"No rest for Lady Dragon" - CIRQUE HYBRIDE ET MUSIQUE LIVE Une création 2020/21 de la Cie L'Indécente - Jimdo
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“No rest for Lady Dragon” CIRQUE HYBRIDE ET MUSIQUE LIVE Une création 2020/21 de la Cie L’Indécente Camille Chatelain, Léonard Kahn Production : Camille Fukas / cielindecente@gmail.com
“No rest for Lady Dragon” CRÉATION 2021 / Cirque hybride et musique live Spectacle d’1 heure en salle. DE Camille Chatelain & Léonard Kahn AVEC Camille Chatelain / vélo acrobatique, chant Léonard Kahn / comédien, auteur Sarah Devaux / artiste aérienne Jean Charles Doublet / guitares, saxophones, chant EQUIPE TECHNIQUE Son : Grégory Adoir Lumière : Vincent Griffaut DRAMATURGIE & DIRECTION D’ACTEUR Jéremie Bergerac CONSEIL ÉCRITURE & DRAMATURGIE CIRCASSIENNE Jean Michel Guy AIDE & CONSEIL CONCEPTION AGRÈS Jacques Girier & Valérie Dubourg CHARGÉE DE PRODUCTION Camille Fukas PARTENAIRES NOUS SOMMES ENCORE À LA RECHERCHE DE RÉSIDENCES, PARTENAIRES FINANCIERS, COPRODUCTIONS ET PRÉ ACHATS P.2
“No rest for Lady Dragon” « No rest for Lady Dragon » C'est réunir l'écriture d'une femme et d'un homme autour du féminisme et de la domination masculine. C'est soutenir que le patriarcat impacte tout le monde, surtout les femmes. Qu'il tue les femmes, que des hommes tuent des femmes. C'est pourtant ne pas s'opposer. Ne pas accuser tous les hommes. Tenter de déconstruire nos propres réflexes misogynes. C’est une prise de position. C’est affirmer la force de la fiction. L'histoire de Lady Dragon, la découverte de sa puissance. Défendre sa colère. Mêler poésie et politique. Pouvoir s’exprimer avec humour. Donner la parole aux corps et à la musique. Être optimiste et fragile. Ne plus être muet. Ne plus être passif. C'est un cirque hybride, exubérant et fantastique. crédit photo Pierre Barbier P.3
“No rest for Lady Dragon” Introduction «Au plus profond de mon être : une forêt, un micro, une sorcière. Je chante. Ma voix se mêle aux bruissements des arbres. Pourtant la paix ne dure jamais longtemps. Lueurs de bûchers. Corps suspendus au plafond. Un homme sans mémoire guette mes faiblesses. Je dois me battre, relancer le mouvement. Déployer ma puissance.» Lady Dragon crédit photo Pierre Barbier P.4
“No rest for Lady Dragon” Synopsis « Ma colère m'a été douloureuse, mais elle m'a aussi permis de survivre ; et avant de m'en défaire, je vais m'assurer que sur le chemin de la clarté, il existe au moins quelque chose d'aussi puissant pour la remplacer.» Audre Lorde Quelque chose s'en prend à Lady Dragon. L'agitation du monde peut être. Ou bien sa complexité. Alors le temps d'un instant, Lady Dragon se replie sur elle même. Nous sommes dès lors dans son univers intime. À vélo elle se ballade dans les bois de son for intérieur. Un univers habité d’êtres vivants que son esprit convoque à loisir. Une sorcière, suspendue aux lianes d'un plafond végétal, tente de lui transmettre son histoire. L'histoire des bûchers, de l’oppression des femmes. Mais Lady Dragon n'écoute pas. Il est encore trop tôt. Elle chante. Mais sa voix est étouffée. On ne lui assigne pas la bonne place. Ce sont d'autres qui prennent les devants. Ainsi, même dans cet univers qu'elle souhaite délicat et protecteur, des brèches se forment et les agressions du monde extérieur s'y infiltrent. Un homme ne cesse de l'assaillir, de l’épier, de la rabaisser. Il est l'incarnation du machisme quotidien. Bien pensant et sûr de lui il est un parasite que l'on ne peut déloger. Au terme d’une lutte acharnée contre ce qui entrave sa liberté, ou contre elle-même, elle parvient à prendre le dessus, à dominer ce qui la dominait, dans une joie exubérante, dans une toute puissance. Pourtant elle ne devra sa libération provisoire qu'à l’acceptation de la fragilité et de la précarité des relations qu'elle construit au quotidien. «No Rest for Lady Dragon» est un voyage vers une humanité positive, politique et poétique. C'est l'histoire d'une femme qui affronte la domination masculine. Un combat électrisant et jubilatoire contre l'oppression entre cirque contemporain, théâtre et musique live. P.5
“No rest for Lady Dragon” Cirque Notre approche du cirque n’est pas dans un souci de prouesse mais dans une démarche de l’organique, du mouvement, du sens, de la narration. C’est un cirque trituré, déconstruit, reformé et hybride. Où réside ma force ? Ma puissance ? Mon histoire ? Est-elle dans les mots que je formule, dans les souvenirs qui m'habitent, ou logée plus profondément en moi ? Retrouver la puissance pour Lady Dragon c'est retrouver la pleine possession de son corps, de ses mouvements, de sa liberté. Se débarrasser des injonctions pour recréer son propre langage. Le vélo devient alors une ballade métaphysique. Lady Dragon peut décider de s’enfoncer dans les bois, de se perdre, de se cacher, de s’enfuir, de s’isoler, de retrouver ses sœurs, de se reposer. Les cercles la font inlassablement revenir sur ses pas. Elle n’avance pas. Elle tourne en rond. Mais alors le cercle se brise, se reforme, se ré-apprivoise. Lady Dragon ne tourne plus en rond. Elle décide de la courbe, s'en va rejoindre ce qui lui plaît. Cet objet qui la brimait devient un outil de son émancipation, un mouvement de vie, une danse, un partenaire qu’elle dompte pour s’élancer sans crainte dans les bois. Plus haut, au plafond, c'est une sorcière entremêlée de lianes qui tente de capter l'attention de Lady Dragon. Elle se meut lentement, tente de se défaire de ses noeuds, de ses entraves, se suspend et observe le monde au sol. Un espace aérien qui tend à déployer son histoire, à illuminer le ciel. C'est une main tendue à Lady Dragon. Une invitation à fusionner verticalité et horizontalité. À créer un nouvel espace de liberté où l'on peut déployer sa force, où les cordes et les corps se mêlent, s’entraident, se portent dans un élan de sororité. P.6
“No rest for Lady Dragon” Théâtralité Parole coupée, effacée, étouffée. Lady Dragon voudrait parler mais l’homme multi-homme l'en empêche. Il est pourtant d'une allure avenante, sympathique et banale. Quelque chose en lui nous semble anachronique. Il ne vient pas de ce monde. Il est un parasite extérieur, indésirable, incarnation de la domination masculine. L’homme multi-homme a une spécificité : il n'use d'aucune violence physique. Il est un torrent de mots, de théories, de consternations, de compliments déplacés. Dépourvu de mémoire, il ne vous en voudra pas de l'avoir tué. Il reviendra à la charge, toujours le même, aussi calme que précédemment. L’homme multi-homme a les clefs de l'imaginaire de Lady Dragon. Il peut s'y inviter à sa guise. Sexiste, misogyne, paternaliste et viriliste : il est un personnage malveillant, absurde et ridicule. Il crée à lui seul une véritable asymétrie de la répartition de la parole. Asymétrie qui se retournera contre lui. Lady Dragon trouvera son exutoire. crédit photo Pierre Barbier P.7
“No rest for Lady Dragon” Musique Pendant que les bois s'éveillent et que Lady Dragon s'y enfonce, une silhouette au loin se dessine. Un homme joue de la musique, pince les cordes de sa guitare. Ses élans accompagnent le sentiment que nous sommes dans un monde irréel. Lentement les bois s'effacent, la musique s'étiole, l'homme change d'instrument. Une cabane et la faible lumière qu'elle dégage. Le souffle d’un saxophone nous envoûte, se déploie tel un charme, un chant magique. Au travers du cuivre des effluves de sorcellerie nous parviennent. Lady Dragon rejoint l'homme. La cabane se déforme à son tour. C'est un concert ou bien la répétition qui le précède. Le saxophone s’impose puis l’homme s’en défait et nous révèle sa voix. Il déborde sur le chant de Lady Dragon. Lady Dragon recule. La musique est utilisée à des fins différentes tel un jeu d’orgues. Elle souligne les glissements d'un monde vers l’autre. Elle se rebelle soudain. Ce n'est plus de l'accompagnent mais un moment de concert volé. No Rest For Lady Dragon c'est aussi le titre de la chanson émancipatrice de Lady Dragon, du déploiement de sa puissance. Mais rien ne se suffit pourtant jamais à lui-même. Chaque combat en cache un autre. Alors la musique toujours souffle de plus en plus fort. crédit photo Pierre Barbier P.8
“No rest for Lady Dragon” Lumière Lady Dragon rêve. Les univers qu'elle dessine sont multiples. Une forêt et le scintillement argenté du soleil qui filtre aux travers des branches. Les ombres vacillantes que la lumière d'une chaumière dessine sur ses murs. Les néons d'une salle de concert vide. Un grand brasier au loin et ses reflets rouges qui semble se rapprocher jusqu'à nous consumer. Ses univers se suivent, se touchent puis se mélangent. Une forêt s'invite dans une salle de concert le temps d'une respiration entre deux chansons. Une discussion banale se teinte de rouge. Les repères de Lady Dragon se brouillent, ainsi que les nôtres. crédit photo Pierre Barbier P.9
“No rest for Lady Dragon” Scénographie Nous sommes dans l’imaginaire de Lady Dragon. La scénographie est minimaliste. Un pied de micro, une structure aérienne et quelques pédales de guitare. Le plateau est comme nu, excepté ce plafond de cordes entremêlées. Un espace mental qui, teinté de lumière et baigné de son, se mue en de multiples lieux. Nous apercevons une forêt, devinons l'antre d'une sorcière. Une scénographie qui est un travail sur les sensations. Lumière, son et musique y participent de concert. Structure aérienne La structure aérienne est un gril de 4,60m de longueur sur 3,10m de profondeur. Dans ce grill sont tissées et entremêlées des cordes, qui donnent à la structure une allure de plafond de lianes au dessous duquel nous dévellopons un travail en suspension. Le tout est suspendu à une hauteur de 5/6m permettant une proximité avec le sol. 3,10 m 4,60 m 5m Grill compagnie : 4,60m x 3,10m Hauteur du grill accrochée : Entre 5m et 6m à définir Espace de jeu de 9 x 9m minimum 4 points d’accroche aériens de 500kg chaque 4 points d’ancrage au sol de 200kg chaque P.10
“No rest for Lady Dragon” Fantasmes Un homme guette Lady Dragon depuis la pénombre. Voilà l'homme multi-homme. Incarnation du machisme. Terriblement avenant et sympathique. Ne peut être tué. Suspendue au plafond la sorcière nous retrace l'histoire des bûchers. Feux qui crépitent. Corps désarticulés. Un vélo en forêt. Bruit de feuilles sèches écrasées sous les roues. On croit sentir l’odeur de la terre humide. 20 façons (drôles) de tuer l'homme multi-hommes. Malgré tout infructueuses. (Moins drôle) Un guitariste prisonnier des lianes joue au dessus du sol. (Un solo de rock) Une sorcière quitte sa chaumière, empoigne Lady Dragon et son vélo. Les roues ne touchent plus terre. (Tout semble flotter) L'homme multi-hommes pénétrant dans les bois, foulant un lieu sacré. Il nous explique qu'il n'a rien contre les femmes. Au contraire ! Il les aime bien et le droit d'importuner c'est pas mal. (D'après lui) Moment concert. Le public aimerait se lever. (Pour danser) Jouer le morceau « No Rest For Lady Dragon ». Ressortir et garder le refrain en tête. (Et le fredonner bêtement) P.11
“No rest for Lady Dragon” La Cie L’Indécente La Compagnie L’Indécente est créée en 2013 par Camille Chatelain à sa sortie du CNAC. Assumant dès l'aurore de cette aventure un cirque hybride, hors norme, traversant, englobant et intense, elle se joue des codes et techniques pour s’émanciper du brio, en proposant une écriture sensible, organique, onirique. La prouesse pour la prouesse n'aura pas lieu d'être, la maîtrise est ailleurs. Le travail de création de la compagnie prend corps dans une dimension à la fois tendue, sur le fil mais aussi fluide et douce, absurde et empreinte de bêtise. Captive » : Huis clos pour un monstre, une femme et un vélo, est la première création de L'Indécente créée en janvier 2015. Une pièce de cirque hybride sombre et étrange, un conte fantastique co-écrit et interprété par Camille Chatelain et Léonard Kahn, premier témoignage de leur collaboration. Au gré des projets et des rencontres, L’Indécente s’entoure de plusieurs personnes ; en 2014, lors de la création de « Captive » une complicité s’installe avec Gregory Adoir et Vincent Griffaut, créateurs son et lumière qui les accompagnent sur cette première création et les suivent sur le nouveau projet. La Compagnie Petites Perfections, portée par Valérie Dubourg et Jacques Girier est aussi d’une aide précieuse et bienveillante sur ce second projet. Elle offre un soutien physique, moral et financier dans la conception technique de la structure aérienne. Depuis 2018, Camille et Léonard s’attellent à l’écriture de « No Rest for Lady Dragon », le second projet de L’Indécente. L’équipe s’étoffe avec deux nouveaux complices, Sarah Devaux artiste aérienne et Jean-Charles Doublet, musicien. crédit photo Pierre Barbier P.12
“No rest for Lady Dragon” Biographies Camille Chatelain - Vélo acrobatique, chant Camille commence sa ballade à vélo en 2005 au lycée option cirque de Châtellerault.Elle intègre ensuite l’ENACR puis le CNAC d’où elle sort en 2013. Dès lors, elle crée la Cie L’Indécente et lance un premier projet «Captive» (création 2015), co-écrit avec Léonard Kahn. Chanteuse depuis son enfance, elle chante dans les spectacles et avec le groupe de jazz/pop All Mice. Elle travaille notamment avec Les Nouveaux Nez et Cie dans «Roue Libre» , la Güüd Factory, La Bande à Tyrex, la Cie Oktobre dans «Midnight Sun».Elle intervient en vélo acrobatique et recherche sur le vélo au CNAC.Elle s’attelle en 2017 à la composition pour l’image et créé des bandes originales de courts métrages. Léonard Kahn - Comédien, auteur En 2008 Léonard Kahn est diplômé en Master 2 de Psychologie Interculturelle ainsi qu'en Psychodrame Psychanalytique de groupe à L'université Lyon 2. De 2009 à 2012 il intègre l'école professionnelle d'art dramatique La Scène sur Saône à Lyon. Il cofonde en 2013 la Compagnie Wazo Migrator avec qui il co-écrit et met en scène « Sanglimoule » et « Nosferatu ». En 2015 il rejoint Camille Chatelain dans la Cie l’Indécente, co-écrit « Captive ». Il co-fonde la Cie ATR et joue « Perplexe » de Marius Von Mayenburg ainsi que « Woyzeck » de Büchner. En 2016 avec la Cie Ressasser il coécrit et joue « Dieu », une comédie musicale circassienne pour les arts de la rue. En 2017 il s’intéresse au cinéma de plus près et endosse la réalisation de plusieurs courts métrages. Sarah Devaux - Artiste aérienne Sarah est diplômée de l’ESAC (Bruxelles) depuis juin 2014. Là-bas elle se spécialise en corde lisse et y inscrit des rencontres qui marqueront la suite de son parcours. Notamment la collaboration avec Valérie Dubourg, pour son spectacle «Péripéties», mais aussi avec Célia Casagrande-Pouchet, avec qui elle fonde la Cie Menteuses en 2015, et créent leur premier spectacle «À Nos Fantômes», entourées de Mélissa Von Vépy et Tom Boccara (Réalisateur). Elle fait actuellement partie d’une pièce théâtrale mise en scène par Sébastien Barberon (Cie Tera Luna) «Chronique d’une famille ordinaire», ainsi que de «Open Cage», une pièce de cirque de la Cie Hors Surface (Damien Droin). Au sein de ces diverses créations, Sarah tente de se ré-approprier sa technique de cirque pour explorer cet espace aérien qui contient à la fois la suspension, l’envol, mais aussi la chute ou encore le vide. Jean Charles Doublet - Musicien, compositeur Saxophoniste formé aux conservatoires de Dijon et Mâcon, Jean-Charles est également guitariste, chanteur et pratique la batterie. Il met sa musique au service du théâtre au sein de la compagnie Zéotrope depuis 2015, après l'obtention de son diplôme de musicien intervenant à Lyon. Tout au long de ce parcours, il aborde la composition et l'écriture au sein de différents projets, Gran Kino, Owl Collision ou encore Ghst. crédits photo Pierre Barbier P.13
“No rest for Lady Dragon” Biographies (suite) Jérémie Bergerac - Dramaturge Jérémie sort en 2011 de la promo 39 du Théâtre National de Strasbourg section jeu.Il joue avec plusieurs compagnies dans les années qui suivent. "Anarchie en Bavière" de Fassbinder, "Et la nuit sera calme" de Kevin Keiss, "Paris nous appartient" avec le Moukden Théâtre. Il co-met en scène avec Selin Altiparmak "Titre provisoire", il participe en tant que dramaturge à un spectacle de la chorégraphe Tishu Aminata Kane, "SCHIZO MAIS PAS TROP" et met en scène en 2015 «Ce qui m’est dû» de la Débordante compagnie. Il suit une formation de réalisateur et réalise plusieurs court-métrages et tourne en 2019 son premier moyen métrage «Une autre faim du monde». Grégory Adoir - Créateur son Il débute, après un BTS Audiovisuel en 1999, à Radio France comme metteur en onde puis comme preneur de son pour France Musique et France Culture. Par la suite, il se rapproche des arts vivants et collabore au sein du ballet de l’Opéra de Lyon en 2003 avec de nombreux chorégraphes et leurs créateurs «son». Son goût de la recherche le mène au Centre National des arts du cirque en 2010 pour deux années de tournées. Manipulateur de sons et d’univers sonores, il est aujourd’hui créateur, régisseur son de spectacles de danse, théâtre et cirque : David Bobee «My brazza», Petites Perfections, Cie l’Indécente « Captive », Clément Dazin «Bruit de couloir », «Humanoptére » et «Inédit », Cie El Nucléo « Quien soy? », Cie la folle allure «Petra », Cie defracto «Dystonie ». Vincent Griffaut - Créateur lumière Il fait ses premières armes dans les métiers du spectacle vivant à la Ferme du Buisson où la pratique de la lumière éveille sa curiosité. C’est suite à l’intégration de l’équipe du CNAC, en 2011, que cette dernière vient compléter l’éventail de ses intérêts et savoirs-faire. Ces dernières années ont principalement gravité autour des Arts de la piste. Auprès de compagnies comme El Nucleo, la Compagnie du Chaos et la Cie L’Indécente ou accompagnant de temps à autres Clément Dazin et NOOS, il a contribué à l’émergence de projets en tant que régisseur, créateur lumière et/ou vidéo. P.14
“No rest for Lady Dragon” Calendrier de production / Partenaires CALENDRIER DE RÉSIDENCES : - Du 18 au 26 Juin 2019 : Château de Monthelon Résidence d’écriture et rencontre de l’équipe - Du 1er au 15 Septembre 2019 : Le Palc, Pôle national cirque Grand Est en préfiguration Châlons en Champagne / accueil en résidence + coproduction - Du 7 au 13 Octobre 2019 : Résidence musique Superstrat en partenariat avec l’auditorium de La Chaise Dieu / La Chaise Dieu Accueil en résidence + aide à la résidence - Du 12 au 20 Octobre 2019 : Superstrat en partenariat avec Les ateliers Jeanne Laurent / St Etienne Accueil en résidence + coproduction - Du 21 Janvier au 2 Février 2020: La Cascade, Pôle national cirque / Bourg St Andéol Accueil en résidence - Du 20au 26 Avril 2020 : Résidence musique Cirk’Eole / Montigny les Metz / accueil en résidence + coproduction. - Du 11 au 26 Mai 2020 : Archaos, Pôle national cirque / Marseille Accueil en résidence + aide à la résidence - Du 21 au 30 Septembre 2020 : Résidence en cours de recherche - Du 26 Octobre au 8 Novembre 2020 (à confirmer) : La Verrerie, Pôle national des arts du cirque Ales / accueil en résidence + coproduction - Du 30 Novembre au 9 Décembre 2020 : La Coloc de la Culture / Cournon d’Auvergne Accueil en résidence - Du 11 au 21 Février 2021 : Le Train Théâtre / Portes les Valence / Accueil en résidence + coproduction NOUS SOMMES ENCORE À LA RECHERCHE DE RÉSIDENCES, PARTENAIRES FINANCIERS, COPRODUCTIONS ET PRÉ ACHATS PARTENAIRES Ce projet est lauréat 2019 de l’aide à l’écriture de l’association Beaumarchais-SACD Coproduction et accueil en résidence : Le Palc - PNC Grand Est en préfiguration, Châlons en Champagne // SUPERSTRAT // Le Cirk’Eole, Montigny les Metz // La Verrerie - PNC Occitanie , Alès (en attente de confirmation) // Le Train Théâtre, Portes les Valence (en attente de confirmation) Accueil en résidence : Abbaye de La Chaise-Dieu // La Cascade - PNC, Bourg St Andéol // Archaos - PNC, Marseille // La Coloc de la Culture, Cournon d’Auvergne // Le Château de Monthelon, Lieu pluridisciplinaire dédié à la recherche et à la création artistique. Soutien technique, moral et financier : Cie Petites Perfections CONTACTS Chargée de production : Camille Fukas + 33 6 86 46 96 14 Directrice artistique : Camille Chatelain + 33 6 78 07 59 16 cielindecente@gmail.com www.cielindecente.jimdo.com P.15
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