Gsm : l'espion qui vous suit partout - Dossier Informatique & Télécoms ENJEUX
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Avril 2008 • n° 4
Magazine de Beci
Brussels Enterprises Commerce & Industry
Dossier Informatique & Télécoms
Gsm : l’espion
qui vous suit partout
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& FINANCES Financement :
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edito
« Ensemble »
L’
Union des Entreprises de Bruxelles (Beci) a tenu les trois régions, sur les principaux enjeux de développe-
son assemblée générale annuelle le 16 avril 2007. ment de cette zone élargie de Bruxelles, dès lors considé-
L’occasion de rappeler les points forts de ces dou- rée comme un atout pour la prospérité des trois régions.
ze derniers mois d’activités de l’organisation dont la vo-
cation et la mission consistent à représenter et défendre Exercice enfin marqué par l’intensité de l’activité des
les intérêts des entreprises établies à Bruxelles, à l’égardinstitutions consultatives, au sein desquelles Beci est le
de leurs interlocuteurs publics. Elle en constitue, avec lesporte-parole du monde des entreprises.
organisations syndicales et les organisations de classes Ce fut l’occasion pour Beci de s’exprimer au travers de
moyennes, les interlocuteurs sociaux. divers problématiques considérées comme prioritaires,
telle la simplification administrative en matière d’en-
Au plan politique, l’exercice écoulé ne sera pas à compter vironnement et d’urbanisme, mais aussi de prendre
au nombre des moments les plus glorieux de l’histoire po- connaissance et de prendre attitude sur les initiatives
litique de notre pays. C’est dans ce du gouvernement en matière de
contexte largement perturbé que développement international de
Beci a pourtant pris son envol, et Bruxelles, ou relativement à la
offert à ses interlocuteurs un porte- « Business Route 2018 planification stratégique des im-
parole patronal unifié et très large- plantations européennes dans la 3
ment représentatif de l’ensemble
for Metropolitan Brussels » capitale.
des milieux économiques présents portera la vision Un point revient comme la grande
N° 4 - AVRIL 2008 - E NTR E P R E N D R E
à Bruxelles. Le nouveau sigle Beci priorité pour nos entreprises et
rendu public depuis le mois de juin des entreprises établies pour la viabilité de notre ville : il
2007 s’impose désormais dans la dans les trois régions, s’agit de la mobilité et de l’acces-
communication de la Chambre de sibilité. Ceci retiendra plus que ja-
Commerce et de l’Union des Entre- sur les principaux enjeux de mais notre attention.
prises de Bruxelles. Le rapport d’activités de Beci
développement – Union des Entreprises de Bruxel-
Cet exercice fut également celui de de cette zone élargie les de cette année comprend com-
la manifestation d’une solidarité me de coutume, une évocation des
renforcée entre les organisations
de Bruxelles principaux dossiers qui ont mo-
patronales régionales, la FEB et les bilisé l’équipe et les commissions
organisations de classes moyennes, de travail de Beci au cours de cet
qui ont décidé de s’exprimer en commun, au travers d’un « exercice social. Nous vous recommandons une lecture
Pacte pour le maintien de la prospérité et de la solidarité fructueuse de ce rapport, qui a pour vocation essentielle
en créant 500.000 emplois d’ici 2020 ». de parfaire votre information.
Ce Pacte constitue une réponse de l’ensemble des organisa-
tions représentatives des entreprises à la plupart des défis
qui se posent aujourd’hui au développement économique
et à la solidarité entre les générations. La signature de ce
Pacte de Solidarité a reçu un écho généralement favorable
des médias, qui ont souligné l’originalité de la démarche.
La solidarité patronale s’est aussi illustrée dans le projet
non moins novateur des trois organisations patronales
régionales, BECI, VOKA et UWE, auxquelles s’est associé
la FEB, de développer en commun une vision cohérente
pour le développement de Bruxelles, considérée comme
moteur de développement d’une zone définie au-delà du
territoire institutionnel, en fonction des flux économiques Emmanuel van Innis,
et sociaux. Président de Beci -
Ce projet, baptisé « Business Route 2018 for Metropolitan Union des Entreprises
Brussels » portera la vision des entreprises établies dans de Bruxelles
sommaire AVRIL 08
BRUSSELS ENTERPRISES COMMERCE
& INDUSTRY
3 Edito
Entreprendre est le mensuel de Beci
6 Enjeux (Chambre de Commerce & Union
• « Notre projet pour Bruxelles » des Entreprises de Bruxelles)
• Une obole pour Bruxelles ?
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18 Espace membres Editeur responsable
24 Séminaire Olivier Willocx ow@beci.be
La récupération des honoraires d’avocats
Rédaction
25 Europe Responsable : Karima Amrous
Focus sur le tourisme Chine-Europe directrice de la Communication ka@beci.be
28 L’album Secrétaire de rédaction :
Starters Night Stéphanie Brisson sb@beci.be
Collaborateurs : Guy Bernard • Jean Blavier •
30 International Thandiwé Cattier • Vincent Delannoy • Arnaud
Le Brussels Infrastructure Business Club Dellicour • Olivier Duquesne • Nicole Evans •
est né ! Olivier Kahn • Aurore Lester-Smith • Jacqueline
68 Demandes d’admission - Index publicitaire Remits • Luc Rivet • Myriam Schellens • Harold
Schuiten
69 Bloc-Notes
Production & Abonnements
Administration: Didier Amandt da@beci.be
L’ENTREPRISE AU QUOTIDIEN Design : Megalunatriumviraat
4 Graphisme – Impression: DB Print
31 Forum Jump Traduction: BLS
La mixité « dope » le business Photo de couverture : Photos.com
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DOSSIER Entreprendre – Dynamiek
Informatique & télécoms Juin 2008
59 Mieux ou moins cher ? • Ressources humaines
63 GSM, l’espion qui vous suit partout Date limite pour vos réservations : le 15 mai 2008
64 L’avenir est à la« communication unifiée » Septembre 2008
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les syndicats CSC-Bruxelles et FGTB-Bruxelles,
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les comités d’habitants du BRAL et d’Inter-Environnement Bruxelles
les initiateurs de l’Appel des Bruxellois « Nous existons ! » Aula Magna, bruXsel forum* et Manifesto,
présentent une plate-forme commune pour l’avenir de la Région de Bruxelles :
« Notre projet pour Bruxelles »
2 3
A
u moment où les structures Un juste financement Une « communauté urbaine »
de l’Etat fédéral belge sont de la Région de Bruxelles qui dépasse les frontières
6 remises en question et où le Bruxelles veut rester solidaire de la de la Région
sort de la Région de Bruxelles reste Wallonie et de la Flandre. Une part Nous demandons que le pouvoir
très incertain, les représentants des importante de la richesse nationale politique développe les outils qui
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organisations et des associations si- produite à Bruxelles l’est d’ailleurs permettent d’assurer une meilleure
gnataires de ce texte souhaitent ex- aussi grâce aux nombreux travailleurs gestion de matières trans-régionales,
primer des valeurs qu’ils défendent, venus des autres Régions. Mais le comme l’aménagement du territoire,
la vision de l’avenir qu’ils partagent, maintien à long terme des flux éco- la mobilité, la fiscalité locale des en-
les constats qu’ils établissent et les nomiques en faveur des Régions par- treprises, l’emploi, la sécurité et l’en-
propositions qu’ils ont élaborées tenaires de Bruxelles n’est possible vironnement.
pour l’avenir de la Région bruxelloi- que grâce à un meilleur financement A partir des initiatives prises dans les
se et donc aussi pour la Belgique du de Bruxelles, loin cependant de toute Euregios de Lille-Tournai-Kortrijk et
21ème siècle. notion de « juste retour ». de Liège-Aachen-Maastricht, la créa-
La décision de faire correspondre tion d’une « communauté urbaine »
C’est pour créer les conditions qui doi- frontière linguistique et frontière gérée démocratiquement et adaptée
vent permettre l’éclosion d’un vérita- régionale prive notamment Bruxel- aux réalités socio-économiques des
ble projet de ville que nous lançons les de l‘impôt des personnes phy- communes concernées doit être re-
cette série de 12 propositions. Elles siques d’un grand nombre de ses cherchée.
répondent aux préoccupations des
citoyens membres ou affiliés de nos
organisations et associations.
travailleurs qui résident en dehors
de la frontière régionale. De même,
Bruxelles est affectée, bien plus que
4 Une Région responsable
et des espaces communau-
Il reviendra aux décideurs politiques toute autre Région, par l’impact de taires ouverts
locaux et fédéraux d’y apporter les l’impôt foncier qui n’est que partiel- Nous demandons que l’autorité ré-
réponses institutionnelles les plus lement perçu sur les très nombreux gionale dispose des moyens et com-
adéquates à la faveur de la réforme bâtiments publics (« mainmorte ») pétences nécessaires pour mener une
de l’Etat en cours d’élaboration. installés dans notre Ville-Région. politique intégrée et efficace face aux
1 Une forte solidarité entre
personnes et entre Régions
Nous demandons que le financement
structurel de la Région soit revu en
tenant compte des nombreux coûts
défis majeurs que constituent sur son
territoire les crises liées à la dualisa-
tion des quartiers, au chômage et à la
Nous demandons le maintien d’une et des manques à gagner auxquels formation.
forte solidarité interpersonnelle dans elle doit faire face. Ses obligations de Une coordination étroite et perfor-
le cadre d’un Etat fédéral modernisé capitale multiple et les choix institu- mante entre des compétences - tan-
qui s’appuie sur une coopération tionnels passés mettent la Région de tôt communautaires (enseignement,
entre trois Régions égales et respon- Bruxelles en difficulté et ne permet- matières personnalisables, culture) et
sables et qui permette notamment tront pas la poursuite du développe- tantôt régionales (aménagement du
d’affronter les défis de la pauvreté et ment du moteur économique de la territoire, logement, mobilité..) - est in-
de la précarité à Bruxelles. Belgique. dispensable à cet effet. Nous exigeons
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enjeux
qu’elle soit mise en oeuvre de Bruxelles. A cet égard
de toute urgence, quelles la méthodologie des écoles
que soient les modalités européennes pourrait être
organisationnelles ou ins- une des pistes étudiées.
titutionnelles impliquées. Les programmes scolaires
Dans les matières « person- doivent tenir compte de
nalisables », les politiques la réalité des emplois sus-
mises en œuvre à Bruxel- ceptibles d’être offerts aux
les doivent dépasser les jeunes Bruxellois.
clivages linguistiques qui
sont source d’inégalités
de traitement et de discri-
6 Une gestion plus
cohérente de
mination. Plus particuliè- la Cité
rement, l’aide aux person- Dans le cadre d’une sub-
nes, les activités sportives, sidiarité bien réfléchie,
les maisons de jeunes et nous plaidons pour que
les initiatives du monde soit mise en place - après
socio-éducatif bruxellois analyse approfondie - une
Un enseignement performant
doivent être des lieux pri- répartition plus cohérente
adapté à la situation de Bruxelles
vilégiés de rencontre entre et efficace des compé-
les différentes commu- tences entre les dix-neuf
8 nautés et cultures qui communes bruxelloises et
composent la Région. Les initiatives inverser la tendance pernicieuse du la Région. Ceci pour améliorer la ges-
multilingues et intercommunautai- système d’enseignement en vigueur, tion de la Cité, notamment en matiè-
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res doivent être à la fois permises et qui creuse les inégalités entre établis- re de mobilité, d’urbanisme, de pro-
stimulées. sements, crée des écoles « ghettos » et preté, de police, d’aide aux personnes
Nous demandons tout particulière- incite à la concurrence entre réseaux et de fiscalité. A la lumière de cette
ment aux deux Communautés de se et établissements scolaires. éventuelle redistribution des com-
mettre d’accord pour favoriser davan- Avec une intensité variable entre ré- pétences, les communes pourraient
tage le dialogue intercommunautaire seaux des deux Communautés, les éco- mieux assumer leurs missions dans
à Bruxelles et pour assurer une cohé- les dites « difficiles » sont aussi celles une perspective de recomposition des
rence entre leurs activités de promo- qui connaissent un manque cruel de politiques publiques, au plus près des
tion propres à leur langue et celles professeurs qualifiés, voire une vraie réalités de vie des citoyens.
organisées par la Région. Nous leur pénurie d’enseignants. Bruxelles doit Nous souhaitons voir maintenues ou
demandons aussi de mieux favoriser pouvoir développer des pédagogies confortées les procédures de publici-
la mobilité transrégionale des tra- adaptées à la réalité sociale, démogra- té et de consultation de la population,
vailleurs et des bénéficiaires des servi- phique et culturelle de nombreuses en particulier sur les études d’inci-
ces non marchands dans les matières écoles, qui s’écartent largement du dence et sur les grands projets de dé-
culturelles et personnalisables. modèle standard de l’enseignement veloppement économique, culturel,
5 Un enseignement
performant adapté
organisé à ce jour dans les deux Com-
munautés. Au niveau de l’école pri-
maire, par exemple, l’effort de remé-
touristique et d’infrastructure. De
manière plus générale, nous voulons
voir émerger une vision globale de la
à la situation de Bruxelles diation indispensable en direction des ville, associant de manière proactive
Pour permettre une égalité des chan- populations scolaires fragilisées doit à cette construction la population et
ces de tous les jeunes bruxellois, il faut être renforcé ; une aide supplémentai- les acteurs divers qui font la ville.
augmenter l’implication de la Région
dans les politiques d’enseignement.
Il faut favoriser les politiques croisées
re doit être apportée pour améliorer
l’apprentissage de la langue de l’ensei-
gnement. Le modèle finlandais peut
7 Un vrai projet culturel
pour Bruxelles
entre la Région et les Communautés être une source d’inspiration féconde Nous exprimons le refus de vivre de
et entre les deux Communautés sur le pour redonner sens et fierté au métier façon fermée les uns par rapport aux
territoire bruxellois. d’enseignant. Les pouvoirs organisa- autres et affirmons notre volonté de
Trois défis sont à relever : la lutte teurs devraient aussi pouvoir mieux tisser des liens entre toutes les po-
contre la ségrégation scolaire, la re- prendre en compte le souhait de nom- pulations présentes à Bruxelles. Pour
valorisation des métiers de l’ensei- breux Bruxellois de disposer d’un véri- réaliser le maillage culturel nécessai-
gnement, et le bilinguisme, voir le table enseignement multilingue, dès re, pour contribuer au développement
multilinguisme. La Région doit sou- l’école primaire, pour répondre à la si- socio-économique de la Ville-Région,
tenir une politique vigoureuse pour tuation linguistique très particulière pour acquérir le statut de capitale
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culturelle au même titre que Berlin, permettre aux Bruxellois qui le sou- nécessairement par une coordination
Barcelone ou Bilbao, Bruxelles a besoin haitent d’obtenir une carte d’identité des politiques régionales.
d’un projet culturel ambitieux. Il doit bilingue français/néerlandais. Dans Pour éviter l’étalement de la ville, et
être défendu aux niveaux communal, le souci de souder leur destinée ré- les problèmes d’environnement et de
régional, communautaire et fédéral. gionale, tout en respectant les aspira- mobilité qui en découlent, il convient
Il doit être appuyé par une politique tions culturelles des uns et des autres, de favoriser la densification de la vil-
culturelle cohérente et fédératrice qui les Bruxellois doivent être libres de le. Il faut stimuler la rénovation et la
vise une concertation constructive en- constituer des listes multilingues construction de logements à des prix
tre les différents niveaux de pouvoir pour les élections régionales. accessibles, notamment à partir des
compétents à Bruxelles pour la culture Nous souhaitons aussi que soit oc- trop nombreux terrains, immeubles
et les matières afférentes. troyé le droit de vote aux résidents de et étages laissés inexploités. Nous de-
Ce projet culturel doit être à l’image nationalité étrangère pour les élec- mandons aussi que soit levé le tabou
de la ville, c’est-à-dire ouvert d’un péage urbain, afin de
sur une société cosmopolite pouvoir atteindre l’objectif
où se côtoient des habitants de réduction de 20% de la
de langues et de commu- pression de l’automobile
nautés différentes. sur Bruxelles inscrite dans
Nous demandons aussi le le Plan Régional de Déve-
maintien du statut fédéral loppement et dans la décla-
des institutions culturelles ration gouvernementale de
et des établissements scien- 2004.
10 tifiques dont le caractère
fédéral est actuellement re-
connu.
11 Une ville lisible
et transparente
N° 4 - AVRIL 2008 - E NTR E P R E N D R E
8 Une ville plus ouverte
et plus internationale
De manière plus générale,
nous demandons que soient
revues toutes les institu-
Nous souhaitons que soient tions du pays, aujourd’hui
soutenues de manière ac- multiples et complexes,
tive les cultures liées aux dans l’intérêt de Bruxelles
langues parlées par les per- et de la Belgique.
sonnes présentes sur le ter- Une telle évolution institu-
ritoire bruxellois. Ceci vaut tionnelle ne pourra advenir
pour les langues nationales sans être précédée d’une ré-
bien sûr, mais aussi pour flexion approfondie, trans-
toutes les autres langues parente, cohérente et res-
parlées par les communau- ponsable, dont les résultats
tés significativement pré- doivent profiter à l’ensem-
sentes à Bruxelles. ble des citoyens du pays. En
Partout où cela se justifie, le attendant cette simplifica-
multilinguisme des services Un vrai projet culturel pour Bruxelles, à l’image de Berlin tion, nous souhaitons que
- plutôt que celui des indivi- les communes se dotent
dus - sera la réponse au ca- d’un guichet unique capa-
ractère toujours plus international de tions régionales. Ce droit de vote, of- ble d’informer le citoyen sur toutes
notre ville où l’anglais devient une fert notamment aux fonctionnaires les compétences, quels que soient ces
langue véhiculaire pour tous ceux européens, doit être associé à la né- niveaux de pouvoir.
qui ne maîtrisent ni le français, ni le
néerlandais.
cessité d’une réflexion entre les ins-
titutions européennes et les pouvoirs 12 Une autonomie constitutive
de la Région de Bruxelles
9 Une égalité des citoyens et le
refus de toute discrimination
publics belges sur le financement des
infrastructures collectives mises à
leur disposition à Bruxelles.
Enfin, il nous semble évident que la
Région de Bruxelles-Capitale doit
Nous rappelons les principes d’éga-
lité et de non-discrimination des
citoyens et rejetons donc toute obli-
10 Un environnement
activement protégé
bénéficier d’un niveau d’autonomie
constitutive, équivalente à celui qui
est ou pourrait être octroyé aux deux
gation de choix d’une sous-nationa- La recherche d’une solution aux pro- autres Régions. ●
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Une obole pour Bruxelles ?
Tant Yves Leterme que Guy Verhofstadt plaidaient, il y a peu encore, pour un renforcement
de l’autorité fédérale, mais aussi de sa capitale. Aujourd’hui, on entend de divers horizons
que Bruxelles se montre arrogante en osant demander 500 millions d’euros de moyens
annuels supplémentaires. Elle n’en a finalement obtenu que 65.
L
e montant peut sembler im- pour les navetteurs que pour les ha- naires européens et les diplomates,
pressionnant, mais peut-il suf- bitants et le monde entrepreneurial. ne remplissent pas les caisses com-
fire à préserver à long terme Bruxelles ne peut, au vu de sa situa- munales puisqu’ils ne paient pas
le rôle international et national de tion financière précaire, y remédier d’impôts.
Bruxelles ? elle-même : 1 km de métro coûte 50 La Région génère donc d’importantes
Tous ceux qui connaissent la Région millions d’euros. richesses mais n’en retire pas suffi-
bruxelloise savent bien que 65 mil- samment de moyens pour couvrir
lions d’euros est une somme bien in- Pas prise au sérieux l’ensemble de ses dépenses. Bruxel-
suffisante. Le réseau de transport ur- Les navetteurs qui gagnent, de façon les paie 50% de ses dépenses avec ses
bain croulera bientôt sous l’affluence plus qu’honorable, leur pain quoti- propres moyens, contrairement à la
12 sans cesse plus importante du trafic dien dans la capitale et remplissent Flandre par exemple qui n’en paie
motorisé. Il suffit pour s’en convain- les caisses de l’Etat fédéral, repartent que 20%. La Flandre ne rencontre pas
cre d’interroger les navetteurs qui, avec leur salaire dans la commune les problématiques caractéristiques
N° 4 - AVRIL 2008 - E NTR E P R E N D R E
chaque jour, font péniblement la file. de leur domicile, souvent située en aux grandes villes, ne connaît pas de
Les 2 lignes de métro sont bondées Brabant flamand ou wallon. Ce n’est grandes concentrations de défavori-
pendant les périodes de pointe, qui pas un hasard s’il s’agit là des deux sés et d’immigrants, du moins pas de
ne cessent de s’allonger elles aussi. Le provinces les plus riches de Belgique. l’ordre de celles présentes à Bruxelles.
réseau de transport, qui doit permet- Le revenu imposable des Bruxellois Bruxelles est l’emblème de ce pays
tre chaque jour à près de 700.000 per- mêmes est, quant à lui, en moyenne mais il semble que personne ne la
sonnes de se rendre sur leur lieu de bien inférieur et ne peut couvrir tous prenne plus au sérieux dès qu’il s’agit
travail, plus de la moitié d’entre eux les postes de dépense, sans parler des d’investir dans cet atout majeur.
provenant de Flandre ou de Wallonie, avantages fiscaux que la Région peut
s’avère insuffisant. La mobilité est offrir à ses habitants. Les Bruxellois Priorité numéro un
devenue un problème sérieux tant plus aisés, c’est-à-dire les fonction- Seule de son côté, Bruxelles assure
32% des revenus issus des impôts sur
Le flux monétaire de Bruxelles vers le reste du pays est la mère de tous les transferts. les sociétés. Et elle n’en retire qu’une
bagatelle. Beci affirme depuis long-
temps déjà que Bruxelles transfère de
l’argent vers les autres Régions : le flux
monétaire de Bruxelles vers le reste
du pays est à vrai dire la mère de tous
les transferts.
Chaque investissement effectué à
Bruxelles est largement regagné par
la Flandre et la Wallonie. Est-ce vrai-
ment trop demander que Bruxelles
dispose des moyens nécessaires pour
pouvoir pleinement jouer la carte in-
ternationale ? Que Bruxelles devienne
la priorité numéro 1 de la SNCB, que
l’on cesse d’ajourner la construction
du réseau express régional dont le be-
soin se fait cruellement ressentir de-
puis plus de 20 ans ? Que les métros et
les trams puissent rouler en Brabant
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Plus que des paroles.
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Pour certains, il est toujours de bon fices du moteur économique le plus pour les années à venir : fiscalité, em-
ton de dénigrer Bruxelles, de dénon- important du pays. La Flandre et la ploi, mobilité et urbanisme, soit les
cer notamment la soi-disant pléthore Wallonie ont plus que jamais besoin quatre grands défis auxquels Bruxel-
de niveaux de pouvoir et de fonction- de Bruxelles et inversement : la col- les se trouve confrontée. Dans aucun
naires dans les 19 « baronnies ». Il est laboration est une nécessité absolue, de ces domaines, Bruxelles ne peut
vrai que tous les freins et contrepoids pas une simple option. Beci ne peut intervenir sans collaborer avec les
découlant des institutions commu- que se féliciter de constater que les autres. D’une part car elle n’en a ni
nautaires, régionales et communales principaux acteurs politiques com- les moyens ni les infrastructures et,
entraînent dans leur sillage une perte mencent à se rendre compte qu’il faut d’autre part, surtout parce que l’in-
en efficacité, en dynamisme et en intervenir pour Bruxelles et reconnaî- terdépendance avec le reste du pays
transparence. Toutefois, sait-on vrai- tre son rôle vital. Pourtant, les paroles est, à cet égard, bien trop importante.
ment que pour chaque fonctionnaire réconfortantes d’Yves Leterme et de Bruxelles doit être une priorité abso-
communal bruxellois, il y en a 3 en Guy Verhofstadt, qui témoignaient lue. Bruxelles et la périphérie bruxel-
Brabant flamand ? Et ce, pour un nom- d’un esprit ouvert et de la volonté de loise applaudissent des deux mains
bre identique d’habitants ? Est-ce trop trouver une large base sociale pour la l’émergence de ces idées au plus haut
demander de considérer Bruxelles réforme de l’Etat, semblent soudain niveau politique.
sous un angle ouvert et réaliste ? bien loin. En pratique pourtant, on continue à
considérer Bruxelles comme le vilain
Cela n’a pas de sens de continuer à Quatre grands défis petit canard et la Région reste pour le
travailler les uns contre les autres : Il faut à tout prix éviter de négliger moment « l’enfant mal aimé ». ●
un dialogue constructif, voilà la seule les opportunités de croissance qui
14 issue possible. s’offrent à nous ou de galvauder les
Les employeurs bruxellois n’ont de atouts que nous propose Bruxelles.
cesse d’affirmer que sans collabora- Beci a déjà joint le geste à la parole Tom Smeets
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tion avec les entités fédérées, la ges- et travaille, en étroite collaboration Conseiller
tion de Bruxelles et de son économie avec la VOKA, l’UWE et la FEB, à un Centre de
est difficile à organiser et que sans plan d’avenir pour Bruxelles qui en- Connaissance
collaboration avec Bruxelles, chaque globe également la périphérie. Beci a Beci
entité fédérée sera privée des béné- en effet déjà déterminé ses priorités ts@beci.be
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EMPLOI
Pourquoi pas de plan de
diversité linguistique ?
La connaissance des langues est un élément central de toute
discussion sur l’emploi à Bruxelles. Bruxelles est la capitale
d’un pays où l’on parle le français et le néerlandais, et où
l’allemand est également langue officielle. De plus, l’anglais
a énormément gagné du terrain dans la capitale. Tout cela
Il n’est pas rare d’entendre parler plus de trois langues
sur les terrasses bruxelloises … influe sur la demande d’emploi, également dans la périphérie.
L
a stratification linguistique de son linguistique demandée est fran- linguistiques internes et externes sont
Bruxelles et de son hinterland est çais-néerlandais-anglais. La demande déjà présentes dans la plupart des en-
en effet beaucoup plus complexe de personnes bilingues (comme fran- treprises. Un groupe de travail ad hoc
que celle de villes comparables comme çais-néerlandais ou français-anglais) peut cartographier le tout.
Lyon, Francfort ou Milan. Globalement, est moins marquée que la demande de Mais le résultat revêt également une
le français peut être considéré comme trilingues. grande importance. Quels sont les do-
16 la langue maîtrisée par le plus grand Les bons collaborateurs plurilingues cuments, discussions et communica-
nombre, au centre et au sud de cette restent cependant difficiles à trouver tions internes et externes qui exigent
zone, alors que le néerlandais occupe sur le marché de l’emploi, alors que la telle ou telle langue ? De cette manière,
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cette position au nord de la zone. En demande est forte. Presque toutes les il est possible d’établir les actions à en-
outre, on ne peut ignorer la navette de offres d’emploi contiennent des exigen- treprendre en matière de traduction
quelque 200 000 néerlandophones ces en matière linguistique. Il semble (internes/externes). Si nécessaire, de
vers la région bruxelloise et de 40 000 dès lors que la limite du plurilinguisme procéder à une répartition des tâches
Bruxellois vers la périphérie. Et de par soit atteinte. en fonction des connaissances linguis-
sa qualité de capitale de l’Europe, l’an- tiques, etc.
glais prend une place de plus en plus Pourquoi pas de plan On peut encore aller plus loin : un même
importance à Bruxelles, au point de de diversité linguistique ? niveau de connaissance linguistique
dépasser même le néerlandais comme La première réaction des entreprises est n’est pas nécessaire pour chaque fonc-
deuxième langue véhiculaire. Enfin, de donner aux collaborateurs qu’elles tion et chaque tâche. Le plurilinguisme
de nombreuses personnes d’origine engagent l’occasion de suivre des cours n’est pas une exigence en soi, mais doit
étrangère préfèrent rester plurilingues, de langues. Mais le plurilinguisme est faire l’objet d’une approche pratique.
raison pour laquelle on peut entendre une réalité complexe pour la plupart Il est possible de déterminer le niveau
parler des dizaines de langues à Bruxel- des entreprises bruxelloises, il deman- linguistique exigé dans chacune des
les. Cela signifie qu’il existe de facto de une approche spécifique. Les entre- langues utilisées. Il n’est en effet pas
trois langues usuelles à Bruxelles, aux- prises apprennent à fonctionner dans nécessaire que tous les collaborateurs
quelles s’ajoutent quelques dizaines un environnement plurilingue, et cela aient le même niveau de connaissances
d’autres langues parlées. demande une gestion des langues en dans chaque langue.
fonction du mix linguistique typique Dès lors, l’entreprise pourra adapter sa
Langues et emploi de Bruxelles et des déficits en matière politique de recrutement à ces exigen-
Et voici le paradoxe : bien que l’on parle de connaissance au sein de ce mix. La ces. Dans les offres d’emploi, on pourra,
manifestement de nombreuses lan- gestion des langues devient un élément en plus des langues exigées, préciser le
gues à Bruxelles, il apparaît très difficile à part entière de la politique de person- niveau de connaissances pour chaque
de trouver des candidats adéquats qui nel. Pourquoi ne pas élaborer un plan langue. Une politique de diversité lin-
connaissent les langues nécessaires. de diversité linguistique en matière de guistique permettra ainsi de pourvoir
Pourquoi ? La raison est bien entendu gestion des langues ? une série de fonctions plus rapidement
que certaines combinaisons linguisti- et souvent plus efficacement. ●
ques sont plus prisées que d’autres. Les Que contiendrait un tel plan ?
employeurs recherchent essentielle- Tout d’abord, il est nécessaire de connaî- Frans De Keyser
ment, de manière assez étonnante, des tre la situation linguistique dans l’en- Conseiller général Beci
candidats collaborateurs qui parlent le treprise. L’identification des connais- fdk@beci.be
plus couramment possible au moins sances linguistiques des collaborateurs
trois langues. La principale combinai- et la politique en matière de formationsDDB
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prises via des formations, des séminaires et des coachings tentiels pour développer votre activité. ●
individuels. Le Coaching Center de Mentally Fit est configuré
et équipé pour permettre tous les types d’intervention (for- Business Club S.A.
mation, coaching, séminaires) dans les conditions moder- Avenue Louise 475
nes et technologiques d’animation interactive. Le monde 1050 Bruxelles
du sport étant sa source d’inspiration, les différentes salles t +32 2 649 02 93 – f +32 2 403 08 22
de formation du coaching center ont été baptisées de noms info@silversquare.eu – www.silversquare.eu
prestigieux. Olympic room, Wembley room, Roland-Garros
room, Wimbledon room sont autant de rappels vers des sta-
des légendaires. Mentally Fit était bien connu pour son logo
énergisant symbolisé par une batterie verte unie. Pour mar-
quer sa dynamique, la société de coaching est passée à une
source d’énergie encore plus efficiente : la nouvelle batterie
contient un vert légèrement plus vif que précédemment,
couleur de l’énergie positive, auquel a été rajouté de l’orange,
symbole de l’émotion et de la puissance. ●
Mentally Fit Institute
Rue de l’Aéronef 2
1140 Bruxelles
t +32 2 337 00 50 – f + 32 2 337 00 51
info@ mentallyfit.be – www.mentallyfit.beespace membres
Nouvelle Sales & Marketing
Director au Radisson SAS
Royal Hotel
Sandra Otero Fernan- tant que Director of Sales & Marke-
dez, d’origine espa- ting au Radisson SAS Royal Hotel. Elle
gnole, née en Belgique a la responsabilité d’une équipe de 4
en 1977, a commencé personnes. Sandra parle couramment
SIBP, un siècle d’ambition
Sandra Otero Fernandez
sa carrière profession- le français, l’espagnol et l’anglais et
nelle en 2000 au Hyat Hotel Barsey,
le Regent Palace Hotel à Londres et le
a obtenu un graduat à l’INSALT ainsi
qu’une licence en tourisme à l’ULB. ●
et d’innovation
Royal Windsor Hotel à Bruxelles. Promotion, innovation, dynamisme… voilà les
En 2003 elle a rejoint le Rezidor Hotel Rezidor Hotel Group trois mots clés qui définissent le mieux le Syn-
Group en tant que Sales Manager au Rue Fossé-aux-Loups 47 dicat d’Initiative - Bruxelles Promotion, deve-
Radisson SAS Royal Hotel à Bruxelles, 1000 Bruxelles nue une véritable institution dans le monde
elle y est vite nommée Assistant Di- t +32 2 219 28 28 – f +32 2 219 62 62 bruxellois. Depuis 1886, cette association royale
rector of Sales. Après une période en info.brussels@radissonsas.com est à la base des plus grandes et prestigieuses
tant que Director of Sales & Marke- www.radissonsas.com manifestations en région bruxelloise. Sa recet-
ting ad interim elle a été promue en te ne tient ni du miracle, ni du secret; derrière
ce grand et long projet se cachent une vision
unique et une rage de dynamisme inégalé de
Datascan met de la couleur dans vos ses dirigeants à travers l’histoire.
Les « 20 km de Bruxelles », véritable ‘success-
documents ! story’ de l’association, Emile Dereymaeker -
19
administrateur délégué- et Carine Verstraeten
N° 4 - AVRIL 2008 - E NTR E P R E N D R E
Datascan, partenaire de la marque Ricoh, dans les archives à la cave et bonjour la re- – Secrétaire Général, l’ont inventé il y a près de
fut créé en février 2006 par Giuseppe Al- cherche sur PC. Pour une grande partie des 30 ans. Pour la 29ème édition cette manifesta-
bicocco. Après avoir passé 6 ans chez Ricoh dossiers, brochures, offres en couleur, vous tion rassemblera quelques… 25 000 coureurs!
Belgium (maison mère situé à Zaventem) éviterez l’envoi aux clients par la poste pour Promouvoir la ville en la rendant attrayante
comme account manager dans le départe- les scanner et les envoyer par mail directe- par différents grands événements pour un
ment clients grands comptes, Giuseppe Al- ment. Parallèlement à cela, pour partager public large. L’idée a fait son chemin, puisque
bicocco a décidé de relever le défi de créer sa des informations avec des membres du per- aujourd’hui le SIBP possède à son actif l’un
propre entreprise. Distributeur de produits sonnel de différents départements, on peut des plus importants palmarès de fêtes et de
tels que photocopieurs, fax, impriman- scanner ces infos vers un serveur, et tout le manifestations culturelles, sportives et artisti-
tes, scanners, solutions d’archivages élec- monde peut consulter une information sur ques, d’une variété rarement égalée. La liste est
tronique de documents, Datascan a pour le serveur et la partager avec d’autres col- longue et, rien ne sert de le cacher, élogieuse…
volonté de se positionner comme un réel lègues. ● le Gala du Salon de l’Auto, les Festivités Euro-
partenaire auprès de ses clients. De plus en péennes, la Fête Nationale du 21 juillet, le feu
plus d’entreprises souhaitent transformer Datascan d’artifice de la Saint-Sylvestre sans oublier les
leurs cartons d’archives papier en archives Avenue de Menden 6 20 km de Bruxelles. ●
électroniques. Autrement dit scanner les B-1420 Braine l’Alleud
documents traités et générés au quotidien t +32 2 387 50 10 Syndicat d’Initiative – Bruxelles Promotion
(workflow) pour ensuite les stocker cette f +32 2 387 50 05 Rue de la Chapelle 17
fois sur un disque dur. Avantages : fini le gal@datascan-ricoh.be 1000 Bruxelles
masque anti poussière pour descendre www.datascan-ricoh.be t +32 2 511 90 00 – f +32 2 511 37 15
Giuseppe Albicocco info@sibp.be – www.sibp.be
Marilyn Droog crée « 1180 », business club à Uccle
Le Business Club « 1180 » est constitué en a.s.b.l. poser, à plusieurs, vers le monde extérieur. avait pour thème l’eau, Riccardo Petrella, Belga-
depuis le 13 février 2008, avec 10 membres fon- « Vu que tout est politique, du simple fait de qua et Vivaqua étaient présents. ●
dateurs. Il propose un programme d’événe- son existence, comme chefs d’entreprises, nous
ments regroupant chefs d’entreprises, cadres avons plus de un poids dans la politique locale. Abunde
et professions libérales d’Uccle (ayant leur do- Nos compétences aussi sont uccloises… » expli- Rue de la Fauvette 15
micile ou leur siège social sur 1180). que Marilyn Droog, présidente du club 1180 et 1180 Bruxelles
La philosophie, c’est de proposer, chaque année, administratrice de la société Abunde. . t +32 2-375.89.31
3 ou 4 rencontres entre partenaires du « villa- Le groupe des fondateurs, appuyé par Beci, f +32 2-375.89.31
ge » d’Uccle, pour se connaître et pour faire des choisit et organise les rencontres selon les op- yourfutureworld@yahoo.fr
affaires à côté de chez soi ou de pouvoir les pro- portunités proposées. La première conférenceVous pouvez aussi lire
