FRANCE PORSCHE FRANCE VA INVESTIR 10 MILLIONS D'EUROS DANS UNE NOUVELLE CONCESSION À POISSY - CCFA

 
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ANALYSE DE PRESSE DE 14H00 11/12/2019

FRANCE

PORSCHE FRANCE VA INVESTIR 10 MILLIONS D’EUROS DANS UNE
NOUVELLE CONCESSION À POISSY
Afin de « désengorger les sites parisiens » et de renforcer la représentation de la marque dans le
département, Porsche France, via sa filiale Porsche Distribution, va investir 10 millions d’euros
pour bâtir un nouveau centre, qui sera situé à Poissy (Yvelines). Présentée comme « le site de
référence en France pour la distribution de la marque » par le directeur de Porsche Distribution
Cyrille Van Belleghem, cette concession de 9 800 m², qui s’articulera sur trois niveaux, sera bâtie
sur un terrain de 12 000 m².

Le permis de construire devrait être déposé d’ici à la fin de l’année 2019 et le début des travaux est
annoncé pour l’été prochain. Le site intégrera un centre de formation technique pour les
collaborateurs des ateliers du réseau Porsche France, ainsi qu’une école de formation.

Porsche Distribution, qui affiche un chiffre d’affaires de 127 millions d’euros et un volume de vente
de 1 500 voitures neuves et d’occasion, s’articule autour de six implantations en Ile-de-France,
situées à Saint-Germain-en-Laye, Vélizy, Levallois, Paris 16ème, Saint-Maur-des-Fossés et
Ferrières-en-Brie.
Source : LARGUS.FR (10/12/19)

Par Alexandra Frutos

VALEO EXPOSE SES OBJECTIFS POUR LA PÉRIODE 2020-2022
Lors de sa journée investisseurs organisée le 10 décembre, le directoire de Valeo a présenté ses
objectifs. Au terme de la période 2020-2022, le groupe présidé par Jacques Aschenbroich vise une
performance supérieure de 5 points au marché automobile. Valeo compte également améliorer sa
profitabilité et ainsi porter sa marge d’Ebitda à plus de 15 % de son chiffre d’affaires en 2022, contre
12,6 % en 2018. Cette progression, assortie d’une gestion stricte de ses investissements,
conduiront l’équipementier à accroître la génération de flux de trésorerie à un niveau compris entre
1,3 et 1,5 milliard d’euros. Cela reviendra à doubler les chiffres par rapport à la période 2017-2019.

Valeo a cependant très nettement abaissé les objectifs de sa coentreprise avec Siemens dans les
moteurs électriques. Le groupe évoque désormais un chiffre d’affaires de 1,4 milliard d’euros en
2022, contre plus de 2 milliards précédemment. Cet objectif de 2 milliards d’euros a été ajourné à
2024. La coentreprise, sur laquelle l’équipementier a beaucoup misé, vise une marge d’Ebitda à 8
% des ventes et des flux de trésorerie à l’équilibre en 2022.

En marge de la présentation de ce plan, Valeo a dévoilé 12 nouvelles plateformes technologiques
clés qui permettent de renforcer son leadership dans les domaines de l’électrification et des ADAS.
« Ces plateformes technologiques nous confèrent un avantage compétitif en créant d’importantes
barrières à l’entrée. Elles nous permettront d’augmenter significativement notre contenu moyen par
véhicule et renforceront notre résilience dans un marché incertain, tout en réduisant nos dépenses
de R&D et nos investissements en pourcentage de chiffre d’affaires », a commenté M.
Aschenbroich.
Source : JOURNALAUTO.COM (10/12/19)

Par Alexandra Frutos

L’INCREVABLE PNEU UPTIS DE MICHELIN REÇOIT TROIS
RÉCOMPENSES
Le prototype Uptis, pneu increvable développé par Michelin, vient de recevoir consécutivement
trois prix prestigieux, le Golden Steering Wheel Award 2019 en Allemagne, le Coyote Automobile
Award 2020 en France et l’AVT ACES Award 2020 aux Etats-Unis. Ces prix, décernés
respectivement par le groupe de presse allemand Auto Bild, par la communauté européenne
Coyote et par le magazine américain Autonomous Vehicle Technology, comptent parmi les plus
incontournables du secteur.
Source : AM-TODAY.COM (10/12/19)

Par Alexandra Frutos

SHARE NOW DOUBLE SA FLOTTE DE VOITURES EN AUTOPARTAGE
À PARIS
Alors que le 3 décembre, Free2Move a informé ses clients de l’ouverture de son service à deux
nouvelles villes franciliennes, Saint-Mandé (Val-de-Marne) et Saint-Cloud (Hauts-de-Seine), Share
Now a annoncé le 10 décembre l’ajout de 400 véhicules supplémentaires dans les rues de la
capitale parisienne. Un renfort qui vient tout simplement doubler la taille du parc exploité par le
service d’autopartage allemand, en portant le total à 800 unités, dont 60 Smart EQ Forfour.

« Depuis son lancement en janvier, notre service est largement apprécié à Paris. Avec ces
véhicules supplémentaires, nous continuons de répondre aux demandes et aux besoins de nos
clients français. Nous continuons notre chemin vers une option de mobilité urbaine toujours plus
durable, fiable et de haute qualité », a expliqué William Roze, responsable de Share Now Paris, qui
qualifie de « considérable » le potentiel de croissance de la ville. Lancé en janvier 2019, le service
de location en libre accès revendique 30 000 utilisateurs et 1,8 million de kilomètres parcourus avec
les Smart électriques.
Source : JOURNALAUTO.COM (10/12/19)

Par Alexandra Frutos

LA FRANCE VA PERDRE DU TERRAIN EN MATIÈRE DE R&D
D’après la dernière édition du « cours du chercheur », calculé chaque année depuis neuf ans par
l’Agence nationale de la recherche et de la technologie (ANRT), la France conserve sa position de
milieu de classement parmi les nations concurrentes. L’Agence établit cette comparaison
internationale en retraitant les données comptables d’un panel de 15 grandes entreprises qui
emploient 700 000 chercheurs en France et dans le monde.

Si la France résiste, c’est grâce à l’existence du crédit d’impôt recherche (CIR). Ce puissant
dispositif fiscal, d’environ 6 milliards d’euros par an, permet aux entreprises d’effacer 30 % des
dépenses de R&D sous forme de baisse d’impôt sur les sociétés. Sans ce mécanisme, le chercheur
français serait le plus cher après l’Américain (score de 146), qui est lui-même deux fois plus cher
que le Français avec CIR inclus (score de 74).

La compétitivité hexagonale en matière de R&D devrait toutefois s’éroder ces prochaines années.
Dans le cadre de la première lecture du budget 2020, les députés ont en effet voté en octobre un
coup de rabot sur le CIR de 200 millions d’euros. Dans le détail, le taux de prise en compte des
frais de fonctionnement a été réduit de 50 % à 43 %. Cette mesure devrait être confirmée ces
prochaines semaines en deuxième lecture du PLF. Elle devrait entraîner une baisse de 3,5 % du
CIR des grandes entreprises du panel étudié par l’ANRT. Cela suffira, dès l’année prochaine, à
rendre les chercheurs britanniques plus compétitifs que les français.

Une réforme bien plus radicale, envisagée cette année par le rapporteur général du budget Joël
Giraud, aurait entraîné des effets beaucoup plus négatifs. Le député des Hautes-Alpes a évoqué un
temps l’idée de plafonner le CIR à l’échelle d’un groupe, et non plus de ses filiales. Si cette réforme
devait un jour prendre corps, les grandes entreprises verraient leur montant de CIR divisé par deux
et la France se retrouverait parmi les pays les plus chers, prévient l’ANRT. Alors que les grands
groupes ne semblent pas maximiser leur CIR : sur les huit entreprises du panel concernées par
cette potentielle mesure, une seule a réellement créé davantage de filiales depuis l’élargissement
du CIR en 2008. Quatre n’ont pas fait évoluer leur structure juridique et trois ont au contraire
supprimé des filiales.

Même si le choix de localisation d’un centre de R&D ne dépend pas seulement des incitations
fiscales, ces velléités de réforme inquiètent. D’autant plus que, « ces neuf dernières années, la
concurrence fiscale s’est nettement accrue. Les autres pays ne cessent d’ajuster leurs dispositifs
pour accroître leur compétitivité », témoigne Pierre Bitard, directeur de projets innovation à l’ANRT.
Les pays étrangers copient en effet le modèle français. Le Parlement allemand a par exemple
adopté un dispositif très proche du CIR le 7 novembre. Centré sur les PME, il est doté d’un taux de
réduction d’impôt de 25 %, plafonné à 500 000 euros. Avant adoption de ce dispositif, le « cours »
du chercheur allemand arrivait juste derrière le plus cher, le chercheur américain.
Source : FIGARO (11/12/19)

Par Alexandra Frutos

EUROPE

VENTES DE VÉHICULES ÉLECTRIQUES EN EUROPE : L’ALLEMAGNE
EST PASSÉE DEVANT LA NORVÈGE
L’Allemagne pourrait ravir pour la première fois cette année le titre de premier marché européen
pour les voitures électriques à la Norvège. Sur la période janvier-novembre, 57 533 voitures
électriques neuves ont été immatriculées sur le marché allemand, contre 56 893 sur le marché
norvégien, selon les chiffres publiés par les organisations en charge des transports dans les deux
pays.
La Norvège est le premier marché en Europe pour les véhicules électriques depuis au moins 2010,
année où la première voiture électrique de série, la Nissan Leaf, a été introduite.

Les constructeurs allemands ont lancé une grande offensive dans l’électrique. Ils vont tripler leur
offre (à 150 modèles) d’ici à 2023 et investir 50 milliards d’euros d’ici à 2024, a indiqué Bernahard
Mattes, président sortant de la Fédération allemande de l’industrie automobile (VDA) la semaine
dernière.

Selon la Fédération routière norvégienne (OFV), les ventes de voitures électriques neuves en
Norvège ont chuté de 27 % en novembre, à 3 697 unités. A l’inverse, les ventes de voitures
électriques en Allemagne ont augmenté de 9,1 % le mois dernier, à 4 651 unités, selon les chiffres
publiés par l’Office fédéral des transports (KBA).
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (10/12/19)

Par Frédérique Payneau

LA PROCHAINE AYGO DE TOYOTA POURRAIT ÊTRE ÉLECTRIQUE
Toyota ne compte pas abandonner le segment des petites citadines en Europe. “L’ Aygo a été un
très bon produit pour nous en termes d’acquisition de clients, notamment de clients jeunes”, a
déclaré Johan Van Zyl, directeur général de Toyota Europe. “Toutefois, la prochaine génération de
l’Aygo pourrait être électrique”, a-t-il ajouté.

L’Aygo, qui a été lancée en 2014, est actuellement la seule voiture de Toyota vendue en Europe
sans version hybride.

“De plus en plus de villes ont mettent en place des zones zéro émission, nous devons donc penser
à l’avenir de notre petite citadine dans ce nouvel environnement”, a expliqué M. Van Zyl.

L’Aygo est produite aux côtés des Peugeot 108 et Citroën C1 dans une usine commune avec le
groupe PSA à Kolin, en République tchèque.

Toyota a vendu 83 030 Aygo en Europe au cours des 10 premiers mois de 2019, en hausse de 3,7
%.

Toyota a annoncé le lancement de trois véhicules électriques à batterie d’ici à 2021 en Europe, dont
une version du SUV compact Lexus UX.
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (11/12/19)

Par Juliette Rodrigues

ALLEMAGNE

AMS DÉTIENT LA MAJORITÉ DES TITRES D’OSRAM
La seconde tentative d’AMS pour prendre le contrôle d’Osram a réussi. L’entreprise autrichienne,
spécialiste des capteurs, détenait plus de 55 % des titres du spécialiste allemand de l’éclairage le 6
décembre et les actionnaires d’Osram peuvent encore lui apporter leurs titres jusqu’au 24
décembre.
« Nous avons réussi à atteindre le seuil minimum d’acceptation de notre offre pour Osram », a
indiqué AMS dans un communiqué.

Osram a pour sa part souligné que la société autrichienne avait pris des engagements concernant
ses salariés et ses usines, en particulier en Allemagne. Des licenciements liés à la fusion, par
exemple, sont exclus jusqu’à fin 2022, a-t-il indiqué.
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (9/12/19), AUTOMOBILWOCHE (10/12/19)

Par Frédérique Payneau

MOBILITÉ ÉLECTRIQUE : LE NOMBRE DE BORNES DE RECHARGE
EN ALLEMAGNE A FORTEMENT AUGMENTÉ
23 840 bornes de recharge publiques pour les véhicules électriques sont actuellement installées en
Allemagne, soit près de 50 % de plus qu’en décembre 2018, selon la Fédération allemande des
entreprises de l’énergie et de l’eau (BDEW).

Une rencontre au sommet entre des représentants du gouvernement et du secteur de l’énergie pour
développer l’infrastructure de recharge pour les voitures électriques est prévue le 13 décembre,
rappelle Automobilwoche.
Source : AUTOMOBILWOCHE (11/12/19)

Par Frédérique Payneau

BRÉSIL

LE PARC ÉOLIEN DE HONDA AU BRÉSIL A PERMIS D’ASSEMBLER
600 000 VOITURES
Le parc éolien de Honda au Brésil a permis au constructeur de produire assez d’énergie pour
l’assemblage de 600 000 voitures, évitant ainsi le rejet de 27 000 tonnes de CO2. Installée il y a
cinq ans à Xangri-La, dans l’Etat du Rio Grande du Sud, cette structure est la seule du genre
détenue par un constructeur automobile dans le pays.

L’énergie produite par les éoliennes de Honda alimente 100 % de l’usine de Sumaré (São Paulo)
ainsi que les bureaux administratifs du site.

Cette année, Honda a annoncé qu’il installerait sa dixième éolienne.
Source : AUTOMOTIVE BUSINESS (8/12/12)

Par Juliette Rodrigues

L’INDUSTRIE ÉQUIPEMENTIÈRE BRÉSILIENNE RÉVISE À LA HAUSSE
SA PRÉVISION DE CHIFFRE D’AFFAIRES POUR 2019
L’Association des équipementiers automobiles au Brésil (Sindipeças) a révisé à la hausse, à
144,1 milliards de réals (31,4 milliards d’euros), sa prévision de chiffre d’affaires pour l’année 2019,
contre 102,5 milliards de réals initialement annoncés. La nouvelle prévision est supérieure de 5,1 %
au résultat de 2018.

Pour 2020, l’Association prévoit un chiffre d’affaires de 148,5 milliards de réals (32,3 milliards
d’euros), en hausse de 3 % par rapport à 2019.

Selon Sindipeças, les constructeurs d’automobiles installés au Brésil représenteront 65,3 % du
chiffre d”affaires global des équipementiers en 2019 (66 % prévus pour 2020), tandis que les
exportations correspondront à 11,6 % (10,5 % en 2020) ; le marché de la rechange représentera
quant à lui 18,7 % des recettes du secteur (18,9 % en 2020).

Par ailleurs, l’industrie équipementière brésilienne devrait afficher, fin décembre, un effectif total de
254 300 personnes, soit 1,2 % de moins que fin 2018. Pour 2020, la prévision porte sur 248 000
personnes (- 2,5 %).
Source : AUTOMOTIVE BUSINESS (12/12/19)

Par Juliette Rodrigues

CORÉE DU SUD

DÉCÈS DU FONDATEUR DU GROUPE CORÉEN DAEWOO
Kim Woo-choong, fondateur du groupe Daewoo, est décédé le 9 décembre à l’âge de 83 ans.

L’ancien groupe coréen a été le symbole de l’ascension fulgurante de la Corée du Sud après la
guerre de Corée (1950-1953). L’aventure débute en 1967 lorsque M. Kim investit 5 000 dollars dans
une entreprise textile et crée Daewoo. Au fil des ans, Daewoo étend ses activités et devient le
deuxième conglomérat coréen. Lourdement endetté, le groupe, qui compte 41 filiales, ne résiste
pas à la crise financière asiatique et fait faillite en 1999. Sa filiale automobile Daewoo Motor est
rachetée par General Motors au début des années 2000.

En fuite depuis 1999, M. Kim revient en Corée du Sud en 2005. Il est arrêté et condamné à 10 ans
de prison pour détournement de fonds et fraude, mais bénéficie d’une grâce présidentielle en 2007.
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (10/12/19)

Par Frédérique Payneau

EMIRATS ARABES UNIS

HYUNDAI VA FOURNIR PLUS DE 1 200 TAXIS HYBRIDES À DUBAÏ
Hyundai a annoncé qu’il livrerait 1 232 Sonata hybrides d’ici à la fin 2020 à des société de taxis
(Dubai Taxi Corp. et Cars Taxi) à Dubaï.

Le constructeur coréen, qui fournit des taxis hybrides aux Emirats arabes unis depuis 2018, indique
que ses voitures représenteront 63 % du marché local des taxis d’ici à la fin de l’année prochaine,
contre 13 % actuellement.
Source : YONHAP (11/12/19)

Par Frédérique Payneau
ETATS-UNIS

ACCORD SUR UNE VERSION RETOUCHÉE DE L’ACCORD DE LIBRE
ÉCHANGE ETATS-UNIS/MEXIQUE/CANADA AUX ETATS-UNIS
Aux Etats-Unis, les Démocrates de la Chambre des Représentants ont apporté leur soutien à
l’accord de libre-échange Etats-Unis/Mexique/Canada (USMCA) après avoir obtenu des révisions
non négligeables dans plusieurs domaines, dont l’environnement et le social, ce qui ouvre la voie à
la ratification de la nouvelle version de l’accord conclu entre les trois pays.

La présidente démocrate de la Chambre des Représentants, Nancy Pelosi, s’est félicitée des
changements que son camp a réussi à négocier. La nouvelle version de l’accord est meilleure pour
les travailleurs américains et sera un modèle pour de futurs accords commerciaux, a-t-elle déclaré.
Le représentant américain au Commerce, Robert Lighthizer, a également salué un accord «
historique » qui « profitera aux ouvriers, fermiers et éleveurs américains ».

Les représentants du Canada, du Mexique et de l’administration Trump devaient se rencontrer hier
à Mexico pour signer les modifications apportées à l’accord de libre-échange.
Source : AUTOMOTIVE NEWS (10/12/19)

Par Frédérique Payneau

INDE

LES VENTES MONDIALES DE TATA MOTORS ONT BAISSÉ DE 15 %
EN NOVEMBRE
Les ventes totales de véhicules de Tata Motors (filiale Jaguar Land Rover incluse) ont diminué de
15 % en novembre, à 89 671 unités, dont 58 641 VP et tout-terrain, en baisse de 11,7 % (48 108
unités pour JLR, – 2,4 %).

Ses ventes de véhicules utilitaires, en incluant la marque Tata Daewoo, ont par ailleurs reculé de 19
% le mois dernier, à 31 030 unités.
Source : ECONOMIC TIMES

Par Juliette Rodrigues

MONDE

SEULEMENT UN VÉHICULE ÉLECTRIQUE SUR DIX EN 2025 ?
D’après une analyse réalisée par SEG Automotive, fournisseur d’alternodémarreurs, il faudra
encore patienter quelques années, voire des décennies, avant de voir disparaitre les moteurs à
combustion. Si 2020 sera une année charnière pour l’industrie automobile, notamment sur le
marché européen à l’aune du durcissement des normes en matière d’émissions de CO2, elle ne
sera pas forcément marquée par un bouleversement en matière de ventes de véhicules électriques.
Au niveau mondial, l’équipementier table sur une part de marché de 10 % pour les véhicules
électriques à batterie à l’horizon 2025, contre 20 % pour les véhicules « mild hybrid » à hybridation
légère.

En Europe, la proportion des véhicules 100 % électriques serait plus importante, mais elle
s’établirait seulement à 13 % sur un marché stagnant. En effet, toujours d’après l’analyse de SEG
Automotive, la production européenne progresserait très légèrement, à 22,3 millions d’unités en
2025, contre 22 millions en 2018.

En revanche, la part des véhicules hybrides à 48 volts connaitrait une montée en puissance plus
importante avec une pénétration de 36 % sur le territoire continental, leader sur cette technologie
devant le marché chinois (32 %). Autre enseignement de l’étude, les véhicules hybrides
rechargeables représenteraient 12 % de part de marché en Europe d’ici à cinq ans, contre 3 %
actuellement.
Source : JOURNALAUTO.COM (10/12/19)

Par Alexandra Frutos

ROYAUME-UNI

L’USINE DE NISSAN AU ROYAUME-UNI SERA PROTÉGÉE APRÈS LE
BREXIT, A ASSURÉ BORIS JOHNSON
Lors d’un déplacement dans le nord-est de l’Angleterre avant le scrutin du 12 décembre, au cours
duquel il a visité l’entreprise de logistique Ferguson Transport située à proximité de l’usine
d’assemblage de Nissan à Sunderland, le Premier ministre britannique Boris Johnson a assuré
que les constructeurs au Royaume-Uni, dont Nissan, seraient protégés après le Brexit.

Alors qu’on lui demandait s’il pouvait garantir l’existence de l’usine de Nissan, M. Johnson a
répondu : « Evidemment. Il faut absolument protéger les chaînes d’approvisionnement, protéger
Nissan et de veiller à ce que les gens continuent d’investir dans notre pays ».

Le Premier ministre a indiqué que les constructeurs au Royaume-Uni seraient protégés après le
Brexit, laissant entendre que leurs chaînes d’approvisionnement ne seraient pas perturbées par le
divorce entre le Royaume-Uni et l’Union européenne.

Le président de Nissan Europe, Gianluca de Ficchy, avait déclaré récemment à Automotive News
Europe que l’avenir de l’usine de Nissan à Sunderland serait menacé si un Brexit dur entraînait
l’instauration de droits de douane de 10 % entre le Royaume-Uni et l’UE.
Source : AUTOMOTIVE NEWS EUROPE (10/12/19)

Par Frédérique Payneau
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