21E EN ONCOLOGIE 2019 - CONGRÈS SUISSE DES SOINS QUAND LA CHRONICITÉ CACHE DES PROBLÈMES AIGUS
←
→
Transcription du contenu de la page
Si votre navigateur ne rend pas la page correctement, lisez s'il vous plaît le contenu de la page ci-dessous
2019
21 E CONGRÈS SUISSE DES SOINS
EN ONCOLOGIE
QUAND LA CHRONICITÉ
CACHE DES PROBLÈMES AIGUS
28 MARS 2019 – BERNE
Onkologiepflege Schweiz
Soins en Oncologie Suisse
Cure Oncologiche Svizzera
LE COMITÉ ORGANISATEUR DU PROGRAMME Soins en Oncologie Suisse Société scientifique des soins en oncologie Irène Bachmann-Mettler Sandy Decosterd Gabriela Finkbeiner Therese Grädel-Fankhauser Susanne Kropf-Straub Dr. Maya Zumstein-Shaha
21E CONGRÈS SUISSE DES SOINS EN ONCOLOGIE
QUAND LA CHRONICITÉ CACHE DES PROBLÈMES AIGUS
Chère collègue, cher collègue
Depuis de nombreuses années déjà, se voir annoncer un diagnostic de cancer ne signifie
plus « rémission ou mort ». Beaucoup de personnes atteintes de cancer vivent de nos jours
avec une thérapie à long terme pendant des années - comme pour toute autre maladie
chronique, par exemple le diabète ou l’insuffisance cardiaque. Ces personnes se sentent-elles
chroniquement malades ou en bonne santé ? On sait que vivre avec la maladie peut être
éprouvant : fonctionnellement, psychologiquement, socialement et financièrement. La chro-
nicité peut cacher des problèmes aigus, qu’ils soient physiques ou autre. Les personnes
concernées en souffrent quotidiennement et ont besoin d’aide professionnelle.
Lors du congrès de cette année, nous nous poserons ces questions et discuterons avec vous
de quelle manière cette charge portée par des personnes atteintes de cancer peut être
perçue et traitée, quels programmes s’y prêtent et quelles tâches incombent aux soins onco-
logiques. De nouvelles compétences sont actuellement demandées, si les infirmières veulent
prendre soin des personnes avec des maladies chroniques !
Profitez des conférences en plénière, ainsi que des 16 séminaires, pour vous informer des
derniers développements en oncologie et en soins infirmiers en oncologie et d’apprendre
quelles sont les compétences dont vous avez besoin.
Nous vous invitons à passer une journée inspirante au Congrès suisse des soins en oncologie,
ensemble avec vos collègues et dans le cadre d’exposés, de présentations de posters et
d’une grande exposition spécialisée !
Irène Bachmann-Mettler
Présidente Soins en Oncologie Suisse
3
|
PROGRAMME D = allemand, F = français, d/f = traduction simultanée
Dès Enregistrement
08h00 Café d’accueil
08h30 Assemblée générale de Soins en Oncologie Suisse
D/f Pour les membres de Soins en Oncologie Suisse
09h30 Ouverture du congrès
D/F Accueil et modération
Irène Bachmann-Mettler, Présidente Soins en Oncologie Suisse
Marika Bana, Co-Présidente Société scientifique des soins en oncologie
09h40 Est-ce que chronique est également aigu ?
D/f Improvisation théâtrale - TAP Theater am Puls
09h50 Que signifie la chronicité des maladies oncologiques ?
D/f Matthias Naegele
10h10 La gestion des effets secondaires des immunothérapies :
F/d Une étape de phase aigüe dans la chronicité
Patricia Debarge
10h35 Aigu, qu’est-ce que c’est exactement ?
D/f Différentes perspectives dans la prise de décision éthique
PD Dr. phil. Rouven Porz
11h00 Pause Visite de l’exposition et présentation des posters
11h30 Séminaires partie I
12h30 Repas de midi Visite de l’exposition et présentation des posters
13h30 Séminaires partie II
14h30 Pause Visite de l’exposition et présentation des posters
15h00 Remise du Prix Soins en Oncologie 2019
D/F Soins en oncologie – Prix de la pratique pour la pratique (SOS)
Prix Best Poster (APSI)
15h15 Présentation courte de projets importants de Soins en Oncologie
D/F Suisse et de la Société scientifique des soins en oncologie
15h40 « L’art de faire ce que je veux » – comment réussir l’autogestion
D/f Caroline Theiss Wolfsberger
16h20 Take Home Message
Fin du congrès
|4
APERÇU
Arena Forum Salles séminaires
08h00 Enregistrement
08h15
08h30 Assemblée générale SOS
08h45
09h00
09h15
09h30 Ouverture du congrès
09h45 Conférences
10h00
10h15
10h30
10h45
11h00 Pause, visite de l’exposition et
11h15 présentation des posters
11h30 Séminaire no 1 Séminaires no 2 – 8
11h45
12h00
12h15
12h30 Repas de midi
12h45 Visite de l’exposition et
13h00 présentation des posters
13h15
13h30 Séminaire no 9 Séminaires no 10 – 16
13h45
14h00
14h15
14h30 Pause, visite de l’exposition et
14h45 présentation des posters
15h00 Remise du prix 2019
15h15 Conférences
15h30
15h45
16h00
16h15
16h30 Fin du congrès
5
|
CONFÉRENCES
09h40 D/f
Est-ce que chronique est également aigu ?
En 2001 a été fondé le TAP Theater am Puls. Depuis, il est impossible
d’imaginer le monde de l’improvisation théâtrale sans lui. TAP im-
provisera sous plusieurs angles comment aigu peut être chronique,
spécialement pour le congrès. Inspirons-nous de sa force créatrice.
TAP – Theater am Puls, www.theaterampuls.ch
09h50 D/f
Que signifie la chronicité des maladies oncologiques ?
Ces dernières années, le cours de nombreuses maladies cancéreuses a évolué en raison de
médicaments innovants. Le myélome multiple est l’exemple d’une maladie avec laquelle de
nombreux patients vivent bien pendant de longues années. La transition d’une maladie
aiguë vers une maladie chronique signifie une prolongation de la vie pour les personnes
touchées. Mais il en résulte également de nouveaux défis dont les personnes concernées,
proches, soignants et la santé publique doivent s’occuper.
Matthias Naegele MSc
infirmier expert en soins APN
dès le 1.2.2019
Comprehensive Cancer Center Zurich
Hôpital Universitaire de Zurich
10h10 F/d
La gestion des effets secondaires des immunothérapies :
Une étape de phase aigüe dans la chronicité
Depuis environ une dizaine d’années, l’immunothérapie est un traitement reconnu ayant
fait des preuves aujourd’hui dans le domaine de l’oncologie. Les traitements parfois très
efficaces contre la maladie sont aussi pourvus d’un nombre d’effets secondaires dont l’ap-
parition peut être tardive. Pour soutenir les patients à mieux gérer ces effets secondaires,
les équipes soignantes mieux formées doivent considérer aujourd’hui la prise en charge du
patient en phase aigüe de son traitement dans la chronicité qui est la maladie du cancer.
Patricia Debarge
Infirmière Cheffe de Service
Département d’Oncologie
CHUV Centre hospitalier universitaire
vaudois, Lausanne
|610h35 D/f
Aigu, qu’est-ce que c’est exactement ?
Différentes perspectives dans la prise de décision éthique
L’éthique clinique cherche à soutenir les professionnels de la santé lorsqu’il s’agit de ques-
tions éthiques professionnelles. Des situations de prises de décision difficiles surviennent,
par exemple, en raison de différents points de vue entre médecins et infirmières. La percep-
tion de « aigu » et/ou « chronique » est une hypothèse de base souvent inconsciente n’ayant
guère de considération éthique. Dans cet exposé sont présentés, à l’aide d’exemples de la vie
quotidienne clinique, des postulats fondamentaux de l’éthique clinique et la méthode de
discussion de cas éthiques.
PD Dr. phil. Rouven Porz
Dipl. biol. AdL
Responsable de l’Ethique médicale
Inselgruppe AG, Hôpital de l’Ile, Berne
Président EACME (European Associa-
tion of Centres of Medical Ethics)
15h40 Uhr D/f
« L’art de faire ce que je veux » - comment réussir l’autogestion
L’auto-efficacité est un facteur-clé dans la santé mentale et une base importante d’un
comportement sensible aux questions de santé. La capacité de se comporter de manière
à réussir son autogestion comme souhaitée peut être renforcée de manière ciblée – ceci
pour les soignants et pour les patients. Les résultats de la recherche en neuropsychologie
montrent non seulement l’importance de la compréhension, mais aussi l’importance des
émotions inconscientes pour le contrôle de l’action. La conférencière explique comment
synchroniser les deux systèmes. Pour les changements, non seulement la compréhension
est nécessaire mais les changements doivent aussi générer une sensation agréable.
Caroline Theiss Wolfsberger
ZRM-Trainerin
(Zürcher Ressourcen Modell)
7
|SÉMINAIRES, PARTIE I 11h30 – 12h30
No 1 Reconnaissance des soins infirmiers en oncologie – ReCaN –
D/E/f une initiative d‘EONS : Et en Suisse ?
Prof Manuela Eicher, Prof Lena Sharp, Anita Margulies, Irène Bachmann-Mettler
Avec le soutien de Vifor Pharma SA
Nr. 2 (Selbst) Hypnose – ein Tool zur Prävention und Unterstützung
D in der Chronizität
Claudia Pesenti-Salzmann
Nr. 3 «Viel Zeit zu Hause» – wer bespricht mit mir meine Symptome?
D Ilona Kaufmann-Molnàr
Nr. 4 Einfluss der Diagnose und Therapie auf die Entwicklung
D von krebskranken Kindern
Andrea Kurzo, Pädiatrische Onkologiepflege Schweiz (POPS)
Nr. 5 Maligne Wunden – was ist neu?
D Prof. Dr. Sebastian Probst
No 6 Prix Soins en oncologie 2019
D/F/I Présentation et vote
No 7 Planification anticipée : accompagner le patient
F en respectant ses préférences
Laurence Séchaud PhD
No 8 Peut-on parler de chronicité chez l’enfant atteint de leucémie ?
F Marylin Bovero
|8SÉMINAIRES, PARTIE II 13h30 – 14h30
No 9 Révolution dans la recherche clinique :
D/f quelle signification pour la pratique ?
Prof Dr med Roger von Moos
Avec le soutien de Bristol-Myers Squibb SA
Nr. 10 Integrative Onkologie – Möglichkeiten und Grenzen
D der Komplementärmedizin
Prof. Dr. med. Claudia Witt
Nr. 11 Assessment-Instrumente – wie werden sie sinnvoll eingesetzt?
D Ernst Näf
Nr. 12 Pflegerische Schwerpunkte bei der Bestrahlung von Patienten
D mit Prostatakarzinom
Anita Gutiérrez, Florence Kaufmann, Dubravka Miletic
Gruppe Radio-Onkologie / OPS
Nr. 13 Sedierung am Lebensende – Zahlen und Fakten aus der Schweiz
D Dr. Sarah Ziegler
Nr. 14 «Spiritual Care – über Spiritualität reden»
D Prof. Maya Zumstein-Shaha
No 15 « Que dire à mon enfant ? » le soignant, une personne ressource
F Catherine Bollondi Pauly, Eliane Dalex
No 16 Les plaies oncologiques - quoi de neuf ?
F Prof Dr Sebastian Probst
9
|SÉMINAIRES, PARTIE I 11h30 – 12h30
No 1 D/E/f
Reconnaissance des soins infirmiers en oncologie – ReCaN –
une initiative d‘EONS : Et en Suisse ?
L‘European Oncology Nursing Society (EONS) définit les infirmières en oncologie comme
des infirmières qualifiées qui ont l‘entière responsabilité de fournir des soins de qualité aux
patients atteints de cancer et à leurs proches aidants. L‘initiative « Recognizing the value
of Cancer Nurses – ReCaN» a été lancée sous la direction d‘EONS (voir aussi: http://www.
cancernurse.eu/research/recan.html). Les résultats de l‘initiative ReCan seront présentés par
Lena Sharp (présidente d‘EONS) et Manuela Eicher (membre du groupe de recherche
EONS). Avec Irène Bachmann-Mettler (Présidente SOS) et Anita Margulies (EONS Onco-
Policy – a ncien membre), nous discuterons de notre situation actuelle en Suisse et de sa
signification pour la reconnaissance des infirmières en oncologie en Suisse.
Avec le soutien de Vifor Pharma SA
Prof Manuela Eicher Prof Lena Sharp
Professeure Associée, Institut Présidente European Oncology
universitaire de formation et de Nursing Society (EONS), Head
recherche en soins de l‘Université of Cancer Care Improvement,
Lausanne et du Centre Universi- Regional Cancer Center, Stock-
taire Hospitalier Vaudois holm-Gotland (Schweden)
Nr. 2 D
(Selbst) Hypnose – ein Tool zur Prävention und Unterstützung in der Chronizität
Hypnose wird in der Onkologie gezielt seit mehr als 200 Jahren angewandt. Ich stelle Ihnen
ein natürliches, wirksames und selbstmanagementförderndes Tool vor, das Menschen mit
einer Tumorkrankheit und auch deren Angehörige bedürfnis- und ressourcenorientiert
unterstützen kann. Sie werden erfahren, was Hypnose ist bzw. nicht ist, und lernen An-
wendungsgebiete, Methoden, Evidenz und die Rolle der Pflegenden kennen. Und wenn Sie
möchten, können Sie eine «Schnupper-Hypnose» geniessen.
Claudia Pesenti-Salzmann
Dipl. Hypnosetherapeutin
OMNI/SBVH/NGH
Pflegeexpertin MAS Palliative Care
Erwachsenenbildnerin CAS
| 10Nr. 3 D
«Viel Zeit zu Hause» – wer bespricht mit mir meine Symptome?
Während und nach einer antitumoralen Therapie leiden die Patientinnen und Patienten
häufig unter Fatigue, Angst, Übelkeit und Erbrechen. All diese Symptome beeinträchtigen
die Lebensqualität. Die Angst vor Progression und die Ungewissheit darüber, wie es weiter-
geht, führt zur Verunsicherung. Im Seminar wird aufgezeigt, wie die Symptome Fatigue,
Angst, Übelkeit und Erbrechen erfasst werden. Ein Modell für den Umgang mit Zukunfts-
angst wird vorgestellt. Mit den Teilnehmenden wird diskutiert, wie sie die Betroffenen im
Alltag besser unterstützen können.
Ilona Kaufmann-Molnàr
APN Onkologie
Universitätsspital Basel
Nr. 4 D
Einfluss der Diagnose und Therapie auf die Entwicklung
von krebskranken Kindern
Die Entwicklung von krebskranken Kindern und deren Lebenswirklichkeit wird durch die
Lebensbedrohung, die körperlichen Beeinträchtigungen, die Nebenwirkungen der Therapie
und die emotionalen Ausnahmezustände massgebend beeinflusst. Für die betroffenen
Kinder und ihre Eltern ist eine normale Entwicklung häufig erschwert. Trotzdem gelingt es
vielen, die Belastungen zu verarbeiten und die Ausnahmeerfahrung in ihr Leben zu integ-
rieren. In diesem Seminar betrachten wir anhand von Fallbeispielen verschiedene Entwick-
lungsverläufe bei krebskranken Kindern. Wir diskutieren darüber, wie die Krankheitsbe
wältigung bei Patient und Familie gefördert werden kann, unter Berücksichtigung der
altersadäquaten Entwicklung des Patienten.
Pädiatrische Onkologiepflege Schweiz (POPS)
Andrea Kurzo
Eidg. anerkannte
Psychotherapeutin
Kinder und Jugendpsychiatrie
Universitätsklinik für Kinder
heilkunde, Bern
11
|SÉMINAIRES, PARTIE I 11h30 – 12h30
Nr. 5 D
Maligne Wunden – was ist neu?
In diesem Seminar werden die aktuellen evidenz- und praxisbezogenen Empfehlungen aus
dem überarbeiteten Standard der Onkologiepflege Schweiz zur Linderung der körperlichen
Symptome wie Wundgeruch, Blutungen, Schmerzen, Exsudat und Juckreiz vorgestellt und
diskutiert.
Prof. Dr. Sebastian Probst
Professor für Wundpflege
Fachhochschule für Gesundheit
Genf
No 6 D/F/I
Prix Soins en oncologie 2019
Présentation des travaux soumis « De la pratique pour la pratique » avec vote pour le prix
des soins en oncologie 2019
No 7 F
Planification anticipée : accompagner le patient en respectant ses préférences
La planification anticipée ou « advance care planning » est un processus continu de concer-
tation entre patient, proches et professionnels. Centré sur les préférences et souhaits, elle
permet à la personne de préciser ses priorités de soins et de traitements en cas de perte de
discernement tout en favorisant la participation aux décisions. Des stratégies de communi-
cation et des habiletés relationnelles spécifiques sont nécessaires. Ce séminaire présentera
un jeu de carte original pour aborder ce sujet avec les différents acteurs et traitera des en-
jeux liés aux discussions de fin de vie.
Laurence Séchaud PhD
Professeure associée
Haute Ecole de Santé
Genève
| 12No 8 F
Peut-on parler de chronicité chez l’enfant atteint de leucémie ?
L’enfant atteint d’une leucémie aiguë fait face à des soins complexes avec des répercussions
sur son développement et son environnement familial. Similaire aux maladies chroniques,
ce parcours nécessite une approche holistique impliquant un accompagnement spécifique
lors du retour à domicile, un changement de rôle parental, la mise en place de stratégies
d’adaptation, les variations entre espoirs et désespoirs, le retour en milieu scolaire et la prise
de traitements spécifiques. Ce séminaire aborde la complexité des soins de l’enfant leucé-
mique qui allie des soins aigus à des soins chroniques.
Marylin Bovero
Infirmière praticienne spécialisée
Onco hématologie pédiatrique
Hôpitaux Universitaires de Genève
EMSP – Rencontre d’échange
Les professionnels actifs au sein d’une équipe mobile de soins
palliatifs sont invités à une rencontre d’échange.
L‘heure : 11h00 à 13h30, repas inclus
Lieu : Salle Bellavista 2
Vous trouvez le programme détaillé sur www.soinsoncologiesuisse.ch.
Cette réunion est soutenue par la Ligue suisse contre le cancer Le
nombre de places est limité.
13
|SÉMINAIRES, PARTIE II 13h30 – 14h30
No 9 D/f
Révolution dans la recherche clinique : quelle signification pour la pratique ?
Les stratégies de recherche, qui ont été fixées aux temps du développement des chimiothé-
rapies, ne sont plus efficaces à l’ère de l’oncologie moléculaire et des immunothérapies.
De nombreux effets secondaires se sont modifiés, la toxicité dose-dépendante n’est plus
valable pour diverses molécules et les autorisations de nouvelles molécules se font en partie
déjà avec des données de phase I. Que signifient ces modifications pour la pratique clinique ?
Comment devons-nous adapter l’observation des patientes et patients à cette nouvelle
réalité ? Ces problèmes et les solutions possibles sont discutés à l’aide d’exemples.
Avec le soutien de Bristol-Myers Squibb SA
Prof Dr med Roger von Moos
Médecin chef Oncologie /
Hématologie, Hôpital cantonal
des Grisons, Coire
Président SAKK
Nr. 10 D
Integrative Onkologie – Möglichkeiten und Grenzen der Komplementärmedizin
Krebspatientinnen und -patienten fragen häufig nach komplementären Therapien. Im Semi-
nar wird ein Überblick über evidenzbasierte komplementäre Therapien gegeben. Anhand
von Fallbeispielen wird die mögliche Integration, aber auch die Rolle der Pflege in diesem
Zusammenhang diskutiert.
Prof. Dr. med. Claudia Witt
Direktorin des Instituts für komple-
mentäre und integrative Medizin
UniversitätsSpital Zürich
| 14Nr. 11 D
Assessment-Instrumente – wie werden sie sinnvoll eingesetzt?
Es existieren diverse Assessment-Instrumente, die für das pflegerische Umfeld entwickelt
wurden. Unter welchen Bedingungen ist deren Einsatz im Bereich der Onkologiepflege
sinnvoll? Wir werden unsere Erfahrungen mit Assessment-Instrumenten austauschen und
einen Blick auf damit zusammenhängende Begriffe sowie die anwendungsbezogenen Güte
kriterien werfen.
Ernst Näf
MNS, Pg Dip. Oncology,
Pflegeexperte APN
Onkologie & Palliative Care
Solothurner Spitäler,
Kantonsspital Olten
Nr. 12 D
Pflegerische Schwerpunkte bei der Bestrahlung von Patienten mit Prostatakarzinom
Im Seminar wird aufgezeigt, welche Bedeutung die Strahlentherapie bei der Behandlung
des Prostatakarzinoms hat und mit welchen Nebenwirkungen zu rechnen ist. Welche Infor-
mationen brauchen Patienten vor der Bestrahlung und wie sieht die Begleitung durch das
Pflegepersonal konkret aus? Welche Themen werden in der Pflegesprechstunde bespro-
chen? Mit welchen prophylaktischen Massnahmen lassen sich die Nebenwirkungen mini-
mieren? Wie gross ist die Gefahr für Inkontinenz und erektile Störungen und wie können
Patienten mit solchen Störungen durch die Pflegenden unterstützt werden?
Seminar der Gruppe Radio-Onkologie / OPS
Anita Gutiérrez
BSN, MAS Florence Kaufmann
Pflegeexpertin Pflegefachfrau
Leitung Bereich Pflege Radio-Onkologie
Radiotherapie Hirslanden Gruppe Centre Universitaire Hospitalier
(RTH) Vaudois
Dubravka Miletic
Pflegefachfrau HF, Höfa Onkologie
Fachverantwortliche im Institut für
Radiotherapie Klinik Hirslanden
Zürich und Männedorf
15
|SÉMINAIRES, PARTIE II 13h30 – 14h30
Nr. 13 D
Sedierung am Lebensende – Zahlen und Fakten aus der Schweiz
Die Symptomlast lässt sich bei Patienten in der terminalen Phase nicht immer ausreichend
senken. Zur Linderung nicht kontrollierbarer Symptome kann eine tiefe palliative Sedierung
vorgenommen werden. Die Schweiz weist im europäischen Vergleich eine der höchsten
Prävalenzraten und eine der stärksten Zunahmen auf. In diesem Seminar wird die aktuelle
Problematik der tiefen palliativen Sedierung aufgezeigt und es werden mögliche Erklärun-
gen für die starke Zunahme vorgestellt. An Fallbeispielen werden Herausforderungen er-
läutert und kritisch diskutiert.
Dr. Sarah Ziegler
Postdoktorandin
Institut für Epidemiologie,
Biostatistik und Prävention
Universität Zürich
Nr. 14 D
«Spiritual Care – über Spiritualität reden»
In diesem Seminar werden die Konzepte Spiritualität und «Spiritual Care», wie sie in der
Literatur beschrieben sind, vorgestellt. Zudem werden die Guidelines zu «Spiritual Care»
erklärt, die von der Task Force Spiritual Care von palliative.ch erarbeitet wurden. Basierend
auf diesen Grundlagen werden Empfehlungen für die Praxis vorgestellt.
Prof. Maya Zumstein-Shaha
Master of Science in Pflege
Berner Fachhochschule
Departement Gesundheit,
Angewandte Forschung und
Entwicklung Pflege, Bern
| 16No 15 F
« Que dire à mon enfant ? » le soignant, une personne ressource
Les parents veillent, éduquent, rassurent et protègent leurs enfants. Après l’annonce d’un
diagnostic de cancer qui véhicule une lourde charge émotionnelle, bouleverse les repères et
confronte à la finitude de la vie, les parents peuvent rencontrer des difficultés dans le dia-
logue avec leurs enfants concernant leur maladie et son évolution. Cet atelier propose aux
soignants des pistes pour accompagner les parents : explorer l’état émotionnel du parent,
préparer l’entretien du parent avec l’enfant, l’aider à gérer la question-surprise, trouver les
mots quand l’espoir s’amenuise…
Catherine Bollondi Pauly Eliane Dalex
Infirmière spécialiste clinique Infirmière spécialiste clinique
en oncologie en oncologie
Hôpitaux Universitaires de Genève Hôpitaux Universitaires de Genève
No 16 F
Les plaies oncologiques - quoi de neuf ?
Dans cet atelier, les nouveautés du standard « plaies oncologiques » (Soins en Oncologie Suisse)
sont présentées. Il s’agit surtout de données probantes sur les symptômes physiques comme
les odeurs, le saignement, le prurit, l’exsudat et la douleur.
Prof Dr Sebastian Probst
Professeur associé
Spécialiste des plaies et de la
cicatrisation
Haute Ecole de Santé
Genève
17
|CONFÉRENCIÈRES ET CONFÉRENCIERS Bachmann-Mettler Irène, Zürich Bana Marika, Haute école de santé Fribourg / Hochschule für Gesundheit Freiburg Bollondi Pauly Catherine, Hôpitaux Universitaires de Genève Bovero Marylin, Hôpitaux Universitaires de Genève Dalex Eliane, Hôpitaux Universitaires de Genève Debarge Patricia, Centre Hospitaliers Universitaire Vaudois, Lausanne Dubravka Miletic, Institut für Radiotherapie Klinik Hirslanden, Zürich und Männedorf Eicher Manuela, Prof, Institut universitaire de formation et de recherche en soins, Université de Lausanne et Centre Hospitalier Universitaire Vaudois, Lausanne Gutiérrez Anita, Radiotherapie Hirslanden Gruppe (RTH), Aarau Kaufmann Florence, Centre Universitaire Hospitalier Vaudois, Lausanne Kaufmann-Molnàr Ilona, Universitätsspital Basel Kurzo Andrea, Kinder und Jugendpsychiatrie, Universitätsklinik für Kinderheilkunde, Bern Margulies Anita, Zürich Näf Ernst, Solothurner Spitäler, Kantonsspital Olten Naegele Matthias, Universitätsklinikum Freiburg, ab 1.2.19 UniversitätsSpital Zürich Pesenti-Salzmann Claudia, Ascona Porz Rouven, PD Dr. phil., Inselgruppe AG, Inselspital Bern Probst Sebastian, Prof Dr, Haute école de santé, Genève Séchaud Laurence, PhD, Haute Ecole de Santé, Genève Sharp Lena, Prof., Regional Cancer Center, Stockholm-Gotland (Schweden) Theiss Wolfsberger Caroline, Zürich von Moos Roger, Prof. Dr. med., Kantonsspital Graubünden, Chur Witt Claudia, Prof. Dr. med., Institut für komplementäre und integrative Medizin, UniversitätsSpital Zürich Ziegler Sara, Dr., Institut für Epidemiologie, Biostatistik und Prävention, Universität Zürich Zumstein-Shaha Maya, Prof., Berner Fachhochschule, Dep. Gesundheit, Bern | 18
EXPOSANTS ET SPONSORS
AbbVie AG
)( aegis medical technologies gmbh
Amgen Switzerland AG
Apprendre à vivre contre le cancer
apprendre
à vivre avec le cancer
lernen
mit Krebs zu leben
AstraZeneca AG
Bayer ( Schweiz ) AG
B. Braun Medical AG
Becton Dickinson AG
Biomed AG
Bristol-Myers Squibb SA
caphatdesign gmbh
Celgene GmbH
CODAN Medical AG
Eli Lilly Suisse SA
Euromed Swiss AG
FHS St. Gallen Weiterbildungszentrum
Fresenius Kabi
Galderma Schweiz AG
Haarwerkstatt Basel
Hirslanden Klinik
19
|EXPOSANTS ET SPONSORS
Haute école de santé Fribourg
Hutmacherei Luzern
Ipsen Pharma AG
Janssen-Cilag AG
Kalaidos Fachhochschule Gesundheit AG
Kopfrausch GmbH
Ligue bernoise contre le cancer
Ligue Suisse contre le cancer
Louis Widmer AG
MCM MEDSYS AG
Merck Sharp & Dohme AG
Nestlé Health Science
® Novak M Swiss GmbH
Novartis Pharma Schweiz AG
OncoMedical AG
palliative ch
Parsenn-Produkte AG
Pfizer AG
Pierre Fabre Pharma AG
Raditec Medical AG
| 20Roche Pharma (Schweiz) AG
Sandoz Pharmaceuticals AG
Sanofi Genzyme
Servier (SUISSE) SA
Skan AG
Société scientifique des soins en oncologie
Takeda Pharma AG
TECOmedical AG
TESARO Bio GmbH
Teva Pharma AG
Vifor Pharma AG
ZHAW Departement Gesundheit, Institut für Pflege
21
|CONDITIONS ET INFORMATIONS
Inscription www.soinsoncologiesuisse.ch
Coûts CHF 150.00 pour les membres de Soins en Oncologie Suisse
( repas compris ) CHF 195.00 pour les non-membres
CHF 120.00 pour les étudiants (formation initiale)
Conditions Sur facture après inscription
de paiement
Annulation Après le 18 mars 2019 :
CHF 20.00 de frais d‘administration
Après le 24 mars 2019 :
aucun remboursement des frais d’inscription.
Délai d’inscription 24 mars 2019
Langues Français et allemand avec traduction simultanée
Exposants Diverses entreprises et institutions
présentent leurs services et produits.
Présentations Après le congrès, les présentations seront publiées, moyennant
l’accord des conférenciers, sur www.soinsoncologiesuisse.ch.
Lieu Kursaal Berne, Kornhausstrasse 3, CH-3000 Bern 25
Téléphone +41 31 339 55 00, www.kursaal-bern.ch
Organisation Soins en Oncologie Suisse
Organisation du congrès : Sylvia Spengler-Mettler
Hirstigstrasse 13, CH-8451 Kleinandelfingen
Téléphone +41 52 301 21 89
info@onkologiepflege.ch, www.soinsoncologiesuisse.ch
En collaboration avec Michaela Fritz
Fritz & Partner, Agentur für Veranstaltungen
Hofstrasse 70, CH-8032 Zürich
Téléphone +41 43 455 03 12
events@fritzpartner.ch, www.fritzpartner.ch
| 22ITINÉRAIRE
Hôtel Allegro
Kursaal Berne
Kornhausstrasse 3
3000 Berne 25
Téléphone +41 31 339 55 00
www.kursaal-bern.ch
En train:
à partir de la gare centrale de Berne,
tram No 9, direction Wankdorf Bahnhof,
jusqu’à l’arrêt «Kursaal» (5 min).
En voiture:
voir le plan de situation.
Parking public à l’hôtel,
pour d’autres parkings,
consultez le plan.
23
|Onkologiepflege Schweiz Hirstigstrasse 13 Soins en Oncologie Suisse CH-8451 Kleinandelfingen Cure Oncologiche Svizzera www.soinsoncologiesuisse.ch
Vous pouvez aussi lire
