Analyse sommaire de MNP - Modifications proposées pour les sociétés privées - Le 19 juillet 2017

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Analyse sommaire de MNP - Modifications proposées pour les sociétés privées - Le 19 juillet 2017
Analyse sommaire de MNP –
                            Modifications proposées pour les sociétés
                            privées
                                                                              Le 19 juillet 2017

ANALYSE SOMMAIRE DE MNP – MODIFICATIONS PROPOSÉES POUR LES SOCIÉTÉS PRIVÉES
Analyse sommaire de MNP - Modifications proposées pour les sociétés privées - Le 19 juillet 2017
MODIFICATIONS PROPOSÉES PAR LE
                                  MINISTÈRE DES FINANCES POUR LES
                                  ENTREPRENEURS CANADIENS
                                  Tel qu’il a été annoncé dans le budget fédéral 2017, le ministère des Finances a
                                  travaillé sur des modifications législatives qui visent les stratégies de réduction d’impôt
                                  employées par les sociétés privées. Le 18 juillet 2017, l’honorable Bill Morneau a
                                  publié les modifications proposées relativement à trois modes de planification fiscale
                                  au moyen de sociétés privées. Ces propositions sont présentées ci-après.

                                  1) Répartition du revenu
                                  Il arrive, dans le cas de bon nombre d’entreprises familiales, que tous les membres
                                  d’une famille détiennent une participation dans l’entreprise, directement ou par
                                  l’intermédiaire d’une fiducie. Les avantages sont nombreux, tant sur le plan fiscal que
                                  sur celui de la relève à long terme de l’entreprise. Les modifications proposées
                                  élargissent grandement les règles relatives au fractionnement du revenu entre les
                                  membres d’une famille.

                                  • Impôt sur le revenu fractionné
                                  Auparavant, ce concept était souvent appelé « imposition des personnes mineures »,
                                  car il entraînait un taux d’imposition élevé pour les personnes mineures qui reçoivent
                                  des dividendes de sociétés privées, qui vendent des actions d’une société privée à un
                                  acquéreur avec lien de dépendance ou qui engrangent certains revenus d’entreprise
                                  par l’intermédiaire de fiducies ou de sociétés de personnes.
                                  L’impôt sur le revenu fractionné fait que le revenu d’un particulier est assujetti aux taux
                                  marginaux d’imposition les plus élevés, lesquels sont supérieurs à 50 % dans bon
                                  nombre de provinces.
                                  Dorénavant, l’impôt sur le revenu fractionné a une portée plus large. Il comporte
                                  maintenant des exemptions particulières pour les personnes mineures et les enfants
                                  majeurs qui ont un revenu en raison d’un héritage, ou pour tout particulier handicapé
                                  ou aux études à plein temps.
                                  L’impôt sur le revenu fractionné s’applique non seulement aux personnes mineures et
                                  aux enfants majeurs, mais également à toute personne liée, y compris les époux, les
                                  frères et sœurs, les parents, la belle-famille et les membres de la famille élargie.

                                  Élargissement de ce que constitue un revenu fractionné
                                  Le projet de loi propose d’élargir la définition de ce que constitue un revenu fractionné
                                  pour y inclure les intérêts sur prêts, les gains en capital imposables si le revenu sur les
                                  actions avait été fractionné et le revenu de deuxième génération s’il est tiré d’un
                                  revenu qui était lui-même fractionné.

                                  Caractère raisonnable du revenu
                                  Le revenu est exonéré de l’impôt sur le revenu fractionné s’il est jugé raisonnable
                                  dans les circonstances. Pour que ce soit le cas, il ne doit pas être supérieur au
                                  montant qui aurait été payé ou à payer à un particulier sans lien de dépendance pour
                                  les mêmes activités, compte tenu des éléments ci-après:

                                    o   Le travail effectué.
                                    o   L’apport en capital.
                                    o   Les risques assumés.
                                    o   La rémunération pour les services déjà fournis.

ANALYSE SOMMAIRE DE MNP – MODIFICATIONS PROPOSÉES POUR LES SOCIÉTÉS PRIVÉES
• Ajustements des crédits
                                  En raison des modifications touchant le revenu fractionné, il y a également des
                                  modifications proposées à divers crédits d’impôt, notamment le crédit d’impôt en
                                  raison de l’âge, le crédit pour la TPS/TVH, l’allocation canadienne pour enfants et la
                                  prestation fiscale pour le revenu de travail pour veiller à ce que le revenu qui est
                                  imposé comme un revenu fractionné n’est pas imposé une seconde fois à titre de
                                  revenu régulier. Ces dividendes continueront de gruger les prestations de sécurité de
                                  la vieillesse.

                                  • Déduction pour gains en capital
                                  La déduction pour gains en capital permet aux entrepreneurs, aux agriculteurs et aux
                                  pêcheurs de mettre à l’abri de l’impôt un montant cumulatif maximal de gains en
                                  capital à la disposition d’actions d’une petite entreprise admissibles ainsi que de biens
                                  agricoles et de pêche admissibles. Les modifications annoncées à la déduction pour
                                  gains en capital sont les suivantes :

                                  Fiducie admissible à l’exonération cumulative des gains en capital
                                  Il s’agit d’une fiducie bénéficiaire admissible ou d’une fiducie détenant des titres pour
                                  des employés dans laquelle un fiduciaire détient des actions pour le compte
                                  d’employés sans lien de dépendance avec la société. Ces types de fiducies sont
                                  maintenant admissibles à la déduction pour gains en capital lorsque certaines
                                  conditions sont réunies.
                                  Un employé bénéficiaire admissible est un bénéficiaire d’une fiducie s’il a acquis sa
                                  participation dans la fiducie en raison de son emploi, dans le cadre d’une convention
                                  d’options d’achat d’actions, s’il n’est pas un employé déterminé ou un particulier
                                  rattaché et s’il n’est pas lié à un employé déterminé ou un particulier rattaché.

                                  Restrictions relatives aux dispositions postérieures à 2017
                                  À compter de 2017, il y aura de nouvelles restrictions pour l’accès à la déduction pour
                                  gains en capital relativement à la disposition d’actions d’une petite entreprise
                                  admissibles ainsi que de biens agricoles et de pêche admissibles. Ces restrictions se
                                  présentent comme suit:
                                  Personnes mineures: La déduction pour gains en capital ne sera plus accessible aux
                                  personnes mineures.
                                  Régimes de participation des employés aux bénéfices (RPEB): La déduction pour
                                  gains en capital ne sera plus accessible pour les gains en capital attribués à un
                                  particulier par une fiducie régie par un RPEB.
                                  Gains s’accumulant avant que le particulier n’atteigne l’âge de 18 ans: Si un particulier
                                  détenait des actions alors qu’il n’avait pas atteint l’âge de 18 ans, toute tranche des
                                  gains s’accumulant au cours de cette période n’est pas admissible à la déduction pour
                                  gains en capital.
                                  Revenu fractionné: Si le gain en capital imposable est réputé être un revenu
                                  fractionné, il ne sera pas admissible à la déduction pour gains en capital.
                                  Gains s’accumulant avant un roulement à la sortie d’une fiducie: Si une fiducie
                                  personnelle détient des actions, les gains en capital qui s’accumulent pendant que la
                                  fiducie détenait les actions ne sont pas admissibles à la déduction pour gains en capital.

                                  Occasion de planification
                                  Il sera possible en 2018 de procéder à une disposition réputée d’actions d’une petite
                                  entreprise admissibles ainsi que de biens agricoles et de pêche admissibles pour
                                  disposer de ces éléments et mettre à l’abri de l’impôt les gains en capital au moyen de
                                  la déduction pour gains en capital, ce qui permettra aux particuliers et aux fiducies d’y
                                  avoir recours avant de ne plus être en mesure de le faire. Ils seront réputés avoir
                                  acquis le bien à nouveau à son prix de base rajusté à la hausse, réduisant ainsi les
                                  gains en capital futurs à la vente.
                                  Ce choix doit être effectué avant la date de production des déclarations de revenus
                                  des particuliers et des fiducies pour 2018.

ANALYSE SOMMAIRE DE MNP – MODIFICATIONS PROPOSÉES POUR LES SOCIÉTÉS PRIVÉES
2) Détention de placements passifs dans une
                                     société privée
                                  Le gouvernement a étudié la modification des règles pour empêcher le recours au report
                                  de l’impôt des sociétés afin de détenir des placements passifs au sein d’une société.
                                  Dans ce cas, l’actionnaire peut décider du moment auquel il reçoit des dividendes, et donc
                                  de celui auquel il paie ses impôts. Par conséquent, il existe un report d’impôt potentiel, soit
                                  l’écart entre le revenu personnel provenant d’un salaire et le revenu d’entreprise tiré
                                  d’activités commerciales.
                                  À l’origine, le report d’impôt était une mesure incitative du gouvernement visant à permettre
                                  aux sociétés privées sous contrôle canadien (SPCC) d’investir dans leurs entreprises.
                                  Cependant, certaines SPCC exercent leurs activités dans des secteurs à faible
                                  capitalisation ou ont effectué tous les investissements nécessaires en immobilisations et en
                                  main-d’œuvre; elles disposent donc d’importantes sommes après impôt dans leurs sociétés
                                  qui sont investies de façon passive (p. ex., dans des obligations, des actions ou des
                                  immeubles locatifs).
                                  Le gouvernement est d’avis que le système actuel n’élimine pas les avantages liés à la
                                  détention de placements passifs au sein d’une société, ce qui entraîne une injustice sur le
                                  plan fiscal, car les particuliers gagnant un revenu d’entreprise dans une société auront plus
                                  d’argent à investir que ceux qui gagnent un revenu personnel. À titre d’exemple, une
                                  société qui dégage un revenu de 100 000 $ pourra investir entre 73 500 $ et 85 000 $,
                                  selon son admissibilité à la déduction accordée aux petites entreprises, alors qu’un
                                  particulier ne disposera que de 46 470 $.
                                  Dans son document, le ministère des Finances indique que le report d’impôt des sociétés
                                  ne devrait pas servir à cumuler des placements passifs au sein d’une société, et il examine
                                  diverses options pour éliminer cet avantage perçu et en posant plusieurs hypothèses pour
                                  atténuer le report. La première option étudiée serait le prélèvement d’un impôt des sociétés
                                  remboursable dans les cas où le revenu d’entreprise imposé à un taux privilégié a été
                                  conservé dans la Société et utilisé pour financer des placements passifs. Bien qu’il l’ait
                                  étudiée en détail, le gouvernement indique qu’il n’ira pas de l’avant avec cette option.
                                  Les deuxième et troisième options prévoient une modification de la structure fiscale
                                  touchant les revenus de placement gagnés par une société ainsi que l’impôt payé par
                                  chaque actionnaire lorsque la société verse des dividendes. De façon générale, la
                                  proposition comporte ce qui suit:
                                    o    Le revenu de placement gagné par une SPCC sera imposé au taux d’imposition des
                                         particuliers le plus élevé (33 % au fédéral), et le mécanisme de remboursement sera
                                         éliminé. Les gains en capital demeureront imposés à seulement 50 % pour une
                                         SPCC, mais la tranche non imposable ne sera plus versée en franchise d’impôt aux
                                         actionnaires. Il s’agirait d’une mesure fortement dissuasive, car il serait très
                                         désavantageux de conserver des gains en capital à l’intérieur d’une société.
                                    o    Les dividendes seront imposés entre les mains de chaque actionnaire en fonction
                                         de la source des fonds utilisés pour effectuer le placement (revenu imposé au taux
                                         d’imposition des petites entreprises, revenu imposé au taux d’imposition général des
                                         sociétés ou fonds après impôt versés par l’actionnaire).
                                  La différence entre la deuxième et la troisième option est dans le calcul de la source des
                                  fonds utilisés pour effectuer le placement. Le gouvernement propose de fonder le calcul sur
                                  le pourcentage de capital dans la société pour chacune des sources mentionnées ci-
                                  dessus (la méthode de la répartition), ou de permettre aux SPCC de choisir que tous les
                                  dividendes liés au revenu de placement soient imposés de la même façon (la méthode du
                                  choix). Les deux méthodes semblent plutôt complexes et pourraient être difficiles à mettre
                                  en œuvre de façon harmonieuse compte tenu des nombreuses nuances dans la
                                  présentation de l’information aux fins de conformité.
                                  Contrairement aux deux autres questions traitées dans ce document, le gouvernement n’a
                                  publié aucun projet de loi qui porte sur les propositions visant le revenu tiré de placements
                                  passifs, ce qui laisse entendre qu’il commencera la rédaction d’un projet de loi après la
                                  période de consultation.

ANALYSE SOMMAIRE DE MNP – MODIFICATIONS PROPOSÉES POUR LES SOCIÉTÉS PRIVÉES
3) Conversion du revenu en gains en capital
                                  Le gouvernement a proposé de nouvelles mesures afin de mettre fin à la planification
                                  fiscale visant à convertir le revenu de dividende en gains en capital dans le but de
                                  bénéficier d’un taux d’imposition moins élevé. La loi anti-évitement actuelle ne limite pas
                                  complètement ce type de planification; par conséquent, le ministre des Finances a pris la
                                  décision de ratisser plus large afin de viser les contribuables qui paient de l’impôt aux taux
                                  applicables aux gains en capital lorsqu’ils retirent des fonds d’une société.
                                  Si l’on revoit le concept d’intégration, le revenu gagné dans une société est imposé à
                                  l’origine au niveau de la société et à nouveau lorsque l’actionnaire reçoit un dividende. Le
                                  montant après impôt qui se trouve entre les mains du particulier, après le retrait des fonds
                                  de la société, devrait correspondre au montant que le particulier aurait touché s’il lui avait
                                  été versé directement en tant que salaire.
                                  Dans le contexte qui nous occupe, le gouvernement est préoccupé par l’inefficacité de
                                  l’intégration dans les cas où le surplus d’une société est versé sous la forme d’un revenu
                                  non imposable ou d’un revenu assujetti à un taux d’imposition moins élevé. Concrètement,
                                  les propositions visent la conversion du salaire ou des dividendes en gains en capital. La loi
                                  a été modifiée pour éliminer cette conversion, et une nouvelle règle anti-évitement a
                                  également été proposée.

                                 Si ces nouvelles mesures devaient être adoptées par le gouvernement, elles changeront la
                                 donne pour toute opération effectuée à compter du 18 juillet 2017.

                                 Transfert d’entreprises entre générations
                                 L’article 84.1 de la Loi de l’impôt sur le revenu s’applique à la vente d’actions d’une société
                                 à une autre société à laquelle le vendeur est lié. Historiquement, cet article a été introduit
                                 pour empêcher une personne de vendre des actions d’une société à une autre société
                                 détenue par une personne liée, dans le but de dépouiller une société de son surplus en
                                 franchise d’impôt au moyen de la déduction cumulative des gains en capital ou du prix de
                                 base rajusté en vigueur le jour de l’évaluation. Même si la vente peut être une opération
                                 légitime dans le cadre de laquelle le vendeur a cédé sa participation dans la société, il n’en
                                 demeure pas moins que les opérations d’évitement visant à retirer le surplus en franchise
                                 d’impôt seraient possibles en l’absence de l’article 84.1.

                                 Si l’article 84.1 s’applique à une vente d’actions, le produit sera un dividende imposable plutôt
                                 qu’un gain en capital, ce qui peut poser problème dans les cas où des membres d’une famille
                                 achètent la participation d’autres membres de la famille de manière légitime. Le recours à une
                                 société acheteuse, comme c’est possible dans les cas où il n’y a aucun lien de dépendance,
                                 n’est pas possible pour les rachats légitimes entre parties liées. Le recours à une société
                                 acheteuse est plus avantageux sur le plan fiscal que l’achat d’actions individuellement.

                                 Certaines rumeurs laissaient entendre que le gouvernement proposerait des modifications à
                                 l’article 84.1 afin d’atténuer les problèmes associés à certaines situations mettant en cause
                                 des parties liées. Les mesures introduites le 18 juillet 2017 ne comportaient pas de
                                 propositions de la sorte, mais le gouvernement a indiqué qu’il voulait connaître l’opinion
                                 publique sur la question.

                                 Les mesures introduites le 18 juillet 2017 auront une incidence importante sur la planification
                                 fiscale des sociétés privées. Pour connaître les répercussions sur votre situation et votre
                                 entreprise, nous vous invitons à communiquer avec un conseiller de MNP de votre région.

                                 Chaque détail compte
                                 Lorsqu’il est question de fiscalité, chaque détail compte. Il faut connaître les lois et les
                                 règlements, les éléments qui sont admissibles ou non, et savoir comment structurer son
                                 entreprise et ses demandes le plus efficacement possible. Nos équipes spécialisées portent
                                 leur attention sur tous les aspects de la fiscalité. Grâce à notre vaste connaissance et à
                                 notre expérience, nous pouvons vous aider à saisir toutes les occasions qui se présentent à
                                 vous. Nous savons ce qui demande notre attention, jusqu’au moindre détail. Car, après
                                 tout, les petits détails peuvent faire une énorme différence.
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À PROPOS DE MNP
                                  MNP est un cabinet comptable, de services de fiscalité et de services de consultation
                                  de premier plan au Canada. Nous sommes fiers de répondre aux besoins de nos
                                  clients des secteurs public, privé et sans but lucratif. Par l’intermédiaire de missions
                                  dirigées par les associés eux-mêmes, nous proposons une approche axée sur la
                                  coopération et l’efficience ainsi que des stratégies adaptées aux besoins des
                                  entreprises afin de les aider à connaître du succès au pays et à l’étranger.

                               Personnes-ressources en fiscalité par région
                                Nom                            Région                           Numéro de téléphone

                                James Kungel                   Île de Vancouver                 250.734.4303
                                Kevin Wong                     Vancouver                        604.685.8408
                                Am Lidder                      Vallée du bas Fraser             778.571.3535
                                Christopher Tilbury            Vallée du Fraser                 604.870.6910
                                Brian Posthumus                Okanagan                         250.979.1736
                                Randy Bella                    Calgary                          403.536.5536
                                Graham Heron                   Centre de l’Alberta              403.356.1255
                                Mark Bernard                   Edmonton                         780.453.5388
                                Kim Drever                     Peace Region                     780.832.4287
                                Trevor Tamke                   Sud de l’Alberta                 403.502.8467
                                Mike Unick                     Lethbridge                       403.317.2770
                                Cindy Heinrichs                Swift Current                    306.770.3627
                                Jeff Henkelman                 Nord de la Saskatchewan          306.664.8301
                                Carol Hanney                   Sud de la Saskatchewan           306.790.7930
                                Derek Innis                    Winnipeg                         204.788.6093
                                Michael Poole                  Sud du Manitoba                  204.571.7641
                                Steve Blazino                  Nord-Ouest de l’Ontario          807.623.2141
                                Bryan Walters                  Sud-Ouest de l’Ontario           519.772.7498
                                Don Carson                     Région du Grand Toronto          416.263.6930
                                Rosario Suppa                  Région du Grand Toronto Ouest    416.641.4948
                                Gavin Miranda                  Ottawa                           613.691.4224
                                Sean Sprackett                 Montréal                         514.228.7822
                                Jerry Inman                    Canada atlantique                902.493.5464

                               Leaders des services
                                Nom                           Région                           Numéro de téléphone
                                John Durland                  Fiscalité internationale         416.263.6921
                                Heather Weber                 Taxes indirectes                 250.979.2575
                                Jay McLean                    Crédit d’impôt à la RS&DE        519.772.2986

                               Vice-président principal, Fiscalité
                                Nom                           Région                           Numéro de téléphone
                                Loren Kroeker                 Fiscalité nationale              250.734.4330

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