NECTAROME DANS LA PRESSE NECTAROME IN THE MEDIA - Empreinte de la Nature - Spianato
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Empreinte de la Nature N E C TA R O M E D A N S L A P R E S S E N E C TA R O M E I N T H E M E D I A
NECTAROME DANS MARS 2009 NECTAROME IN MARCH 2009 COSMÉTIQUE NATURELLE ET PLANTES MÉDICINALES : LE MAROC EXPORTE POUR 900 MDH Un potentiel important d’environ 5 000 variétés de plantes répertoriées dont 30% seulement sont commercialisés. Nectarome, société installée dans la vallée de l’Ourika, exporte 70% de sa production aux quatre coins du monde. Six entreprises se partagent le marché. La montée des valeurs écologiques est en train de changer progressivement les habitudes de consommation dans différents domaines. Et s’il y a une niche qui profite de cette situation, c’est bien celle de la cosmétique naturelle et de l’aromathérapie qui connaît une croissance soutenue depuis cinq ans. C’est sur ce marché que Nectarome, entreprise créée il y a une dou- zaine d’années dans la région d’Ourika, est en train de faire une percée à l’international. Déjà présente en Europe (France, Allemagne, Espagne, Angleterre, Italie et Suisse), au Japon, au Canada, en Tunisie, en Malaisie, au Koweït ou encore au Gabon, elle s’attaque maintenant aux nouveaux marchés, notamment la Russie et l’Ukraine, qui manifestent un grand intérêt pour ces produits, fait remarquer Jalil Belkamel, le patron de l’entreprise. Les produits exportés sont essentiellement l’huile d’argan, les huiles pour massage confectionnées à base d’huiles essentielles, les produits pour le hammam (ghassoul et masques corporels et savon noir), les eaux florales (eau de rose et eau d’oranger) ainsi que les shampoings ou savons aromatisés. Les exportations représentent, selon M.Belkamel, 70% du chiffre d’affaires global que l’entreprise préfère ne pas communiquer. Pour renforcer sa présence sur les marchés étrangers, cette société a également procédé à l’implantation de représentations exclusives en France, en Ukraine, en Russie et les discussions sont en cours pour une ouverture aux Emirats Arabes Unis. Et pour mieux se faire connaître des marchés étrangers, Nectarome est en train de mettre en place un musée conservatoire des épices. «Une nouveauté mondiale car cela n’existe nulle part ailleurs ce que ce musée permettra aux visiteurs aussi bien nationaux qu’étrangers de découvrir quelque 200 épices et des recettes diverses pour un meilleur usage des épices», explique Jalil Belkamel. Eucalyptus, thym, dérivés du cèdre, citron, citronnelle, clou de girofle, cyprès…, un grand nombre de plantes est exploité. Outre l’offre des produits, l’entreprise s’est également lancée dans les prestations de services notamment «le consulting international pour les Spa et dans la formation pour l’utilisation des produits naturels tels que le ghassoul ou le savon noir», indique M.Belkamel. La filière est encore désorganisée Et c’est essentiellement des Spa et des hôtels que provient, selon un observateur du marché, l’intérêt pour l’aromathérapie et pour les plantes médicinales. Le secteur est encore peu connu même s’il existe environ 5 000 variétés de plantes dont 30% seulement sont aujourd’hui commercialisés. Six grandes sociétés implantées dans les régions de Khémisset, Kelaât Mgouna, Tiznit, Nouaceur et Casablanca se partagent ce marché encore embryonnaire et très peu organisé. La présence de plusieurs intervenants (associations, ramasseurs de plantes, distillateurs, intermédiaires et entreprises industrielles) constituent un frein à la modernisation et à l’industrialisation de cette activité. Néanmoins, les exportations du secteur atteignent 900 MDH, selon les dernières statistiques disponibles. L’organisation du secteur entraînerait, selon des professionnels, une plus grande présence du Maroc sur les marchés interna- tionaux. C’est dans cette optique qu’a été mis en place l’Institut national des plantes médicinales et aromatiques dans la région de Taounate avec pour mission d’élaborer une stratégie nationale pour le secteur des plantes médicinales et aromatiques. Les principaux axes de cette stratégie seront la réalisation de projets de recherche et de développement et la création de zones d’exploitation et de conservation des plantes. La stratégie doit contribuer in fine à la mise en valeur de ce secteur qui peut être générateur de valeur ajoutée grâce au déve- loppement de plusieurs filières (la parfumerie, la cosmétologie, l’industrie des additifs alimentaires et, des épices) d’une part, et, d’autre part, créateur d’emplois dans plusieurs régions du pays. http://lavieeco.com/news/economie/cosmetique-naturelle-et-plantes-medicinales-le-maroc-exporte-pour-900-mdh-13066.html
NECTAROME ET LE JARDIN JANV. 2010 BIO-AROMATIQUE D’OURIKA DANS JAN. 2010 NECTAROME AND THE BIO- AROMATIC GARDEN OF OURIKA IN LE «JARDIN D’OURIKA», UNE ESSENCE AROMATISÉE AU COEUR DE L’ATLAS Au fin fond de l’Atlas, se dresse une étendue bio-aromatique. Un verger de senteurs fleurées s’érige au cœur de la vallée de l’Ourika. À 840 mètres d’altitude, le jardin des frères Belkamel culmine. Offrant agréablement aux visiteurs un moment inédit de relâchement et de découvertes sensorielles. Étalé sur une superficie d’un hectare, le «jardin d’Ourika» est incontestablement une source d’information botanique. Il est le premier jardin biologique de plantes aromatiques et médicinales du Maroc. En effet, cet espace n’est nullement identifié comme coin d’at- traction. En y accédant, la verdure des 50 espèces de plantes cultivées épate, éblouie et éveille les sens. Cet effet magique a bel et bien une explication. «À travers cette pépinière, nous désirons encourager l’agriculture biologique et inciter le grand public à ce qu’il retourne vers les ressources naturelles et s’intéresse davantage à la phyto-aro- mathérapie», explique docteur Jalil Belkamel, initiateur du projet et responsable du volet recherche et développe- ment au sein du jardin. Épris par la beauté et la sensualité des plantes, docteur Belkamel a pu finalement réaliser son rêve d’enfance. Depuis treize ans, il veille en personne sur l’entretien de son bourgeon. Et ce, en adoptant des techniques entièrement «bio», à savoir l’absence des toutes traces de pesticide sur sa végétation. Son ambition est de préserver la santé de sa flore afin qu’elle puisse narrer l’histoire de la région à travers la beauté, la santé et le culinaire. «Le visiteur peut ainsi regarder les plantes, les reconnaître, les humer ainsi que les goûter», souligne docteur Belkamel. La mission de cet espace verdâtre s’avère enrichissante. Elle s’étale sur cinq axes principaux, en l’occurrence le développement de l’aromathérapie, la réhabilitation de la phytothérapie, la recherche, l’éveil ainsi que l’encouragement du tourisme vert. Dans ce sens, le «jardin d’Ourika» établit un programme de sensibilisation et de formation permanent pour les visiteurs. Au menu du jour, des visites guidées au jardin. M. Belkamel assure lui-même cette virée exploratrice. «Je tiens à présenter aux clients du jardin des exposés sur les plantes aromatiques et les huiles essentielles. Comme je les invite à participer à certaines activités visant à développer leur odorat et les initier à l’élaboration de certains produits du terroir», argumente-t-il. Ces visites tendent à faire connaître la culture de la région en expliquant les différentes utilisations des plantes aromatiques et des huiles essentielles. Leur côté ludique cible aussi bien les petits que les grands pour découvrir la plante : du germe à sa production finale. Par ailleurs, les initiateurs du projet ont mis en place des ateliers dédiés à la fois aux particuliers et aux professionnels. L’une des principales activités du projet est la préparation du pain. «Nous invitons nos hôtes à mettre la main à la pâte, en préparant des pains aromatisés de la région à titre d’exemple le Tafarnout», ajoute le biologiste. Des fours traditionnels conçus de glaise et de paille ornent l’espace ocre aménagé pour cette pratique. Quant à la dégusta- tion, des gîtes sont implantés à bord du verger permettant aux convives de savourer, sous leur seuil, les infusions composées de huit plantes médicinales ainsi que les différentes huiles distillées dans la région. De même, les visi- teurs du jardin peuvent jouir de quelques minutes de détente, tout en profitant des bains de pieds et massages de mains offerts sur place. Le jardin comprend également une boutique baptisée «Nectarome» où sont étalées plus de quatre-vingts références. Ces produits maison ont gagné une grande notoriété à l’échelle internationale. Commer- cialisés au Japon, au Koweït et en France ainsi que dans une dizaine de pays, les articles du jardin ont enregistré, en 2009, un chiffre d’affaires d’un milliard de centimes. Un montant qui motive les initiateurs de ce projet à accroître davantage leur productivité pour atteindre une croissance de 10% pour cette année. Le «Nectarom» a, par ailleurs, des antennes à Kiev et à Moscou. Sur le plan national, le «jardin d’Ourika» se dotera, en perspective, d’un musée. Selon M. Belkamel, la galerie mettra en relief les différentes variétés des épices de la région. Les responsables envi- sagent, également, pour les mois à venir l’organisation d’une journée anti-stress. À l’ordre du jour, une purification organique et spirituelle favorisant l’escapade au cœur de la nature. Le passage au «jardin d’Ourika» marque pour le corps une trêve de bien-être et offre une purification de l’âme en toute harmonie avec la nature. http://aujourdhui.ma/culture/le-jardin-dourika-une-essence-aromatisee-au-coeur-de-latlas-91231
NECTAROME DANS AVR. 2010 NECTAROME IN APR. 2010 LE MARCHÉ DES PRODUITS COSMÉTIQUES NATURELS DOPÉS PAR LES HAMMAMS ET LES SPAS Savon noir, ghassoul parfumé, huile d’argan pour l’hydratation de la peau, eaux florales…, la gamme de produits est devenue très large. Le secteur réunit plusieurs entreprises mais peu sont réellement structurées. Une bonne partie du chiffre d’affaires est réalisée à l’exportation. Revisiter les produits naturels pour en faire des cosmétiques aux déclinaisons modernes et au marketing attractif, tout en leur gardant leur cachet du terroir. Tel est l’objectif des fabricants de cosmétiques naturels, dont l’activité est en pleine ex- pansion. Si aucune donnée chiffrée n’est disponible pour rendre compte de la taille du marché, il suffit de voir la progression des boutiques et rayons spécialisés chez les grandes surfaces, les parfumeurs et même les salons de coiffure. Les opérateurs soulignent qu’il ne s’agit pas, contrairement à ce que l’on pourrait croire, d’un marché vierge puisque plusieurs sociétés s’y affrontent depuis le début des années 2000. Avec cela, le marché reste assez artisanal, du moins en process de production et vente. Pour étayer leurs propos, ces opérateurs soulignent que les entreprises structurées ne dépassent pas cinq. Les plus vi- sibles sont Essences du Maroc, Charme du Maroc et Nectarome implantées respectivement à Rabat, Casablanca et Marrakech. Les premières gammes de cosmétiques naturels, dotées d’une identité visuelle, ont été lancées entre 2004 et 2007. Trois années au cours desquelles cette niche a connu une véritable expansion grâce au développement des spas et des hammams modernes qui ont engendré un changement des habitudes de consommation. «Pour accompagner cette mutation nous avons investi dans la recherche et l’innovation afin de répondre aux nouvelles exigences de la clientèle qui est à forte dominante féminine», explique le patron d’une entreprise implantée à Marrakech. L’avis est partagé par les autres opérateurs qui ont tous commencé par lancer des gammes hammam comprenant le savon noir à l’eucalyptus pour le gommage, le ghassoul parfumé, l’huile d’argan pour l’hydratation de la peau, les eaux florales (eau de rose et eau de fleur d’oranger) et l’incontournable gant de gommage ou «kiss». Ce coffret hammam constitue donc le cœur de la gamme chez Charme du Maroc ainsi que chez Es- sences du Maroc qui a décidé de limiter son offre à la gamme Tiyya lancée en 2007. Ses cinq produits sont à 100% naturels et les ingrédients utilisés sont issus du pays. La gamme est essentiellement commercialisée dans les grandes et moyennes surfaces et elle se positionne même, selon les responsables de Essences du Maroc, comme la marque Premium de ce réseau. Toutefois, il est possible de s’en procurer dans les boutiques, les aéroports, les riads, les spas et les instituts de beauté. Les senteurs d’intérieur également en progression Charme du Maroc a adopté une stratégie différente. «Nos produits sont haut de gamme destinés à la classe A et sont essen- tiellement vendus dans les spas, les hôtels, les instituts et tout dernièrement dans les parapharmacies», explique Yacoute Sijelmassi, DG de l’entreprise. Outre le réseau de distribution, cette société se démarque de la concurrence par la forte diversi- fication de ses produits qui sont tous confectionnés à base d’huile d’argan à laquelle sont mélangés d’autres produits du terroir tels que le miel, le safran et le gingembre. En effet, en plus du coffret hammam, son offre de base est constituée de gammes cosmétiques naturelles pour le corps et le visage (crèmes, huiles essentielles de massage, huiles de soins) déclinées en ligne spécifique pour chaque canal de distribution. Ainsi, l’entreprise propose des coffrets pour les boutiques et des gammes pour les spas et instituts. C’est un schéma commercial identique que l’on retrouve chez Nectarome dont les produits sont exclusivement distribués dans les spas et les hôtels. Les produits les plus prisés sont le savon noir à l’eucalyptus, les huiles de massage, le ghassoul pour les cheveux ou bien le masque corporel et les eaux florales. Chez Charme du Maroc, on notera également une importante demande des senteurs d’intérieur. Si ces fabricants ont réussi à se positionner avec leurs différentes marques sur le marché local, ils sont aussi partis, durant ces dernières années, à la conquête des marchés étrangers. «Ce choix est tout à fait justifié puisque nos produits sont spéci- fiques au Maroc et il faut les faire connaître à l’international», commente Mme Sijelmassi dont l’entreprise a démarré l’export en 2004. Ses produits sont commercialisés dans divers pays dont la Nouvelle Calédonie, la Martinique, l’Autriche, l’Espagne, la France, l’Algérie, le Gabon, le Sénégal ou encore la Suisse. Outre l’exportation directe qui représente 40% de son chiffre d’affaires annuel, Charme du Maroc fait également de la sous-traitance pour des clients étrangers qui revendent leurs produits sous leur propre marque. Pour sa part, Essences du Maroc exporte, depuis 2008, sa gamme vers les marchés européens, en particulier la France, et bien- tôt la Russie via les boutiques de produits bio. Chez Nectarome, les exportations vers les pays européens, la Tunisie, la Malaisie, le Canada et le Koweit représentent 70% du chiffre d’affaires. http://lavieeco.com/news/economie/le-marche-des-produits-cosmetiques-naturels-dopes-par-les-hammams-et-les-spas-16370.html
NECTAROME DANS DEC. 2012 NECTAROME IN DEC. 2012 METTEZ-VOUS AU VERT À MARRAKECH ! [....] Puis direction la vallée de l’Ourika, à 30 km, pour visiter le Nectarome, où sont cultivées une cinquantaine de plantes aroma- tiques et médicinales. Docteur en phyto-aromathérapie, Jalil Belkamel nous explique les spécificités des plantes et des huiles essentielles. Ce pas- sionné a recensé 170 épices marocaines, dont certaines relèvent les plats servis dans le jardin. Sous une tonnelle de chèvrefeuille, on se laisse bercer par le bruit des fontaines. Avant de repartir, on fait le plein d’huile d’ar- gan, de parfums d’ambiance et de tisanes bio. [....] http://www.leparisien.fr/magazine/week-end/mettez-vous-au-vert-a-marrakech-11-12-2012-2398671.php
NECTAROME ET LE JARDIN JANV. 2013 BIO-AROMATIQUE D’OURIKA DANS JANV. 2013 NECTAROME AND THE BIO- AROMATIC GARDEN OF OURIKA IN http://www.elle.co.jp/beauty/pick/moroccan-beauty_herb_13_0130
NECTAROME ET LE JARDIN JANV. 2013 BIO-AROMATIQUE D’OURIKA DANS JANV. 2013 NECTAROME AND THE BIO- AROMATIC GARDEN OF OURIKA IN http://www.elle.co.jp/beauty/pick/moroccan-beauty_herb_13_0130
NECTAROME DANS JUIN 2013 NECTAROME IN JUNE 2013 Příroda spojuje Maroko je Česku blízké svou lázeňskou tradicí (tamní tradiční lázně se nazývají hammam), kolem které se nyní točí i podnikání v oblasti wellness, včetně přírodní kosmetiky a fytoterapie. Pověst marockého „tekutého zlata“, arganového oleje, se nese Evropou čím dál silněji a tamní výrobci toho nejkvalitnějšího oleje, často venkovská ženská družstva, hledají odbytiště i v Česku. A například marocká firma Nectarome rodiny Belkamel má filozofii, která je i na tuzemském trhu velmi trendy: vychází z umění tradičních marockých bylinkářů a aromaterapeutů a jejich detailní znalosti přetavuje do moderní, zcela přírodní kosmetiky. Zam- ěstnává šedesátku lidí; v její pro veřejnost otevřené ukázkové bio-aromatické zahradě v údolí Ourika, které je obklopené vrcholky Vysokého Atlasu, pracují především obyvatelé tamní vesnice. http://www.podnikatel.cz/clanky/jak-jsem-byla-v-maroku-rozkvetajici-byznys-ktery-je-nove-v-hledacku-teroristu/
NECTAROME DANS AOUT 2015 NECTAROME IN AUG. 2015 SELLING MOROCCO’S SECRET OF ETERNAL YOUTH Moroccan small businesses, Nectarome and Les Riads de Jouvence, use EBRD expertise to promote health and lifestyle brands. The promise of a healthier look is Nectarome’s business: a brand of cosmetics made exclusively with natural ingredients that are all sourced in Morocco. They are processed in the small rural town of Ourika, close to Marrakesh, where the company employs 65 local staff. Of the dozens of herbs and plants that Nectarome uses, some, such as the argan tree, are native only to this area. The oil produced by the kernels of its fruit has been used for centuries in the region to season food and protect the skin against the ageing effects of continuous exposure to the sun. In recent years, its use in cosmetics has become increasingly known abroad. A revival of interest in these ancient practices and the rediscovery of the benefits of aromatic plants means that Nectarome must stand out against its competitors. In order to improve its reputation on both local and international markets the company decided to remodel its brand. To complement Nectarone’s own entrepreneurial drive, the EBRD’s Small Business Support (SBS) team put the company to- gether with a local marketing consultant to introduce an appealing brand design for potential customers, including luxury hotels, spas and individuals. Now, the firm’s revamped creams, gels and oils are exported to 15 countries around the world, from Canada to Japan, and the client base is rising steadily both abroad and at home. Developing the private sector through SME support is among the EBRD’s priorities in Morocco, where funding from the Euro- pean Union, the EBRD Southern and Eastern Mediterranean (SEMED) Multi-Donor Account and the SEMED cooperation funds account is used to enable SMEs to access external advice. Not far from Ourika, another small company is making a profitable business out of a healthy lifestyle. Family-run retirement home Les Riads de Jouvence (literally, the riads of youth) provides a tranquil haven for elderly and disabled people, as well as a holiday residence for younger clients. Several riads – traditional Moroccan palaces – overlook gardens and a swimming pool area. “We wanted to create an environment where elderly people can get medical assistance and at the same time fight isolation by enjoying the company of younger guests,” said Mr Alaoui who opened the doors of his resort in 2014, after five years of hard work building its facilities. This innovative concept, however, needed a convincing set of marketing tools, an area where Mr Alaoui had little expertise. So the SBS team put him in contact with local business advice company Dataland to conduct market analysis and plan for better communication. After six months the project was complete. It resulted in a new website and marketing activities targeting potential customers in Switzerland and France. Positive reviews are multiplying: “Ideal place for healing and rest,” writes a guest from Geneva. “These are just two examples of the 145 projects we have carried out since the end of 2012,”said Rachid El Aamrani, the SBS National Programme Manager for Morocco. “Moroccan SMEs are dynamic and the business advisory sector is growing: our work helps both SME and consultants grow and reach their potential.” This is the EBRD’s recipe for a strong, young and healthy private sector. http://www.ebrd.com/news/2015/selling-moroccos-secret-of-eternal-youth.html
NECTAROME DANS AOUT 2015 NECTAROME IN AUG. 2015 LA SAGA DE NECTAROME, FABRICANT MAROCAIN D’HUILES ESSENTIELLES BIO ET HAUT DE GAMME Dr. Jalil Belkamel, a fait de Nectarome un label internationalement reconnu, en produisant des huiles essentielles et des pro- duits cosmétiques naturels et de haut de gamme. Interview. Passionné par la nature, écologiste dans l’âme, un doctorat en aromathérapie en poche, c’est presque naturellement qu’il y a 17 ans, Jalil Belkamel crée, avec deux associés, dans la vallée de l’Ourika, un Jardin Bio-Aromatique et, attenant au Jardin, une fabrique d’huiles essentielles et de produits cosmétiques: Nectarome. Aujourd’hui, la renommée de la marque est internationale et Jalil Belkamel a donc tout pour être heureux. D’autant plus que la réglementation marocaine sur les cosmétiques qui permettait, sous la même appellation, de vendre un produit parfaitement naturel et un produit chimique de synthèse dont les qualités n’ont rien à voir, est en train de changer… Médias24: En quelques mots, quel est le concept de Nectarome et du Jardin Bio Aromatique de l’Ourika ? Jalil Belkamel: A mon retour de Nantes en France où j’ai fait mes études sur les substances naturelles, et plus précisément les huiles essentielles, j’ai remarqué qu’en matière de plantes, il y avait au Maroc en général, mais plus spécialement autour de Marrakech, un potentiel énorme très peu exploité. Et le choix de l’Ourika s’est imposé, parce que c’était une région «propre», c’est-à-dire une zone où il n’y avait pas d’utilisation massive d’intrants chimiques qui posent tant de problèmes à l’homme, aux animaux et à la Terre. En fait, si les agriculteurs n’utilisaient pas ces substances, ce n’était pas par conviction écologique, mais simplement parce qu’ils n’avaient pas les moyens de les acheter. Et je me suis dit: tant mieux! J’ai trouvé deux associés, un pharmacien et un cosméticien formé en Allemagne aux méthodes naturelles. Nous avons donc démarré à trois, il y a 17 ans; aujourd’hui, nous sommes une soixantaine à Nectarome et une dizaine au Jardin Bio-Aromatique d’Ourika. Notre jardin a deux missions: accueillir les visiteurs et leur faire découvrir, souvent de façon ludique, l’ensemble des plantes. Mais il a aussi, et je dirais surtout, une vocation scientifique, au service notamment de Nectarome. Si je prends l’exemple du romarin, nous nous sommes rendu compte qu’il va donner ici une huile essentielle différente de celle que l’on obtient à Ouar- zazate ou dans la région de Rabat. Autre exemple: l’huile essentielle obtenue par une plante coupée en mars entrera dans la composition d’un shampooing; l’huile essentielle de la même plante coupée deux mois plus tard nous servira dans la composition d’une huile de massage. Vous voyez que la connaissance que l’on acquiert, grâce au Jardin, nous sert directement au niveau de la fabrication des pro- duits Nectarome. -Concrètement, toutes les plantes utilisées à Nectarome proviennent-elles du Jardin Bio-Aromatique d’Ourika ou ce dernier a-t-il uniquement une finalité de recherche ? -Le Jardin Bio-Aromatique d’Ourika n’est que sur un hectare avec une cinquantaine de plantes différentes; ce n’est pas suffi- sant. C’est une vitrine qui nous permet de travailler avec les agriculteurs. Par exemple, nous distillons beaucoup de verveine pour en faire de l’huile essentielle. Cette région est connue pour sa ver- veine odorante; le fait d’avoir multiplié les recherches sur cette plante, au niveau du Jardin, sur une toute petite parcelle, nous a permis de savoir quel était le meilleur moment pour la couper; nous avons pu ainsi donner des conseils très pratiques aux agriculteurs de la région. Et on achète leur production… à condition qu’ils ne traitent pas avec des substances chimiques: cela créé une dynamique dans la région. Et c’est ce que nous recherchons pour toutes les plantes que nous achetons: faire évoluer les mentalités. Les agriculteurs savent très bien ce que nous voulons et quand leur plante est prête, ils viennent frapper à notre porte. On tra- vaille comme cela pour la menthe, pour la verveine, pour la fleur d’oranger et pour toutes les plantes dont nous avons besoin. Ainsi, on encourage les agriculteurs à respecter l’environnement. Ils y croient d’autant plus que l’on ne va pas acheter la ver- veine non traitée au prix où on pourrait acheter le même produit traité chimiquement. Il y a donc une valorisation; je trouve que de notre part, c’est une contribution intéressante qui prend en considération la santé avant tout. 1/3 http://www.ebrd.com/news/2015/selling-moroccos-secret-of-eternal-youth.html
NECTAROME DANS AOUT 2015 NECTAROME IN AUG. 2015 -Au niveau de Nectarome, vous faites des huiles essentielles, mais pas uniquement… -Effectivement, nous avons deux activités. Il y a la partie huiles essentielles: nous avons une distillerie en inox alimentaire, ce qui est très important pour avoir une belle huile essentielle. Je note que, malheureusement, au Maroc, beaucoup d’opérateurs distillent dans des cuves en ferraille : et cela ne donne pas une bonne huile essentielle, à cause d’une oxydation non voulue. Je trouve dommage de partir d’une plante vraiment intéressante et de la dévaloriser lors de la distillation. Nous travaillons avec une centaine d’huiles essentielles, ce qui nous permet d’avoir le répertoire le plus riche de tout le Maroc. Pour être tout à fait franc, nous distillons l’essentiel chez nous, sauf lorsqu’il s’agit de plantes que l’on ne trouve pas au Ma- roc, comme le clou de girofle ou le gingembre: on est alors obligé d’importer ces huiles essentielles, mais avec un cahier des charges très strict, un chromatogramme très précis, une fiche technique détaillée etc… Nous travaillons aussi avec quelques distilleries au Maroc, quand nous sommes certains de la qualité de leur travail: par exemple le cèdre de l’Atlas est une belle huile essentielle, mais nous ne l’avons pas dans la région de Marrakech. Donc nous faisons venir ces huiles de la région de Fès, où existent ces cèdres, et où des distillateurs sont capables de nous fournir une huile correspondant à nos exigences. Deuxième activité: les produits que l’on fabrique à partir de ces huiles essentielles. Nous avons démarré, il y a 17 ans, avec deux ou trois produits: aujourd’hui, nous en proposons 140 ! Cela va de la gamme hammam à la gamme bain, en passant par la gamme soins du visage, des cheveux, mains, ongles, pour couvrir l’ensemble du corps. Nous proposons également une gamme Alimentaire et une dernière «cadeaux» et produits d’intérieur. Nos clients sont d’abord les SPA, à 60%, car on fabrique tous les produits dont ils ont besoin pour leur activité. Sur Marrakech par exemple, nos clients sont le Palais Namaskar, le Palmeraie Golf Palace, l’hôtel Hivernage, le Saadi, le Sofitel, Amanjena, le Four Seasons ou encore le Royal Mansour. Que du haut de gamme! Nous essayons d’être le plus naturel possible, et cela à l’échelle mondiale. J’ai la chance de voyager beaucoup et de voir ce qui se passe un peu partout: je peux dire que nous avons gagné notre pari, non seulement sur le plan du business, mais aussi de nos convictions environnementales profondes. Je crois que chacun a un devoir de préserver les sites naturels, de protéger la santé de l’être humain. Nous commercialisons aussi nos produits dans 4 boutiques, une ici dans le Jardin Bio-Aromatique, une -Essence des Sens- dans la médina, une à Almazar et nous sommes en train d’ouvrir au Menara Mall. Nous avons également quelques points de vente à Casablanca et Rabat. -A l’exportation, qui sont vos clients ? -Nous exportons pour des SPA et pour des boutiques. Premier client, pour des raisons historiques, la France. Mais nous expor- tons aussi vers l’Allemagne, l’Italie, l’Espagne, l’Angleterre, l’Azerbaijan; nous travaillons beaucoup avec le Moyen-Orient, les Emirats, le Koweit, le Qatar, Bahrain, le Japon, les Etats-Unis; nous seront bientôt en Chine. Vous voyez, nous sommes un peu partout! Et désormais, l’exportation représente plus de 50% de notre activité. -L’Europe, mais aussi les Etats-Unis, ont des réglementations très sévères sur les produits cosmétiques, notamment pour tout ce qui touche aux allergènes. Quels contrôles subissez-vous ? -Depuis 17 ans que nous opérons dans ce domaine, beaucoup de choses ont changé au niveau mondial. Jusqu’à présent, c’était assez simple: pour la France par exemple, il suffisait de se faire enregistrer à l’AFSSAPS, l’Agence Française de Sécurité Sani- taire et de déposer nos formules de composition auprès de 3 centres anti-poisons de l’Hexagone. Mais aujourd’hui et c’est tout récent, il faut faire enregistrer chaque produit. Pour faire cet enregistrement, nous devons fournir des analyses très sophistiquées. Nous sommes en train de travailler sur ce point avec des laboratoires européens, pour éviter toute contestation. Mais ce qui est étrange, c’est qu’au sein même le l’Europe, chaque pays va nous demander des choses différentes: il n’y a au- cune harmonisation européenne dans ce domaine entre la France, l’Italie et l’Allemagne par exemple. C’est assez incroyable! Et en plus, parfois, certains clients ont leurs propres exigences, encore plus sévères que la réglementation…Mais jusqu’à pré- sent, on n’a jamais eu le moindre problème: on s’est toujours adapté aux exigences des uns et des autres. 2/3 http://www.ebrd.com/news/2015/selling-moroccos-secret-of-eternal-youth.html
NECTAROME DANS AOUT 2015 NECTAROME IN AUG. 2015 -Vous êtes positionnés sur le créneau des produits haut de gamme. Et en conséquence vos produits peuvent paraître chers… -Quand on lance un produit, au départ, on a une marge très correcte. Mais ensuite, lorsque la concurrence nous suit, nous devons nous adapter. Par exemple, il y a encore deux ans, on vendait l’huile végétale de graines de figue de barbarie, qui entre dans la composition de plusieurs produits, à 12.000 DH le litre ; aujourd’hui, on vend ce même litre à 4.500 DH. Ce n’est pas que l’on avait une marge excessive avant: simplement, il y avait moins de graines; aujourd’hui, il y a beaucoup de producteurs, donc une offre plus importante; et par conséquent, le prix de ces graines a baissé. Pour répondre précisément à votre remarque sur le fait que nos produits soient chers, je voudrais vous donner deux exemples qui vont vous faire comprendre le problème auquel nous sommes confrontés: l’huile de fleur d’oranger tout d’abord. On a besoin de 2,5 tonnes de fleurs d’oranger pour sortir un litre d’huile essentielle. Cette huile, chez nous, coûte donc en toute logique cher: 35.000 DH le litre. Sur le marché, il y a beaucoup d’opérateurs qui travaillent avec une huile de synthèse, donc chimique, beaucoup, beaucoup moins chère: 250 DH le litre! Ils mettent sur l’étiquette une belle photo de fleur d’oran- ger et les gens sont dupés. Cela pose à mes yeux de sérieux problèmes. Tout d’abord pour la santé car cette huile de synthèse négative est mauvaise pour la peau, alors qu’elle est censée lui faire du bien! Mais cela pose aussi un problème économique: comment voulez-vous que le client comprenne que mon huile de massage qui contient un peu de cette huile essentielle coûte 600 DH le litre, alors qu’il peut trouver un produit portant la même appellation à 250 DH le litre? Comment voulez-vous qu’il sache que ce n’est pas du tout la même chose, sans un étiquetage adapté, précis et réglementé ? Deuxième exemple encore plus frappant, la rose. Dans notre pays, nombre de femmes ont pour habitude de se démaquiller avec de l’eau de rose; certaines se font même des compresses quand elles ont les yeux irrités. Sauf que cette eau de rose…n’en est pas: c’est souvent un produit de synthèse qui peut se révéler irritant! Quant à l’huile essentielle, on a besoin de distiller 5 tonnes de boutons de roses pour obtenir un litre d’huile essentielle. Six camions pour obtenir un litre d’huile essentielle! Le prix s’en ressent: 90.000 DH le litre. Alors, même lorsqu’on n’en utilise que deux ou trois gouttes, cela a un coût! On en met par exemple dans notre huile de mas- sage à la rose 100% naturelle qui favorise la relaxation et a même des effets positifs prouvés sur les personnes dépressives! L’huile de synthèse quant à elle coûte 300 DH le litre. Evidemment, la plupart des opérateurs vont aller vers la synthèse. Je fais beaucoup de formations dans les SPA, et très peu de praticiennes reconnaissent la vraie huile essentielle de rose. Elles ont été tellement habituées à utiliser de la synthèse que lorsque je leur donne la vraie huile essentielle, elles ne savent pas ce que c’est! C’est un problème grave et je suis heureux que les autorités de notre pays soient en train de travailler sur la réglementation des cosmétiques: j’espère que leurs travaux déboucheront non seulement sur des normes strictes de composition, mais également sur un étiquetage sans ambiguïté: il y va de l’intérêt des consommateurs, mais aussi des entreprises sérieuses qui ne veulent plus faire les frais d’une concurrence déloyale… http://www.medias24.com/ECONOMIE/ECONOMIE/157444-La-saga-de-Nectarome-fabricant-marocain-d-huiles-essentielles- bio-et-haut-de-gamme.html 3/3
NECTAROME SUR LE SITE DE NECTAROME ON THE WEBSITE OF Quoi de plus naturel que d’offrir les produits du Maroc si réputés pour leurs bienfaits dans le monde entier. Imprégnés de traditions ancestrales, ils véhiculent avant tout une philosophie de vie empreinte de simplicité et d’authenticité si prisée des globe-trotters stressés. La Sultana a choisi la gamme de produits d’Aromathérapie et de Cosmétique naturelles du Laboratoire Nectarome qui sélec- tionne avec la plus rigoureuse attention, depuis de nombreuses années, les plantes et les huiles essentielles du Maroc. La rose, fleur de l’amour, l’amande, fruit de l’hospitalité, le miel, cadeau gourmand de la nature, le citron, fruit d’or et de lu- mière, le cumin, sensuel et puissant, la fleur d’oranger à la douceur magique, l’olive, base du savon noir, le henné, ami des che- veux, l’argan, exclusivement marocain et son huile aux pouvoirs divins, et même la datte ou la figue de Barbarie, le ghazoul, argile céleste, possèdent mille et une vertus et sont les promesses d’une beauté éternelle… Mariage des traditions ancestrales avec la connaissance de l’aromathérapie et de la phytothérapie modernes, les produits SIGNATURE La Sultana éveillent les sens et révèlent les secrets et les bienfaits de la cosmétique marocaine. http://www.lasultanahotels.com/presentations/spas-43
NECTAROME DANS SEPT. 2015 NECTAROME IN SEPT. 2015
NECTAROME DANS FEV. 2016 NECTAROME IN FEB. 2016 Spa Break: Mandarin Oriental Marrakech The grand and beautiful Mandarin Oriental Marrakech proves an inviting space in which to sample a traditional Moroccan hammam The goal: As a busy Londoner, occasionally I really feel a need to get away from it all. To escape the hubbub and professional or social engagements of the city and spend a few days switching off and letting the stresses and strains of urban life dissipate. Taut muscles and tense shoulders are the hallmarks of the deskbound city dweller, so I was aching for a treatment to help me decompress and truly relax. The treatment: A vast 1,800sq metre space, the Mandarin Oriental Marrakech’s spa is as much of a destination as the hotel itself, the spa menu is similarly expansive – and impressive. Having perused the numerous «journeys» and «experiences» promising to reinvigorate body, mind and soul, I decided to try two: a traditional hammam, followed by a therapeutic massage. The spa’s design recalls the ancient mosques and cathedrals of Andalusia, with vast fireplaces and high vaulted corridors in warm red brick stretching as far as the eye can see. The choice of materials lends the space an intimate feel – despite its grand scale – which is added to by the warmth of the spa’s staff, who have that genuine sense of hospitality so intrinsic to Moroccan culture. And so to the hammam. I’ve experienced the traditional North African ritual on numerous occasions, so I knew what to expect – from steam and scrubbing to hair washing and massage, it’s a relaxing yet rejuvenating process. But of course Mandarin Oriental has made an effort to ensure its hammam package rivals variants already on offer in Marrakech’s many established luxury hotels. The hammam is all opulent marble floors and striking black-and-white tiling, the spa’s luxurious individual hammams undoubtedly add to the experience. In a nod to local culture, the hotel has chosen to use Nectarome’s organic oils during hammam and body treatments. The Moroccan brand employs all of its staff locally, and states that its mission is to make a beneficial contribution to the local economy. Although Biologique Recherche and Aromatherapy Associates products are used during the advanced facials, Nectarome’s rich black beldi soap and rose or neroli-scented oils are perfect for the hammam. And there’s no doubting the expertise of the spa’s staff – post-hammam, I was left with skin so soft and smooth it glowed. Followed with a hour’s relaxing massage with the same aromatic oils, I felt re-energised and refreshed. The location: A 15-minute drive from the airport, the Mandarin Oriental Marrakech is worlds away from the hectic hustle and bustle of the city’s medina. For guests looking for a weekend of escape and total serenity, it really doesn’t get much better than this. 57 riad-inspired villas are set amongst 50 acres of lush gardens, with a spectacular backdrop of the Atlas mountains. Fragrant with the perfume of jasmine, bougainvillea and over 100,000 scented roses, the gardens give the hotel a sense of peace, tranquillity and elegance. Indeed, it doesn’t really seem fair to call this a hotel – the individual villas are so impressive in scale and size (our Mandarin Pool Villa stretched across 288sq metres and even the smallest villas are 135sq metres) that resort seems more apposite. Each is built around its own central courtyard – in traditional riad style – with a pool, Jacuzzi, outdoor shower and various al fresco areas in which to dine, lounge or nap depending on your will. The design (again by Gilles et Boissier) seems conceived to work with the light at different times of the day, adapting and taking on new guises as the sun gradually shifts position. Earthy and sandy tones recall the desert’s own natural colour palette, allowing the elegant alcoves with their white embroidered cushions and the courtyard’s own greenery to take centre stage. Indoors it’s as luxe as you’d expect from the huge marble bathroom (with its own steam room, no less) to the sleek bedroom and living room spaces. Although you might anticipate typically decadent Moroccan style – all jewel tones and boho bling – the design here is refreshingly different in its simplicity, inspired by an understated Berber aesthetic. 1/2
NECTAROME DANS FEV. 2016 NECTAROME IN FEB. 2016 Although it’s all too easy to remain in the relaxing space of your villa, it would be a shame to miss out on visiting Mes’Lalla: the Mandarin Oriental’s signature Moroccan restaurant. Created by Meryem Cherkaoui (formerly of the Hôtel de Crillon), the restaurant serves both traditional Moroccan cuisine and the renowned chef’s contemporary interpretation of local dishes. Both are a triumph: reinvigorating the tastebuds and the senses in the way that only Moroccan dishes can – in turn spicy, sweet, sharp and fresh with herbs, spices and the intoxicating flavours of North Africa. Of course, locally sourced produce and vegetables from the hotel’s own organic garden render the dishes even more delicious. The hotel’s pool bar also makes use of the fresh produce; their tomatoes are some of the finest I’ve tasted outside of Italy – and that’s saying something. Having opened in October 2015, there were some teething problems when we visited the Mandarin Oriental Marrakech – operational faults with the Jacuzzi, bathroom and key cards most notably. However, these were dealt with promptly and professionally – and my companion and I both agreed that, regardless of the problems we’d experienced, we’d return to the Mandarin Oriental without the slightest hesitation. Perhaps to try out one of those extensive spa journeys.... 2/2 http://www.telegraph.co.uk/luxury/travel/100715/mandarin-oriental-marrakech-review-spa-break.html
NECTAROME ET LE JARDIN FEV. 2016 BIO-AROMATIQUE D’OURIKA DANS FEB. 2016 NECTAROME AND THE BIO- AROMATIC GARDEN OF OURIKA IN MARRAKECH, TRA SHOPPING E RELAX Marrakech: da una parte le montagne dell’Alto Atlante e dell’altra a Ovest, a poco più di 150 chilometri, l’Oceano Atlantico. Rosa come le mura della città antica, verde come le palme che svettano nei giardini, divisa tra antichità e modernità, abbagliante e in continuo fermento, ricca di storia e di arte. Un luogo che offre un volto nuovo di sé ogni volta che ci si ritorna. Per questo una sola volta non basta. Il nucleo storico è costituito dalla città vecchia, racchiusa i bastioni dal caratteristico colore. Qui si staglia la Koutoubia, il minareto che ha ispirato la Giralda di Siviglia. Percorrendo il dedalo di viuzze si arriva alla mitica piazza Djemaa el Fna, patrimonio dell’Unesco. Un luogo di intrattenimento e d’incontro, con i suoi caffè all’aperto e con i suoi ristoranti le cui terrazze affacciano sulla piazza stessa. Ma è alla sera che la questo posto si trasforma: tra incantatori di serpenti, suonatori, danzatori e ambulanti che offrono dai piatti tipici agli afrodisiaci, si respira un’atmosfera unica. A nord della piazza si sviluppa l’area dei mercati coperti, il suq, dove perdersi letteralmente tra venditori di gioielli, di accessori di pelle, tappeti, ceramica, fabbri, conciatori… Altri luoghi incantevoli da visitare sono le Tombe Sa’didi, i fiabeschi giardini della Menara, la madrassa Ben Youssef, i resti del palazzo El Badi e il giardino Majorelle, che raccoglie piante provenienti da tutto il mondo. Marrakech negli ultimi anni si è arricchita di locali e negozi di design che reinterpretano la tradizione artigianale in chiave moderna. Come le ceramiche Akkal, la pelletteria di Fadila el Gadi, gli accessori per la casa di Akbar Delights e dell’Atelier Nihal, le candele artigianali di Amira Bougies, i bellissimi caftani d’haute couture di Frédérique Birkemeyer, i pregiati infusi di Tchaba Tea, l’olio di argan e i prodotti di bellezza naturali Nectarome (vale la pena visitare il giardino bio-aromatico D’Ourika) e quelli del marchio Les Sens de Marrakech. Non possono mancare dei momenti da dedicare al relax e alla cura del corpo. Ogni quartiere ha un hammam pubblico, dove i marocchini si recano almeno una volta alla settimana, così come molti hotel (indirizzi: La Sultana & Hotel & Spa – 403 rue de la Kasbah; Le Jardins de la Medina Hotel & Spa – 21, Derb Chtouka Kashba). È luogo d’incontro e per socializzare, specialmente per le donne. Qui, tra mosaici e pareti in tadelakt, il tipico rivestimento murale di calce, ci si lascia avvolgere dal calore e del vapore umido per liberarsi dallo stress e dalle tossine. Si comincia con un gommage di sapone nero e si prosegue con un impacco al ghassoul, un’argilla naturale purificante ed emoliente indicata anche per le pelli sensibili, per proseguire con dei massaggi agli oli essenziali e finire con un’idratazione intensa della pelle a base di olio di argan. L’olio di argan, estratto dalla pianta da cui prende il nome che nasce solo in Marocco, è senz’altro tra i prodotti che vale la pena comprare qui. Il migliore proviene dalla raccolta effettuata a mano, non è torrefatto ed è pressato a freddo. È ideale per idratare corpo e viso, mantenere la pelle compatta ed elastica, combattere le rughe. Il tutto in modo naturale. http://siviaggia.it/viaggi/marrakech-tra-shopping-e-relax/131656/
NECTAROME DANS MARS 2016 NECTAROME IN MARCH 2016 An Adventurer’s Guide to the Best Argan Oil in Marrakech In Marrakech these days, the streets are paved with gold. Liquid gold, that is. Argan oil. End to end, shop by shop, in the narrow alleyways of the souk and on display in the rollicking central Jemaa el Fnaa, this transcendental beauty elixir is as copious as Morocco’s sultry sunshine. Argan oil’s praises have been sung by Selena Gomez, Madonna, and Kim Kardashian West, an A-list of enduring beauties who are said to slick themselves generously with it as a vital and possibly transformative component to their skin-care regimens. Because of its diverse benefits, argan is somewhat of a superfood for the hair and complexion. Its effects are known to be anti- aging, therapeutic, and simply sensual. Deep yellow with a barely perceptible grassy aroma, it is quickly absorbed and has the ability to moisturize deep into the skin, which helps erase wrinkles and brighten a lackluster complexion. For the hair, it adds depth and shine to dreary locks. Loaded with vitamin E, fatty acids, and anti-inflammatory properties, argan oil treats scars, acne, eczema, and psoriasis. It is both glamorous and a highly effective workhorse and made from nuts that are endemic to Morocco, making it one of the country’s most visible national treasures. The argan tree grows only in the Sous Valley, a 9,900-square-mile area south and east of the Atlantic beach resort of Essaouira. Women’s cooperatives have sprung up throughout the area and have greatly improved the livelihoods of Berber women, who are tasked with the production of argan oil. (Many Western brands, such as Neal’s Yard Remedies, have partnered with these co-ops.) The nuts resemble almonds in their whole form, and once they are cracked with the help of stones, the fruit is ground into thick paste from which the oil is extracted. Or the nuts are roasted and reduced by the cold-press process into cooking oil. If a journey to the cooperatives is not in the cards, it’s satisfying to pick up a few bottles in Marrakech, close to the source, especially when awed by the dewy complexions of local women who are said to swear by the stuff. I was advised to beware: Much of the product crowding the stalls in the souk is either adulterated, impure, or actually cooking oil bottled to look like a cosmetic (though if it bears the name of a women’s cooperative on the label, it should be safe). I consulted the concierge at La Mamounia, arguably the finest hotel in Morocco, about the best place for argan oil. I knew he would steer his worldly guests right, and he duly pointed me to aromatic heaven. Located in an immaculate but otherwise nondescript mall on the road to the Menara, the Nectarome boutique brims with creams and oils fashioned from Morocco’s most fragrant healing plants—rose, orange blossom, Barbary fig, lavender, rosewood. There is ghassoul soap made from the country’s famous restorative clay, and luscious nigel and sweet almond oils for the skin. Its argan oil is as pure as it gets—cold-pressed, along with all of the extracts used in the line, in its own organic gardens located in the Ourika Valley, just 20 miles from Marrakech. Best to apply argan oil neat, but I could not resist a bottle of the most divine concoction I’ve ever smelled— a serum of argan, neroli, and fig oils. I stumbled upon the second place, located in the upper floor of a small building outside the medina, and it was a nostalgic bit of happenstance. For anyone who remembers Kiehl’s when it was a one-room apothecary on Third Avenue in New York City, Herboristerie Firdaous brings the same sense of old-world comfort. Like Nectarome, the store is a tribute to Morocco’s sweeping floral and plant diversity, and its shelves are crammed with essential oils, scented waters, lotions, and serums. If you are fortunate, owner Mohamed Lougdali will be behind the counter to dispense advice on herbal remedies and suggestions for aromatherapy. Pure rosemary, thyme, mint, sage, and rose oils are made from plants gathered from rural farms and bottled in basic brown vials. All are organic (or biologique) and distilled in Lougdali’s own factory, as is its divine argan oil, which costs all of 5 euros a bottle. My added temptation here was an infusion of pure chamomile, a balm for my tired, traveling eyes. One more cream bears mentioning, which I dug into in a fit of argan frenzy in the Majorelle Blue and sunset-orange halls of the Mamounia spa. The building was recently renovated to desert perfection, but the 20-acre garden remains as it was when the hotel was built in 1923—a green oasis of rosebushes and flowering plants lined with palm, orange, and ancient olive trees. I crossed into the richly embellished but thoroughly Zen interior pool, framed by white Moroccan arches and mosaiced columns, and soon found myself in the deep sanctuary of the spa. Tiled and toasty from the heat of the steam rooms, the space was thick with an aromatic bouquet of orange flower, lavender, and rose, as well as a hint of eucalyptus from black soap used in traditional hammam rituals. Here, they use the product line MarocMaroc, based in the capital Rabat, for many of the treatments (the pure organic argan oil sold in the hotel’s boutique is created for La Mamounia by Les Arômes du Maroc). The line’s facial cream, Richesse d’Arganier, is a blend of argan oil, honey, and date extract. Buttery, rich, and full-bodied, I swear I could feel it tend to all that ailed me, smoothing out the creases and bringing that sunlit Marrakech glow to my face. http://www.vogue.com/13420675/best-argan-oil-in-morocco-marrakech-la-mamounia-spa-nectarome/
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