Natura 2000 en Loire-Atlantique
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Natura 2000 en Loire-Atlantique L'Etat et l'Union Européenne se sont engagés à mettre en oeuvre des financements spécifiques pour accompagner la réalisation des actions prévues dans ces documents d'objectifs des sites bénéficiant du label Natura 2000 et ils incitent conjointement les acteurs locaux à mieux utiliser les instruments financiers existants. 1 - Historique En 1971 débute, avec la convention RAMSAR (2 février 1971), le processus de protection des zones humides d’importance internationale. En 1986, la France reconnaît la valeur patrimoniale des zones humides en adoptant la convention RAMSAR. De ce processus vont ressortir deux directives européennes : - la directive « Oiseaux sauvages » n°79/409 le 2 avril 1979, qui vise à protéger les espèces d’oiseaux sauvages ; - la directive « Habitat faune-flore », entamée le 19 septembre 1979 à la convention de Berne et reprise le 21 mai 1992, porte sur la conservation de la vie sauvage et du milieu naturel en Europe. A chacune de ces deux directives correspondent des zonages spécifiques déterminés suite à des inventaires spécifiques (ZICO et HFF) réalisés entre 1992 et 1995 sur tout le territoire : sur les Zones Importantes pour la Conservation des Oiseaux (ZICO) se greffent les Zones de Protection Spéciale (ZPS) ; et sur les zones susceptibles d’être reconnues d’importance communautaire sont mises en place les Zones Spéciales de Conservation (ZSC). Les deux directives constituent la matrice du réseau Natura 2000 qui regroupe les zones classées ZPS et ZSC. Chaque Etat membre désigne, à l’Europe, des sites qu’il aura retenus pour son territoire. En France le choix des différents sites est soumis au préfet, après avoir été acceptés par une commission spéciale. L’Etat engage une démarche contractuelle réglementaire et organise pour chaque site une négociation entre tous les acteurs concernés pour établir un « document d’objectif », qui est un plan de gestion du site. Il définit, en fonction des spécificités du territoire, les orientations de gestion et les modalités de mise en œuvre des mesures de préservation, ensuite s’effectuera la rédaction des contrats. Une gestion contractuelle des politiques agri-environnementales : La mise en œuvre des orientations de gestion des sites passe par la mise en place de contrat entre les acteurs locaux et l’Etat. Dans le cas de l’agriculture la plupart des contrats ont vu le jour sous la forme de MAE, Mesures Agri-Environnementales : aides annuelles à l’hectare et à l’échelle parcellaire. JC Dubos – NATURA CA44 - 27/08/2007 1
2 - Qu’est-ce que NATURA 2000 C'est un projet de tous les pays européens qui vise à constituer sur le territoire de l'Europe un réseau de sites abritant des habitats naturels ainsi que des espèces animales ou végétales qui sont devenus rares ou qui sont menacés. Ces habitats et espèces d'intérêt communautaire sont précisés dans les annexes des directives 79/409 (oiseaux) et 92/43 (habitats, flore et autres groupes faunistiques), du Conseil de l'Union Européenne. Dans la directive Habitats, les plus menacés de ces habitats ou espèces sont qualifiés de « prioritaires ». Le réseau Natura 2000 sera constitué des Zones de Protection Spéciale, désignées au titre de la directive Oiseaux et des Zones Spéciales de Conservation qui seront désignées pour les sites relevant de la directive Habitats. Chaque Etat-membre désigne les sites qu'il aura retenus sur son territoire comme étant les plus appropriés à la conservation des habitats et des espèces d'intérêt communautaire, à partir des données scientifiques disponibles. L’inventaire des espaces les plus remarquables au titre de la directive Oiseaux est l'inventaire des Zones Importantes pour la Conservation des Oiseaux (ZICO) ; pour la directive Habitats, ce sont les « sites potentiels d'intérêt communautaire ». Les sites Natura 2000 ne seront pas des « sanctuaires de nature » d'où l'homme serait exclu. Dans bien des cas, au contraire, certaines activités devront être favorisées parce qu'elles sont nécessaires à la conservation des habitats ou des espèces concernés. En désignant un site pour l'inscrire au réseau Natura 2000, l'Etat s'engage vis-à-vis de l'Union Européenne à maintenir dans un état de conservation favorable les habitats et espèces d'intérêt communautaire repérés à l'intérieur de ce site. En application du principe de subsidiarité, l'Etat est le seul garant des modes de mise en oeuvre pour atteindre cet objectif. En France, l'Etat s'est engagé à privilégier la démarche contractuelle avec les acteurs locaux sans recours systématique aux procédures réglementaires ». Cet engagement de l'Etat suppose l’adhésion de tous les acteurs impliqués dans la gestion du site : c'est donc localement et en concertation avec tous les acteurs concernés que seront établis les plans de gestion de ces sites, que l'on appelle « documents d'objectifs ». Ce n'est qu'à l'issue de ce processus d'élaboration des documents d'objectifs que la France désignera les sites retenus au titre de la directive Habitats pour figurer au réseau Natura 2000. L'Etat et l'Union Européenne se sont engagés à mettre en oeuvre des financements spécifiques pour accompagner la réalisation des actions prévues dans ces documents d'objectifs des sites bénéficiant du label Natura 2000 et ils incitent conjointement les acteurs locaux à mieux utiliser les instruments financiers existants. 3 - Qu’est-ce qu’un document d’objectifs C'est d’abord un processus de concertation, associant les acteurs concernés par le site : habitants, élus, représentants socio-professionnels, scientifiques. Sur un périmètre donné, ce processus est destiné à se mettre d'accord : • principalement sur les objectifs, • mais aussi sur qui fait quoi, • et avec quels moyens, afin d'atteindre les objectifs de la directive Habitats. Il est établi sous la responsabilité de l'Etat qui est chargé de l'application des directives européennes et, en ce sens, il traduit concrètement les engagements de l'Etat sur un site. C'est un outil de mise en cohérence des actions publiques et privées qui ont des incidences sur les habitats et les espèces d'un site ; il précise le niveau d'engagement de chacun des acteurs sur le site. C'est donc un document d'aide à la décision pour tous les acteurs ayant compétence sur le site. JC Dubos – NATURA CA44 - 27/08/2007 2
Ce sera finalement un document de communication qui facilitera la mise en valeur des espèces et des milieux et permettra d'expliciter le rôle des différents partenaires de la gestion des milieux naturels. Ce sera, à plus long terme, un document de référence sur lequel s'appuiera l'évaluation des actions conduites pour la conservation des habitats et des espèces. II n'a donc pas vocation à se substituer aux documents de planification prévus par les lois et règlements, et n'est pas un document normatif imposé par l'Etat ou l'Europe, mais plutôt une charte entre les partenaires locaux. 4 - Les étapes d’élaboration du document d' objectifs 4.1. Etablir un diagnostic : II s'agit d'abord de caractériser et cartographier les habitats et les espèces protégés (inscrits) et leurs habitats présents sur le site. Il convient ensuite d'évaluer l'évolution récente de ces éléments patrimoniaux du site et de mettre en évidence les facteurs locaux et régionaux qui interviennent sur cette évolution. Il ne faut pas omettre d'analyser le contexte socio-économique local, d'identifier les acteurs et les usages, leurs stratégies, leurs perspectives d'évolution... Ce n'est pas obligatoirement une étude scientifique lourde et fastidieuse dans bien des cas, la mise en cohérence des informations disponibles et quelques investigations complémentaires suffiront pour établir un diagnostic partagé par l’ensemble des acteurs concernés. 4.2. Définir les enjeux et les objectifs : C'est comparer le diagnostic avec les conditions nécessaires à la conservation des habitats et des espèces visés dans les annexes 1 et 2 de la directive et repérés dans le site, sur la base notamment des recommandations des « cahiers d'habitats ». Il y a lieu alors de répondre aux questions : comment maintenir ou développer les activités favorables à la conservation des habitats et des espèces, comment améliorer les situations dégradées, comment intégrer des projets d'aménagement ? C'est donc choisir et hiérarchiser les axes d'intervention parmi les souhaitables, les possibles, à moyen et à long terme. 4.3. Elaborer un plan d'actions : Ceci suppose de traduire de façon opérationnelle les objectifs définis précédemment. Comment soutenir les activités favorables. Comment restaurer les milieux. Comment intégrer les aménagements. Comment éviter la perturbation des espèces ? Ces actions devront être programmées dans la durée du document d'objectifs, qui est à évaluer et pourra être mis à jour tous les 6 ans. Ne pas oublier de définir les outils techniques et les modalités : l'animation, de sensibilisation, de formation, nécessaires pour mettre en oeuvre le plan d'actions. II est nécessaire d'évaluer le coût de chacune de ces actions et de prévoir les modalités de leur financement. Un programme de suivi et d'évaluation de la mise en œuvre du document d'objectifs doit être défini. JC Dubos – NATURA CA44 - 27/08/2007 3
5 - NATURA 2000 en Loire-Atlantique Près de 15% de la SAU départementale est concernée par le zonage NATURA 2000, soit près de 65 000 ha répartis sur 10 sites. En Pays de La Loire, il ne représente que 8% de la SAU et 40% des surfaces sont situées en Loire- Atlantique. Les territoires humides s’inscrivent de manière forte dans l’espace rural du département, tant pour leur intérêt paysager, biologique, social ou culturel. Ils ont pour cela une dimension patrimoniale forte, chaque site gardant sa spécificité propre. Ces territoires ont également développé des activités économiques spécifiques et variées, et présentent une multifonctionnalité importante (hydrologique, écologique, économique, etc). 5.1. Des sites hérités du passé et d’une tradition agricole Le bon état écologique des zones humides du département est un héritage du passé. Ces milieux ont toujours fait l’objet d’une exploitation par l’homme, en particulier pour un usage agricole le plus souvent « traditionnel et extensif ». Des hommes y ont exercé une activité économique, et ce sont bien les acteurs économiques qui ont permis l’entretien et la préservation des paysages et de la biodiversité des zones humides. Sans l’intervention de l’homme, c’est d’abord le réseau hydraulique qui se défait, la végétation qui reprend le dessus, et enfin les paysages qui se ferment naturellement, avec la perte d’une identité de territoire à très forte valeur paysagère et culturelle (cas des marais de l’Erdre). Aujourd’hui, l’utilisation agricole des marais présente un intérêt relatif, compte tenu de l’évolution des moyens de production. Du point de vue de l’entreprise agricole, l’entretien et l’exploitation des marais n’est pas rentable et représente souvent une charge économique importante : par exemple, les contraintes d’exploitation de ces prairies inondables ne permettent pas la mécanisation. Et pourtant, des exploitants agricoles continuent à entretenir tant bien que mal ces prairies, parfois en ayant leur exploitation intégralement en terre de marais. 5.2. Des craintes exprimées par les agriculteurs de marais Pour ces agriculteurs, la gestion de ces territoires s’inscrit dans une dimension culturelle forte : ils en acceptent les conséquences et vivent avec les contraintes de gestion de parcelles inondables, d’entretien du réseau hydrographique, de pose ou dépose des clôtures, etc…. Aussi, lorsque les OGAF se sont mises en place, et aujourd’hui le réseau Natura 2000, les agriculteurs ont craint d’être « dépossédés » d’un territoire qu’ils ont construit depuis longtemps : • Des scientifiques sont d’abord venus faire des inventaires pour la délimitation des sites, sans en connaître les contraintes et modalités de gestion futures. • Ces inventaires ont le plus souvent été réalisés sans que les agriculteurs soient associés, alors qu’ils auraient pu avoir l’occasion de faire valoir leur bonne connaissance de ces milieux humides, qui ne relève pas exclusivement des seuls scientifiques • Par la suite, l’agriculture étant suspectée de tous les désordres écologiques, les agriculteurs se sont vus dire par ces mêmes scientifiques comment il fallait conduire et gérer les prairies, alors que c’est justement leur gestion agricole qui avait permis de préserver jusqu’à présent la qualité de ces milieux humides et qui n’était en définitive pas reconnue. Alors, ils ont craint la mise en place de mesures de gestion réglementaires, non partagées, les pointant du doigt et les excluant des débats, tout en revendiquant la bonne gestion de ces territoires. JC Dubos – NATURA CA44 - 27/08/2007 4
6 - Les enjeux pour la profession agricole En France, l'Etat s'est engagé à privilégier la démarche contractuelle avec les acteurs locaux sans recours systématique aux procédures réglementaires. Cet engagement de l'Etat suppose l’adhésion de tous les acteurs impliqués dans la gestion du site : c'est donc localement et en concertation avec tous les acteurs concernés que doivent être établis les plans de gestion de ces sites, que l'on appelle « documents d'objectifs ». Les principaux enjeux sont pour les agriculteurs sont : • la poursuite de l’exercice de leur métier, qui passe par la consolidation de l’exploitation fourragère de ces zones humides et la garantie de pouvoir encore produire des fourrages de qualité produits dans ces prairies. • la vigilance sur toutes les mesures de caractère réglementaire (site classé, arrêté de biotope, zonage au POS etc.) qui serait de nature à interdire ou à rendre plus difficile tout aménagement ultérieur (hydraulique, foncier), l’exploitation habituelle des prairies par fauche ou pâturage, etc. • la possibilité de pouvoir évoluer, s’adapter quand le contexte économique change Malgré les incertitudes soulevées, les agriculteurs doivent être présents dans les débats : • pour relayer leur détermination pour faire valoir leurs intérêts. • Pour veiller à consolider l’exploitation fourragère de ces zones humides et à garantir la qualité des fourrages produits dans ces prairies. • pour être vigilant sur la définition des cahiers des charges dans chaque secteur, afin que les spécificités de chacun soient prises en compte et assurent la pérennité de l’activité agricole sur le territoire. • pour anticiper sur le dispositif de contractualisation qui sera mis en place, notamment après la fin des OLAE • pour aider les animateurs de cette procédure à s’impliquer dans une démarche d’ouverture et de (re)connaissance des acteurs. 7 - Un territoire multi acteur, et donc une nécessaire concertation Au delà de ces incertitudes sur la pérennité de l’activité agricole, la profession agricole découvrait que d’autres acteurs étaient présents et revendiquaient également des usages sur ce territoire : les pêcheurs, les chasseurs, les environnementalistes, les propriétaires, avec parfois des conflits d’usage ou d’intérêt. Tous se retrouvent autour de projets de territoire à construire, en reconnaissant sa multifonctionnalité. Les manières de faire et les regards ont commencé a changer à la mise en place des OGAF environnement, puis les Opérations Locales Agri-Environnement (OLAE) : les différents acteurs ont appris à mieux se connaître et à se parler. 8 - Les outils de gestion : reconnaître la spécificité de chaque site L'Etat et l'Union Européenne se sont engagés à mettre en oeuvre des outils et des financements spécifiques pour accompagner la réalisation des actions prévues dans ces documents d'objectifs des sites bénéficiant du label Natura 2000. Par ailleurs, ils incitent conjointement les acteurs locaux à mieux utiliser les instruments financiers existant. JC Dubos – NATURA CA44 - 27/08/2007 5
9 - Des outils de contractualisation à pérenniser Les OGAF ou les OLAE ont permis dans ces secteurs de préserver ces milieux, en permettant aux agriculteurs de conforter ou d’adapter leurs pratiques culturales dans les prairies humides. Un dispositif de contractualisation à la surface engageait les éleveurs à respecter un cahier des charges spécifiant un mode de gestion respectant les espèces protégées, contre une rémunération proportionnelle à l’effort consenti : Il s’agissait de retards de fauche ou de fauches réalisées du centre de la parcelle vers la périphérie, de réduction ou de limitation de fertilisation, d’usage de produits phytosanitaires, etc., comme par exemple pour le râle des genêts en vallée de Loire. Ces dispositifs ont permis aux éleveurs des zones humides de réaliser des investissements qui ont conforté leur entreprise tout en respectant les objectifs environnementaux visés. L’agriculture a ainsi pu se maintenir dans ces secteurs peu favorables. Les CTE, puis les CAD sont les dispositifs qui ont succédé aux OLAE, n'apportant aucune pérennité en terme de politique publique de soutien de l'agriculture de marais. 2007 marque la fin des CAD et la mise en place d'un nouveau dispositif de mesures agro- environnementales que la France doit mettre en œuvre dans le cadre du PDRH (Plan de Développement Rural Hexagonal). Les grands principes qui ne bougent pas : - les MAE visent à encourager les pratiques agricoles respectueuses de l'environnement ; - elles sont contractualisées, de manière volontaire, sur une période de 5 ans ; - elles compensent les surcoûts ou les manques à gagner liés à des changements de pratique ; - elles concernent les territoires à enjeu biodiversité et eau, la conversion à l'agriculture biologique, et la protection des races menacées- elles sont territorialisées sur des zones d’actions prioritaires validées par le préfet ; - elles sont encadrées par une enveloppe budgétaire régionale. JC Dubos – NATURA CA44 - 27/08/2007 6
Les sites NATURA 2000 en Loire-Atlantique Site N°40 Marais de la Vilaine, cours inférieur de l’Oust et de l’Arz 16 900 ha Site N°6 Site N°8 Marais du Mes, Baie et Dunes de Pont Mahé Etangs de Vioreau et et Etant du Pont de Fer de la Provostière 2 200 ha 260 ha et 4,5 km de Site N°4 cours d’eau Site N°3 Marais de l’Erdre Grande Brière et 2 400 ha Marais de Donges 16 500 ha Site N°7 Marais salants Guérandais, Traicts du Croisic et dunes Site N°2 Site N°1 Vallée de la Loire de Pen Bron Estuaire de la Loire 9 000 ha 3 000 ha 21 000 ha Site N°5 Lac de Grand Lieu 6 500 ha Site N°33 Marais Breton, Baie de Bourgneuf, Ile de Noirmoutier et Forêt de Monts 53 000 ha En Loire-Atlantique, ce zonage correspond à 15 % de la SAU du département, alors qu’en Pays de Loire, cela ne représente que 8 % de la SAU. • la Grande Brière : 16 700 ha • l’Estuaire de la Loire : 15 747 ha • le marais Breton : 10 127 ha • le lac de Grand Lieu : 6 292 ha • la Vallée de la Loire • (y compris les marais de Goulaine) 5 787 ha • le marais salant de Guérande : 3 694 ha • l’Erdre : 2 515 ha • le marais de Vilaine : 1 702 ha • le marais du Mès : 1 520 ha • les étangs de Vioreau et de la Provostière : 281 ha Les surfaces proposées pour les sites de Loire-Atlantique représentent 41 % des surfaces Pays de Loire. JC Dubos – NATURA CA44 - 27/08/2007 7
DOCUMENT D’OBJECTIFS SCHEMA DES RELATIONS ENTRE ACTEURS Préfecture de Loire Atlantique (Maître d’Ouvrage et commanditaire) Direction Régionale de l’Environnement (DIREN) Experts Maître d’œuvre Assistance technique, avis Animation, Coordination Autres usagers Collectivités territoriales COMITE DE PILOTAGE Propriétaires Administrations, Agriculteurs établissements publics Pêcheurs Chasseurs JC Dubos – NATURA CA44 - 27/08/2007 8
DOCUMENT D’OBJECTIFS ELABORATION DU DOCUMENT Habitats Type de Activités Facteurs Espèces milieux humaines extérieurs Enjeux Enjeux Enjeux Enjeux Contraintes Contraintes Négociations (Groupes thématiques) - Faune/flore - Chasse/pêche - Agriculture - Tourisme - Autres loisirs, découverte Document de référence - Programmation d’objectifs sur 6 ans - Fiches d’actions et de gestion - Evaluation financière - Plan de suivi et d’évaluation JC Dubos – NATURA CA44 - 27/08/2007 9
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