Variole du singe : un test PCR prêt avant l'apparition de l'épidémie
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Variole du singe : un test PCR prêt avant l’apparition de l’épidémie 1. Campagne de dons Octobre 2022 Chers amis lecteurs. Nous lançons une campagne de dons pour ce mois d'Octobre et nous comptons sur vous pour nous aider à continuer notre travail de réinformation. Comme vous le savez, l'entretien et le fonctionnement de notre site ont un certain coût, et nous dépendons presque entièrement de vos dons pour en assurer le financement. Réseau International a besoin de vous plus que jamais pour assurer la continuité de son travail de réflexion et de réinformation 13 137,00 € atteint Participer Alors que la France se met en alerte parce que le pays comptait le 29 mai 2022 16 cas de personnes infectées par la variole du singe et que la Haute Autorité de santé recommandait déjà le 24 mai de vacciner les professionnels de santé et les cas contacts, nous découvrons qu’une étude sur la variole du singe réalisée par des scientifiques du laboratoire P4 de Wuhan et de l’université de l’Académie des sciences de Chine a été publiée en février 2022. Elle démontre qu’une technique de tests PCR pour détecter le virus a été mise au point. L’étude, transmise en août 2021, a été validée et publiée en février 2022 quelques mois avant l’apparition officielle du premier cas de variole du singe en mai 2022.
Une étude visant à pouvoir détecter le virus Pour résumer l’étude, les chercheurs ont réussi à mettre au point une technique de séquençage ADN qui permet aux tests PCR de reconnaître le virus. Ils évoquent un « assemblage efficace d’un grand fragment du génome du virus de la variole du singe en tant que modèle de qPCR en utilisant la recombinaison associée à la transformation basée sur la double sélection ».
C’est une technique nouvelle de détection d’un virus par PCR quantitative qui est exposée ici : elle consiste à intégrer des segments du génome de la variole du singe à des séquences génétiques de levures qui permettent de lire, marquer par fluorescence et amplifier les segments génétiques du virus recherché. Dans ce cas, les chercheurs chinois ont fait l’acquisition de séquences synthétiques du génome du virus de la variole du singe qui correspondent « à moins d’un tiers du génome total », précise l’étude. Ce pour des raisons évidentes de sécurité : assembler le virus entier permettrait certes de le détecter dans sa totalité, le rendrait davantage visible au moment de l’amplification en PCR et diminuerait le risque d’obtenir des faux positifs. Mais le reconstituer en entier pourrait cependant le rendre infectieux. C’est le risque qu’avait pris, en 2017, un groupe de chercheurs sino-américains lors de recherches sur la vaccination contre le virus de la variole du cheval. Les scientifiques de l’entreprise de biotechnologie américaine « Tonix pharmaceuticals » avaient en effet proposé d’assembler complètement ce virus sur la base de séquences ADN synthétiques. L’assemblage obtenu conférait donc à ce nouveau virus toutes ses propriétés d’infectivité et de toxicité. Un risque que les chercheurs de Wuhan indiquent avoir voulu écarter. Des risques existants Ces manipulations ne sont néanmoins pas sans danger puisque, quels qu’ils soient, les virus étudiés en laboratoire et dans certains cas transformés suite à des gains de fonction peuvent s’en échapper. Dans le cas de l’étude concernée dans cet article, les scientifiques reconnaissent qu’on ne maîtrise pas toutes les conséquences de telle recombinaisons qui pourraient « soulever des problèmes de sécurité potentiels, en particulier lorsque le produit assemblé contient un ensemble complet de matériel génétique pouvant être récupéré dans un agent pathogène contagieux ».
Mais comme pour le lien de causalité entre les vaccins et les effets secondaires, il semble difficile de prouver celui susceptible d’exister entre un virus échappé d’un laboratoire et une pandémie, ce qui a peut-être été le cas pour la Covid-19, hypothèse longtemps réfutée par les médias, puis réhabilitée. Rappelons que des recherches sur les coronavirus ont été réalisées au laboratoire de Wuhan et il est fortement admis que des manipulations génétiques aient pu y être effectuées.
Aujourd’hui, il est peut-être même question que M. Stéphane Bancel, PDG de Moderna, puisse être l’un des responsables de la propagation de la Covid-19. Interviewé par une journaliste de Fox Business en février 2022 qui lui demandait si une séquence retrouvée dans l’ARN du SARS-CoV-2 était bien identique à celle brevetée par le laboratoire pharmaceutique américain en 2017, M. Bancel a reconnu qu’une fuite de laboratoire n’était pas à exclure, que l’erreur était humaine et qu’une équipe de scientifiques était en train de vérifier ces données. Nous attendons toujours les résultats… Running gag ou davantage de sagesse à venir ? Dans le cas de la variole du singe, supposer un lien entre un virus de laboratoire et une épidémie réelle sera-t-il à nouveau moqué et taxé de complotisme, puis accepté sans aucune
excuse envers les premiers lanceurs d’alerte ? Allons-nous cette fois trouver la preuve d’un lien concret entre un animal et la forme du virus qui se propage actuellement parmi les êtres humains, comme cela n’est toujours pas le cas pour la Covid-19 ? Si nous trouvions des dépositaires de brevet éventuellement responsables de la propagation d’un virus comme Stéphane Bancel, botteront-ils en touche comme il l’a fait et continueront-ils à vendre leurs « remèdes » vaccinaux, dans le plus grand silence médiatique et en toute impunité ? Si aujourd’hui, nous ne pouvons rien affirmer, il nous semble important de rester vigilants. source : Nexus
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