Grenoble : les gauchistes livrent aux djihadistes deux enseignants " islamophobes " - Riposte Laique
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Grenoble : les gauchistes livrent aux djihadistes deux enseignants « islamophobes » Le gouvernement Macron aurait-il choisi son camp ? Il procède à la dissolution de Génération Identitaire d’un côté, l’une des rares organisations françaises de libération qui sauvera le pays en s’opposant aux occupants et à ses collaborateurs gaucho-écolos, tout en regardant en spectateur non engagé, de l’autre côté, la montée du fascisme le plus décomplexé qu’un pays n’ait jamais connu depuis les SA d’Ernst Röhm dans l’Allemagne des années trente. La peste brune universitaire est au taquet dans l’ignominie, l’université de Grenoble est devenue le siège d’une nouvelle police politique collaboratrice active aux ordres de l’occupant qui est en passe de n’avoir plus rien à envier à la bande Bonny-Laffont de la rue Lauriston ou aux sbires de la rue de la Pompe. Aucun mal à identifier les noms des activistes de cette
gestapo française puisque leur groupe a rendu publics ses tracts et messages d’intimidation à l’intention de deux professeurs de l’IEP Grenoble qu’il ont décidé de traquer, comme les milices allemandes à partir de 1933 traquaient les juifs, et ce avec les mêmes méthodes. Des signataires indirects de cette chasse à l’homme dignes héritiers du Ku Klux Klan, les noms qui pourront étoffer la liste des obligés à la Cour Martiale, si un parti patriote arrivait au pouvoir en 2022, seront faciles à trouver : il s’agit de l’Union Syndicale Sciences Po Grenoble, soit de tous leurs cadres, adhérents et soutiens. Outre un appel public à délation, ce syndicat exige la démission de deux professeurs accusés d’islamophobie. Les noms des deux professeurs ont été affichés sur les murs de la faculté et sont relayés par tous les réseaux sociaux, et un appel à témoignage engage toute personne à venir dénoncer tout universitaire suspect d’islamophobie. Compte tenu du précédent Samuel Paty, il s‘agit donc d’un véritable appel au meurtre formulé par un syndicat d’élèves adressé en signe de soumission à l’ensemble de la communauté musulmane de ce pays : en coranique, on appelle cela une fatwa ! Sciences Po Grenoble : sur @BFMTV, le responsable du syndicat à l'origine de la cabale contre les deux enseignants refuse de condamner les collages qui les mettent en danger, et contourne la question : "c'est anormal que des professeurs tiennent ces propos". pic.twitter.com/SpI8V7DRrI — Paul Sugy (@PaulSugy) March 7, 2021 Si René Bousquet a été inquiété pour ses listes de juifs livrés à la Gestapo allemande, tous les membres de ce syndicat devraient normalement être inquiétés pour leurs listes d’enseignants livrés à la gestapo musulmane établie impunément
en France avec le soutien actif du pouvoir politique. Or il n’en est rien, ce pouvoir préfère dissoudre les groupes patriotes, et s’il se glorifie d’être actif, c’est plutôt dans la voie de l’allégeance à l’islam. Je vous laisse faire le parallèle : le gouvernement dissout le groupe de citoyens-patriotes GI dont l’un des objets est de défendre nos frontières ; tandis qu’il admet la délation érigée en mode de gestion d’épuration des universités avec une méthode identique à celle des nazis des années trente qui avaient épuré tout l’espace économique allemand des juifs par des campagnes de dénonciations publiques. Le gouvernement Macron aurait donc clairement choisi son camp en décidant d’entrer dans la voie de la collaboration active avec l’ennemi islamique et en se lançant dans l’épuration de toutes les fonctions publiques par le bras armé des syndicats, ici d’étudiants. Alors qu’un vrai pouvoir patriote, de son côté, aurait immédiatement dissous tous ces syndicats et envoyé tous leurs membres-adhérents devant une juridiction militaire de temps de guerre. On vient d’apprendre qu’une information judiciaire a été ouverte : c’est la mise en préventive immédiate de tous les membres, soutiens et adhérents de ce syndicat, quel que soit leur lieu de localisation en France, y compris des enseignants-chercheurs qui y seraient impliqués, qui doit être exigé, peu importe que cela fasse des dizaines de milliers de préventives : rendez-vous compte, ce syndicat a désigné aux égorgeurs les noms de deux professeurs à exécuter ! Et puis, vous imaginez cette gauche-écologie, la Mélenchonie et ses forces qui ne savent plus où elles habitent, y compris les républicains mous de la couenne et l’ensemble de la Macronie centriste Modem, qui ont pris langue avec l’islam en s’y soumettant, donc les dégâts pour la France s’il restaient encore au pouvoir en 2022 ? Car ne cherchez pas l’épaisseur d’une feuille de cigarette entre eux – selon l’expression
consacrée – concernant l’Islam, c’est blanc bonnet et bonnet blanc selon une autre expression consacrée. Ce syndicat est de notoriété de gauche socialo-écolo bon teint, voire extrême gauche, et on s’amuse de voir un gouvernement qui procède à la dissolution d’un groupe de jeunes français qui veut défendre les frontières contre l’ennemi extérieur (en 1870, 1914 et 1939 on les aurait décorés pour cela) ; tandis que – dans le même temps – le citoyen ministre Darmanin, en n’embastillant pas tous les membres et adhérents de ce syndicat jusqu’à ce que la Cour Martiale statue sur leur trahison pour collaboration avec l’ennemi, ne fait qu’envoyer un message subliminal mais de soutien actif à l’islamisation du pays et à la montée des pratiques qui rappellent furieusement la manière dont les juifs étaient désignés à la vindicte dans tout l’espace public allemand. Même méthode donc : dans les années trente, les magasins juifs étaient identifiés par l’indication « juif » sur leur vitrine ; au XXI° siècle, les universités françaises publient sur leurs murs les noms des professeurs, à exécuter – socialement en attendant plus – suivis de la mention « islamophobe ». Si ce syndicat se sent pousser des ailes impunément, c’est – qu’outre le soutien du pouvoir macronien – il a aussi le soutien des présidents et doyens d’universités, d’une grande partie de la peste brune enseignante islamo-gauchiste collaboratrice et de tous les partis politiques, de la gauche la plus extrême jusqu’aux républicains les plus mous. Le diagnostic de Madame Vidal d’une gangrène de nos universités s’en trouve conforté, voire dépassé : dans chacun des membres hommes de ce syndicat étudiants et de ses adhérents, on peut désormais reconnaître – qui sommeille d’un œil seulement – un gardien du camp S21 des Khmers rouges de Pol Pot ; dans chacune de ses membres femmes ou de ses adhérentes, une kapo du camp d’Auschwitz qui huile consciencieusement les portes du four crématoire pour
s’assurer de son bon fonctionnement avant son entrée en service. Nous en sommes là dans la France de 2021 avec intimidations, avertissements, pressions, dissuasions, sommations, menaces, publiques ou pas, fatwas pour qui n’adhère pas au projet d’extermination des français blancs Juifs, Chrétiens ou athées qui ne veulent pas se mettre à genoux devant la haine musulmane. L’alternative de l’ultimatum envoyé par ces forces politiques de gauche-socialo-écolo et autres et leurs fines équipes de sbires-commissaires politiques des universités françaises – qui ont suivi la formation accélérée des Pasdaran – est le suivant : laissez-vous égorger avec le sourire de Mohammed, ou alors on vous désigne à l’égorgement en pleine rue, et entre- temps on organise votre mort sociale et professionnelle ainsi que celle de toute votre famille. Le Président Macron et sa bande, comme Castaner, qui font – dans leurs discours – sans arrêt référence au nazisme, au fascisme, aux intolérances ne font en réalité que parler d’eux-mêmes. La réalité des pratiques de la gangrène brune qu’ils plébiscitent puisqu’ils regardent avec une tendresse affligeante cette dérive politique anti-France sans même lever un doigt, préférant s’attaquer à GI qui part aux frontières. La Macronie peut alors être suspectée d’avoir versé dans l’utilisation de la police politique musulmane pour faire la chasse aux non-musulmans et aux Asia Bibi. Ils ont même perdu le repère Nasser qui avait fustigé le voile et fait la chasse aux Frères musulmans ! Alors ne riez pas de cette affaire, bientôt possiblement « demain les chiens », que vous habitiez une ville nouvellement écologiste, une ville de gauche, du Modem ou des républicains au double discours de traîtres, ce sera peut-être votre nom qui sera affiché en mairie sur une liste de fatwas que les musulmans, en sortant de la mosquée, viendront consulter comme un nouvel ordre du jour, une nouvelle journée
de travail à accomplir pour le compte des politiciens au pouvoir. En face de la colonne où figurera votre nom, une colonne avec la mention en français et en arabe : « islamophobe ». Les Allemands affichaient la liste de fusillés, certains politiciens actuels sont maintenant près de publier la liste des égorgés s’ils arrivaient au pouvoir en 2022. Autres temps, mais mêmes mœurs, mêmes trahisons, mêmes collaborations avec l’ennemi. Enfin, coïncidence, hasard ou nécessité, toute cette peste brune désinhibée dont le journal le Figaro fait état se développe au grand jour sur le terreau d’une ville qui est l’un des fiefs de l’écologie intégriste totalitaire qui compte dans ses rangs des militants dont on peut deviner, derrière le masque public, le visage caché du gardien de goulag à l’affût du pouvoir. De cette décomplexion de l’immonde naît tout de même un bien : chacun peut identifier clairement maintenant le camp qu’il doit rejoindre pour le choc final. Jean d’Acre https://www.lefigaro.fr/actualite-france/deux-professeurs-de-s ciences-po-grenoble-accuses-d-islamophobie-sur-les-murs-de-l- iep-20210305?
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