Lettre aux investisseurs - Banque cantonale du Valais
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Lettre aux investisseurs Panorama boursier juillet 2018 – Trimestrielle Scénario macro- La croissance mondiale devrait conserver un rythme de progression solide d’envi- économique ron 4 %. Si les États-Unis demeurent le pilier de la reprise mondiale, la zone euro montre des signes rassurants et devrait continuer de croître à un rythme supérieur à 2 % cette année. Actions Les spécialistes continuent de privilégier les actions. Les fondamentaux économiques semblent s’améliorer après un premier semestre un peu moins solide et les évaluations boursières sont moins tendues. En revanche, les tensions commerciales vives, et la conjoncture chinoise, plus incertaine, pourraient être source de volatilité cet été. Taux L’amélioration du marché du travail, les prémices d’un rebond de l‘activité et les craintes d’une guerre commerciale militent pour une légère accélération de l’inflation. Au-delà de périodes d’aversion au risque qui peuvent favoriser les obligations de meilleure qualité, les pressions haussières sur les rendements pourraient accélérer cet été. Cet environnement encouragera les banques centrales à poursuivre leur lente normalisation des taux courts (Fed, Banque du Canada) ou à adopter un discours graduellement moins conciliant (BCE, BNS). PRIVATE BANKING ASSET MANAGEMENT
Les derniers indicateurs confortent le scénario due. On notera par ailleurs que les premiers pétrole. L’activité dans la zone euro ne devrait d’un renforcement de la croissance au second tarifs douaniers sur les importations d’acier toutefois pas poursuivre le déclin du premier semestre. L’indicateur avancé de l’activité et d’aluminium ont commencé à renchérir les trimestre. Plusieurs indicateurs, comme les PMI mondiale semble se stabiliser, voire s’amé- coûts de production du secteur manufacturier. ou l’indice Ifo du climat des affaires allemand, liorer, à un bon niveau. L’indice global des Des répercussions sur les prix des biens de mettent en évidence la solidité de l’activité directeurs d’achats, qui mesure le climat des consommation sont attendues, d’autant plus industrielle et pointent vers la poursuite d’une affaires, a rebondi ces derniers mois et reste que d’autres produits chinois importés sont en croissance supérieure à 2 %. D’autre part, le bien installé en zone d’expansion. La croissance voie d’être taxés. La Fed, qui semble également marché de l’emploi poursuit sa reprise et les mondiale devrait conserver un rythme de pro- préoccupée par la hausse des tensions com- disparités entre les pays de la zone euro ont gression solide d’environ 4 %. Si les États-Unis merciales, devrait relever son taux directeur tendance à se réduire. La baisse du chômage demeurent le pilier de la reprise mondiale, encore deux fois d’ici fin décembre pour le devrait avoir un effet favorable sur la consom- la zone euro montre des signes rassurants porter à 2,5 %. mation, de même que certains allégements et devrait continuer de croître à un rythme fiscaux en Allemagne. supérieur à 2 % cette année. Quelques nuages Révisée à la baisse au premier trimestre (2,2 %), s’amoncèlent toutefois sur l’Asie, avec un pro- la croissance américaine va s’avérer plus dyna- La Banque centrale européenne n’augmentera bable ralentissement de la croissance chinoise. mique et pourrait dépasser les 3 % au milieu pas ses taux directeurs avant l’été 2019, car Un climat commercial tendu et, surtout, des de l’année. Les indicateurs d’activité restent l’inflation de base reste modeste, proche de conditions financières moins favorables pour- très bien orientés, tant ceux du secteur manu- 1 %. D’autre part, des incertitudes politiques raient freiner l’activité. facturier (60,2 points) que ceux des services subsistent (Italie). (59,1 points). Une accélération des investisse- ments des entreprises est toujours attendue au ETATS-UNIS : vu de capacités de production bientôt insuffi- CHINE : L’IMPACT DES TENSIONS HAUSSE PLUTÔT GRADUELLE santes, dans le secteur manufacturier notam- GÉOPOLITIQUES SONT LES INCERTI- DES PRESSIONS INFLATIONNISTES ment. La confiance des consommateurs est TUDES MAJEURES Aux États-Unis, la tendance haussière de l’in- proche de sommets depuis 17 ans, soutenue par Pour l’instant, l’incertitude règne sur le front flation et des salaires paraît inévitable vu la un marché de l’emploi très favorable et par des des tensions commerciales. Les mesures déjà solidité de la croissance, le bas niveau du allégements fiscaux. La récente augmentation annoncées ne devraient pas avoir un impact chômage et l’impact des taxes à l’importation. des revenus des ménages plaide pour une accé- important sur la croissance, baisse de 0,1 % à Néanmoins, les chiffres de juin pointent vers lération du rythme de consommation durant les 0,2 % au maximum, mais il n’est pas certain une augmentation graduelle des prix plutôt prochains mois. que les protagonistes s’arrêtent là. Par ailleurs, qu’abrupte, et cela devrait rassurer les investis- il ne faut pas négliger l’impact indirect, via seurs sur le fait que la Réserve fédérale n’est pas une éventuelle baisse de confiance des acteurs en retard, du moins pas trop, dans son processus ZONE EURO : LE MARCHÉ DE L’EMPLOI économiques. de normalisation de la politique monétaire (Fed POURSUIT SA REPRISE funds estimés à 2,5 % en fin d’année contre 2,0 Dans la zone euro, l’inflation de base demeure Ces tensions commerciales et une certaine actuellement). proche de 1 %, encore assez loin de l’objectif de baisse de régime de l’économie chinoise, résul- 2 % de la BCE. Les prix pourraient également tant des mesures de prudence à l’égard du cré- Conséquence logique du dynamisme conjonc- augmenter un peu plus vite en fin d’année, vers dit en 2017 (conditions financières restrictives turel américain, la progression des prix s’avère 1,4 %, soutenus par le recul du chômage, par pour la conjoncture, mesurée par l’évolution du plus rapide aux États-Unis. L’inflation de base la stabilisation de l’euro et par la progression transport ferroviaire de marchandises), sont les y a atteint 2,3 % en juin et devrait encore pro- des cours du pétrole. principales sources d’incertitude sur la vigueur gresser compte tenu d’un marché du travail en de la reprise au second semestre, et en particu- situation de plein-emploi. Même si le rythme En 2018, la croissance sera en moyenne plus lier cet été. Même si un ralentissement excessif de progression annuelle des salaires s’est sta- modeste que celle de l’an passé. Les raisons n’est pas à l’ordre du jour, les conditions finan- bilisé autour des 2,7 % ces derniers mois, une avancées sont notamment l’appréciation de cières sont devenues plus restrictives pour la accélération vers les 3 % est toujours atten- l’euro l’année dernière et la hausse des cours du croissance après un resserrement du crédit et une hausse des taux l’an dernier. L’investisse- ment faiblit depuis plusieurs mois et la perte de vitesse des importations indique une détériora- tion de la demande intérieure. Une réaction des autorités est attendue. La récente baisse du taux de réserve obligatoire des banques annoncée par la Banque populaire de Chine marque pro- bablement le retour à une politique monétaire plus stimulante. La BoC semble aussi s’activer sur le marché des changes. On a récemment observé une dépréciation plus nette du yuan contre le dollar, de quoi soulager les exporta- teurs touchés par les sanctions commerciales américaines. PRIVATE BANKING ASSET MANAGEMENT
EVOLUTION DES ACTIONS (CHF) 300 Marché des actions ENTWICKLUNG DER AKTIEN 300 Suisse Schweiz USA Les fondamentaux des marchés boursiers USA semblent s’améliorer dans un 250 Zone EURO horizon de trois à six mois, 250 mais l’été pourrait être encore volatil. La Eurozone Japon Japan Asie ex-Japon tendance de l’indicateur avancé de l’activité s’est récemment améliorée, Asien ex-Japan Angleterre England 200 synonyme d’une poursuite200de la reprise mondiale à un rythme assez solide au second semestre. Les évaluations boursières sont moins ten- dues après presque six mois 150de consolidation latérale des indices, mais EVOLUTION 150 DES ACTIONS (CHF) ENTWICKLUNG DER AKTIEN de progression des bénéfices. Cependant, les marchés pourraient encore Source Thomson Reuters Datastream 300 300 100 Suisse être affectés cet été par un100certain manque Schweiz de tonus de la conjoncture USA (Chine surtout), mis en évidence parUSAle recul des indicateurs écono- 250 Zone EURO miques au premier semestre, 250 et, bienEurozone entendu, par les tensions com- Japon Japan 50 50 Asie ex-Japon Angleterre merciales toujours vives. La performance des actions américaines a Asien ex-Japan England 200 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 atteint un nouveau plus haut 200 en 2012 2013 par 2014 termes relatifs rapport à 2015 l’indice 2016 mondial. Cet avantage pourrait perdurer au cours des prochains mois, 150 150 car la dynamique conjoncturelle devrait entraîner encore une progres- EVOLUTION DES ACTIONS (CHF) ENTWICKLUNG DER AKTIEN sion des bénéfices au-dessus de la moyenne mondiale. L’attrait de la TAUX DES OBLIGATIONS CONFÉDÉRATION 10 ANS ZINSSATZ BUNDESOBLIGATIONEN 10 JAH Source Thomson Reuters Datastream 300 300 100 Suisse Bourse suisse augmente, elle 100ne devrait pas être la plus performante sur Schweiz 0.3 0.3 USA la distance (horizon 2019) si la reprise USA demeure solide, mais face aux 250 Zone EURO 250 incertitudes estivales elle pourrait Eurozone offrir 50 Japon 50 Japanun bon rapport potentiel haus- 0.2 Asie ex-Japon 0.2 Asien ex-Japan 2012Angleterre 2013 2014 2015 2016 2017 2018 sier/risque baissier, car la croissance des bénéfices est2014 2012England 2013 aussi importante 2015 2016 200 200 que dans la zone euro et parce que sa valorisation s’est passablement 0.1 améliorée 0.1 Marché obligataire 150 150 TAUX 0.0 DES OBLIGATIONS CONFÉDÉRATION 10 ANS ZINSSATZ BUNDESOBLIGATIONEN 10 JAH 0.0 Datastream 100 0.3 100 0.3 Datastream ReutersReuters -0.1 -0.1 Dès le mois de juin, la persistance des tensions commerciales a conti- nué de pousser les investisseurs vers la sûreté des obligations de meil- Thomson 50 0.2 50 0.2 leure qualité. Ce mouvement -0.2 sécuritaire n’a2013 été que temporaire. Dès le 2016 Thomson -0.2 2012 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2012 2014 2015 SourceSource AOÛT SEPT. OCT. NOV. DÉC. JAN. FÉV. MARS AVR. MAI JUIN JUIL. début de juillet, des statistiques AUG SEPT. vers pointant OKT. une NOV. accélération DEZ. JAN. FEB. de MÄRZ la APR. 0.1 0.1 2017 2018 2017 croissance et vers un rebond de l’inflation ont commencé à pénaliser 2018 les échéances longues. Il faudra toutefois patienter avant de compléter TAUX DES OBLIGATIONS CONFÉDÉRATION 10 ANS 0.0 ZINSSATZ 0.0 les expositions, même aux emprunts BUNDESOBLIGATIONEN du Trésor à 10 ans américain, 10 JAH PARITÉS EUR/USD – EUR/CHF – USD/CHF PARITÄTEN EUR/USD – EUR/CHF – USD/C Source Thomson Reuters Datastream 0.3 qui offrent déjà des coupons 0.3 bien plus élevés que ceux en euros ou en -0.1 -0.1 1.4 francs. Malgré la fermeté de1.4la reprise, l’ampleur des hausses des rende- 0.2 ments restera contenue (environ 0.2 30 points de base). Elle se traduira par -0.2 1.3 des performances négatives -0.2 1.3pour les obligations en francs et en euros, AOÛT SEPT. OCT. NOV. DÉC. JAN. FÉV. MARS AVR. MAI JUIN JUIL. AUG SEPT. OKT. NOV. DEZ. JAN. FEB. MÄRZ APR. 0.1 2017 dont les coupons n’offrent0.1qu’une protection 2017 limitée du capital. Tant 1.2 2018 1.2 2018 que l’aversion au risque restera contenue, les obligations incorporant 0.0 EUR/USD du risque de crédit devraient 0.0 dégagerEUR/CHF des performances plus volatiles, EUR/USD 1.1 EUR/CHF 1.1 mais proches de celles des emprunts sans USD/CHFrisque. PARITÉS EUR/USD – EUR/CHF – USD/CHF USD/CHF PARITÄTEN EUR/USD – EUR/CHF – USD/C Datastream 1.0 Le potentiel de compression 1.0 des spreads est limité, d’autant plus que Datastream -0.1 -0.1 1.4 les pressions haussières sur1.4les salaires commenceront à peser sur les Reuters 0.9 marges des entreprises. Le0.9surplus de rendement émanant de ce type Reuters Thomson 1.3 -0.2 1.3en comparaison historique et n’offre doré- d’emprunts reste très faible-0.2 AOÛT SEPT. OCT. NOV. DÉC. JAN. FÉV. MARS AVR. MAI JUIN JUIL. AUG SEPT. OKT. NOV. DEZ. JAN. FEB. MÄRZ APR. Thomson 0.8 0.8 navant qu’une protection limitée durant les2017 périodes de pressions haus- Source 1.2 2013 2017 2014 2015 2016 2018 2017 2018 1.2 2013 2014 2015 2016 2018 Source sières sur les taux, de désillusions financières ou de tensions politiques. EUR/USD EUR/USD Marché des changes 1.1 EUR/CHF 1.1 EUR/CHF USD/CHF USD/CHF PARITÉS 1.0 EUR/USD – EUR/CHF – USD/CHF PARITÄTEN EUR/USD – EUR/CHF – USD/C 1.0 Source Thomson Reuters Datastream 1.4 1.4 0.9 Le rebond de l’indicateur avancé 0.9 de l’activité en juillet et une légère 1.3 détente de l’aversion au risque 1.3 ont quelque peu écorné la valeur re- 0.8 fuge du franc. 0.8 1.2 2013 2014 2015 2016 2017 2018 Ces prochaines semaines, 1.2 2013 suisse2014 le franc 2015 un peu moins devrait rester 2016 EUR/USD solide contre l’euro et, surtout, contreEUR/USD le dollar. Celui-ci pourrait s’ap- 1.1 EUR/CHF 1.1 EUR/CHF USD/CHF précier vers 1,02-1,03 franc, porté parUSD/CHF la solidité de la croissance amé- 1.0 ricaine et des rendements offerts 1.0 sur les placements en dollars. Source Thomson Reuters Datastream Le retour des vacances risque d’être plus chahuté, surtout pour l’euro 0.9 qui vivra les intéressantes 0.9 discussions sur le budget italien. Si le dollar peut se raffermir contre le franc, il devrait aussi reprendre 0.8 des couleurs contre l’euro0.8et retourner vers 1,14-1,15 (1,17 actuelle- 2013 2014 2015 2016 2017 2018 2013 devises2014 2015 2016 ment pour l’EUR/USD). Quant aux liées aux matières premières (dollars canadien et australien), elles resteront chahutées tant par les tensions commerciales que par les soubresauts du pétrole. Dans le sillage d’une inflation temporairement plus présente et de la progression régulière des volumes de crédit, la BCE abandonnera, d’ici décembre, ses mesures de relance quantitative, puis relèvera ses taux d’intervention dès l’été 2019. La BNS devrait agir dans le sillage immé- diat de la BCE, à moins que le franc ne faiblisse durablement au-delà de 1,22-1,23 contre l’euro. PRIVATE BANKING ASSET MANAGEMENT
2e pilier : quelles rêt minimal LPP, en 2018 de 1%. Mais ce pourcentage pourrait être accordé seulement Devant les impondérables des marchés finan- ciers, force est de constater que le rôle du garanties à long sur la pure part minimale LPP de l’avoir de vieillesse constitué et non pas sur son entier. rendement de la fortune, remplit de moins en moins son office. En outre, la baisse des taux terme ? On discerne déjà une différence en termes de garanties. A la fin du 20e siècle, certains techniques induit la nécessité de disposer de plus de capital de couverture. Nous entrons En 1964, Bob Dylan sortait sa chanson « The fournisseurs de prestations ont d’ailleurs dans un cercle vicieux qui peut conduire à Times, They are A-changin’». Ce titre pourrait déterminé une séparation entre les garanties des hausses de cotisations, des modifications facilement être repris pour éclairer l’histoire offertes pour le minimum LPP, et donc incom- de plan de pension, des mesures d’assainisse- de la LPP en Suisse, en constant mouvement : pressibles, de celles qui pouvaient l’être : le ment etc… Les prestations à venir, dites d’ex- introduction en 1985 sur la base de taux d’in- modèle dit « Winterthur » était né. pectative sont donc dépendantes de ces dif- térêt garantis de 4% puis larges modifications férentes variables et, partant, non garanties. dans la loi et ses ordonnances. Ces transfor- Cette séparation a de fait ouvert la porte à Les rentes en cours, pour l’heure du moins, mations ont-elles touché le cœur du système, des garanties moins évidentes : la rente que restent encore à l’écart de ces turbulences. à savoir les garanties qui y sont liées ? le pensionné touche aujourd’hui est-elle tota- Nous voyons toutefois poindre à l’horizon des lement garantie à long terme ? La question solutions avec des rentes flexibles. Il convient de rappeler en préambule que est délicate : les caisses de pension doivent les garanties liées à la Loi sur la Prévoyance jongler avec des données techniques sou- Le système de prévoyance professionnelle Professionnelle (LPP) n’ont un aspect contrai- vent défavorables (trop de rentiers par rap- devra se réinventer et trouver les solutions gnant que dans le strict cadre dudit « minimum port aux actifs, taux techniques trop élevés adéquates pour maintenir non seulement des LPP ». Cette définition relève de l’application notamment) et des rendements insuffisants prestations correctes en ligne avec sa mission brute de la loi en termes de salaires assurés, de par rapport à leurs besoins. L’équation liée à de complément à l’AVS, mais aussi et surtout plan de prévoyance et de taux de conversion. la garantie des prestations devient un casse- la confiance des assurés. Tout ce qui pourrait dépasser ces prestations tête. Si les rentiers sont nombreux et qu’ils constitue la partie dite « enveloppante » qui vivent plus longtemps que les projections va donc au-delà de ce que la loi requiert. actuarielles utilisées à l’époque de leur prise de Cette deuxième partie n’est pas concernée rente, ce qui est souvent le cas, la caisse creuse directement par certaines garanties données ses réserves et la question de la garantie des par la LPP. Le premier exemple à mentionner rentes pourrait bien un jour se poser. L’aban- est le capital accumulé par l’assuré sur son don programmé des systèmes dits d’assurance compte. Celui-ci dispose chaque année d’une complète (dans lesquels tout est garanti) ren- garantie sur la valeur nominale plus l’inté- force encore cette évolution. Ce document vous est adressé à titre d’information uniquement. Il n’est pas une étude de société, une analyse financière, une offre, une invitation ou une recommandation personnalisée pour l’achat ou la vente de produits spécifiques. Les informations et opinions contenues dans ce document ont été obtenues de sources dignes de foi à la date de la publication. Elles n’engagent pas la responsabilité de la BCVs et sont susceptibles de modifications. © Reproduction autorisée avec mention de la source Labellisée Swiss Climate CO2e optimisé, la Banque Cantonale du Valais s’engage pour l’environnement. Ce document est imprimé en Valais, sur du papier composé uniquement de fibres recyclées. PRIVATE BANKING ASSET MANAGEMENT
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