BlackRock Global Funds - asset.tv/ transcript
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BlackRock Global Funds asset.tv/ transcript L’expertise de BlackRock sur les fonds Dividendes Alex Hoctor-Duncan : Les taux d'intérêt sont bas, l'inflation augmente et les investisseurs se demandent donc si leur portefeuille est adapté à leurs objectifs. La solution pourrait-elle consister à investir dans des actions qui paient un dividende ? Je m'appelle Alex Hoctor-Duncan et je suis Head of EMEA Retail Sales de BlackRock. Nous pensons que la réponse est oui, et c'est pourquoi nous avons lancé quatre fonds dédiés à ce type d'actions. Sommes-nous par conséquent entrés dans une décennie durant laquelle la priorité sera de percevoir des dividendes élevés, et quelles en sont les implications pour les investisseurs ? Quintin Price : Le nombre de retraités va passer d’un peu plus de 700 millions actuellement à plus de 2 milliards d'ici à 2050. Il augmentera de façon très linéaire au cours de cette période. On peut par conséquent s'attendre à une hausse très substantielle du nombre d'épargnants souhaitant percevoir un revenu des investissements qu'ils auront réalisés sur les marchés. L'augmentation du nombre de personnes partant à la retraite ne constitue pas uniquement un hiatus dans l'évolution démographique des pays dans lesquels les baby-boomers partent à la retraite. Elle résulte également du fait que les gens vivent plus longtemps et qu'à mesure que les années passent, l'inflation a une incidence de plus en plus dommageable sur la valeur de l'épargne accumulée par ces personnes. Dans les pays développés, si deux conjoints du même âge partent à la retraite à 65 ans, la probabilité que l'un d'entre eux vive jusqu'à l'âge de 92 ans est actuellement de 50 %. Ils doivent donc être sûrs de pouvoir préserver la valeur de leur épargne pendant de nombreuses années et détenir pour ce faire des actifs nominaux, des actions notamment, dont probablement une composante Dividendes, afin d'encourir un risque moins élevé que celui inhérent aux actifs de croissance dans lesquels ils n'auraient pas hésité à investir lorsqu'ils étaient plus jeunes. Ewen Cameron Watt : Investir dans des actions qui paient un dividende constitue une stratégie très pertinente, car elle permet de percevoir des revenus qui augmentent avec l'inflation. Pour les épargnants, la seule notion importante est celle de performance réelle, c'est-à-dire de performance corrigée de l’inflation. Le fait de réinvestir les dividendes sur une période plus longue permet à cette classe d'actifs de générer une performance totale largement plus élevée que l'inflation. Les cours des actions (hors dividendes) ont quant à eux augmenté moins fortement que l'inflation. La stratégie gagnante consiste à investir dans des actions qui paient un revenu. Quintin Price : Les actions d'entreprises en forte croissance qui paient des dividendes élevés surperforment leurs homologues depuis plus de 20 ans. Joshua Crabb : Au cours de la décennie écoulée, les entreprises asiatiques ont eu tendance à détruire le capital en utilisant mal leurs bénéfices -- comme l'avaient fait leurs homologues occidentales 20 ans avant elles -- pour acheter des avions privés, des bureaux imposants, etc., mais nous pensons qu'elles raisonnent différemment aujourd'hui. Elles se comportent de façon beaucoup plus responsable, elles ont tiré les leçons de la crise financière asiatique, elles gèrent leur argent avec beaucoup plus de rigueur et sont, dans l'ensemble, mieux gérées. Un plus grand nombre d'entre elles ont donc à cœur de payer un dividende et leur taux de distribution a par conséquent augmenté, elles ont réduit leur endettement et le rendement de leurs fonds propres demeure élevé. Richard Turnill : C'est pourquoi nous construisons un portefeuille en suivant une approche essentiellement bottom- up, composé de valeurs susceptibles de générer selon nous une performance élevée à l'avenir. L'une des principales caractéristiques du portefeuille est toutefois d'être de qualité très élevée et donc, beaucoup moins volatil que l'indice, et de se comporter très différemment des autres portefeuilles actions disponibles sur le marché. Le bêta ou la volatilité du portefeuille ne vaut que 0,7 fois celui/celle de l'indice environ, et il constitue par conséquent un investissement beaucoup plus sûr que l'indice lui-même, par exemple.
Ewen Cameron Watt : Investir dans des stratégies Dividendes constitue une stratégie particulièrement pertinente actuellement en raison du bas niveau des taux d'intérêt et de la croissance mondiale. Ces deux arguments sont importants premièrement parce que les produits de placement qui génèrent un revenu sont très recherchés par les investisseurs particuliers, les fonds de pension, les institutions caritatives, etc., et que la demande dont font l'objet ces produits est donc probablement supérieure à l'offre. La deuxième raison est légèrement plus technique : en termes historiques, l'expérience suggère que durant les périodes de croissance économique relativement faible, les stratégies axées sur les actions génèrant un dividende réalisent une performance plus élevée et présentent un ratio d'information lui aussi plus élevé. Autrement dit, le gérant de fonds qui suit une stratégie de ce type obtient de meilleurs résultats qu'en se contentant d'acheter des actions ou des obligations en général. Il nous semble que nous évoluons dans ce type de contexte actuellement et que cela restera le cas pendant encore longtemps du fait des retombées de la crise financière. Richard Davis : Au cours des deux ou trois dernières années, les entreprises ont commencé à réaliser que les investisseurs aimaient percevoir des dividendes et certaines d'entre elles peuvent se permettre d'en payer compte tenu de l'ampleur de leur trésorerie. Autre argument valable à mon avis : de nombreuses entreprises, ou certaines d'entre elles tout au moins, n'envisagent de réaliser aucun projet significatif qui leur permettrait de dépenser cette trésorerie, et peuvent donc reverser une part plus importante de ces fonds à leurs actionnaires. Quintin Price : Quintin Price : Il n'est pas nécessaire de dépenser tout le revenu généré par un fonds, on peut en réinvestir une partie sur les marchés en vue d’une appréciation, et ce choix revient largement à l'investisseur. Mais quoi qu’il en soit, il a donc le choix entre dépenser ce revenu aujourd'hui ou plus tard. Ewen Cameron Watt : Investir dans des actions qui distribuent un dividende n'est pas chose aisée. Il ne suffit pas, pour ce faire, de sélectionner les actions offrant les 20 rendements les plus élevés. Il faut effectuer une analyse approfondie, notamment du bilan, afin de bien comprendre les facteurs susceptibles de conduire à une augmentation du dividende. Il faut également analyser dans le détail le modèle de l'entreprise et comprendre précisément les facteurs influant sur celle-ci, mais également sur le monde qui l'entoure. Andreas Zoellinger : L'équipe RQA de BlackRock chargée d'analyser le risque d'un point de vue quantitatif est très compétente. Elle comprend plus de 140 membres et nous considérons vraiment que la façon dont BlackRock gère et contrôle le risque permet au groupe de se démarquer de ses concurrents. Nous investissons toujours dans des actions offrant un rendement boursier élevé et évitons systématiquement d'investir une part trop importante de nos actifs dans une seule valeur. Nous nous intéressons par conséquent à des entreprises sous-évaluées dont les actions présentent un rendement boursier élevé et sûr, ou dont le dividende est susceptible d'augmenter fortement. En fonction du point du cycle économique auquel nous nous trouvons, nous allons privilégier soit la croissance du dividende, soit le caractère durable de ce dividende. Dhiren Shah : Contrairement à une croyance très répandue, les pays émergents ont une solide culture de la redistribution. Les gens ont tendance à penser que les entreprises des pays émergents réinvestissent leurs bénéfices dans leur croissance au lieu de rémunérer leurs actionnaires, alors qu’en fait elles versent des dividendes depuis très longtemps. Il ne s’agit bien sûr pas d’un univers homogène et certains pays, comme certains secteurs, présentent un taux de distribution plus faible. Les entreprises dans lesquelles nous investissons ont, globalement, assaini assez nettement leurs bilans sur les cinq à dix dernières années, ce qui leur permet à présent d’augmenter leurs dividendes tout en investissant dans leur croissance. Nous observons aujourd’hui un niveau élevé de rendement des capitaux propres assurant à la fois la rémunération des actionnaires et l’investissement dans la croissance à venir. Quintin Price : L'un des aspects déterminants d'un revenu est en fait sa source, c'est-à-dire l'entreprise qui le paie. Là encore, on constate statistiquement qu'un certain nombre d'entreprises qui paient un dividende élevé peuvent rencontrer des difficultés significatives. Il est donc vital de gérer son portefeuille activement, car c'est uniquement ainsi qu'on peut identifier et éviter les actions émises par des entreprises en difficulté et conserver au contraire celles dont le dividende augmente régulièrement au fil du temps.
Ewen Cameron Watt : BlackRock emploie plus de 900 investisseurs professionnels et encourage ses collaborateurs à travailler en étroite collaboration les uns avec les autres pour analyser tout investissement potentiel. Nous sommes donc très bien placés pour comprendre les entreprises et leurs moteurs, et identifier celles dont le dividende augmentera régulièrement au fil du temps. Alex Hoctor-Duncan : Nous pensons que la décennie des stratégies axées sur le dividende a débuté. Nous croyons au bien-fondé des stratégies consistant à investir dans des actions qui paient un dividende. Nous sommes également convaincus que ces stratégies peuvent actuellement être suivies pour n'importe quel portefeuille, mais qu'il en sera de même à l'avenir. Informations importantes france@blackrock.com +33 (0) 1 56 43 29 00 La performance passée ne préjuge pas de la performance future et ne doit pas constituer le seul critère de sélection d’un produit. Tout investissement financier comporte un élément de risque. Par conséquent, la valeur des investissements et le revenu en découlant peuvent baisser comme augmenter et ne sont pas garantis. Les fonds BGF World Resources Equity Income, BGF Asia Pacific Equity Income, BGF Global Equity Income et BGF European Equity Income investissent une grande partie de leurs actifs dans des actifs libellés dans d’autres devises que leur devise de référence ; en conséquence, les fluctuations des taux de change concernés influeront sur la valeur de l’investissement. Les investisseurs de ce fonds doivent comprendre que la croissance du capital n’est pas une priorité et les valeurs peuvent fluctuer et le niveau de revenu pourra varier dans le temps et n’est pas garanti. Les fonds BGF Asia Pacific Equity Income et BGF World Resources Equity Income investissent dans des marchés qui peuvent être moins développés. En comparaison avec des économies plus développées, la valeur des investissements peut être soumise à une plus forte volatilité due à une incertitude croissante sur le monde de fonctionnement de ces marchés. Les fonds utilisent des instruments dérivés dans sa stratégie d’investissement. En comparaison avec un fonds qui investit uniquement dans des instruments dits traditionnels comme les actions et les obligations, les instruments dérivés peuvent être éventuellement soumis à un niveau de risque plus élevé et à une plus forte volatilité. Le fonds BGF World Resources Equity Income peut faire des distributions de capital comme de dividendes ou poursuivre certaines stratégies d’investissement afin de générer des revenus. Si cela peut permettre d’avoir plus de revenus à distribuer, cela peut affecter le potentiel de croissance du capital sur le long terme. L’utilisation d’options de call couvertes dans le fonds offrira généralement une protection limitée aux investisseurs lors des baisses des marchés d’actions mais pourra également se traduire par un rendement moindre dans les périodes de hausse par rapport à un indice de référence. Le fonds investit dans un nombre limité de secteurs de marché. En comparaison avec les investissements qui répartissent le risque en investissant dans une variété de secteurs, les fluctuations de prix peuvent avoir un impact plus important sur la valeur globale de ce fonds. Le fonds investit généralement en actions d’entreprises de petite capitalisation pouvant s’avérer moins prévisibles et moins liquides que celles d’entreprises de plus grande capitalisation. Le fonds peut investir dans des actions minières qui connaissent généralement une volatilité supérieure à la moyenne en comparaison des autres investissements. Les tendances observées sur le marché d’actions peuvent ne pas se refléter dans les valeurs minières. Une partie ou la totalité des frais de gestion annuels du fonds est pris sur le capital plutôt que sur le revenu. Alors que cela augmente le rendement, cela réduit le potentiel de croissance du capital. Sauf indication contraire les informations sur le fonds ne sont qu’un résumé. L’investissement ne doit être réalisé que sur la base des documents actualisés que sont le Prospectus et le Prospectus simplifié qui sont disponibles auprès du gérant.
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