, ADP locorégionales Sièges : cou, dos
5. Furonculose : répétition de furoncles sur plusieurs mois TTT : Pas d’incision Pas d’ATB sauf : furoncles multiples, anthrax signes généraux Centro faciale, péri-orificiel, diabète, immunoD Protection par pst antiseptique bi-quotidien Lavage des mains après pst Hygiène soigneuse Arrêt de travail si prof alimentaire
Infections bactériennes Infection virale Infection parasitaire Infection fongique
HSV Epidémiologie Séropositivité HSV2 : corrélée ++ Séropositivité HSV1 : 45% à avec âge des premiers rapports 98% de la pop. mondiale sexuels France : 70 % chez les adultes Primo infection : adolescence/adultes Augmentation HSV-1 au niveau jeunes génital 15-20% adultes, jusqu’à 90% si FdR + important dans les pays les HSV2 : cause la plus fréquente moins industrialisés d’ulcération génitale Pas d’incidence saisonnière FdR HSV génital : âge, sexe féminin, faible condition socio-éco, bas niveau Primoinfection : enfance d’éducation, ATCD IST, Nombre de partenaires sexuels 30
Transmission des virus Physiopathologie Contacts interhumains Primo infection: réplication intimes, oraux, sexuels virale intense CMV = possible aussi par voie Inapparente ou symptomatique sanguine Puis propagation dans les ggl (HSV, VZV) ou dissémination par voie VZV = plutôt respiratoire hématogène (CMV, EBV) rarement vers méninges ou encéphale Latence et la persistance Les récurrences Rôle de immunité cellulaire Primo Récurrence ID Autre loca infection HSV VZV : gg sensitifs HSV 1 Stomatite Herpes labial ou génital Encéphalite nécrosante CMV : monocytes, Mϕ HSV 2 Herpès Herpes génital HHV 6 ,7 : C glandes VZV génitale zona Pneumonie, cérébellite, salivaires monocytes, Mϕ, Varicelle encéphalite lym EBV : lym B HHV8 : lym, C CMV Fièvre Rétinite, colite, endothéliales aigue pneumonie, cytopénie… EBV MNI Encéphalite HHV-6 Roséole HHV8: Kaposi, HHV-7 Exantème Castleman, HHV-8 subit lymphome des Inconnu séreuses 31
1. Gingivostomatite herpétique = PrimoInfection Incubation 2 à 12 jours •Prodromes : sensation de brulure, paresthésie •Fièvre>39, malaise, myalgie, dysphagie •ADP cervicale, sous mandibulaire •J1-J2 : Inflammation muqueuse •Puis éruption vésiculeuse •puis rupture des vésicules = ulcération superficielle -> douleur+++ •Guérison : 10-14 jours 32
2. Primo infection génital Symptomatique 1 x/3 Atténué si HSV 1 + 15 à 30% des cas HSV1 = en cause Vulvovaginite chez la petite fille: Incubation de 2 à 7 jours HSV-1 +++ Bruyant, vésicule sur fond Contamination par salive érythémateux Femme : vulve, périnée, fesses, col Herpès anal ou péri-anal : ,vagin associée à des leucorrhées En augmentation, principalement Homme : gland, pénis HSV-2 Bruyant, douleur, prurit, ténesme, +/- des signes généraux, signes dysurie urinaires Vésicule ou ulcération cryptiques confluentes préi-anales, muqueuse hyperhémiée, ADP, écoulement Cicatrisation en 2 à 6 semaines anal + signes généraux Cicatrisation en 1 à 3 semaines Risque de surinfection bactérienne 33
HSV2: 3. Les récurrences Prodrome avant apparition du bouquet vésiculeux Cliniquement moins parlant Brulure, prurit, paresthésie 5 à 10% des patients : >6 Puis ulcération, douleur rechutes/an Durée 6 à 7 jours + de rechute si Primo Inf sévères Age, ID !! Porteurs asymptomatiques Pb = Douleur, inconfort, gêne HSV1: esthétique, retentissement social, Vésicule, unilatéral psychologique… Localisé à la jonction cutanéomuqueuse des lèvres Possible au niveau menton, narine En général facteur de stress, fatigue 34
Pb posé : Excrétion virale asymptomatique (Viral shedding) Fréquence diminue avec le temps, augmente avec ID Ex : 10 ans après la primo infection : Risque de viral shedding : - 70% par rapport aux 6 premiers mois Contribue à la transmission+++ Ex : 27 femme séropositives HSV2 : prélèvement quotidiens à la recherche d’HSV : >20% des prélèvements sont positifs soit 1 jour/5 35
HSV Formes cliniques : Herpes néonatal
HSV Formes cliniques : Herpes néonatale Kératite herpétique
HSV Formes cliniques : Herpes néonatale Kératite herpétique
HSV Formes cliniques : Herpes néonatale Kératite herpétique
HSV Formes cliniques : Herpes néonatale Kératite herpétique
Infection virale Formes cliniques : Herpes néonatale Kératite herpétique
HSV Diagnostic : Clinique Sérologie PCR herpes
HSV TTT : Aciclovir IV cerveau, œil, immunodepression 10 à 15 mg/kg/8h Comment administrer l’aciclovir IV ?
TTT : Aciclovir IV cerveau, œil, immunodepression 10 à 15 mg/kg/8h Sur 1h30 dans 250 ml SSI Néphrotoxique Aciclovir PO / Valaciclovir dans les autres formes
Rougeole VIRUS : Paramyxoviridae Genre : Morbillivirus Épidémio : (11/07/18) 2646 cas depuis 06/11/17 Incidence 4,1/100 000 hab 85 départements 22 % hospitalisés 89 % non ou mal vaccinés 3 décès depuis 2018 Transmission : R0 = 15 à 20 Se développe nez et gorge Aérienne(direct ou indirect) et contact (2h) 5 j avant et 5 j après l’éruption Incubation : 7 à 18 j
ROUGEOLE Phases maladies : Invasion : 2à4j Fièvre > 38 °5 Toux intense Écoulement nasal Conjonctivite Köplick à la 36ème h Eruption : Maculo papuleuse 5à6j Tête haut en bas en 3 j Complications : Pulmonaire Encéphalite aigüe Prévention : (pas de ttt) Vaccination ROR 12 mois et entre 16 – 18 mois
VZV. Histoire naturelle Transmission = RESPIRATOIRE 48 Arvin Virology, 3rd ed. Raven Press, New York 1995
Infections à VZV • R0 = 10 • Taux d’attaque : 61 à 100% • Homme = le seul réservoir • Période de contagion: • 2 jours avant à 5 jours après • +s sem chez ID 49
Varicelle Zona 90% des individus sont F>H infectés avant adolescence Séroprévalence >95% pop Adulte > 50 ans générale Altération de immunité Pic d’incidence: 1 et 9 ans Hiver et printemps cellulaire (VIH) Epidémie : tous les 2 à 5 ans Bilan immunitaire chez la Maladie bénigne enfant non personne jeune ID Incubation : 14 jours ( 10 à 21 jours) Donnée du réseau sentinelle: 700 000 cas/ an Diagnostic clinique +++ dont 3000 hospitalisés Et 20 décès Possibilité de faire une PCR Sur un prélèvement cutané Dans le LCR, humeur acqeuse, LBA 50
1. Clinique de la Varicelle Eruption typique : Complication: érythémato-vésiculeuse durant 3-4 Surinfection cutanée, pulm jours, Neurologique: tableau diverse prurigineuse, avec phase de ataxie cérébelleuse: fqt enfant, dessiccation régresse en 15 jours débutant de façon brutale Pneumonie varicelleuse avec fièvre modérée (37,5°C - +fqt chez adulte, peut être grave 38°C) avec SDRA Évolution vers une croute brunâtre Survient de 1 à 7 jours après le à J4 qui tombe à 10 début Ensemble du corps PTI Possible atteinte des muqueuses de … oropharynx 51
2. ZONA Eruption vésiculeuse métamérique avec prodrome (brulure, dysesthésie) Thoracique > 50% des Complication: cas Douleurs post zostérienne +++ Ophtalmique 5-10% des Neurologique, Ophtalmo cas :V1,V2 – kératite !! Zona généralisé GGL géniculé: zone ID +++ Ramsay Hunt : PFP 10 à 20% des cas des atteintes viscérales: poumon, SNC, cœur Mortalité encore de 5 à 15% malgré les ARV 52
Varicelle et grossesse Surrisque maternel de forme grave Pas de mortalité supérieure Mais morbidité supérieure? Donc traitement de la mère Risque fœtal 15-20% d’infection fœtale si 1er ou 2ème Trimestre Risque d’anomalies congénitales chez 12% des fœtus infectés Donc traitement maternel Pas de risque démontré si zona Risque néonatal Si éruption maternelle dans les 3 semaines précédant l’accouchement Risque maximal si éruption maternelle entre -5 et +2 jours = exposition de l’enfant au virus mais sans les anticorps Donc traitement prophylactique de l’enfant 53
54
ROUGEOLE EN HOSPITALISATION A DOMICILE Chambre individuelle, Eviter les contacts avec l’entourage (en particulier Aérée fréquemment, les enfants non vaccinés) Limitation des déplacements Aérer les pièces hors de la chambre, régulièrement. Port d’un masque lors de Pour se déplacer, il faut porter un masque. toute sortie de chambre. Se laver les mains Masque FFP2 régulièrement à l’eau et au Surblouse savon ou les désinfecter avec une solution hydro- SHA alcoolique.
Meilleure prévention ? VACCIN
Infections bactériennes Infection virale Infection parasitaire Infection fongique
Gales ou scabiose Épidémiologie : Maladie endémo endémique Recrudescence Réservoir naturel : homme Transmission inter humaine par contact direct Contagiosité importante FdR : promiscuite plus que la manque d’hygiène Physiopathologie : Femelle creuse un tunnel dans la couche cornée et y pond ses œufs Salive histolytique = prurit Surinfection fréquente
Infection parasitaire Clinique : Incubation 3 semaines Prurit Début progressif, d’intensité variable à recrudescence nocturne Localisation : espace intedigitaux
Infection parasitaire Clinique : Incubation 3 semaines Prurit = motif cs Début progressif, d’intensité variable à recrudescence nocturne Localisation : Espace intedigitaux Face ant des poignets
Infection parasitaire Clinique : Incubation 3 semaines Prurit = motif cs Début progressif, d’intensité variable à recrudescence nocturne Localisation : Espace intedigitaux Face ant des poignets Avant bras
Infection parasitaire Clinique : Incubation 3 semaines Prurit = motif cs Début progressif, d’intensité variable à recrudescence nocturne Localisation : Espace intedigitaux Face ant des poignets Avant bras Aéroles des seins
Diagnostic : Clinique Épidémio : prurit entourage et nocturne Recherche sarcoptes scabei hominis après grattage d’un sillon, effondrement d’une vésicule perlée Encre pour repérer les sillon Dermoscopie
Infection parasitaire Diagnostic : Clinique Épidémio : prurit entourage et nocturne Recherche sarcoptes scabei hominis après grattage d’un sillon, effondrement d’une vésicule perlée Encre pour repérer les sillon Dermoscopie TTT : Benzoate de benzyle: ascabiol Prendre un bain ou douche Sécher Appliquer produit en respectant le visage Produit en contact 12 à 24 h Douche TTT tte la famille/linge 60°/canapé/voiture… Éviction scolaire Port de gants/soignants
Infections bactériennes Infection virale Infection parasitaire Infection fongique
Infection fongique Candidoses cutanées : Intertrigo mains
Infection fongique Candidoses cutanées : Intertrigo mains Intertrigos pieds
Infection fongique Candidoses cutanées : Intertrigo mains Intertrigos pieds Plis inguinaux
Infection fongique Candidoses cutanées : Intertrigo mains Intertrigos pieds Plis inguinaux Sous mammaires…. Dg clinique
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