FRANCE CITROËN A RÉALISÉ PLUS DE LA MOITIÉ DE SES VENTES AUPRÈS DES PARTICULIERS EN JANVIER - CCFA
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ANALYSE DE PRESSE DE 14H00 05/02/2020 FRANCE CITROËN A RÉALISÉ PLUS DE LA MOITIÉ DE SES VENTES AUPRÈS DES PARTICULIERS EN JANVIER En janvier, Citroën a réalisé 52,2 % de ses ventes auprès des particuliers (contre 44 % en moyenne pour les autres constructeurs). Avec une part de marché de 11,6 %, la marque se montre satisfaite de ce début d’année 2020, même si les marques généralistes accusent un net repli. « Les canaux ne sont pas à la fête avec surtout un marché des particuliers en net recul (- 24,4 %) et 43,5 % des cartes grises totales. Mais sur ce canal, Citroën se démarque avec une part de marché de 14 %, soit près de 1,5 point au-dessus du niveau de janvier 2019 et surtout 52,2 % de ses immatriculations totales », commente Amaury de Bourmont, directeur du commerce France de Citroën. Le segment du BtoB a par ailleurs représenté 24,5 % des immatriculations de la Citroën le mois dernier, même si l’on peut distinguer le canal des sociétés de celui des loueurs sur ce début d’année. « Il faut dire que les loueurs ont subi un problème technique pour immatriculer leurs véhicules et n’ont pu le faire qu’à compter de la mi-janvier. Ce qui explique la faiblesse de ces clients sur le mois », observe le dirigeant. Trois Citroën se sont placées dans le top 15 du marché français, dont deux dans le top 10. « Le C5 Aircross monte également en puissance, et clairement notre objectif est de positionner 3 modèles cette année dans le top 12 du marché », indique M. De Bourmont. Citroën mise également sur l’arrivée de la version hybride du C5 Aircross, dont les prises de commandes ont démarré. « Aujourd’hui, nous enregistrons 5 % de nos prises de commandes sur ce modèle PHEV. A terme, dès que les véhicules seront présents en concession en avril 2020, nous souhaitons que cette part s’élève à 20 % », souligne le directeur. Source : JOURNALAUTO.COM (4/2/20) Par Alexandra Frutos
PSA FRANCHIT UNE NOUVELLE ÉTAPE DANS LA VENTE EN LIGNE EN LANÇANT SON PEUGEOT STORE Dans le cadre de sa transformation digitale, le Groupe PSA vient de lancer le Peugeot Store, différent du Peugeot Web Store lancé en 2018. Alors que le Peugeot Web Store ne propose que des véhicules en stock, le nouveau portail Peugeot Store permet au client de configurer entièrement son véhicule qui sera fabriqué en usine, selon ses choix. Tous les modèles sont configurables, aussi bien au niveau de l’aspect extérieur (teinte de carrosserie, jantes) qu’intérieur (sièges, équipements de sécurité, de confort, de divertissement), sans oublier le choix de la motorisation. A l’heure actuelle, seul l’achat au comptant est disponible sur ce Peugeot Store, qui devrait toutefois s’agrémenter, dès le mois d’avril, d’un module de financement. A noter qu’à chaque étape de la configuration, le délai de livraison du véhicule est précisé. Le Peugeot Store demande au client de confirmer sa commande au moyen d’un acompte de 1 000 euros, quel que soit le modèle configuré. Toutefois, le client est libre d’annuler sa commande en ligne à tout moment avant la livraison du véhicule et la somme versée est à ce moment remboursée. Une fois la personnalisation achevée, le client est redirigé vers son compte MyPeugeot, où il est invité à saisir ses informations personnelles et choisir le concessionnaire avec lequel il souhaite finaliser le processus. Après confirmation de la commande, le concessionnaire choisi rappelle le client dans les 48 heures pour convenir d’un rendez-vous qui permettra notamment de réaliser le paiement, de compléter sa commande avec des offres additionnelles (accessoires, financement, contrats de maintenance, mandat d’immatriculation), mais aussi de convenir de la date, de l’heure et des modalités de livraison du véhicule. Le concept sera élargi aux marques Citroën et DS Automobiles en France courant février, avant d’être déployé sur d’autres marchés sensibles à un parcours numérique, comme en Chine par exemple. Source : JOURNALAUTO.COM (4/2/20) Par Alexandra Frutos LES VÉHICULES IMPORTÉS D’OCCASION RESTERAIENT EN NEDC CORRÉLÉ Le 3 février, la direction de la législation fiscale et le ministère de l’Intérieur ont transmis aux constructeurs et aux principaux mandataires une disposition temporaire concernant les « véhicules usagés importés, c’est à dire disposant d’une immatriculation dans le pays d’export, même à 0 km ».
En effet, dans le cadre de la mise en place du certificat électronique de conformité eCoC au 1er mars 2020, le gouvernement doit faire face à des bugs successifs qu’il n’avait pas anticipés. Pour rappel, le certificat eCoC, reporté à plusieurs reprises, permet de calculer la valeur exacte d’émission de CO2 par véhicules en prenant en compte la nouvelle homologation WLTP. Le problème concerne en particulier la saisie manuelle du taux de CO2 pour les véhicules homologués WLTP, immatriculés une première fois en dehors de la France après le 1er mars 2020 et importés usagés sur le territoire français. Afin d’éviter de soumettre ces véhicules au barème de la puissance administrative, les services de l’Etat auraient tout simplement décidé que la valeur CO2 serait « récupérée automatiquement, comme actuellement, dans le référentiel du code national d’identification du type (CNIT) et [correspondrait] donc à l’équivalent théorique en NEDC corrélé de la valeur obtenue en WLTP ». Ces véhicules importés auront ainsi une fiscalité qui s’appuiera sur le « barème CO2 [référence NEDC] en vigueur lors de la date de la première immatriculation du véhicule dans son pays d’export assortie d’une réfaction de 10 % par année entamée ». Dans cette même note, les services du ministère ajoutent qu’une « évolution du système d’immatriculation des véhicules (SIV) est programmée au dernier trimestre de 2020 en vue d’autoriser une saisie manuelle du taux de CO2 par les tiers de ‘confiance’ [au sens du ministère de l’Intérieur] ou les Centres d’expertise et de ressources des titres (CERT) et permettre l’application du barème WLTP au véhicule importé dont la première immatriculation dans le pays d’export est postérieure au 1er mars 2020 ». Cette disposition temporaire est une bonne nouvelle pour les mandataires, qui bénéficieront d’un effet d’aubaine sur certains modèles de véhicules très bien placés en matière de fiscalité sur cette première grille de malus en NEDC corrélé. Certains modèles de véhicules pourront ainsi débarquer en zéro kilomètre sur le territoire français assortis d’une fiscalité très intéressante. C’est en revanche une mauvaise nouvelle pour les distributeurs français, qui vont devoir faire face à cette nouvelle distorsion en termes de malus pendant quelques mois et au moins jusqu’à la fin de l’année 2020. Source : AUTO-INFOS.FR (5/2/20) Par Alexandra Frutos BRÉSIL HONDA A PRODUIT SON 2 MILLIONIÈME VÉHICULE AU BRÉSIL Honda a franchi la barre des deux millions de véhicules produits au Brésil. Le constructeur a démarré son activité d’assemblage dans le pays en 1997, à Sumaré, avec la Civic. Le véhicule “anniversaire” est un HR-V Touring, fabriqué à Itirapina. L’usine d’Itirapina a été inaugurée en 2019. “Produire 2 millions de véhicules est significatif ; cela implique que nous avons su
répondre aux attentes de millions de clients au Brésil mais également sur les marchés d’exportation”, a commenté le président de Honda South America, Issao Mizoguchi. Au cours de ces 23 années d’activité, Honda a investi dans ses installations pour les agrandir et les moderniser. Il produit aujourd’hui plus de 500 véhicules par jour au total sur ses deux sites : des Civic, Fit, City, HR-V et WR-V, et y emploie plus de 3 500 personnes. Source : AUTOMOTIVE BUSINESS (3/2/20) Par Juliette Rodrigues ETATS-UNIS FORD A DÉGAGÉ UN PETIT BÉNÉFICE EN 2019 Ford a annoncé une lourde perte trimestrielle et s’est montré pessimiste pour l’année 2020. Le constructeur américain a subi une perte nette de 1,7 milliard de dollars au dernier trimestre 2019, à comparer avec une perte de 100 millions de dollars un an plus tôt, en raison d’une charge de 2,2 milliards de dollars pour couvrir l’augmentation de sa quote- part dans les cotisations retraite de ses salariés dans le monde, d’un déclin de ses ventes en Amérique du Nord et des coûts liés au lancement de nouveaux modèles comme le Ford Explorer. Le chiffre d’affaires a diminué de 5 % à 39,7 milliards de dollars. Le bénéfice avant intérêts et impôts en Amérique du Nord a plongé de 64 %, à 700 millions de dollars, mais Ford Europe est repassé dans le vert, avec un bénéfice de 21 millions de dollars, et Ford a réduit sa perte en Chine (à 207 millions de dollars, – 61 %). Sur l’ensemble de l’année dernière, Ford a dégagé un bénéfice net de 47 millions de dollars (contre 3,7 milliards en 2018), pour un chiffre d’affaires de 155,9 milliards de dollars, en baisse de 2,8 %. Le bénéfice avant intérêts et impôts des activités en Amérique du Nord a diminué de 13 %, à 6,6 milliards de dollars. Le constructeur, dont le plan de relance tarde à porter ses fruits, a reconnu que les résultats étaient inférieurs aux attentes. Pour 2020, Ford a indiqué anticiper un bénéfice par action ajusté compris entre 0,94 dollar et 1,20 dollar, alors que les analystes financiers tablaient sur 1,26 dollar en moyenne. Cette prévision intègre les investissements prévus pour effectuer la transition vers l’électrique, mais ne prend pas en compte l’impact financier du coronavirus, qui a forcé le constructeur à suspendre temporairement sa production dans ses usines chinoises de Chongqing et Hanghzhou. « Il est encore trop tôt pour évaluer l’impact financier de l’épidémie de coronavirus”, a expliqué l’entreprise. Ford a récemment annoncé la commercialisation prochaine d’une Mustang électrique, la Mach-E, et de versions électriques du Ford F-150. Des versions électriques de la Ford Escape et de la Ford Kuga sont également attendues. La marque de haut de gamme Lincoln s’est pour sa part associée avec la startup Rivian pour produire des véhicules
électriques. Ford prévoit d’investir 11 milliards de dollars dans la technologie électrique. Il poursuit en outre son offensive dans la technologie autonome via des partenariats avec Volkswagen et l’indien Mahindra. Source : AFP (5/2/20), AUTOMOTIVE NEWS (4/2/20) Par Frédérique Payneau INDE MARUTI SUZUKI COMPTE VENDRE 1 MILLION DE VOITURES “VERTES” AU COURS DES PROCHAINES ANNÉES Maruti Suzuki, qui a vendu 1 million de véhicules à énergies alternatives au cours de la dernière décennie (hybrides et au gaz), veut vendre le deuxième million beaucoup plus rapidement. “Nous comptons écouler 1 million de véhicules hybrides, au gaz mais aussi électriques en Inde au cours des prochaines années”, a précisé le constructeur. “Toutes nos divisions et départements vont oeuvrer pour atteindre cet objectif”, a ajouté Kenichi Ayukawa, directeur général de Maruti Suzuki. “Nous pensons que les consommateurs seront au rendez-vous. Ils sont prêts à accepter et à utiliser ces nouvelles technologies, y compris les motorisations électriques. L’ acceptation de ces technologies par un nombre croissant de consommateurs permettra, à moyen terme, de proposer une mobilité durable et abordable à nos concitoyens”, a expliqué M. Ayukawa. Source : ECONOMIC TIMES (5/2/20) Par Juliette Rodrigues ITALIE FERRARI DÉPASSE POUR LA PREMIÈRE FOIS LES 10 000 VOITURES LIVRÉES Ferrari a annoncé avoir dépassé en 2019, pour la première fois de son histoire, le seuil des 10 000 voitures livrées (10 131 unités écoulées, en hausse de 9,5 %). Ferrari a cherché ces dernières années à accroître progressivement sa production, tout en ayant à cœur de conserver le caractère exclusif de la marque. En 2010, ses ventes s’étaient établies à 6 573 unités. La région Europe-Moyen-Orient-Afrique reste le principal marché de Ferrari, avec 4 895 véhicules vendus (+ 15,8 %). Les livraisons ont bondi par ailleurs de 20,3 % en région Chine-Hong Kong-Taïwan et de 12,9 % dans le reste de l’Asie, tandis qu’elles ont diminué de 3,3 % sur le continent américain. Porté par ces ventes record, le chiffre d’affaires du constructeur a augmenté de 10,1%
l’an passé, à 3,76 milliards d’euros, avec une hausse de même tendance au quatrième trimestre. Le bénéfice net a en revanche diminué de 11,2 %, à 699 millions d’euros. Ferrari a néanmoins relevé ses objectifs pour 2020 par rapport à ce qui avait été annoncé lors de la présentation de son plan stratégique, en septembre 2018. Il prévoit désormais un chiffre d’affaires supérieur à 4,1 milliards d’euros (au lieu de supérieur à 3,8 milliards) et un Ebitda (bénéfice avant impôts) ajusté entre 1,38 et 1,43 milliard d’euros (contre supérieur à 1,3 milliard précédemment). Source : AFP (4/2/20) Par Juliette Rodrigues PORTUGAL LE MARCHÉ AUTOMOBILE PORTUGAIS A RECULÉ DE 8,5 % EN JANVIER Les ventes de véhicules au Portugal ont reculé de 8,5 % en janvier, à 17 504 unités, indique l’ACAP (Association des constructeurs automobiles au Portugal). Les ventes de voitures, notamment, se sont établies à 14 423 unités le mois dernier, en baisse de 8 %, tandis que celles de véhicules utilitaires légers ont diminué de 11 %, à 2 595 unités. Enfin, les ventes de véhicules de fort tonnage ont baissé de 7,6 %, à 486 unités. Source : COMMUNIQUE DE PRESSE ACAP (3/2/20) Par Juliette Rodrigues ROYAUME-UNI LE ROYAUME-UNI VEUT BANNIR LES VOITURES À MOTEURS THERMIQUES DÈS 2035 Le Premier ministre britannique Boris Johnson a promis hier, lors de la présentation de la COP26 à Londres, d’avancer de cinq ans, à 2035, l’interdiction prévue de la vente de voitures à essence ou diesel au Royaume-Uni. Les consommateurs ne pourraient alors acheter que des véhicules électriques ou à hydrogène, à l’exclusion des véhicules hybrides. La COP26 se tiendra à Glasgow en novembre. Accueillir cette conférence « est une opportunité pour le Royaume-Uni et les nations du monde entier d’intensifier la lutte contre le changement climatique », a déclaré M. Johnson aux côtés du naturaliste David Attenborough. Le Royaume-Uni vise zéro émission nette de gaz à effet de serre d’ici 2050 et a décrété que 2020 serait « l’année de l’action pour le climat », a poursuivi M. Johnson, ajoutant que « tout au long de cette année, nous inciterons les autres à nous rejoindre ». L’association des constructeurs d’automobiles britanniques (SMMT) s’est dite « extrêmement préoccupée » par la décision du gouvernement d’avancer l’interdiction de la
vente de voitures à moteurs thermiques et curieuse de connaître ses projets pour atteindre ce nouvel objectif, alors que la demande actuelle de voitures à zéro émission, qui constituent une technologie coûteuse, ne représente qu’une fraction des ventes. Source : AFP (4/2/20), AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (4/2/20) Par Frédérique Payneau LE MARCHÉ AUTOMOBILE BRITANNIQUE A BAISSÉ DE 7,3 % EN JANVIER Les immatriculations de voitures neuves au Royaume-Uni ont reculé de 7,3 % au mois de janvier, à 149 279 unités, selon les chiffres publiés par la SMMT (association des constructeurs britanniques). Le mois dernier, la demande des particuliers a diminué de 13,9 %, à 61 717 unités. Les ventes aux flottes ont baissé de 2,2 %, à 84 618 unités. Les immatriculations de voitures diesel ont plongé de 36 % (à 29 605 unités) et celles de voitures à essence ont baissé de 9,5 % (à 91 836 unités). Les immatriculations de voitures électriques et hybrides ont quant à elles fortement augmenté et représenté 11,9 % du marché, contre 6,8 % un an plus tôt : celles de voitures électriques sont passées sur un an de 1 334 à 4 054 unités (+ 203,9 %), celles d’hybrides rechargeables de 2 268 à 4 788 unités (+ 111,1 %) et celles d’hybrides de 7 412 à 8 941 unités (+ 20,6 %). Source : COMMUNIQUE SMMT (5/2/20) Par Frédérique Payneau
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