REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv

La page est créée Cédric Didier
 
CONTINUER À LIRE
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
Service de presse

    REVUE DE PRESSE
ET DES RESEAUX SOCIAUX
     ˂˂ Outre-mer ˃˃
Mercredi 26 décembre 2018

                1
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
A LA UNE

 HOPITAL, DECES;
Pages, 6, 19 à 20.
Paris, la famille de Micheline, originaire de la Martinique,
décédée à l’hôpital Lariboisière veut connaître la vérité.

 MISS FRANCE;
Pages, 30 à 33.
Polynésie, les polynésiens se sont déplacés en masse pour
accueillir Vaimalama Chaves, Miss France 2019 et
immortaliser cet instant qui était attendu depuis 20 ans.

 IMMIGRATION;
Pages, 35 à 36.
La Réunion, demande d’asile, Solidarité Réunionnaise presse
l’Etat à agir rapidement.

                                2
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
Vu sur les réseaux sociaux   Mercredi 26 décembre 2018

                        3
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
4
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
L’OUTRE-MER
DANS LA PRESSE
MÉTROPOLITAINE

      5
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
Le Parisien

     6
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
L’OUTRE-MER
DANS LA PRESSE
   LOCALE

      7
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
LES UNES DE LA PRESSE LOCALE

             8
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
LES UNES DE LA PRESSE LOCALE

             9
REVUE DE PRESSE ET DES RESEAUX SOCIAUX - Mercredi 26 décembre 2018 Outre-mer - Mayotte.gouv
GUADELOUPE

    10
11
GUYANE

  12
25/12/2018

Guyane: Le sous-préfet du Saint-Laurent du Maroni active une cellule de
coordination pour lutter contre les suicides

Préfecture de Saint Laurent du Maroni © DR

Après 4 suicides de jeunes en 3 mois, le sous-préfet du Saint-Laurent du Maroni a annoncé la création d’une
cellule de coordination pour lutter contre le suicide de personnes vivant dans des communes enclavées de
Guyane. «C’est une cellule d’amélioration des conditions de vie matérielles des jeunes amérindiens mais plus
largement de tous les habitants de toutes les populations qui se trouvent sur des sites isolés qui n’ont pas accès à
la route…» a précisé le sous-préfét Frédéric Bouteille à Guyane la 1ere.
Cette nouvelle cellule a notamment comme première action renforcé le nombre de praticiens hospitaliers,
d’infirmiers et de travailleurs sociaux.
D’autres actions pour améliorer les conditions de vie de ces habitants seront prochainement mises en place en
partenariat avec les associations, les travailleurs ou encore le les hôpitaux de Cayenne et de l’Ouest Guyanais.

                                                        13
lareleveetlapeste.fr

Vague de suicides en Guyane : « L’or, on ne le mangera pas. Le pétrole, on ne le boira
pas »
Face à ces décès tragiques, certains guyanais ont décidé de se battre pour empêcher que d’autres morts adviennent, et
préserver leur territoire, leur culture et leur environnement. Les peuples autochtones luttent aujourd’hui activement
contre l’implantation du projet Montagne d’Or et se sentent menacés par le projet de forage de Total.

- Laurie Debove

Une nouvelle vague de suicides a eu lieu en Guyane. Ce phénomène dramatique a lieu depuis bientôt 20
ans. Les populations amérindiennes ont un taux de suicide, notamment parmi les jeunes, 25 fois plus
grand que dans l’Hexagone. La raison de leur mal-être : l’empoisonnement et la dégradation de leur
environnement, et le mépris du gouvernement à leur égard. Ils luttent aujourd’hui pour leur survie,
contre le projet Montagne d’Or.

Des suicides depuis 20 ans

En un mois, trois amérindiens se sont suicidés à Maripasoula, commune isolée de l’ouest guyanais. Un jeune
homme de 20 ans, une lycéenne de 16 ans et la fille du chef suprême des Wayana, âgée de 43 ans, se sont
pendus, selon les informations recueillies auprès de proches des victimes. Cela fait bientôt 20 ans que les
populations autochtones guyanaises souffrent d’un mal-être profond, victimes des excès de la mondialisation.
2011 et 2015 avaient été des années marquées par des vagues de suicide si importantes que la Préfecture de
Guyane avait mis en place des cellules de crise.

                                                         14
lareleveetlapeste.fr

En 2012, Brigitte Wyngaard du village Arawak dénonçait la violence subie par le peuple autochtone
guyanais :

« Les amérindiens de la Guyane ont été oubliés dans leurs forêts. On a méprisé leur culture. On les a tenus à
l’écart des échanges et du progrès. On les a subordonnés, précarisés, infantilisés. On a livré leurs espaces de
vie aux orpailleurs du Brésil ou du Surinam. On les a empoisonnés. Il n’y a pas lieu de s’étonner que ceux qui
doivent mendier à la République l’eau potable, l’électricité et le téléphone, comme tant d’autres services
publics soient accablés et désemparés. »

En décembre 2016, un rapport parlementaire avait ainsi proposé 37 mesures pour « enrayer ces drames et créer
les conditions d’un mieux-être ». Deux ans plus tard, les conditions de vie des peuples autochtones guyanais
se sont encore plus dégradées, notamment à cause de l’exploitation aurifère qui pollue énormément
l’environnement et les cours d’eau dont dépendent les populations.

« On ne fait pas le centième de ce qui est à faire » pour prévenir les suicides chez les Amérindiens de
Guyane, a regretté Marianne Pradem, coordinatrice de la cellule régionale contre les suicides.

« Les gens parlent beaucoup de sacrifices. Ces jeunes qui meurent ne peuvent pas faire la guerre contre
quelque chose de trop puissant qui est en train de manger (…) leur territoire, leur spiritualité, leurs modes de
vie », a ajouté Marianne Pradem, également docteure en anthropologie.

Une lutte pour leur territoire et leur vie

Face à ces décès tragiques, certains guyanais ont décidé de se battre pour empêcher que d’autres morts
adviennent, et préserver leur territoire, leur culture et leur environnement. Les peuples autochtones luttent
aujourd’hui activement contre l’implantation du projet Montagne d’Or et se sentent menacés par le projet de
forage de Total. Ils appellent à favoriser l’emploi local et créer une banque de graines d’espèces locales et
endémiques pour re-végétaliser les sites victimes d’orpaillages illégaux.

Lors des auditions finales du débat public sur le projet Montage d’Or, Amandine Mawalum Galima, porte
parole de Jeunesse Autochtone de Guyane avait déclaré :

« En ce jour nous osons mettre au défi, à travers la Montagne d’Or, ce monde dirigé et animé par l’avidité de
richesses et de pouvoir, ce monde déserté de respect et d’honneur.. Dans la lignée de nos ancêtres, nous nous
battrons contre ceux qui traversent les océans pour ne mener que désespoir et destruction. »

Fabio, jeune guyanais, et tous les Améridiens de Guyane sont prêts à se battre jusqu’au bout contre le
projet de la Montagne d’Or. Comme ils l’ont déclaré dans un communiqué : « Nous, Peuples Autochtones
de Guyane, vous transmettons ce message : si la Montagne d’or ne recule pas nous allons droit vers
l’affrontement, et c’est vous qui l’aurez décidé. Les Peuples Premiers de Guyane ne se laisseront plus jamais
faire. »

                                                       15
16
MARTINIQUE

    17
18
19
24/12/2018

Décès de Micheline Myrtil à l'hôpital Lariboisière : sa soeur témoigne

Le décès brutal de Micheline Myrtil la semaine dernière à l'hôpital Lariboisière à Paris après 12 heures
d'attente, provoque colère et questionnement dans sa famille en Martinique. Sa soeur veut comprendre ce qui
                                         s’est passé.

                                              © Martinique la 1ère Michelin Myrtil est morte sur un brancard à l'hôpital
                                              Lariboisière à Paris.

                                                     Franck Edmond-Mariette - Peggy Pinel-Féréol

                                              Marie-Rose Rosiette ne comprend ce qui s’est passé. Elle ne savait pas sa
                                              soeur Micheline Myrtil malade. Pourtant mardi dernier (18 décembre 2018),
elle reçoit l'appel d'un médecin de l'hôpital Lariboisière à Paris.

"Il m'a dit que ma soeur est entrée en urgence. Alors j'ai demandé si elle est malade. Il ne voulait pas répondre
et puis il m'a dit qu'elle est décédée. C'est tout ce qu'il m'a dit, tout ce que j'ai pu entendre parce qu'après j'ai
donné le téléphone à mon mari parce que j'étais trop affolée. (...)Je ne pouvais pas écouter le reste", raconte-t-
elle avec l'émotion de circonstance.

La famille exige des explications

Voisins et amis manifestent leur soutien en rendant visite à la famille qui réside dans le bourg du Vauclin en Martinique.
Dans l'attente des résultats de l'autopsie du corps qui a été réalisée au Quai de la Rapé à Paris, la famille a pris l'attache
d'un avocat afin de déterminer les circonstances précises du décès de Micheline Myrtil.

Micheline Myrtil était employée au service sécurité de la mairie de Paris. Elle est morte dans des circonstances
troublantes lundi 17 décembre 2018. Souffrant de maux de tête et fiévreuse, elle prévient d'abord ses collègues puis se
rend à une clinique non loin de son domicile dans le 10e arrondissement de Paris dans le but de consulter son
médecin traitant. Constatant sa température très élevée (40°), elle est aussitôt transférée par les pompiers de Paris à
l'hôpital de Lariboisière. Selon les premiers éléments de l'enquête, il semblerait qu'elle aurait été placée aux urgences
sur un brancard dès son arrivée à 18h45. Elle aurait été appelée à deux reprises sans succès.

"Elle aurait été appelée aux environs de 1h20 du matin (lundi soir) sans réponse. Donc elle a été considérée
comme fugueuse dans un premier temps puis malheureusement son corps a été retrouvé dans la salle d'attente
des urgences aux environs de 6h20 du matin", précise un membre du syndicat de l’hôpital.

Les vidéos de surveillance de l'hôpital récupérées par la police, prouvent qu'elle n'a jamais quitté l'hôpital. Une enquête
interne a également été diligentée par l'établissement.

                                                              20
24/12/2018

Patrimoine mondial de l'UNESCO : la candidature de la Martinique n'a pas été "contrariée"

Laliwonday

    Contrairement à ce qui a été dit sur "MARTINIQUE 1è", la candidature de la Martinique s'agissant de
l'inscription de la Montagne Pelée et des Pitons du Carbet au Patrimoine Mondial de l'UNESCO n'a pas
été "contrariée".

   En effet, dans la plupart des pays, plusieurs projets se retrouvent en concurrence et c'est le gouvernement de
chaque pays qui choisit in fine lequel lui semble avoir le plus de chances d'être retenu. S'agissant donc de la
France, trois projets sont en lice : le Phare du Cordouan (dans l'estuaire de la Gironde) qui a déjà été candidat
une première fois et qui a été recalé ; la Montagne Pelée et les Pitons du Carbet ; la Maison Carrée de Nîmes.
Les promoteurs de chacun de ces trois projets font__chose tout à fait normale__du lobbying pour que ce soit
leur projet qui soit choisi.

  S'agissant du lobbying martiniquais, une fois n'est pas coutume, on a vu prévaloir l'intérêt supérieur du
pays (notion courante en Guadeloupe et en Guyane, mais apparemment inconnue en Martinique où, par
exemple, on a vu dernièrement des parlementaires sacrifier le Pôle Martinique de l'Université des Antilles pour
de basses raisons politiciennes). C'est ainsi qu'une pétition de 100 personnalités martiniquaises d'horizons fort
différents a été signée en faveur de la Montagne Pelée et des Pitons du Carbet : Patrick CHAMOISEAU
(écrivain), Bernard HAYOT (chef d'entreprise), Victor ANICET (plasticien), Lucien JEAN-BAPTISTE
(cinéaste), SAEL (chanteur), Jean-Charles BREDAS (arts culinaires), Jean-Claude WILLIAM (universitaire et
ancien président de l'UAG), Dédé SAIINT-PRIX (musicien), Corinne MENCE-CASTER (universitaire et
écrivain), Harry ROSELMACK (journaliste), Nicolas ANELKA (sportif) ou encore Thierry LAUZEA (chef
d'entreprise).

                                                       21
MAYOTTE

   22
Le Journal de Mayotte
                                                   24/12/2018

Lancement d’une consultation sur France Ô

Une consultation en ligne sur la visibilité dans l’audiovisuel public a été lancée le 20 décembre par le Sénat.

                                                                 L'actuel portail de France Ô sur france.tv

                                                                 Le 19 juillet dernier, le Premier ministre
                                                                 Édouard Philippe et l’ex-ministre de la Culture
                                                                 Françoise Nyssen ont annoncé la fin de la
                                                                 diffusion sur la TNT de la chaîne consacrée à
                                                                 l’outre-mer français et à la diversité culturelle.

                                                                 Un portail numérique dédié aux outre-mer
devrait reprendre sa mission*.

L’annonce avait provoqué de vives inquiétudes, une pétition pour le maintien de la chaîne avait alors été lancée
pour contrer cette « atteinte à la mission essentielle du service public : la continuité territoriale : assurer la
visibilité dans l’hexagone des réalités des Outre-mer. Ce serait un écran noir apposé sur l’existence de tous les
originaires des Outre-Mer », précise le texte signé par plus de 60 000 personnes.

« Dans ce contexte, la Délégation sénatoriale aux outre-mer a décidé en octobre 2018 de mener une étude sur la
question de la représentation et de la visibilité des outre-mer dans l’audiovisuel public national. M. Maurice
Antiste (SOCR – Martinique) et Mme Jocelyne Guidez (UC – Essonne) ont été nommés rapporteurs sur ce
sujet. », précise le communiqué du Sénat.

Extrait de la consultation

La consultation s’adresse à tous pour recueillir un maximum d’avis, que l’on soit en outre-mer, en métropole ou
encore à l’étranger.

« Les deux rapporteurs, qui ont commencé l’instruction de ce dossier, précisent que la délégation sénatoriale
souhaite, avec ses travaux, éclairer ce débat de manière apaisée et traiter ce sujet avec la rigueur qu’il mérite.

L’enquête est disponible sur internet : http://senat.limequery.org/715487?lang=fr

Les travaux de la délégation en réunions plénières sur ce sujet s’ouvriront le 17 janvier 2019 par l’audition du
ministre de la Culture, M. Franck Riester, le programme des auditions et le suivi des travaux étant à suivre sur
le site de la délégation. »

* Sa mission est définie par le cahier des charges de France Télévisions, fixé par le décret no 2009-796 du 23
juin 2009.

« Chaîne de la mixité et de la diversité culturelle, France Ô offre une vitrine de choix à toutes les composantes
qui participent de l’identité de la communauté nationale, en particulier aux populations ultra-marines. L’accent
est notamment porté sur les magazines, le débat citoyen et les spectacles vivants. »

                                                        23
NOUVELLE-CALÉDONIE

        24
25
26
27
28
POLYNÉSIE

    29
30
31
32
33
LA RÉUNION

    34
35
36
25/12/2018

Quand Annette torpille le tourisme à la Réunion sur
France Info

Ce n'est pas tous les jours qu'un homme politique réunionnais a la chance de passer sur France Info pour parler
de notre ile.

C'est cette opportunité qu'a eue Gilbert Annette ce matin à 9h45 (heure de la Réunion). Et bien sûr, comme
toujours sur France Info, cette interview sera probablement rediffusée plusieurs fois dans la journée.

Juste avant qu'il n'intervienne, la radio avait diffusé un reportage sur des Gilets jaunes qui avaient fêté Noël sur
les barrages en métropole.

Le journaliste introduit Gilbert Annette en rappelant que la Réunion a été beaucoup plus touchée que la
métropole et lui demande si, à la Réunion aussi, des Gilets jaunes ont réveillonné sur les barrages. Réponse
surprenante du maire de Saint-Denis : "Sans doute"...

Ah bon? Il y a encore des barrages à la Réunion? Première nouvelle !

Et plusieurs fois au cours de l'interview, Gilbert Annette n'a eu de cesse de répéter que la tension était encore
très forte à la Réunion, ce qui incite les touristes à fuir notre ile.

A quoi joue le maire de Saint-Denis? Il trouve que le tourisme n'est pas assez sinistré et qu'il faut encore en
rajouter une couche, quitte à faire croire aux touristes métropolitains que la Réunion est encore totalement
bloquée par les barrages et que c'est une destination à fuir???

Pierrot Dupuy

                                                         37
Vous pouvez aussi lire