Éléctions communales - Commune de St-Sulpice
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
No 214 Février 2011 Paraît six fois l’an JOURNAL LOCAL D’INFORMATION ET DE PUBLICITÉ DE LA COMMUNE DE SAINT-SULPICE éléctions communales Photo: J. Rimensberger
COMMUNE DE SAINT-SULPICE ELECTIONS COMMUNALES 13 MARS 2011 LÉGISLATURE 2011-2016 MUNICIPALITÉ CONSEIL COMMUNAL 8 candidats 66 candidats pour 5 sièges. pour 60 sièges. Liste Liste d’entente communale d’entente communale Pages 3, 4 et 5 Pages 6, 7 et 8 Les deux élections auront lieu selon le système majoritaire. 4 questions aux candidats à la Municipalité CALENDRIER INFORMATIONS Question 1. Quelles sont à votre sens les qualités décisives et l’expérience qui font ÉLECTIONS DU GREFFE de vous le candidat idéal pour un poste à la Municipalité? COMMUNALES MUNICIPAL Question 2. La commune de St-Sulpice est très prisée pour y élire son domicile mais LÉGISLATURE 2011-2016 les loyers et le prix de l’immobilier ne LOCAL DE VOTE sont pas à la portée de toutes les Complexe communal du Léman, rue bourses. Quelle(s) solution(s) 13 mars Conseil communal du Centre 59, salle du Conseil com- proposez-vous pour permettre à des (1er tour) munal au 1er étage. personnes jeunes ou plus âgées de res- ter ou de revenir habiter à St-Sulpice? Municipalité Question 3. (1er tour) VOTATION L’Ouest lausannois est en pleine effervescence: croissance du nombre AU BUREAU DE VOTE d’habitants, du trafic et du campus uni- 3 avril Conseil communal POSSIBLE LE versitaire notamment. Entre le Schéma et Municipalité Dimanche 13 mars 2011, Directeur de l’Ouest Lausannois (2e tour éventuel) (SDOL) et le projet d’agglomération de 10h00 à 11h00 Lausanne-Morges (PALM), comment voyez-vous l’avenir de St-Sulpice? Les électrices et électeurs qui Question 4. n’auraient pas reçu (ou seulement VOTE Quels sont les projets prioritaires partiellement) ou qui auraient égaré leur matériel de vote, peuvent PAR CORRESPONDANCE d’infrastructure/équipements collectifs, Selon matériel de vote reçu à domi- d’urbanisme/aménagement du s’adresser au greffe municipal territoire que vous proposez aux jusqu’au vendredi 11 mars 2011 à cile. habitants pour les 5 ans à venir? 12h.00 au plus tard pour obtenir des documents de remplacement. LE GREFFE MUNICIPAL Réponses en pages 3, 4 et 5. 2
MUNICIPALITÉ – LISTE D’ENTENTE COMMUNALE Question 1. question du maintien à domicile – ou plu- partie du patrimoine communal. Les pos- A une connaissance approfondie de la vie tôt du soutien nécessaire pour le maintien sibilités d’influencer le développement de politique à Saint-Sulpice en tant que à domicile dans un logement à l’endroit l’Ouest lausannois sont certes plus diffi- conseiller communal de 1978 à 2006 s’est où ces personnes ont vécu parfois depuis ciles, mais pas négligeables. A cet égard, ajoutée l’expérience de syndic au cours de longtemps – est primordiale. C’est la rai- l’expérience de ces 5 dernières années in- la législature 2006-2011. Arrivant au son pour laquelle un projet concret de dique qu’une participation active et soute- terme de ces 5 ans de syndicature, j’estime construction d’un immeuble comprenant nue de la Municipalité aux divers organes judicieux de continuer mon engagement des logements protégés est en cours décisionnels impliqués dans ce développe- au service de la commune et de poursui- d’étude. Un tel immeuble permettra à des ment est essentielle. vre une fructueuse collaboration avec mes personnes âgées de la commune de rester deux collègues municipaux qui se repré- dans leur environnement sans perdre leur Question 4. sentent de manière à mener à bien des autonomie. Des contacts ont déjà été pris Deux projets prioritaires sont à réaliser: 1) projets importants que la Municipalité a par la Municipalité avec des représentants un immeuble comprenant des logements déjà démarrés (cf. point 4). A noter que, de coopératives d’utilité publique spéciali- protégés (cf. point 2), et 2) le réaménage- grâce à une politique d’investissement très sées dans de telles constructions. ment de la nouvelle zone d’utilité publique prudente, la situation financière générale (comprenant actuellement le complexe de la commune s’est fortement améliorée Question 3. scolaire et le Foyer paroissial des Pâquis), depuis 2006, de telle sorte que la réalisa- Saint-Sulpice jouit d’une situation géo- avec, entres autres, la construction d’une tion de ces projets est possible sans mettre graphique exceptionnelle et dispose de ré- nouvelle salle de gymnastique, une biblio- en péril l’équilibre financier et l’attracti- serves naturelles, d’espaces verts et de thèque scolaire et des locaux pour l’accueil 1. CEROTTINI Jean-Charles vité fiscale de la commune. lieux de détente que l’on peut facilement parascolaire. Grâce aux études déjà faites 1938, sauvegarder. De même, le nouveau plan et l’implication directe de mes deux col- médecin, Question 2. général d’affectation communal prévoit lègues municipaux dans l’avancement de Un des problèmes majeurs auquel la com- un développement urbanistique équilibré ces projets, ceux-ci peuvent être réalisés Syndic. mune est confrontée est celui de l’aug- qui peut être maîtrisé, et ceci d’autant dans des délais relativement brefs si les mentation rapide et constante du nombre plus que plusieurs des parcelles construc- crédits nécessaires sont accordés par le de personnes âgées. Il s’ensuit que la tibles mais pas encore construites font Conseil communal. Question 1. Municipalité étudie avec beaucoup d’at- Parc du Russel: nouvel éclairage public à Elu au conseil communal en 2006 puis tention car elle permettrait d’offrir à nos faible consommation d’énergie, réfection nommé à la commission d’épuration, j’ai aînés le moyen de préserver leur autono- de la place de jeux pour enfants. Arborisa- rejoint l’exécutif lors des élections com- mie tout en bénéficiant d’un environne- tion de remplacement. plémentaires de juin 2007. ment sécurisant. Rue du Centre: réfection de la chaussée Conseiller municipal en charge du service avec mise aux nouvelles normes concer- de la voirie, des domaines, des routes, de Question 3. nant la pollution sonore. l’éclairage public et de l’épuration, j’ai ac- La densification de l’Ouest lausannois est quis une bonne expérience dans la gestion inéluctable mais notre commune bénéficie de ces dossiers tout en me familiarisant heureusement de nombreux espaces verts avec les affaires communales. que nous entendons préserver. Le nou- J’ai à cœur de terminer les réalisations en veau plan général d’affectation sera le ga- cours et ainsi contribuer au développe- rant d’une qualité de vie souhaitée par ment de ma commune en étroite collabo- tous. Une étude, faite par un organisme ration avec mes collègues municipaux. spécialisé, pour réduire le trafic de transit est en cours. Nul doute qu’elle contri- Question 2. buera à améliorer la sécurité dans le vil- La commune a participé en 2009 à la lage. création du réseau d’accueil de jour des enfants AJESOL. Elle envisage dans ce Question 4. 2. CLERC Alain cadre la mise sur pied d’un accueil paras- Ch. des Chantres: réfection totale, collec- 1943, colaire qui répondra à un évident besoin teur des eaux claires et usées, nouvel éclai- retraité, des jeunes familles de Saint-Sulpice. Une rage public à faible consommation autre priorité est de permettre à nos se- d’énergie. conseiller municipal. niors de rester le plus longtemps possible Ch. du Laviau: création d’un collecteur dans la commune. La construction d’ap- des eaux claires et usées, nouvel éclairage partements protégés est une option que la public à faible consommation d’énergie. Question 1. dure » doit perdurer. Il faudra veiller La poursuite de la rénovation des bâti- Une bonne connaissance du fonctionne- également à poursuivre un développe- ments communaux en mettant l’accent sur ment et des dossiers de la commune ac- ment urbanistique contrôlé laissant une les aspects énergétiques. quise depuis 5 ans comme conseiller mu- place raisonnable à la politique de densi- L’aménagement de la porte d’entrée ouest nicipal en charge des bâtiments et des fication prônée par l’Etat de Vaud. Il de la commune en relation avec le déve- écoles, et précédemment de 1998 à 2006 s’agira également de contrôler les flux de loppement du nouveau quartier de Cham- comme conseiller communal. Il me tient circulation afin de minimiser les traver- pagny Sud. particulièrement à cœur de poursuivre les sées inutiles du village par les véhicules projets mis en place avec mes 2 collègues motorisés. municipaux qui se représentent. Question 4. Question 2. Le projet de réaménagement de la zone Il me semble prioritaire de donner la pos- d’utilité publique (nouvelle salle de gym- sibilité aux personnes âgées, domiciliées nastique, accueil parascolaire, biblio- parfois depuis longtemps sur la com- thèque) en relation avec l’aménagement mune, de pouvoir y rester lorsque leur si- du parc du Russel. A noter le projet déve- tuation personnelle le permet. Le projet, loppé par la Municipalité de la mise en initié lors de la présente législature, de place à court terme (2011) d’un accueil construction de logements protégés, réelle parascolaire et d’une bibliothèque installé alternative à un placement en EMS, est la dans une structure provisoire, le temps 3. JATON Jean-Pierre solution idéale pour résoudre ce pro- que le projet définitif soit exécuté. La 1953, blème. structure d’accueil permettra certaine- ingénieur EPFL, ment à de jeunes couples avec enfants de Question 3. solutionner leur problème de garde. conseiller municipal. Saint-Sulpice doit pouvoir garder ses La construction d’un immeuble compre- spécificités dans le paysage de l’Ouest nant des appartements protégés pour les lausannois. La devise « Calme et Ver- personnes âgées. 3
MUNICIPALITÉ – LISTE D’ENTENTE COMMUNALE Question 1. ce qu’entreprend actuellement la com- de l’important trafic, des nouvelles Travaillant depuis trente ans dans l’Ouest mune d’Ecublens, me semble de plus en constructions (Champagny sud) et des lausannois, je connais un bon nombre de plus nécessaire. Ce type de construction transports publics. Envisager certaines problèmes de notre région par le biais de offre également la possibilité de faire co- constructions destinées aux personnes ma profession; né dans la commune, j’ai habiter personnes âgées et personnes âgées ainsi que des structures sportives pu suivre l’évolution de cette dernière de- jeunes disposant de moyens modestes. destinées aux jeunes (et moins jeunes…). puis fort longtemps. Deux législatures au Mettre en valeur certains sites tel que la conseil communal m’ont permis de prési- Question 3. plage du Laviau; rénover ou reconstruire der ou de participer à de nombreuses Tout en participant activement à l’ensem- la passerelle en amont de la Venoge et sen- commissions; de plus, mon activité au ble des projets du PALM et du SDOL, sibiliser les promeneurs à l’environne- sein des comités des sociétés locales, au- notre commune doit veiller à conserver ment. jourd’hui comme par le passé, sont des une certaine autonomie. Avec une situa- atouts pour connaître au mieux les in- tion géographique privilégiée, l’augmen- quiétudes, les intérêts et les besoins des tation de trafic de la RC 1 ne pose pas de Serpelious. problème majeur, contrairement à la cir- culation en forte augmentation dans le Question 2. village; Les transports en commun occu- Je ne crois pas à une solution miracle peront une place prépondérante à l’avenir concernant des loyers modérés. Cela est et et nous devons faire en sorte qu’ils soient restera un problème difficile à résoudre le mieux adaptés aux besoins de nos 4. ALLEMANN Yves dans des communes telles que la nôtre. concitoyens. 1958, Concernant les personnes âgées, la créa- maître secondaire. tion d’un réseau d’entraide pour les aînés Question 4. afin qu’ils puissent rester à domicile, solu- La construction d’une salle de gymnas- tion envisagée par nos autorités actuelles, tique ainsi que la rénovation du bâtiment est une bonne chose. Toutefois, la créa- des Crêtes doivent être enfin réalisés. Re- tion de logements protégés, à l’image de penser la rue du Centre en tenant compte Question 1. cette solution, mais nous nous devons de locales, amies, voisines et autres. Les ins- Etre à l’écoute de chacun, ainsi qu’une négocier avec les intervenants le plus tôt tallations sportives de football du Laviau bonne ouverture d’esprit vont m’aider, possible pour nos aînés et nos jeunes. ont clairement besoin d’un bon lifting. Les sans aucun doute, à remplir mon rôle D’autres communes l’ont très bien réussi, discussions (d’ailleurs en cours) doivent avec sérieux. Etant une personne intègre, alors pourquoi pas nous? aboutir dans un avenir proche à une solu- je peux également apporter de la fraî- tion réalisable. La rue du Centre doit faire cheur au sein du Collège municipal. Question 3. l’objet d’une réfection, ainsi qu’une solu- Ayant été 16 ans membre du Conseil Je vois Saint-Sulpice comme une sorte de tion durable pour les pavés doit être trou- communal, j’ai pu observer tous les dicas- charnière entre Morges et Lausanne. La vée. Comme évoqué à la deuxième ques- tères, débattre sur de nombreux dossiers, réfection complète de la RC1B va renfor- tion, des logements protégés pour nos participer à beaucoup de commissions. cer et sécuriser cet axe principal. L’Ouest anciens et des logements abordables pour C’est donc tout naturellement que j’ai dé- Lausannois ne fera bientôt plus qu’un. Et nos jeunes doivent faire partie des projets cidé de passer à la vitesse supérieure en grâce à notre situation géographique, à venir. me portant candidat à la Municipalité. nous allons garder le privilège d’être une commune tranquille et calme. Une atten- Question 2. tion particulière devra toutefois être por- Dans le cadre des grands projets de tée sur la densité du trafic. construction en cours ou à venir, nous de- vons intervenir avant la mise à l’enquête Question 4. auprès des propriétaires et des concep- Plusieurs objets sensibles ont fait couler 5. MUNDLER Alain teurs pour intégrer des zones d’utilité pu- déjà pas mal d’encre! Sans aucun doute, 1967, blique. Ceci afin de prévoir des habita- mes priorités se porteront sur le bâtiment chef de projets. tions groupées sécurisées pour les des Crêtes. L’avis de la population, ainsi personnes âgées et des logements à loyers que le résultat donné par les urnes doi- modérés pour les jeunes. Il est évident que vent être respectés. Egalement attendue le prix actuel du terrain (en règle géné- depuis longtemps, une salle polyvalente rale) ne parle pas forcément en faveur de serait très appréciée de plusieurs sociétés Question 1. terrains. Membre de la coopérative du Question 4. Deux législatures au Conseil communal Pâqueret, créé entre autres par trois de La circulation dans le centre du bourg est que j’ai présidé en 2008-9, ancien membre nos actuel ou anciens Syndics pour trou- un problème de par le nombre important de la commission de gestion et des fi- ver justement une solution à ce pro- de véhicules qui le traverse et qui va s’in- nances, je souhaite apporter mon expé- blème. Par ailleurs, la Municipalité sor- tensifier encore avec les constructions en rience au sein de l’exécutif. Actif dans tante a présenté lors d’une séance cours. Il s’agit de repenser le tout de ma- plusieurs sociétés locales, membre du co- publique à fin 2010 intitulée « Quels be- nière à réguler le trafic différemment. Le mité de l’Abbaye et actif du club de ten- soins pour nos aînés ? Des logements soutien à nos sociétés locales est égale- nis, j’apprécie la participation active et protégés ? Un réseau d’entraide ? Donc ment au centre de mes pensées afin de par-dessus tout y cultiver l’amitié! Je sais des pistes existent et des réflexions sont mettre à disposition des infrastructures, m’engager, gérer des projets d’envergure, en cours qu’il s’agira d’approfondir et salles, terrains ou locaux permettant à décider, garder mon autonomie de pensée concrétiser en tenant compte des avis de leurs membres de pratiquer leur sport fa- et de travail sans négliger l’esprit d’équipe la population. vori ou leur passion. Enfin, répondre rapi- et de bonne collaboration. Malgré une dement à la volonté exprimée démocrati- charge péréquative et une facture sociale Question 3. quement par une courte majorité de notre cantonales élevées (la solidarité est à ce Personnellement, je tiens à l’autonomie population en rénovant «Les Crêtes» prix) j’ai la volonté de garder une fiscalité actuelle de notre village. Toutefois, il ne dans les meilleurs délais. mesurée à St-Sulpice tout en maintenant faut pas se voiler la face, nous ne pouvons des investissements. pas vivre les uns sans les autres, au niveau du district de l’ouest lausannois d’abord, 6. MEYER Jean-Paul Question 2. de Lausanne bien sûr, mais aussi avec nos 1955, Le problème des loyers et de l’immobi- voisines de l’ouest de la Venoge. Notre comptable indépendant, lier n’est pas le seul fait de notre com- commune doit donc continuer à être at- mune, l’est lausannois par exemple tentive au développement régional et conseiller communal. connaît les mêmes difficultés liées à nos continuer à prendre une part active dans situations géographiques, à la proximité les décisions qui touchent l’intercommu- du lac, de Lausanne et à la rareté des nalité. 4
MUNICIPALITÉ – LISTE D’ENTENTE COMMUNALE Question 1. teur privé qui en a les compétences. Sans Question 4. La grande connaissance des affaires com- résoudre la pénurie générale, l’octroi d’un Nos habitants attendent des réalisations munales acquise depuis 1993 au sein du droit de superficie à des coûts raisonna- répondant aux besoins actuels et qui véhi- Conseil communal, une expérience de la bles est une réponse pour faciliter la réali- culent une image contemporaine du vil- gestion de projets en équipe à la tête de sation de logements protégés pour les plus lage. La priorité doit aller au règlement l’USL et l’actualité d’une activité profes- âgés et d’appartements à loyers supporta- définitif du dossier «des Crêtes» confor- sionnelle au sein du No 1 mondial du tra- bles pour les jeunes. mément à la volonté du souverain, au dé- vail temporaire. La réalité de ma disponi- Reste à fixer les conditions à remplir par blocage du PGA, au renouvellement des bilité et mon envie de servir, m’aideront, les ayants droits et le loyer dont l’impor- installations sportives scolaires et du FC dans le respect de tous, à défendre les in- tance pourrait évoluer en fonction de la St-Sulpice dont la sécurité ou la vétusté térêts et l’identité de notre commune. situation familiale, du revenu et de la for- font problèmes, une proposition de droit tune. de superficie pour la construction de loge- Question 2. ments, la réorganisation du trafic d’accès En 2006, la coopérative privée d’habita- Question 3. aux commerces et de la rue du Centre. tion «le Pâqueret» était une piste à ne pas L’importance des communes voisines et négliger (v. site communal – Serpeliou du campus de l’EPFL/UNIL vont se ren- No. 184/2006). «Chasser cinq ans sans forcer. Les nouvelles lignes de transport débusquer le gibier ni tirer, …il faut chan- en communs, le réseau routier et les infra- ger le chien, pas le fusil» (proverbe ano- structures subiront des développements din). auxquels St-Sulpice devra participer pour 7. GYGAX Rolf Adopté en 2009 par le Conseil (avec mon défendre son identité. Le nouveau PGA, 1947, soutien), le nouveau plan d’affectation dès qu’il entrera en vigueur, intègre déjà employé de commerce, des sols – PGA – (bloqué par des recours) cette composante. L’augmentation de no- offrira une densification contenue de l’ha- tre population, se poursuivra. Un des défis conseiller communal. bitat. La commune n’ayant pas pour vo- sera l’effort de communication à consentir cation l’acquisition ou la construction pour intégrer et motiver ces nouveaux ci- d’habitations, il faut laisser ce rôle au sec- toyens à s’associer aux enjeux du village. Question 1. Confédération et les cantons préconisent un vement aux différents projets d’agglomération et «Idéal» je n’ai pas cette prétention, mais «vala- aménagement du territoire qui tend vers une d’aménagements régionaux. De cette manière, ble», je crois! D’abord, gérer une collectivité d’hu- densification des habitations. En effet, la popu- nous serons acteurs plutôt que spectateurs de la mains, les écouter, les conseiller, les soutenir, c’est lation va en augmentant, mais le terrain n’est préparation de notre futur. mon métier. Ensuite, Suisse né à l’étranger d’un pas extensible. Une piste de réflexion pourrait père diplomate, ayant ainsi vécu dans divers pays, être que la commune, comme propriétaire, mette Question 4. je sais ce qu’exige la charge de représenter une à disposition des parcelles non bâties en droit de D’abord, ma candidature n’est pas celle d’un au- communauté dans différents milieux. Cette double superficie, pour y faire construire des logements tocrate qui dit «je propose» ou «je veux», mais expérience m’a donné ouverture d’esprit, tolé- à loyer abordable, ainsi que des structures d’ac- celle d’un démocrate qui entend, collégialement, rance, sens de la négociation et multilinguisme. Je cueil pour les aînés. Par exemple, le terrain au mettre ses idées et ses forces au service d’une serai donc attentif aux besoins des Serpelious pour sud du complexe hôtelier et des logements pour équipe municipale! Cela précisé, une certaine préparer et construire un futur axé sur la sécurité, étudiants de l’EPFL serait particulièrement pro- densification du territoire et de nouvelles le respect de l’environnement et le développement pice au développement d’un tel projet. Les trans- constructions sont en cours (zone de Champagny durable. De plus, je poursuis depuis 18 ans mon ports publics sont proches et le centre du village Sud). La zone au sud de l’EPFL et du chemin du activité professionnelle au sein du Département et ses commerces sont accessibles en une dizaine Bochet vaudrait la peine d’être étudiée pour y dé- des infrastructures de l’Etat de Vaud, au Secréta- de minutes à pied. velopper un projet d’habitations en partenariat riat général d’abord, et actuellement au Service avec des investisseurs. Une étude pour l’exten- des routes. Enfin, je suis engagé depuis une législa- Question 3. sion du complexe scolaire «Pâquis» est en cours. ture dans la vie politique communale, au sein du La situation géographique de notre commune, Ce projet doit aboutir durant la prochaine légis- Conseil communal. Tout cela m’a beaucoup fami- entre Hautes écoles et lac, lui donne vocation de lature. Celui de l’aménagement du centre du vil- 8. BRINGOLF Daniel liarisé «de l’intérieur» avec les rouages, dossiers et rester une zone de verdure, de calme et de dé- lage doit lui aussi se poursuivre. Le trafic auto- 1949, exigences de l’administration publique, et tente. Cependant, le développement de l’Ouest mobile en transit doit être régulé. La convaincu de la valeur de nos services publics. Lausannois, dont St-Sulpice fait partie inté- cohabitation des piétons et des véhicules dans la responsable ressources humaines, grante, ne peut être ignoré. Nous ne pouvons circulation, particulièrement au centre du village conseiller communal. Question 2. pas nous tenir à l’écart de l’expansion de la ré- doit être améliorée et la sécurité renforcée. Un La Commune de St-Sulpice possède encore plu- gion. Nous devons y apporter notre contribution accès facilité en tout temps aux commerces du sieurs parcelles intéressantes de terrain. La et y faire entendre notre voix en participant acti- village doit aussi être garanti. ADIRHE Association pour la Défense des Intérêts de la Région des Hautes Ecoles L’Assemblée générale de l’ADIRHE aura lieu le Mercredi 16 mars 2011 à 20h00 à la Salle du Conseil communal de St-Sulpice, rue du Centre 59 elle sera précédée par une conférence : «Un nouveau quartier à l’ouest de la Bourdonnette – projet urbanistique, d’espaces publics et commerciaux (Aligro), par M. Rudolf Rast (Berne), architecte lauréat du concours» 5
CONSEIL COMMUNAL 66 CANDIDATS POUR 60 SIÈGES LISTE D’ENTENTE COMMUNALE 1. AFFOLTER Markus, 2. ALLGÖWER Nicole, 3. BÄHNI Philippe. 4. BECK Thomas, 5. BOREL Alexandre, 6. BOREL André, 1958, ingénieur EPFL, 1961, chef de projet en 1954, commerçant, 1944, financier indépendant, 1954, commerçant, 1942, commerçant, conseiller communal logistique, cons. communale conseiller communal conseiller communal conseiller communal conseiller communal 7. BRINGOLF Daniel, 1949, 8. BRYOIS Daniel, 9. BURRUS Diane, 10. DIJAMATOVIC Yves, 11. DISERENS Monique, 12. GARDET Frédéric, resp. ressources humaines, 1953, mécanicien, 1952, juriste, 1953, ing. électricien 1949, infirmière scolaire, 1961, employé de commerce, conseiller communal conseiller communal conseillère communale EPF/ETS, conseiller com. conseillère communale conseiller communal 13. GAUDIN Nicolas, 14. GILLOT Maguy, 15. GLAUSER Cédric, 16. GRZELAK-GUIDON 17. GYGAX Rolf, 18. HANLON David, 1972, paysagiste-colombophile, 1946, retraitée, 1963, comptable, Madeleine, 1957, employée 1947, employé de commerce, 1960, ingénieur, conseiller communal conseillère communale conseiller communal de commerce, conseillère com. conseiller communal conseiller communal 19. JINDRA FROEHLICH 20. JUNGEN Jean Michel, 21. KAESER-MOSER Alice, 22. LAMBERCY Laurence, 23. LEHMANN Christian, 24. LéVY Francis, Helena, 1960, comptable, 1954, sous-directeur, 1976, enseignante, 1959, assistante ressources 1957, docteur sciences natu- 1940, physicien, conseillère communale conseiller communal conseillère communale humaines, conseillère com. relles ETH, conseiller com. conseiller communal 6
CONSEIL COMMUNAL – LISTE D’ENTENTE COMMUNALE 25. MATTHEY Olivier, 26. MERMINOD Anne, 27. MEYER Jean-Paul, 28. MINEZAC Christina, 29. MOSER Jean-Louis, 30. MOUVET Laurent, 1957, contrôleur circulation 1961, enseignante, 1955, comptable indépendant, 1944, retraitée-consultante, 1948, chauffagiste, 1961, ingénieur civil EPF, aérienne, conseiller com. conseillère communale conseiller communal conseillère communale conseiller communal conseiller communal 31. PACHE Rémy, 32. PANZERA Marcel-André, 33. QUINTAS Benito, 34. RICHARDS Stephen, 35. RODRIGUEZ Carlos, 36. ROMANZINI Florence, 1959, chef d’entreprise, 1951, directeur SAV Europe- 1963, ingénieur, 1953, analyste financier, 1963, chef de projet, 1975, secrétaire de direction, conseiller communal ME-Afrique, conseiller com. conseiller communal conseiller communal conseiller communal conseillère communale 37. WALPEN René, 38. WEBER Nicolas, 39. WESSNER René, 40. WIRTH Paul, 41. LIECHTI Bernard, 42. BOREL Chantal, 1959, ingénieur en 1959, ingénieur HES, 1957, consultant, 1942, administrateur, 1945, 1977, enseignante informatique, conseiller com. conseiller communal conseiller communal conseiller communal médecin et formatrice HEP 43. RUEGG Olivier, 44. HIRSCH Hans-Jörg, 45. ALLEMANN Yves, 46. RUMIGNANI Marco, 47. PARENT Christine, 48. CLERC Laurent, 1962, 1963, 1958, 1982, 1948, 1968, informaticien commerçant ingénieur maître secondaire étudiant stagiaire professeur d’université lic. HEC/MBI 49. BRANDT Pierre-Yves, 50. CHAPPUIS Olivier, 51. PROBST Claude, 52. LE BLANC Denyse, 53. MONTAGNER Sergio, 54. DUBUIS Etienne, 1970, 1966, 1950, 1954, 1965, mécanicien brevet 1959, avocat inspecteur technique enseignante artiste fédéral journaliste 7
CONSEIL COMMUNAL – LISTE D’ENTENTE COMMUNALE 55. BERNER Roxane, 56. FANKHAUSER Carmen, 57. WILLI Corinne, 58. EQUEY Jacques, 59. PILLER René, 60. SPACCAPIETRA Stefano, 1975, licenciée HEC, 1974, 1966, 1954, 1960, inspecteur 1944, mère au foyer experte en communication Dr. Pharmacie employé de commerce de police judiciaire professeur EPFL 61. DEVAUD Ghislaine, 62. RIBEIRO Hugo, 63. TURATTI Yves J.-L., 64. STEINHAUER Ernest, 65. BOCHUD Thierry, 66. DOUAB Walid, 1947, préposée du contrôle 1975, 1963, 1934, 1974, ingénieur 1981, des habitants contremaître (gaz) commerçant ingénieur EPFL physicien dipl. EPFL étudiant en droit AFFAIRES COMMUNALES Dans ses communications, la Municipa- noise – STEP de Vidy, nouvelle version », conseil communal lité informe qu’une soirée-débat a été orga- celles du préavis No 10/2010 concernant de saint-sulpice nisée pour les séniors, avec comme thème : « Quels besoins pour nos aînés, des loge- « Entente intercommunale Crissier-Ecu- blens-Saint-Sulpice chalet les Alouettes, séance du 8 décembre 2010 ments protégés, un réseau d’entraide ». Cette Morgins, assainissement énergétique, de- soirée a eu un vif intérêt, particulièrement mande de crédit », celles du préavis No En date du 8 décembre 2010, à 20h30, concernant la mise sur pied à Saint-Sulpice 13/2010 concernant « Demande d’un crédit s’est déroulée la septième séance de l’année d’un réseau d’entraide et de proximité. Le de Fr. 60’000.– pour le remplacement de la du Conseil communal au complexe du Lé- sujet des logements protégés a aussi recueilli tondeuse auto-portée du service de la voi- man, sous la Présidence de Monsieur Paul un écho très favorable et ce projet est en rie », celles du préavis No 14/2010 concer- Wirth, et en présence de 48 conseillères et plein développement, grâce à un partenariat nant « Demande de crédit pour le drainage conseillers. public et privé entre plusieurs communes du et divers travaux de réfection du bâtiment Canton et des coopératives d’utilité pu- du 14 avril », ainsi que celles du préavis No blique. 15/10 concernant « Indemnités des membres Le retour du bus santé est prévu du 17 au de la Municipalité pour la législature 2011- 20 janvier 2011 car, l’année passée, il avait 2016 ». rencontré un franc succès. Le budget 2011 faisant l’objet du préavis L’épilogue de l’affaire des cabanons a 16/2010 a aussi été accepté dans son entier. SOMMAIRE aussi été évoqué et enfin les propriétaires de La Municipalité a déposé le préavis mu- ceux-ci le sont aussi de leur fonds sous nicipal suivant : Pages forme de copropriété. La Municipalité informe également le • N° 17/2010 – « Route Cantonale RC1A – Prix Wakker 2011 p. 11 requalification du tronçon avenue Forel – Conseil qu’un nouveau concierge a débuté le carrefour Pré-Fleuri – installation d’un 15 novembre dernier pour l’entretien des bâ- éclairage public, demande de crédit. sDD, art japonais p. 13 timents communaux. Il est à relever que la prolongation du dé- Le Conseil communal a approuvé les lai de mise en œuvre de l’initiative « Sauvons manon luther p. 15 conclusions du préavis No 9/2010 concer- les Crêtes » a été acceptée. nant « la modification de la convention in- tercommunale relative à l’exploitation de la La séance est levée à 22 h 50 carnaval aPe p. 23 station d’épuration des eaux usées et de trai- tement des boues de l’agglomération lausan- Daniel Giroud, secrétaire 8
AFFAIRES COMMUNALES redistribué à ces mêmes communes selon des d’imposition total (communal et cantonal) en le billet du syndic critères de solidarité (péréquation horizontale 2011, il est évident qu’une proportion encore Chers Serpelious, directe), et d’autre part une participation plus grande de leurs impôts sera encaissée par En 2011, les contribuables communale au financement de ce que l’on le canton, puisque, sur 100 francs d’impôts, de Saint-Sulpice payeront appelle la facture sociale cantonale (péréqua- 74,5 francs iront alimenter la caisse canto- environ 10% de moins tion verticale indirecte). Le système de péré- nale… d’impôts communaux. En quation entré en vigueur en janvier 2006 a Le mode de financement de la facture so- effet, le taux d’imposition fait l’objet de nombreuses critiques de la part ciale par les communes à partir de 2011 pré- adopté par le Conseil com- des communes, qui de plus se sont trouvées voit, entre autres, que 50% des droits de suc- munal pour 2011 est de 54 confrontées à une très forte augmentation de cession seront utilisés à cet effet. La (en pour-cent de l’impôt cantonal de base), leur participation à la facture sociale au cours Municipalité a profité de cette nouvelle dis- alors que celui de 2010 était de 60. Malheu- des années (de 458 millions en 2006 à près de position pour revoir les conditions appliquées reusement, cette réduction de 6 points d’im- 700 millions en 2010). Face à cette situation, par la commune pour ces droits. Constatant pôts communaux est entièrement compensée le Conseil d’Etat a proposé une modification que le taux appliqué pour les successions et par une augmentation de 6 points d’impôts du contenu de la facture sociale de manière à les donations en ligne directe descendante cantonaux, le taux d’imposition cantonal réduire la participation communale d’environ était nettement défavorable par rapport à passant de 151,5% en 2010 à 157,5% en 2011. 160 millions, à condition que cette opération ceux pratiqués par le 80% des 375 communes La raison de cette «bascule» de points soit neutre sur le plan financier. En d’autres du canton, elle a proposé la suppression de d’impôts est directement liée à l’introduction termes, il a exigé que des ressources finan- cet impôt à partir de 2011, ce que le Conseil d’un nouveau modèle de péréquation à partir cières de l’ordre de 160 millions soient trans- communal a accepté à la quasi-unanimité. du 1er janvier 2011. Rappelons que la péré- férées des communes à l’Etat par une bascule On peut rêver que l’Etat en fasse de même un quation comprend deux mécanismes finan- de 6 points d’impôts! jour… ciers, d’une part un fonds de péréquation ali- Si les contribuables de Saint-Sulpice ne Jean-Charles Cerottini, menté par toutes les communes vaudoises et constateront pas de modification du taux Syndic RÉCEPTION DES NOUVEAUX CITOYENS 2010 Il est de tradition que la Municipa- lité convie au mois de décembre les jeunes de notre commune ayant at- teint leurs 18 ans au cours de l’année. Sur les 37 personnes que comptait la volée 1992, seuls 11 jeunes gens et jeunes filles ont accepté l’invitation et se sont ainsi retrouvés à la soirée orga- nisée en leur honneur le 1er décembre dernier. L’accès au carnotzet commu- nal était un peu sportif en soi, car le chemin du Crêt était recouvert d’une épaisse couche de neige bien glissante. Les autorités, représentées par MM. Cerottini, Jaton et Wirth, étaient là pour encourager tous ces jeunes à s’intéresser et s’engager dans la vie politique et communale de St- Sulpice, lors d’une soirée sympathique et animée autour des petits plats concoctés par Fernando et son équipe. MR 9
Au plaisir de vous fleur ir ! JJH – CUISINES DIFFUSION SA Osiris Fleurs F O RS TER CUISINES SUISSES ac ie r Au plaisir de vous fleurir ! Mary Chappuis ine e n Rue du Centre 58 – 1025 Saint-Sulpice Tél. 021 691 76 18 Mary E-mail Chappuis : mary@osirisfleurs.ch cuis www.osirisfleurs.ch Lwaw w . j j h c u i s i n e s . c h Horaire: lundi-vendredi 08.30 -12.30 – 14.00 -18.30 samedi Rue du Centre 08.30 58 – 13.30 -17.00 -12.30 1025 Saint-Sulpice Ouvert Tél.dimanche de 09.00 à 12.00 et Fax 021 691 76 18 Toutes décorations florales E-mailLivraisons à domicile : mary@osirisfleurs.ch www.osirisfleurs.ch Accueil d’urgence FAVRE + MOR S.A. CHAUFFAGE - VENTILATION au jardin d’enfants le Croqu’Pomme ENERGIES RENOUVELABLES Rue de Genève 82 Afin d’appuyer le Réseau d’Accueil de Jour des enfants du Sud 1004 LAUSANNE Ouest Lausannois (AJESOL) dans sa mission d’accueil d’urgence, Tél. 021 624 70 70 le jardin d’enfants le Croqu’Pomme prend en charge, dans la mesure Fax 021 624 80 65 E-mail: favremorsa@vtxnet.ch des places disponibles, des enfants de 30 mois à 5 ans dont les parents sont momentanément empêchés. Franco MOR Rue du Centre 22 1025 SAINT-SULPICE Cette prestation est destinée aux enfants qui ne sont pas accueillis Tél. 078 790 19 40 en jardin d’enfants ou garderie au sein du réseau et dont les parents Fax 021 691 67 90 ont besoin d’un accueil de jour non prévisible en raison de motifs: Personnels : rendez-vous médical, traitement médical, maladie. Boucherie charcuterie Familia ux : situation d’épuisement, arrivée d’un nouvel du serpeliou enfant, maladie d’un autre enfant. Christian Meylan Profess ionnels : entretien d’embauche, formation, stage, autres Rue du Centre 56 • 1025 Saint-Sulpice tél: 021 691 88 95 mesures d’insertion. lundi au vendredi : 7h30 à 12h30 / 15h à 18h30 Cet accueil d’urgence est possible du lundi au vendredi Jeudi : de 8h à 11h45. 7h30 à 12h30 / après-midi fermé samedi : Pour toute information supplémentaire ou demande d’accueil 7h à 12h30 / 14h à 17h Dimanche : vous pouvez nous contacter du lundi au vendredi matin au 021 691 88 00 FERMé Eric Weigle Artisan Poêlier-Fumiste Chemin du Russel 23 1025 Saint-Sulpice Tél. : 021 691 49 88 Fax: 021 691 49 77 Cheminées et poêles en faïence Avenue Dapples 34A – 1006 Lausanne Conseils, installation Tél. 021 616 50 53 – Fax 021 616 61 48 et restauration www.imprimeriebeck.ch 10
PATRIMOINE SUISSE Prix Wakker 2011 aux communes de l’ouest lausannois Pour sa quarantième édition, Patrimoine donné pour outil le Schéma directeur de l'Ouest (2009), c’est la quatrième fois que le Prix Wak- suisse attribue le Prix Wakker 2011 aux neuf lausannois (SDOL). Depuis 2003, ce bureau de ker récompense une commune ou une région du communes de l’ouest lausannois. Bussigny, cha- six personnes est chargé de penser et de redessi- canton de Vaud. vannes, crissier, ecublens, Prilly, Renens, st- ner ce qui doit devenir l’un des principaux pôles sulpice, Villars-ste-croix et lausanne reçoivent de l’essor régional. Tout en gardant son iden- a propos du Prix Wakker cette distinction pour leur action commune de tité, l’Ouest lausannois devient ville et prépare Patrimoine suisse attribue chaque année le mise en valeur de leur territoire, d’organisation le terrain pour l’arrivée des 20’000 à 30’000 Prix Wakker à une commune politique. Doté de de leur développement et de création d’une iden- nouveaux résidents d'ici 2020. 20'000 francs, le prix a un impact surtout sym- tité cohérente. la remise officielle du Prix Wak- La vision initiale prend la forme de projets bolique; l’objectif est de mettre publiquement à ker aura lieu le samedi 18 juin 2011 dans le cadre concrets et coordonnés. Gares, aménagements l’honneur la qualité d’un travail exemplaire. d’une cérémonie festive. pour un tram, parcs, quartiers restructurés et vi- Le Prix Wakker a été décerné pour la pre- A l’occasion de sa quarantième édition, le vifiés, ces projets se développent en suivant des mière fois en 1972 à la suite du legs fait à Patri- Prix Wakker est exceptionnellement attribué à principes de développement durable et de moine suisse par l’homme d’affaires genevois neuf communes simultanément. Davantage concertation. Les deux dernières années ont Henri-Louis Wakker. D’autres legs ont permis qu’un état des lieux, qu’une idylle de carte pos- constitué une phase cruciale avec l’ouverture à Patrimoine suisse de décerner ce prix jusqu’à tale, Patrimoine suisse récompense avec le Prix des premiers chantiers de constructions planifiés aujourd’hui. 2011 une vision: la réorganisation urbanistique dans le cadre du SDOL. Le Prix Wakker distingue des communes qui d’un morceau de territoire du canton de Vaud. Par des démarches participatives et des peuvent se prévaloir de prestations de valeur De cette vision, amorcée il y a dix ans, découle études tests, autorités communales et SDOL ont particulière en matière de développement urba- une dynamique de transformation qui vise à intégré les habitants dans le processus de trans- nistique. Les communes de Stein am Rhein, améliorer le cadre de vie de ses habitants. Patri- formation. L'organisation systématique de Guarda, Ernen, etc. ont été récompensées dans moine suisse salue ici la volonté commune de concours pour les projets d'une certaine enver- les années 1970 pour la conservation de leur renforcer l’«esprit de quartier» dans une région gure a pour résultat une plus grande qualité de centre historique, un geste qui n’allait alors pas qui a priori ne projette guère une image identi- la production architecturale. Les exemples les de soi. Aujourd’hui, l’attention est surtout por- taire. plus probants en sont la nouvelle place du Mar- tée aux communes qui poursuivent le dévelop- Ancien territoire rural, l'Ouest lausannois ché qui redonne un véritable coeur à Renens, pement selon des critères contemporains: en fa- s’est développé de façon anarchique, produisant l’ancienne zone industrielle de Malley ou encore vorisant la qualité architecturale des nouvelles une agglomération peu attractive dominée par la gare de Renens. constructions, en réservant un traitement res- des axes de circulation, des nœuds routiers et Comme l’Ouest lausannois, de nombreuses pectueux à la substance bâtie historique et en se ferroviaires, des parkings, des hypermarchés, agglomérations en Suisse se sont longtemps dé- dotant d’un aménagement du territoire exem- des entrepôts et des friches. Cette urbanisation veloppées dans l’angle mort de la société, de plaire sur le plan de l’environnement. rapide et dispersée a engendré des problèmes de sorte que personne ne leur prêtait attention. Informations sur tous les Prix Wakker dé- trafic et de pollution. Affectant directement la Aujourd’hui, elles jettent des défis majeurs à la cernés à ce jour: qualité de vie, ils risquaient de compromettre le société et à la politique: comment lutter contre www.patrimoinesuisse.ch/wakker développement social et économique de la ré- la consommation effrénée de surface à bâtir, les gion. axes de transport surchargés ou les espaces sans Pour toutes questions: En 2000, le canton de Vaud et les neuf com- visages. Monique Keller, Patrimoine suisse, munes concernées ont convenu un moratoire En décernant le Prix Wakker 2011 aux com- Tél. 079 412 73 64 sur les constructions afin de réfléchir sur l'avenir munes de l’Ouest lausannois, Patrimoine suisse Ariane Widmer, cheffe de projet du SDOL, de la région qui compte aujourd'hui 75'000 ha- encourage les autorités à poursuivre leurs ef- Tél. 021 621 08 10 bitants et quelque 50'000 emplois. Liées par un forts entamés il y a dix ans. Après Saint-Prex Infos: www.patrimoinesuisse.ch/medias et accord politique, les neuf communes se sont (1973), Montreux (1990) et Yverdons-les-Bains www.ouest-lausannois.ch Planification intercommunale exigence sur la qualité architecturale Démarche participative Grâce au travail de planification integrative Le SDOL promeut une architecture de qua- Les habitants sont associés au processus de du SDOL, les fragements de ville se rejoignent lité au moyen d’études et de planifications-tests, développement de leur région. Ici, la Place du petit à petit au-delà des frontières communales. de concours et par l’accompagnement des pro- Marché à Renens (Paysagestion et Local - ar- Des réalisations de qualité trouvent place dans jets en phase de réalisation. Ceci contribue à dé- chitecture) est le fruit d’une large concertation les nombreux interstices accroissant la densité et velopper une culture de la qualité. A titre populaire. Au fil des démarches participatives la qualité des lieux. Sur la dizaine de chantiers d’exemple: le collège du Léman (Javet et Espo- qui sous-tendent toutes les actions, le territoire en développement dans l’Ouest lausannois, l’an- sito, architectes) (ci-contre), le collège de la Car- intercommunal prend davantage conscience de cienne zone industrielle de Malley, la gare de rière (Galletti et Matter, architectes), l’ECAL ses richesses paysagères et patrimoniales, de la Renens et le nouveau secteur Arc-en-Ciel for- dans l’ancienne usine Iril (Tschumi Architectes) valeur de son histoire et de son potentiel de dé- ment les points stratégiques du développement ou encore le Collège de l’Union à Prilly (CCHE veloppement. de ce territoire. Photo : G. Bally/Keystone Architectes). Photo : G. Bally/Keystone Photo : Matthieu Gafsou/Localarchitecture 11
Epicerie du Village V. Golaz et N. Bavaud, rue du Centre 54, 1025 Saint-Sulpice Rue du Centre 25 Tél. 021 691 88 05 – Fax ... 06 1025 SAINT-SULPICE VINS – PRODUITS LAITIERS Tél. 021 695 05 05 LÉGUMES ET FRUITS FRAIS www.jfr.ch SERVICE à DOMICILE le mardi et le jeudi matin Lundi au vendredi 7h00 à 12h30 et 15h00 à 18h30 Samedi 7h00 à 12h30 et 14h00 à 17h00 Vente – courtage Dimanche 8h00 à 12h00 expertises immobilières SERPELIOU-CHAMPITTET.pdf Mercredi et dimanche après-midi fermé 1 15/09/10 12:43 C Une école de vie M Y – Programme bilingue (français et anglais) CM – Baccalauréat international (IB) MY – Maturité suisse bilingue – Baccalauréat français CY – Internat CMY K Collège Champittet | 1009 Pully-Lausanne Tél : +41 21 721 05 05 info@champittet.ch | www.champittet.ch Schmidt Frères S.A. PHARMACIE DE LA CERISAIE M. et Mme ARIBOT-Detorrenté, pharmaciens Installations sanitaires Route de la Maladière 12 Maîtrise fédérale 1022 CHAVANNES-PRÈS-RENENS Concessionnaires Eau et Gaz • exécution d’ordonnances Maison fondée en 1909 • livraisons à domicile Service d’entretien • service de garde avec les officines de Renens • ouvert tous les jours de la semaine du lundi Rénovations d’immeubles au vendredi: 8 h –12 h 15, 14 h –18 h 45 Chauffages centraux le samedi: 8 h –12 h 15, 14 h –17 h Prilly/Saint-Sulpice Tél. 021 624 83 35 Tél. 021 691 94 74 12
SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT art japonais tous les tons du noir Du 12 au 21 novembre 2010, l’Auberge communale a accueilli une exposition de l’artiste japonais Kohei Matsushita. En collaboration avec le Cercle Suisse Japon et l’EPFL, c’est la Société de développe- ment qui a organisé l’événement, et plus particulièrement Stefano Spaccapietra. Toutes les œuvres présentées ont un point commun: elles intègrent du bois carbonisé. Un matériau particulier, pour ne pas dire insoup- çonné dans ce contexte. Il faut dire que l’artiste est un diplômé en sciences physiques devenu industriel et que sa société vend des cen- trales de carbonisation de la biomasse. Allier des convictions écolo- giques et un talent artistique, quelle belle ambition! Le résultat sur- prend et séduit, même si le prix des œuvres restreint sérieusement le cercle de leurs possesseurs potentiels. La production du charbon «Sumi» commença en 1990 et le début de l’aventure artistique remonte à 1996. Ensuite, tout s’est précipité, d’abord la création d’un espace Sumi dans un hôpital, puis dans quelques magasins, progressivement dans tout le Japon. Les exposi- tions en dehors du Japon s’enchaînent dès 2004: New York, Paris, Rostock, Perpignan, Toronto. On mesure mieux le privilège de pou- voir admirer ces œuvres à St-Sulpice (VD). Au delà des réalisations de l’artiste, cette exposition offrait aussi une vision du Japon et de divers aspects de sa culture. Lors du vernis- sage, la grâce d’une danseuse a sublimé un amas de bois mort. Di- verses animations ont émaillé la période d’exposition: une cérémonie du thé, une séance d’origami, un séminaire. Une collection de bonsai était également présentée. A cette occasion, plusieurs connaisseurs du Japon se sont unis pour produire une brochure d’introduction à la cul- ture japonaise. Nombreux furent les efforts déployés pour le contenu et pour la promotion de cette exposition de la série «cultures du monde». On pourrait regretter une affluence modeste en dehors du vernissage, mais on peut surtout remercier toutes celles et ceux qui se sont investis pour nous offrir cet événement. BM photos JR 13
Vous pouvez aussi lire