Levée de vents contraires - 4e trimestre 2021 | Rothschild & Co Asset Management Europe - AFER

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Levée de vents contraires - 4e trimestre 2021 | Rothschild & Co Asset Management Europe - AFER
4e trimestre 2021 | Rothschild & Co Asset Management Europe

Note de conjoncture

Levée de vents contraires
Le dernier trimestre 2021 a confirmé le rebond très vif de l’économie sur l’année, et l’accélération
de l’inflation sur des niveaux nettement plus élevés qu’attendu. Les marchés ont montré davantage de
nervosité avec l’apparition du variant Omicron et le discours moins accommodant des banques centrales,
mais terminent la période, pour plusieurs d’entre eux, sur des plus hauts historiques.

                                                      de sa croissance de 5,5%(1). Il en est de même         Marc Terras
                                                      en Europe où les quelques mesures prises               Responsable
    En bref :
                                                                                                             de la Gestion Architecture Ouverte
                                                      (incitation au télétravail, couvre-feu,
    •C
      ertains indices actions atteignent                                                                    Rothschild & Co
                                                      pass vaccinal) n’ont pas engendré d’inflexion          Asset Management Europe
     des niveaux historiques
                                                      baissière sur la mobilité des personnes,
    • L es banques centrales commencent              et s’ajoutent à une couverture vaccinale qui,
      à anticiper leurs politiques                    aujourd’hui, limite fortement les risques
      de normalisation, notamment la Fed              de dérapage. Comme aux États-Unis, les prévisions
    •A
      ux États-Unis, la pression sur les niveaux     de croissance du consensus se sont améliorées
     de salaires tire l’inflation vers le haut        pour atteindre, au cours du trimestre, 2,9%
                                                      et de 5,3% sur l’année(1). L’Allemagne,
    •E
      n Chine, les réglementations
                                                      dont le secteur automobile reste très fragilisé
     gouvernementales freinent la reprise
                                                      par les perturbations dans la chaîne logistique,
    • L e nouveau variant Omicron n’engendre         a fortement pesé sur la performance annuelle
      pas de mesures sanitaires réellement            du Vieux Continent. La Chine a poursuivi
      pesantes sur l’économie                         son ralentissement avec un quatrième trimestre
    •A
      près la très forte accélération                à 3,5%(2) (annualisé, glissement annuel) qui reflète
     de croissance, le rythme d’expansion             l’orientation assumée du Parti communiste chinois
     devrait ralentir et l’inflation se tasser        vers un partage plus important de la richesse
                                                      générée par le pays. Cette réorientation,
                                                      tout à la fois économique et morale, l’a amené
                                                      à traiter le problème de la bulle immobilière
                                                      et à réglementer de nombreuses activités.
Au terme d’une année d’incertitudes
                                                      À la veille des Jeux Olympiques d’hiver, les mesures
principalement liées à l’efficacité des vaccins
                                                      également prises pour limiter l’épidémie
découverts et de leur diffusion,
                                                      ont pesées sur la demande. Face à ces vents
la croissance mondiale termine pourtant 2021
                                                      contraires, le Gouvernement et la Banque centrale
sur des niveaux supérieurs aux anticipations
                                                      ont perçu le danger et infléchi leur position
de début de période. Avec des ménages ayant
                                                      en fluidifiant l’accès au crédit.
bénéficiés d’une large redistribution de revenus,
et une politique monétaire toujours très              Si l’année passée a vu la question de l’inflation
accommodante, les États-Unis achèvent l’année         revenir au premier plan des préoccupations
sur une nette amélioration de l’emploi,               des investisseurs, le quatrième trimestre
tant au niveau du chômage que des gains               a levé quelques interrogations sur les réactions
salariaux. Ce dernier trimestre, anticipé à 5,4%(1)   de politiques monétaires qu’elle allait engendrer.
par le consensus, n’a que très partiellement          C’est principalement le cas aux États-Unis où,
été impacté par l’apparition du nouveau variant       avec des prix à la consommation au-dessus
Omicron. Si la plus forte contagiosité de cette       des 6,7%(3) sur un an, la Banque centrale
nouvelle souche se confirme jour après jour,          américaine a été amenée à revoir son scénario
l’état de connaissances sur sa dangerosité            inflationniste et revenir sur son hypothèse
ne semble pas devoir amener des mesures               de choc transitoire. Au terme de la reprise
sanitaires réellement pesantes sur l’économie,        des actifs en mars prochain, l’Institution devrait
qui devrait afficher une hausse annuelle              donc immédiatement procéder à une première

(1) Source : Consensus Forecast, décembre 2021.
(2) Source : Thomson Reuters, décembre 2021.
(3) Source : Bloomberg, décembre 2021.
hausse des taux, avant de mener d’autres                                         centrale américaine et de la sympathie
mouvements permettant d’atteindre les 75 pbs                                     qu’expriment, en général, les taux européens
sur l’année. La décision se justifie par une diffusion                           pour leurs homologues d’outre-Atlantique.
des hausses de prix non plus exclusivement                                       L’Iboxx Euro Souverain perd -0,5% durant la
aux marchés de l’énergie et de l’automobile,                                     période, tandis que l’indice d’emprunts Corporate
mais, d’une façon plus généralisée, aux salaires                                 finit le trimestre à -0,7%.
qui sont aujourd’hui portés par un pouvoir
                                                                                 Le pic prochain des contaminations
de négociation importants dans les secteurs
                                                                                 par le variant Omicron devrait replacer l’inflation
les plus touchés par la pandémie. En Europe,
                                                                                 au centre des débats. Avec un ralentissement
la situation sur le marché de l’emploi est différente,
                                                                                 progressif de la croissance, cette dernière
les tensions sur les prix sont cantonnées
                                                                                 devrait également diminuer avec la disparition
à l’énergie et restent dépendantes des tensions
                                                                                 des goulots d’étranglement dans les chaînes
géopolitiques avec la Russie. Dans ce cadre,
                                                                                 de production et d’approvisionnement,
la Banque centrale européenne peut se permettre
                                                                                 et permettre aux banques centrales de poursuivre
de rester patiente, et ne devrait que très
                                                                                 leur politique de normalisation sur un rythme
progressivement mettre un terme à son soutien
                                                                                 modéré et constructif pour les marchés d’actions.
monétaire en permettant au programme d’achats
                                                                                 L’inflation salariale devrait rester un sujet
d’actifs de compenser la fin du programme
                                                                                 de préoccupation principalement américain
d’urgence épidémique en mars prochain.
                                                                                 qui n’est, pour l’instant, pas excessif au regard
En dépit de la levée de ces vents contraires                                     des gains de productivité. La tendance
en fin d’année, les indices ont réalisé                                          sur les prochaines semaines devrait permettre
de belles progressions sur le trimestre(4).                                      aux actions cycliques et sous-valorisées(5)
Le S&P 500 progresse de plus de 11% en dollars                                   de surperformer l’ensemble du marché,
(13.,8% en euros), le Stoxx Europe 600 termine                                   notamment en Europe, favorisée par son retard
à 7,8% alors que les marchés asiatiques subissent                                dans le cycle mondial. Les valorisations asiatiques
le contre-coups de la réorientation économique                                   sur les valeurs de qualité seront un catalyseur
chinoise et finissent à -1,7% en yens pour le Topix                              attractif au terme de la phase de réformes menées
et à -2,1% pour le MSCI Emerging Markets                                         par les autorités chinoises.
en dollars. Sur les marchés obligataires,
la correction reste extrêmement limitée
compte tenu des déclarations de la Banque                                        Achevé de rédiger le 24 janvier 2022

(4) Source : Bloomberg, Indices dividendes réinvestis libellés en devises locales, 31/12/2021.
(5) Stratégie Value : On parle de stratégie “value” lorsque celle-ci recherche des sociétés sous-évaluées par le marché à un instant donné, c’est-à-dire
dont la valorisation boursière est inférieure à ce qu’elle devrait être au regard des résultats et de la valeur des actifs de l’entreprise. Les investisseurs
“value” sélectionnent des titres présentant des ratios cours/valeur comptable faibles ou des rendements de dividendes élevés.

Performances des indices nettes, calculées dividendes réinvestis

                                                                                        Cours au
 Actions                                                                Devise        31/12/2021             3 mois         2021            2020           1 an          3 ans    5 ans
 France (CAC 40)                                                         EUR           15 507,85             9,82%         31,07%          -5,57%         31,07%        59,96%   62,79%
 Europe (Stoxx Europe 600)                                                EUR           1 098,69             7,56%         24,91%          -1,99%         24,91%        55,25%   53,19%
 États-Unis (S&P 500)                                                     USD           8 760,59            10,91%         28,16%         17,75%          28,16%        97,24% 127,05%
 Japon (Topix)                                                             JPY          3 179,28            -1,69%         12,74%          7,39%          12,74%        43,01%   46,88%
 Pays émergents (MSCI Emerging Markets)                                   USD             608,27            -1,31%          -2,54%        18,31%          -2,54%        36,55%   60,14%
 Monde (MSCI World)                                                       USD           9 755,69             7,77%         21,82%         15,90%         21,82%         80,26% 101,41%
 Obligations
 Taux souverains (Markit IBoxx
                                                                          EUR             254,41            -0,52%          -3,45%         5,01%          -3,45%         8,20%   9,35%
 Euro Eurozone Sovereign Overall Total Return)
 Obligations d’entreprises (Markit IBoxx
                                                                          EUR             241,52            -0,68%          -1,08%         2,73%          -1,08%         8,01%   9,15%
 Euro Corporates Overall Total Return Index)
 Obligations à haut rendement
                                                                          EUR             213,63            -0,12%          3,18%          -9,47%         3,18%          0,33%   10,34%
 (Markit Iboxx EUR Liquid High Yield Index)
 Gestion alternative
 Toutes stratégies confondues
                                                                          EUR           1 103,62            -0,24%          2,65%          3,00%          2,65%          9,35%   1,93%
 (HFRX Global Hedge Fund EUR Index)
Sources : Bloomberg, Rothschild & Co Asset Management Europe, 31/12/2021.
Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures, et ne sont pas constantes dans le temps.

2 | Note de conjoncture | Rothschild & Co Asset Management Europe | 4e trimestre 2021
Nos choix d’investissement au 4e trimestre 2021
L’apparition du variant Omicron dans le courant du dernier trimestre et les incertitudes véhiculées autour de son taux de contagion
élevé ont questionné sur d’éventuels nouveaux blocages de l’économie, tandis que l’évocation par le Président de la Réserve Fédérale
Américaine(1) d’une inflation plus durable que prévu a posé les bases d’une remise en cause plus rapide qu’attendu de la politique
et du soutien monétaires de l’Institution américaine. Dans ce cadre, nous avons décidé de neutraliser une part importante
du risque, afin d’être en mesure d’apprécier plus précisément l’ampleur des mesures de protection sanitaire qui pourraient être prises
et d’appréhender la réaction des marchés obligataires face au revirement dans la stratégie de la Banque centrale américaine.
Le poids des actions a été réduit d’environ 5 points pour atteindre 33% du portefeuille en fin de période. Au fil du trimestre
et au gré de plusieurs mouvements tactiques de couverture, nous avons concentré la poche actions sur des valeurs sous-valorisés
européennes, principalement cycliques(2), considérant que l’intérêt des investisseurs allait nettement moins se porter
sur les thématiques “sanitaires” au début de l’année 2022. Sur la partie obligataire, nous avons conservé une diversification
visant à limiter la volatilité(3) du portefeuille, et avons pris des profits sur les breakeven d’inflation(4) lorsque le marché
a semblé apprécier la prise de conscience des banques centrales sur le côté plus durable de l’augmentation des prix et sa capacité
à contenir les pressions inflationnistes.

(1) Fed : La Réserve fédérale est la banque centrale des États-Unis. Son appellation d’origine est Federal Reserve System, souvent abrégée en Fed.
(2) Valeurs cycliques : Les valeurs cycliques sont fortement corrélées aux cycles de la conjoncture économique. Elles profitent donc fortement des périodes de reprise et d’expansion mais sont également
     les premières impactées par un ralentissement économique.
(3) Volatilité : Mesure de l’amplitude des variations du cours d’un actif financier.
(4) Breakeven d’inflation : Le point mort d’inflation est le niveau d’inflation qui équilibre les rendements des obligations nominales et des obligations indexées sur l’inflation.

                                                                                                                                                                      Cumulées depuis création
 Performances au 31/12/2021                                                    2021                            2020                           2019
                                                                                                                                                                          (21/12/2018)
 Afer Premium R EUR                                                            6,42%                          8,56%                           4,97%                               21,29%
 Source : Rothschild & Co Asset Management Europe, 31/12/2021.
 Les chiffres cités ont trait aux années écoulées. Les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures, et ne sont pas constantes dans le temps. Principal risque
 pour l’investisseur : risque de perte en capital. Le calcul des performances présentées tient compte de l’ensemble des frais et commissions (hors frais du contrat d’assurance vie et de fiscalité),
 dividendes réinvestis.

3 | Note de conjoncture | Rothschild & Co Asset Management Europe | 4e trimestre 2021
Nos orientations de gestion pour le 1er trimestre 2022

                                                        Degré d’exposition global aux actifs risqués
                                                        La diminution de l’exposition aux actifs risqués réalisée au cours du dernier trimestre 2021
                                                        ne remet pas en cause notre point de vue plutôt constructif pour les prochains mois.
                                                        La croissance économique mondiale devrait aussi logiquement que progressivement ralentir,
                                                        et apaiser les tensions sur les chaînes de production, sur les prix des biens et sur l’énergie.
                                                        Alors que l’Europe est épargnée par le manque de main d’œuvre, eu égard à la protection de l’emploi
                                                        dont les salariés européens ont profité durant les phases de confinement, les travailleurs américains
         -                                  +           sont en revanche dans une position favorable pour renégocier les salaires. Il restera primordial
                                                        d’avoir une idée précise de la façon dont la Fed est capable de maîtriser ces tensions avant de prendre
                                                        des positions plus marquées, même si les chiffres actuels montrent que les gains de productivité
                                                        des sociétés américaines permettent encore d’absorber ces augmentations. Sauf dérapage,
                                                        les banques centrales pourront poursuivre leur phase de normalisation monétaire ou de soutien
                                                        sans créer de perturbations sur les marchés. Nous resterons, en ce début d’année, également attentifs
                                                        aux risques géopolitiques.

Positionnement
                                         Actions
                                         La légère prise de bénéfices effectuée en fin de trimestre n’atténue pas notre préférence pour la Zone euro
                                         qui dispose du plus fort potentiel relatif de progression, grâce notamment à sa composition cyclique
                                         et à sa sous-valorisation relative. Au terme des réformes économiques et sociales dans lesquelles s’est engagée
                                         le pays, le potentiel de progression de la Chine nous semble attractif et, dans son sillage, celui de l’ensemble
    -                         +          de la zone asiatique. La Russie, compte tenu de sa sensibilité au pétrole nous semble également être une bonne
                                         couverture face aux tensions inflationnistes actuelles. Une poursuite de la correction liée aux tensions géopolitiques
                                         avec l’Europe et les États-Unis sur le dossier ukrainien pourrait être une belle opportunité d’investissement.

                                                     États-Unis                                  Europe                                    Japon                            Marchés émergents

                                         Taux
                                         En dépit des tensions observées sur les taux américains, la valorisation relative des taux souverains
                                         nous éloigne de la classe d’actifs.

   -                         +
                                                     États-Unis                                  Europe                            Marchés émergents

                                         Crédit
                                         Le crédit d’entreprise est peu rémunérateur et une sélection sur les durations courtes doit être privilégiée.
                                         Le haut rendement(1)conserve un intérêt relatif tandis que les obligations convertibles(2) font l’objet d’allègements
                                         en ce début d’année. Les breakevens(3) d’inflation et la dette financière conservent notre préférence.
    -                         +
                                                Investment Grade(4)                        Haut rendement(1)

                                         Actifs réels
                                         Les positions sur le gaz et le pétrole sont conservées et devraient profiter à la fois des tensions géopolitiques
                                         entre la Russie et l’Europe au sujet de l’Ukraine et d’une tension persistante de la demande mondiale de pétrole.

    -                         +
                                                          Or                          Autres matières premières

(1) High Yield : Les obligations “High Yield” (ou à haut rendement) sont émises par des entreprises ou États présentant un risque crédit élevé. Leur notation financière est inférieure à BBB-
     selon l’échelle de Standard & Poor’s.
(2) Obligation convertible : Une obligation convertible, aussi connue sous le nom de « convertible bond », est une obligation à laquelle est attaché un droit de conversion. Celui-ci permet au détenteur
     de l’obligation émise par une entreprise de la transformer, sous certaines conditions, en actions de cette même entreprise émettrice.
(3) Break even d’inflation : Le point mort d’inflation est le niveau d’inflation qui équilibre les rendements des obligations nominales et des obligations indexées sur l’inflation.
(4) Investment Grade : Titre de créance émis par des entreprises ou États dont la notation est comprise entre AAA et BBB- selon l’échelle de Standard & Poor’s.

4 | Note de conjoncture | Rothschild & Co Asset Management Europe | 4e trimestre 2021
Avertissements
Afer Premium : Cette SICAV pourrait ne pas convenir aux investisseurs qui prévoient de retirer leur apport moins de 8 ans après leur investissement. Le niveau de
risque de cette SICAV est de 4 (volatilité comprise entre 5% et 10%) sur une échelle allant de 1 à 7 et reflète principalement une politique de gestion discrétionnaire
sur les marchés d’actions et de produits de taux. Les données historiques utilisées pour le calcul de cet indicateur synthétique pourraient ne pas constituer une
indication fiable du profil de risque futur de la SICAV. La catégorie de risque associée à la SICAV n’est pas garantie et pourra évoluer dans le temps à la hausse
comme à la baisse. La catégorie la plus faible ne signifie pas sans risque. La SICAV n’est pas garantie en capital. Autres facteurs de risque importants, non pris
en compte de manière adéquate par l’indicateur : risque de contrepartie (risque de défaut d’une contrepartie à une opération de gré à gré (swap, pension). Ces
risques peuvent impacter négativement la valeur liquidative de la SICAV), risque de crédit (risque de dégradation de la qualité du crédit ou risque de défaut d’un
émetteur pouvant impacter négativement le prix des actifs en portefeuille), risque de liquidité (risque lié à la faible liquidité des marchés sous-jacents, qui les rend
sensibles à des mouvements significatifs de souscription/rachat), impact des techniques telles que des produits dérivés (l’utilisation des produits dérivés peut
amplifier l’impact des effets de mouvement de marché du portefeuille). La survenance de l’un de ces risques pourra entraîner une baisse de la valeur liquidative
de la SICAV. Pour de plus amples informations sur le profil de risque et ses principaux contributeurs, merci de vous référer au prospectus.
Document à caractère non publicitaire, simplifié et non contractuel. Information ne constituant ni un conseil ni une recommandation en investissement, ni une
sollicitation d’achat ou de vente. Rothschild & Co Asset Management Europe ne saurait être tenu responsable d’aucune décision prise sur le fondement des
éléments contenus dans ce document ou inspirée par eux (reproduction totale ou partielle interdite sauf accord préalable de Rothschild & Co Asset Management
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fiables mais dont l’exactitude ou l’exhaustivité ne sont pas garanties. Rothschild & Co Asset Management Europe n’a pas procédé à une vérification indépendante
des informations contenues dans ce document et ne saurait donc être responsable de toute erreur ou omission, ni de l’interprétation des informations contenues
dans ce document. La présente analyse n’est valable qu’au moment de la rédaction du présent rapport. Les chiffres cités ont trait aux années ou aux mois
écoulés et les performances passées ne sont pas un indicateur fiable des performances futures. Les caractéristiques principales de la SICAV Afer Premium
sont mentionnés dans sa documentation juridique, disponible sur le site de l’AMF et le site www.am.eu.rothschildandco.com ou sur simple demande au siège
social de la société de gestion. La documentation juridique vous est remise avant toute souscription à un fonds. Cette SICAV est gérée par Rothschild & Co Asset
Management Europe. Investir implique des risques : les valeurs des parts ou actions des OPC sont soumises aux fluctuations du marché, les investissements
réalisés peuvent donc varier tant à la baisse qu’à la hausse. Par conséquent, les souscripteurs des OPC peuvent perdre tout ou partie de leur capital investi. Il
appartient à toute personne intéressée par les OPC, préalablement à toute souscription, de s’assurer de la compatibilité de cette souscription avec les lois dont
elle relève ainsi que des conséquences fiscales d’un tel investissement et de prendre connaissance des documents règlementaires en vigueur de chaque OPC.
Les analyses présentées reposent sur des hypothèses et des anticipations, faites au moment l’élaboration de la communication qui peuvent être totalement ou
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sous quatre marques fortes : Conviction, Valor, Thematic et 4Change, et bénéficiant de nos expertises de long terme en gestion active et de conviction ainsi
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