Les achats tests d'alcool - Une action de prévention Bilan final de la phase pilote Monthey et Haut-Lac

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Les achats tests d'alcool - Une action de prévention Bilan final de la phase pilote Monthey et Haut-Lac
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                  .. CAP-LVT
                   .. 1950
                       Place du Midi 36

                    .. 027 329Sion89 00
                 .. www.lvt.ch

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    Les achats tests d’alcool

    Une action de prévention

    Bilan final de la phase pilote Monthey et Haut-Lac
    De septembre 2009 à mai 2010

        Un projet mené en partenariat par la Police Cantonale Valaisanne, la Police Municipale de
                     Monthey, la Police Intercommunale du Haut-Lac et les CAP-LVT
Les achats tests d'alcool - Une action de prévention Bilan final de la phase pilote Monthey et Haut-Lac
Les achats tests d’alcool
Une action de prévention
             Contexte

Depuis 2008, les CAP-LVT développent en partenariat avec les polices municipales et
cantonales Valaisannes un concept1 de prévention comprenant des informations aux
commerces, des visites préventives et des achats tests d’alcool.

A travers cette action, les CAP-LVT veulent sensibiliser et
soutenir les commerces afin de faire évoluer les pratiques sur le
thème de la consommation d’alcool des mineurs et de la
protection de la jeunesse.

Après une première expérience concluante dans le Haut-Valais,
l’année 2009 a vu le comité CAP-LVT confirmer son intérêt à la
réalisation cantonale de cette prestation. Sur cette base, un
groupe de pilotage regroupant de nombreux partenaires
concernés a été réuni.

Consécutivement à cette décision, un groupe opérationnel a été
constitué pour mener à bien une phase pilote dans le Bas-Valais.

Le présent document dresse le bilan de cette phase pilote.

             Le projet

Le but de cette action de prévention est de sensibiliser et de soutenir les commerces afin
de faire évoluer les pratiques sur le thème de la consommation d’alcool des mineurs et
de la protection de la jeunesse.

Pour rappel, la spécificité du concept Valaisan tient dans deux principes de base :

1. Mettre l’accent sur l’information et la sensibilisation. Développer un concept de
prévention qui comprend des achats tests d’alcool, mais qui ne se résume pas aux achats
tests d’alcool. Pour ce faire, un axe information et sensibilisation est intégré à ce projet.

2. Faire évoluer les pratiques par un travail de partenariat. Le but n’est pas de
piéger, mais de travailler en collaboration avec les acteurs concernés.

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Vision                       Les commerçants et gérants de débits de boissons sont
                             sensibilisés à la fragilité et à la vulnérabilité avérée des jeunes
                             vis-à-vis de l’alcool

                             Les commerçants respectent la loi de protection des mineurs y
                             relative

Objectifs                    Sensibiliser les commerçants à la problématique des jeunes et
                             de l’alcool

                             Soutenir les commerçants dans leur tâche

                             Observer l’application des prescriptions légales en matière de
                             protection des mineurs

Moyens                       Un concept de prévention comprenant :

                                 1. Une action de sensibilisation et d’information

                                          a. Communiqué de presse

                                          b. Courrier nominatif à tous les commerces

                                 2. Un travail de proximité

                                          a. Visite informative de la police

                                 3. Des achats tests d’alcool (en 2 phases standards)

                                          a. Suivis chacun d’un entretien et d’un courrier

                                 4. Une formation facultative

Indicateurs                  Evolution positive des refus de vente entre la phase 1 et la
                             phase 2

                             Au final le 80% des commerces testés respectent la loi sur la
                             protection des mineurs

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Le bilan chiffré

Ce chapitre présente un bilan chiffré en 15 points :

6       Communes ont été concernées par ce                 Monthey, Collombey-Muraz, Vionnaz,
        projet                                             Vouvry, Port-Valais, St Gingolph

Sensibilisation et travail de proximité

181 Courriers informatifs ont été                          Monthey (111), Collombey-Muraz (19),
    adressés aux commerces avant les                       Vionnaz (12), Vouvry (16), Port-Valais
    achats tests d’alcool (avec un rappel                  (18), St-Gingolph (5) / par les CAP-LVT
    de la loi, de la vulnérabilité des
    jeunes vis-à-vis de l’alcool, du
    concept et l’annonce des achats tests
    d’alcool)

178 Entretiens d’information et de                         Par les polices municipales de Monthey
    distribution de matériel ont été                       et du Haut-Lac
    menés dans les commerces

  Cette importante action d’information et de sensibilisation a permis de positionner la
 démarche dans un esprit de partenariat. En effet, il s’agissait, préalablement aux achats
      tests d’alcool, de communiquer de façon claire sur le projet et son intention.

     Le but étant de sensibiliser les partenaires concernés et de travailler en collaboration
                                 afin d’améliorer les pratiques.

Achats tests d’alcool Phase 1

23      Achats tests d’alcool ont été réalisés             Il ressort de cette 1ère phase :
        en phase 1
                                                           12 refus de vente et 11 ventes illégales

     Cette 1ère phase a permis de faire un état des lieux des pratiques après une première
    action de sensibilisation menée dans la région. Elle a révélé que malgré un important
    effort d’information la moitié des commerces continuaient de vendre de l’alcool à des
                                            mineurs.

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La phase 1 révèle une quasi parité entre vente et refus de vente

Achats tests d’alcool Phase 2

21     Achats tests d’alcool ont été                       Il ressort de cette 2e phase :
       effectués en phase 2 (23 prévus)
                                                           18 refus de vente et 3 ventes illégales

                                                           -       2 cas ont été annoncés à la police

                                                           2 commerces n’ont pas pu être testés :
                                                           Pour l’un il s’agit d’une cessation d’activité,
                                                           pour l’autre de fermetures à 2 reprises

                    La phase 2 montre une nette augmentation des refus de vente

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Cette 2e phase montre une importante et réjouissante augmentation des refus de vente.
    Elle confirme l’impact non négligeable d’une action qui comprend un achat test, une
                        sensibilisation sur site et un courrier officiel.

      Ce constat est d’ailleurs celui relevé par l’étude Suisse de l’Institut Ferarihs en juin
      2008 : « les achats tests d’alcool sont un moyen efficace et éprouvé pour faire
      respecter les dispositions relatives à la protection de la jeunesse »

Achats tests d’alcool Phase 3

7       Achats tests d’alcool ont été menés                Il ressort de cette 3e phase :
        en phase 3
                                                           5 refus de vente et 2 ventes illégales

                                                           1 cas a été annoncé à la police

                                                           1 cas n’a pas été annoncé vu un
                                                           changement de gérant

                     La phase 3 confirme l’ancrage majoritaire des refus de vente

Pour rappel, les achats tests d’alcool se réalisent en 2 phases standards, suivies chacune
 d’un entretien et d’un courrier informatif. Si une vente illégale est constatée au cours
                 des 2 premières phases, une 3e phase est programmée.

Cette 3e phase qui s’est donc réalisée uniquement auprès des commerces ayant effectué
une vente illégale durant les deux premières phases confirme clairement un changement
                           de comportement des commerçants.

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Résultats globaux pour les commerces testés

21     Commerces    ont    été                 testés      Au final, il ressort de cette action que
       conformément au projet                              18 commerces ont respecté la loi (86%)
                                                           et que seuls 3 cas ont été annoncés à la
                                                           police (14%).

                                                           Il est à signaler que 2 commerces n’ont
                                                           pas pu être testés conformément au projet

                  D’une situation mitigée à une écrasante majorité des refus de vente

    Cette action de prévention a permis de passer d’une situation mitigée et
   problématique en 1ère phase à une nette amélioration du comportement des
commerçants vis à vis de la protection de la jeunesse avec plus de 86% de refus de
                             vente au terme du projet

     Pour un effet durablement efficace, il est recommandé de répéter cette action à un
                             rythme annuel, voir bisannuel.

51     Achats tests d’alcool ont été réalisés              Il est à noter 35 refus de vente (69%) et
       au total                                            16 ventes illégales (31%)

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Entretiens et courriers d’évaluation consécutifs aux achats tests d’alcool

51      Entretiens d’évaluation ont été                    Par les CAP-LVT
        menés directement après les achats
        tests d’alcool dans les commerces

       Ces entretiens se sont globalement très bien déroulés. Ils ont été l’occasion de
    rencontrer les commerçants dans leur réalité. Le concept a été très bien accueilli et la
    nécessité d’agir reconnue. Seules deux réactions d’humeur ont été relevées sur les 51
                                      entretiens menés.

     L’objectif de ces entretiens était d’annoncer l’action, le résultat de l’achat test, de
          vérifier la compréhension du concept ainsi que de proposer du soutien

51      Courriers d’évaluation ont été                     Par les CAP-LVT
        adressés          aux         gérants
        d’établissements consécutivement
        aux achats tests d’alcool (avec un
        rappel du/des résultats, de la
        vulnérabilité des jeunes, du matériel
        à disposition)

Annonces aux autorités communales

3       Cas ont été annoncés à la police pour              Par les CAP-LVT à la police communale
        transmission au chimiste cantonal

Participation des jeunes

12      Jeunes ont été coachés et engagés                  Par les CAP-LVT
        dans ce projet de prévention

             Un concept de prévention qui mobilise les jeunes et les commerçants

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Le projet des achats tests d’alcool est un maillon intéressant dans le dispositif
                         global de prévention des addictions.
   Il traite d’une problématique qui concerne les jeunes sans les stigmatiser, ni les
                   accuser mais en les intégrant comme partenaires.
 Il leur démontre que leur action contribue à améliorer les pratiques plutôt que de
                                        les subir.

    D’autre part, ce concept a pour avantage de rappeler à la population une norme pleine
      de sens qui s’appuie tant sur les aspects légaux, de promotion de la santé, que de
                                   protection des mineurs.

5       Séances d’information du réseau ont                Centres de loisirs, écoles…
        été animées pour recruter des jeunes.
        Un chapitre est consacré à ce thème.

163 Heures CAP ont été créditées au                        Imputées pour la phase pilote
    projet (information, coordination,
    mise en œuvre...) Ce point est repris
    sous « points à améliorer ».

1       La couverture médiatique a été                     Le Nouvelliste, Le régional, L’illustré,
        intéressante malgré l’option prise de              Le Confédéré, Radio Chablais, RSR…
        ne pas communiquer activement
        avant d’avoir expérimenté le concept               Intérêt de la TSR pour un reportage

             Les catégories de commerces testées

3 catégories de commerces ont été testées. Le graphique ci-dessous illustre le nombre de
commerces visités lors de la phase pilote en fonction de leur type d’activité.

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Les plages horaires de réalisation des achats tests d’alcool

Les 51 achats tests d’alcool ont été réalisés du lundi au samedi sur des tranches horaires
comprises de 11h à 21h45. Le choix des horaires s’est fait en fonction de la catégorie de
commerces, des horaires d’ouvertures, de la disponibilité des jeunes, des prescriptions
légales concernant les sorties nocturnes des mineurs, ainsi que d’une volonté
d’expérimenter différents créneaux horaires.

La grande majorité des achats tests d’alcool de la 2e et de la 3e phase concernant des
bars et des pubs ont été effectués sur une bande horaire de 19h00 à 21h45.
Contrairement à toute attente, ce critère n’a pas eu d’impact significatif sur les résultats
des ventes. En effet, les ventes d’alcool se sont principalement produites en première
phase et avant 19h00.

Dans les critères d’influence observés, il est à relever que la phase de réalisation des
achats tests d’alcool (1ère, 2e, ou 3e phase) constitue le facteur le plus pertinent dans le
résultat de l’achat test. Effectivement, si la phase 1 a montré une quasi parité des refus
de vente et des ventes illégales, la phase 2 a relevé une bonne progression du
comportement des commerçants, illustrée par une large augmentation des refus de vente
à plus de 86%. Ce constat intéressant et réjouissant confirme la nécessité d’effectuer 2
phases d’achats tests suivies d’un travail de sensibilisation auprès des commerces. Cet
assemblage d’information et d’observation concrète sur le terrain donne un excellent
résultat.

             L’âge et le genre des jeunes testeurs

12 jeunes ont été coachés et impliqués dans ce projet de prévention. Ils ont réalisé 51
tests par groupe de deux sous la supervision permanente d’un adulte formé en addiction.
Ce qui représente 102 interventions de jeunes. Le graphique ci-dessous représente l’âge
et le genre de ces jeunes testeurs lors de la phase pilote.

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Choix des partenaires locaux pour le recrutement des jeunes

La sensibilisation et l’implication de partenaires locaux (écoles, centre de loisirs…)
dans l’optique de recruter des jeunes doit être savamment étudiée avant une éventuelle
sollicitation. En effet, il convient de procéder à un inventaire préalable des avantages et
des inconvénients offerts par les partenaires potentiels avant une mobilisation d’acteurs
supplémentaires.

Deux expériences de recrutement de jeunes ont dû être menées pour terminer cette
phase pilote :

         1. Dans un premier temps, différents établissements scolaires et centres de
            loisirs ont été approchés pour un partenariat. Or malgré un accueil favorable
            des directions d’établissements et des responsables de structures, la mise en
            œuvre a connu quelques réactions négatives d’enseignants (questionnement,
            confusion). Si bien que le recrutement des jeunes et la poursuite même du
            projet s’en sont trouvés fortement menacés à l’approche de la 2e phase.

         2. Dans un deuxième temps, en réaction à cette situation bloquante, une
            nouvelle voie de partenariat a été choisie et un contact a été réalisé dans le
            milieu associatif régional. Ce contact a permis le recrutement simple et
            rapide de jeunes en suffisance pour mener à terme les phases 2 et 3 du
            projet.

En conséquence, pour pallier à ce risque, il ressort 4 critères à observer chez un
partenaire potentiel pour le recrutement des jeunes :

     - Intérêt et compréhension du projet (sensibilisation et prévention vs répression)

     - Adhésion au concept (de l’institution et des personnes)

     - Simplicité de la collaboration (Brièveté du temps investi pour mobiliser le
       partenaire et pour passer à la mise en œuvre)

     - Capacité à pouvoir mobiliser des jeunes de 15 à 17 ans domiciliés hors
       commune testée

Pour rappel, pour des questions de protection des mineurs engagés, les jeunes domiciliés
dans les communes testées ne peuvent pas participer à des achats tests se déroulant sur
leur lieu de vie. Ce critère limite les types de collaborations et les apports possibles des
partenaires institutionnels communaux.

Le chapitre « améliorations à apporter » rappelle les points forts à observer pour mener
à bien cette tâche indispensable.

             Une excellente collaboration du groupe opérationnel

Le concept des achats tests d’alcool a réuni plusieurs partenaires institutionnels. Une
excellente collaboration a été relevée entre les polices communales, cantonales et les
CAP dans la mise en œuvre de ce projet. La forte adhésion initiale s’est largement
confirmée sur le terrain et dans la conduite du projet.

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Points d’attention

La phase pilote a révélé trois points d’attention.

    1. La communication auprès des
       partenaires    du      réseau,   des
       commerçants, des médias et de la
       population doit être soignée afin
       d’informer de la légitimité et de la
       nécessité d’une telle action.

    2. Le recrutement de jeunes testeurs
       doit être un souci partagé et anticipé
       par l’ensemble des partenaires. Ceci
       dans l’optique de favoriser un
       déroulement régulier et éviter de
       menacer la réalisation des achats
       tests.

    3. Une rationalisation des ressources
       et du temps disponibles doit être
       opérée pour un investissement sur le
       long terme.

Le chapitre suivant liste les dispositions prises par les CAP-LVT pour réduire les
risques et optimiser la poursuite de cette action.

             Améliorations à apporter

Conformément à la demande du comité LVT et après mise en œuvre de la phase pilote,
les CAP-LVT vont continuer à proposer ce concept de prévention aux partenaires
communaux intéressés.

Les prochaines actions bénéficieront des apports de cette phase de pilotage et en
particulier des modifications suivantes :

    1. La communication sera renforcée auprès des partenaires impliqués et des
       médias.

    2. Le recrutement des jeunes deviendra une tâche commune des partenaires
       engagés. Au besoin une personne ressource pourra être mandatée pour leur
       recrutement. La sollicitation d’institutions locales fera l’objet d’un examen
       rigoureux (cf. critères du chapitre « choix des partenaires locaux pour le
       recrutement). Les apports des milieux associatifs régionaux ainsi que d’autres
       alternatives seront étudiées.

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3. Une rationalisation des ressources et du temps sera opérée :

             a. La gestion opérationnelle du projet sera centralisée à Sion pour le Valais
                romand et à Brig pour le Haut-Valais.

             b. L’intervalle prévu entre les phases d’achats tests d’alcool sera adapté aux
                ressources et au temps à disposition des membres des groupes
                opérationnels.

             Remerciements au groupe opérationnel Monthey et Haut-Lac

Nous remercions vivement pour leur esprit d’initiative et leur engagement les membres
du groupe de travail opérationnel Monthey et Haut-Lac, ainsi que tous les jeunes
impliqués sans lesquels cette phase pilote n’aurait pas pu se réaliser. En effet, le succès
de cette action est à mettre à leur actif.

Aerni Claude-Alain, Intervenant en toxicomanie, CAP-LVT
Bertholet Laurence, Intervenante en toxicomanie, CAP-LVT
Bressoud Eric, et les collaborateurs de la Police intercommunale du Haut-Lac
Bruchez Philippe, Commissaire de police, et les collaborateurs de la Police communale
de Monthey
Défago Anne, Secrétaire de direction, CAP-LVT
Mayor Daniel, Responsable de région Bas-Valais, CAP-LVT
Pommaz Michel, Police cantonale à Monthey
Rosset Jean-René (observateur), Police de Sion
Suard Patrick, Responsable du secteur prévention, CAP-LVT

Pour plus d’informations sur le concept consultez le lien internet vers la page dédiée au
projet des achats tests d’alcool (concept, groupe de pilotage, communiqué de presse…)
http://www.lvt.ch/CAP/communiquer/achats_tests.html

Pour développer ce concept dans votre région : patrick.suard@lvt.ch 027 329 89 00
CAP-LVT.

« La prévention, c’est l’affaire de chacun !»

Sion, le 12 mai 2010                                                             Patrick Suard CAP-LVT

Annexes : - Situation en Suisse
         - Graphiques détaillés Monthey et Haut-Lac
         - Partenaires du projet

1Lien internet vers la page dédiée au projet   http://www.lvt.ch/CAP/communiquer/achats_tests.html   Page 13
Annexe 1 : Situation en Suisse

Des achats tests d’alcool sont réalisés en Suisse depuis 1998. En 2009, 4500 achats tests
d’alcool y ont été effectués. Passant d’une activité quasi confidentielle à une
implantation significative. La répartition géographique des tests recensés démontre une
présence particulièrement forte de ce concept en Suisse alémanique. Les cantons
romands, à l’image du Valais s’approprient depuis peu cette mesure structurelle.

La pratique Valaisanne en la matière a été jugée exemplaire par l’Institut Ferarihs,
organisme mandaté par l’OFSP (Office Fédérale de la Santé Publique) et la RFA (Régie
Fédérale des Alcools) pour recenser et promouvoir ce concept sur un plan Suisse
(Présentation du concept aux ateliers romands de Fribourg, Genève, et Lausanne).

Pour plus d’informations sur les achats tests d’alcool en Suisse : www.ferarihs.ch et
http://www.eav.admin.ch/themen/00593/index.html?lang=fr

             Annexe 2

Graphiques détaillés de la phase pilote Monthey et Haut-Lac

Graphiques détaillés de la phase pilote Monthey :

1Lien internet vers la page dédiée au projet   http://www.lvt.ch/CAP/communiquer/achats_tests.html   Page 14
Graphiques détaillés de la phase pilote Haut-Lac :

             Annexe 3 : Partenaires du projet Valaisan

 Un projet soutenu par GastroValais, la Régie Fédérale des Alcools, l’Association
 des Parents d’Elèves FRAPEV, Le CIPRET-Valais, Le Laboratoire Cantonal, Le
 Tribunal des Mineurs, la Police Cantonale, les Polices Municipales Valaisannes et
                                  les CAP-LVT

1Lien internet vers la page dédiée au projet   http://www.lvt.ch/CAP/communiquer/achats_tests.html   Page 15
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