Market News Etudes Economiques & Stratégie - Aurel BGC

 
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Etudes Economiques & Stratégie

                       Quelques craintes sur la croissance américaine…
                             S&P 500 : 4 520 (- 0,3%) / VIX : 18,14 (+ 10,5%)

                             Dow Jones : 35 100 (- 0,8%) / Nasdaq : 14 374 (+ 0,1%)

                             Nikkei : 30 120 (+ 0,7%) / Hang Seng : 26 293 (- 0,2%) / Asia Dow : + 0,2%

                             Pétrole (WTI) : 68,69 $ (+ 0,5%)

                             10 ans US : 1,372% / €/$ : 1,1836 $ / S&P F : + 0,1%
                       (À 6h50 heure de Paris, Source : Marketwatch)

Indice S&P 500             Etats-Unis

                       Les indices américains clôturent la séance d’hier divisée, affectée par des
                       arbitrages entre les valeurs cycliques/values vers les valeurs de croissance,
                       notamment le secteur technologique, sous fonds de révision à la baisse des
                       projections de croissance aux Etats-Unis, notamment après les chiffres de
                       l’emploi d’août. Le Dow Jones connait une baisse de 0,8%, tandis que l’indice
                       Nasdaq progresse de 0,1%. Entre les deux indices, le S&P 500 perd 0,3%. Mais,
                       malgré ce recul limité, le VIX bondit de 11%, traduisant un net rebond des
                       craintes sur l’économie américaine des investisseurs. Le repli de l’indice Dow
                       Jones était surtout centré autour de quelques poids lourds comme le groupe
                       pharmaceutique Amgen (- 2,2%), 3M (- 4,5%), Honeywell (- 2,4%) et surtout
                       Boeing (- 1,8%). La compagnie irlandaise low-cost Ryanair a annoncé cesser
                       ses négociations avec l'avionneur pour la commande de 737 MAX pour des
                       questions de prix. Huit des onze secteurs du S&P étaient en territoire négatif.
                       Dans le vert, on trouvait les secteurs de croissance, comme les services de
                       communication ou les technologies de l'information. Tesla a gagné 2,6% et
                       Netflix a bondi de 2,7%.
                       State Street (- 3,7%) a annoncé le rachat des activités de services aux
                       investisseurs de la banque Brown Brothers Harriman pour 3,5 Mds $ en
                       numéraire. Le fournisseur d'équipements de laboratoires, Avantor (+ 3,1%) a
                       annoncé le rachat du fabricant de pompes péristaltiques Masterflex pour 2,9 Mds
                       $ en numéraire et en actions. Le groupe d'immobilier commercial, Columbia
                       Property Trust (+ 15,2%) est racheté par des fonds de Pimco pour 3,9 Mds $.
                       La municipalité de Pékin a démenti envisager que des entreprises publiques
                       chinoises prennent des participations au capital du géant des VTC, Didi Global
                       (+ 7,3%). L'action de la maison mère de Tinder, Match Group (+ 7,5%) va faire
                       son entrée prochaine dans la composition de l'indice S&P 500. Les autorités
                       américaines enquêtent sur des paiements du groupe d'armement, Raytheon
                       Technologies (- 0,8%), à un consultant de l'armée du Qatar, qui pourraient avoir
                       été destinés en réalité à un membre de la famille régnante de l'émirat, selon le
                       Wall Street Journal. Qualcomm (- 0,6%) a annoncé qu'il fournirait au groupe
                       Renault des puces nécessaires au fonctionnement du tableau de bord numérique
                       de la nouvelle Mégane E-TECH électrique qui devrait être commercialisée l'an
                       prochain. Apple (+ 1,6%) a annoncé la tenue le 14 septembre d'un événement
                       spécial au cours duquel pourraient être présentés de nouveaux modèles
                       d'iPhone. Intel (+ 0,3%) a annoncé qu'il pourrait investir jusqu'à 80 Mds € en
                       Europe au cours des 10 prochaines années afin de développer les capacités de
                       production de semi-conducteurs sur le continent. L'Allemagne et la France font
                       figure de favorites mais la Pologne, où Intel est déjà présent, est aussi citée.
Les principales raffineries de Louisiane et plusieurs compagnies pétrolières et
             gazières présentes dans la région ont annoncé être de nouveau en mesure ou
             en passe de reprendre leurs services, cinq jours après le passage de l'ouragan
             Ida sur le sud des Etats-Unis.
             Deutsche Telekom a annoncé la conclusion d'un accord d'échange d'actions
             avec le groupe japonais Softbank, qui lui permet d'augmenter sa participation
             dans sa filiale américaine T-Mobile (- 1,1%). Deutsche Telekom va augmenter
             sa participation de 5,3% dans T-Mobile pour la porter à 48,4%, une opération de
             plus de 7 Mds $. Softbank recevra une participation de 4,5% dans Deutsche
             Telekom pour devenir son deuxième actionnaire après l'État allemand et ne
             vendra pas ses actions avant 2024.
             Le conseil d'administration de Boeing devrait être visé par une plainte de ses
             actionnaires après les deux crashs subis par des 737 MAX. Un magistrat a
             considéré que les actionnaires s'estimant lésés étaient fondés à réclamer des
             comptes au conseil d'administration et que le premier des deux accidents
             d'avions aurait dû suffire à alerter la direction de Boeing.

              Asie

             Les marchés asiatiques sont mitigés, ce matin. L’indice Nikkei poursuit sa hausse
             (+ 0,7%), marquant une série de 7 séances consécutives de hausse, mais le
             Hang Seng recule de 0,2%, le Kospi de 0,7% et la bourse australienne perd
             0,4%. Shanghai est de son côté quasiment stable. La révision à la hausse du
             PIB japonais du second trimestre (+ 1,9% vs + 1,3%) n’est pas à l’origine de la
             performance de l’indice Nikkei. La conjoncture actuelle demeure fragile, alors
             que l'archipel connaît depuis fin juin une vague record de Covid-19 qui pèse sur
             la consommation et les services. Les investisseurs nippons restent concentrés
             sur les déclarations autour du successeur de M. Suga. L'ancienne ministre
             japonaise des Affaires intérieures Sanae Takaichi, doit annoncer, ce matin, sa
             candidature à la présidence du Parti libéral-démocrate (LDP), a annoncé son
             cabinet. Si sa candidature était couronnée de succès, Sanae Takaichi serait la
             première femme à devenir Première ministre du Japon. Le LDP tiendra son
             scrutin interne le 29 septembre, après que le Premier ministre Yoshihide Suga a
             annoncé vendredi dernier qu'il se retirait de la course à la tête du parti. Pour
             l'instant, seul l'ancien ministre des Affaires étrangères Fumio Kishida a annoncé
             sa candidature, mais le ministre chargé de la lutte contre la COVID-19, Taro
             Kono, et Sanae Takaichi ont fait part de leur ambition de se présenter. Au niveau
             des valeurs, Toyota (- 0,1%) a annoncé son intention d'investir 1 500 Mds de
             yens d'ici 2030 dans le développement de nouvelles batteries, alors qu'il veut se
             renforcer sur le segment porteur des véhicules électriques. Le géant japonais
             prévoit de développer ses véhicules et batteries de manière intégrée, afin de
             viser une baisse de 50% des coûts de production par véhicule d'ici 2030. Mais
             ce montant paraît presque modeste par rapport aux efforts colossaux d'autres
             constructeurs mondiaux comme l'allemand Volkswagen dans le tout-électrique.
             Mitsubishi Corp (+ 1,1%) a annoncé un accord de long terme avec Amazon pour
             fournir directement de l'électricité photovoltaïque à ses centres de données au
             Japon. Le yen est stable par rapport au dollar, à raison d'un dollar pour 110,27
             yens. Les cours du pétrole sont en légère hausse, ce matin en Asie, le WTI gagne
             0,5%.

Change €/$    Changes et Taux
             Le dollar s’est renforcé sur la séance d’hier face à l'euro et aux principales
             monnaies. La livre sterling, elle, perdait du terrain après l'annonce d'une future
             augmentation d'impôts par le gouvernement britannique. A la clôture de Wall
             Street, l'euro perdait 0,2% à 1,1845 $. Le billet vert avait atteint un plus bas
             depuis un mois vendredi après la publication des créations d'emplois sur le mois
Taux 10 ans (US)          d’août. Le dollar a profité de la remontée des taux longs américains et des
                          hésitations de Wall Street, retrouvant son rôle de « devise refuge ». L'euro cédait
                          aussi du terrain du fait de la prudence des cambistes avant une réunion de
                          politique monétaire de la BCE, demain. La livre Sterling pour sa part se rétractait
                          face au dollar (- 0,4% à 1,3786 $) et à l'euro (- 0,2% à 85,91 pence). Rompant
                          ses promesses de campagne, le Premier ministre Boris Johnson a annoncé des
                          plans pour une augmentation des prélèvements sociaux et des taxes sur les
Taux 10 ans (Allemagne)
                          dividendes pour remettre à flots son système de santé.
                          Les cours des cryptomonnaies ont plongé et les échanges de cryptomonnaies
                          ont été retardés. Le Salvador a rencontré des difficultés en tant que premier pays
                          à adopter le bitcoin comme monnaie légale. Le bitcoin a chuté de plus de 17 %
                          à 43 000 $ avant de réduire ses pertes pour s'échanger à 47 140,27 $ (- 9,20 %).
                          Plus tôt, le bitcoin avait atteint un sommet de 52 948,00 $. L'ether, la pièce liée
                          au réseau blockchain ethereum, a chuté de 12 %. Les actions des entreprises
                          liées à la blockchain ont également chuté alors que les stocks de crypto ont été
                          touchés par des pannes de plateforme d'échange. Mais l'attention principale s'est
                          portée sur le Salvador, où le gouvernement a dû débrancher temporairement un
                          portefeuille numérique pour faire face à la demande. Les principales bourses de
                          cryptomonnaies Coinbase Global Inc et Kraken ont déclaré avoir été confrontées
                          à des retards dans certaines transactions sur leurs plateformes. La bourse
                          Gemini a déclaré qu'elle était entrée temporairement dans une période de
                          maintenance complète pour résoudre un problème lié à la bourse qui a causé
                          des problèmes de performance. Les actions des mineurs de cryptomonnaies Riot
                          Blockchain ont chuté de 7,4 % et Marathon Digital Holdings de 7,8 %. Les actions
                          de MicroStrategy Inc, un acheteur de BTC et une société de logiciels de business
                          intelligence, ont chuté de 7,6 %.
                          Au niveau du marché obligataire, les taux longs se sont nettement tendus sur la
                          journée. Il est difficile d’expliquer ce mouvement par des indicateurs
                          économiques du jour. L’indice ZEW allemand a été en baisse, la production
                          industrielle allemande a rebondi de 1% en juin mais reste inférieure de 5,5% à
                          son niveau de février et la révision de la croissance dans la zone euro au second
                          trimestre est très modeste (+ 2,2% vs + 2,1% précédemment) … Sans grande
                          conviction, seule l’annonce de la RBA d’une réduction de ses achats obligataires
                          (de 5 Mds $A par semaine à 4 Mds $A mais avec un prolongement de la durée
                          du programme) malgré le variant, ouvrant la porte aux autres banques centrales,
                          comme le Fed ou la BCE, pourrait expliquer ce mouvement. Les taux allemands
                          se sont tendus de 5,0 pb, à – 0,323%, et de 4,8 pb pour les taux longs français.
                          Le mouvement est similaire sur les Bonos espagnols (+ 5,0 pb à 0,37%) ou les
                          BTP Italiens (+ 6,3 pb à 0,752%). Les taux longs américains n’ont pas échappé
                          à cette correction avec une hausse de 4,5 pb à 1,367%. Certains commentaires
                          mettent en avant les importantes émissions du Trésor américain, cette semaine
                          et sur le mois, qui pourraient aussi expliquer ces brutales tensions.

Pétrole (WTI)              Pétrole

                          Les cours du pétrole ont confirmé leur tendance à la baisse sur la séance d’hier,
                          sous l'effet de plusieurs facteurs conjugués, du dollar en hausse aux orientations
                          prudentes de l'OPEP, en passant par le repli de Wall Street. Le baril de Brent de
                          la mer du Nord pour livraison en novembre a terminé en baisse de 0,7% ou 53
                          cents, à 71,69 $. A New York, le WTI, pour échéance en octobre, a lui abandonné
                          1,4% ou 94 cents, à 68,35 $. La morosité relative de Wall Street et les révisions
                          à la baisse des prévisions de croissance américaine par plusieurs économistes,
                          qui prend en compte les effets prolongés du variant Delta du coronavirus et la fin
                          des mesures de soutien du gouvernement Biden, ont pesé sur les cours. Lundi,
                          plusieurs médias ont aussi annoncé que le géant pétrolier Aramco avait ainsi
                          abaissé ses prix pour ses clients asiatiques, laissant entendre que la demande
                          était fragile. Le PDG du groupe pétrolier russe Loukoïl, Vaguit Alekperov, a
indiqué au quotidien Kommersant que des prix du baril s'inscrivant dans une
                                                     fourchette de 65 à 75 $ étaient « confortables pour les consommateurs ». Les
                                                     pays de l'alliance OPEP+, dont fait partie la Russie, « souhaitent s'y maintenir en
                                                     régulant les volumes », a-t-il ajouté.

                                                     Les « news Market Mover »
                                                         Obligations « vertes » de la Commission Européenne.

                                                         Pas de changement de cap pour les « faucons » du Fed.

                                                         Pékin poursuit son durcissement politique.

                                                     La Commission européenne a annoncé son intention d'émettre en octobre sa
                                                     première obligation destinée à financer des projets de réduction des émissions
                                                     de gaz à effet de serre dans le cadre du plan « NextGenerationEU ». Ces
                                                     obligations « vertes » sont censées représenter au total jusqu'à 250 Mds €, soit
                                                     30% des émissions globales prévues par le plan de relance dévoilé l'an dernier.
                                                     La Commission a confirmé qu'elle prévoyait d'émettre pour 80 Mds €
                                                     d'obligations à long terme au total cette année, auxquelles s'ajouteront des titres
                                                     à court terme.
                                                     Dans une interview au FT, le président de la Fed de Saint-Louis, James Bullard,
                                                     réaffirme la nécessité de mettre en place un tapering malgré les chiffres de
                                                     l’emploi d’août. La banque centrale doit réduire ses achats, avec un arrêt à la fin
                                                     du T1 2022, pour pouvoir ensuite remonter éventuellement ses taux directeurs.
                                                     La banque centrale doit agir pour « réduire » une bulle immobilière « naissante »
                                                     selon lui. En cas de remontée trop violente et rapide des taux longs, la banque
                                                     centrale pourrait mettre en place une opération twist (vendre du court terme et
                                                     acheter à long terme).
                                                     Le marché chinois de la chirurgie esthétique serait le prochain secteur qui
                                                     pourrait subir la répression de Pékin. Le régulateur s’inquiéterait des dérives de
                                                     ce secteur face à des « attentes irréalistes » des chinois, l’intervention de
                                                     nombreux professionnels sans licence et avec une qualité variable et un impact
                                                     sur l’endettement des chinois. Pékin serait aussi inquiet sur les risques autour de
                                                     l’immobilier, alors qu’Evergrande montre les excès dans ce secteur. Les
                                                     obligations du groupe se sont fortement dégradées et sa notation a été abaissée.
                                                     Enfin, hier, le PDG du géant chinois du commerce en ligne JD.com a annoncé
                                                     se mettre en retrait de la gestion quotidienne de l'entreprise. Après notamment
                                                     Jack Ma, fondateur de son rival Alibaba, c'est le dernier dirigeant en date d'une
                                                     grande entreprise chinoise à se faire plus discret dans un contexte de reprise en
                                                     main réglementaire des autorités.

                                                                    en collaboration avec

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