PDF Kit d'accessibilité - Version GoogleDocs - Fractures corporelles, fractures ...
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Kit d’accessibilité PDF Livret pédagogique Version GoogleDocs Par Achille Gautheron & Louise Mathieu
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Ce livret est destiné à tous les concepteurs de PDF (Portable Document Format) qui souhaitent créer des documents accessibles en utilisant le logiciel GoogleDocs. Les conseils proposés dans ce fascicule aident à réaliser des PDF accessibles à toute personne, qu’elle soit en situation de handicap (visuel, cognitif, moteur, âge avancé, maladie, fatigue…) ou non. Il s’inscrit dans le programme de recherche « Fractures corporelles, fractures numériques : enjeux, risques, solutions » qui s’étend de 2016 à 2020. Ce projet est porté par Véronique Lespinet- Najib et Nathalie Pinède et soutenu par les établissements suivants : Page 3 sur 38
Préface « L'accessibilité numérique signifie que les personnes en situation de handicap peuvent utiliser l'outil informatique. Plus précisément, qu'elles peuvent percevoir, comprendre, naviguer et interagir avec ces outils, et qu'elles peuvent contribuer à la production de contenus.». « L'accessibilité numérique concerne tous les handicaps qui affectent l'accès à un ordinateur, ce qui inclut les handicaps visuels, auditifs, physiques, de parole, cognitifs et neurologiques. » source Web Accessibility Initiative. Elle concerne dans un sens plus global, l’ensemble des utilisateurs pouvant se retrouver en situation de handicap ponctuellement vis-à-vis du numérique (personnes âgées, personnes mal ou pas équipées). Page 4 sur 38
Note Ce document référence des bonnes pratiques afin de rendre un PDF accessible. Elles sont classées selon quatre niveaux d’importance : Niveau A (Niv. A) : règles indispensables Niveau B (Niv. B) : règles principales Niveau C (Niv. C) : règles secondaires Niveau D (Niv. D) : règles complémentaires Les niveaux précédents ont été établis d’après les normes WCAG (Web Content Accessibility Guidelines) 2.0 et RGAA (Référentiel Général d’Accessibilité des Administrations) v3. Il s’agit des normes et de la législation sur l’accessibilité numérique au niveau français et international. Pour rendre votre PDF accessible, il est recommandé de suivre au minimum les règles de niveau A et B. Page 5 sur 38
À quoi ressemble un PDF accessible ? Page 6 sur 38
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Table des matières 1 Structure du document .................. 10 1.1 Hiérarchie du document (Niv. A) .. 10 1.2 Placement des éléments (Niv. B) .. 11 1.3 Zones de texte et graphes (Niv. C) 12 1.4 Listes (Niv. C) ........................ 13 1.5 Notes (Niv. D) ........................ 14 1.6 En-têtes et pieds de page (Niv. D) 15 2 Métadonnées .............................. 15 2.1 Renseignement (Niv. A) ............. 15 2.2 Langue du document (Niv. B) ...... 17 3 Contenus textuels ........................ 18 3.1 Phrases (Niv. A) ...................... 18 3.2 Liens (Niv. C) ......................... 19 3.3 Abréviations (Niv. C) ................ 20 4 Styles de textes ........................... 20 Page 8 sur 38
4.1 Styles (Niv. A) ........................ 20 4.2 Police d’écriture (Niv. A) ........... 24 4.3 Taille du texte (Niv. A) ............. 26 4.4 Couleurs (Niv. A) ..................... 27 5 Contenus visuels .......................... 30 5.1 Alternatives textuelles (Niv. A) .... 30 5.2 Légendes (Niv. A) .................... 31 5.3 Tableaux (Niv. B) .................... 32 6 Générer un PDF accessible .............. 34 6.1 Vérifier l’accessibilité (Niv. A) .... 34 6.2 Exporter au format PDF (Niv. A) ... 35 6.3 Alternatives (Niv. D) ................ 35 7 Récapitulatif .............................. 36 8 Sources ..................................... 38 Page 9 sur 38
1 Structure du document 1.1 Hiérarchie du document (Niv. A) Il est essentiel d’établir une hiérarchie claire du document afin de pouvoir insérer une table des matières. Figure 1 : Niveaux de titres Les niveaux de titres indiquent le début du contenu principal du document et démarquent ses différentes parties. Ils se définissent dans la liste « Styles » du ruban GoogleDocs. Le « Titre 1 » s’emploie pour définir le titre d’une partie du document, le « Titre 2 » pour le titre d’une sous-partie et ainsi de suite. Page 10 sur 38
La table des matières reprend la hiérarchie des titres utilisée sur le document. Elle s’insère depuis l’onglet « Insertion » en cliquant sur « Table des matières ». Il est possible (et souhaitable) de mettre à jour la table lorsque vous modifiez le contenu du document, en cliquant dessus et en sélectionnant « Mettre à jour la table des matières ». 1.2 Placement des éléments (Niv. B) La mise en page est à soigner. Il est conseillé de ne pas remplir trop densément une page et de faire une mise en page simple avec une séparation nette des paragraphes et des idées. Les éléments tels que les listes ou les tableaux ne doivent pas être scindés sur deux pages, car les lecteurs d’écran vont les considérer comme des éléments distincts (un par page). Page 11 sur 38
Afin de mettre en page du texte et des éléments visuels sur plusieurs colonnes, utiliser l’outil « Colonnes » présent dans l’onglet « Format » du ruban GoogleDocs. Les tableaux servant à la mise en forme du document sont à éviter car l’ordre logique de compréhension des informations sera complètement erroné. 1.3 Zones de texte et graphes (Niv. C) Les zones de texte sont des zones flottantes pouvant contenir du texte ou des images par exemple. Mais les technologies d’assistance telles que les lecteurs d’écran risquent de les lire dans le désordre ou de ne pas y avoir accès. Si l’utilisation des zones de texte est nécessaire, la solution est alors de définir l’ordre de lecture des balises sur Acrobat Pro une fois le document converti au format PDF. Page 12 sur 38
1.4 Listes (Niv. C) Figure 2 : outil listes L’outil de création de listes permet de rendre la lecture des listes plus accessible. Il se trouve dans le ruban GoogleDocs. A chaque création d’une liste, il faut utiliser cet outil, pour permettre une meilleure compréhension des données Il est déconseillé de créer des listes de plus de deux niveaux car au-delà, celles-ci deviennent plus difficiles à interpréter. Page 13 sur 38
1.5 Notes (Niv. D) Les notes de bas de page et notes de fin sont à utiliser avec précaution. En effet, il peut être complexe de se référer à un grand nombre de notes. De plus, les lecteurs d’écran lisent toutes les notes à la fois, à partir de la première note de la page ou après avoir lu la page entière. Il est donc recommandé d’utiliser au maximum une note par page du document. Pour cela, sélectionner le texte souhaité puis dans l’onglet « Insertion » cliquer ensuite sur « Notes de bas de pages ». Page 14 sur 38
1.6 En-têtes et pieds de page (Niv. D) Les en-têtes et pieds de pages générés automatiquement depuis GoogleDocs ne sont pas lus par les lecteurs d’écran. Ainsi, si des informations importantes sont contenues dans les en-têtes et pieds de pages, il faut les créer manuellement. 2 Métadonnées 2.1 Renseignement (Niv. A) Les métadonnées sont les informations qui décrivent une ressource numérique, telles que le titre du document, son sujet, son auteur ainsi que des mots-clés. Page 15 sur 38
Figure 3 : Bouton d'informations Pour les renseigner, il suffit de se rendre dans le dossier contenant le document puis de cliquer sur l’icône d’information situé en haut à droite de l’écran. Figure 4 : Renseignement des métadonnées Page 16 sur 38
Sélectionner le document en cliquant dessus et dans le volet de droite choisir l’onglet « Détails ». Il faut ensuite appuyer sur le crayon tout en bas. 2.2 Langue du document (Niv. B) La langue par défaut d’un document correspond à celle de la version de GoogleDocs utilisée. Or les lecteurs d’écran doivent connaître la langue du document afin de pouvoir correctement la vocaliser. Ainsi, pour rédiger un document dans une langue étrangère, il suffit de se rendre sur l’onglet « Fichier » du ruban puis cliquer sur « Langue ». Page 17 sur 38
3 Contenus textuels 3.1 Phrases (Niv. A) Pour se faire bien comprendre de tous, il est recommandé d’utiliser des mots simples et des phrases courtes, ainsi que de formuler des idées claires. Cela sera particulièrement utile pour des personnes souffrant de déficience intellectuelle ou de fatigue. Afin de vérifier la simplicité du texte, il est possible de faire relire le document par une personne extérieure. La mise en évidence d’éléments du texte (par l’utilisation d’une écriture tout en majuscules, d’une taille de police plus élevée, de couleurs, etc.) doit rester exceptionnelle pour plus d’efficacité. Page 18 sur 38
3.2 Liens (Niv. C) Les liens externes au document doivent être explicites, c’est-à-dire qu’il doit être possible de comprendre facilement vers quelles destinations ils se dirigent. Pour créer un lien, il faut sélectionner le texte correspondant, puis faire un clic droit et choisir « Lien». Figure 5 : Lien hypertexte Une nouvelle fenêtre s’ouvre, et l’adresse du lien se rentre dans « Lien ». Les liens internes (hors liens de la table des matières) sont à proscrire car ils peuvent renvoyer vers de mauvaises destinations. Page 19 sur 38
3.3 Abréviations (Niv. C) L’utilisation des abréviations, sigles et acronymes est déconseillée car leur interprétation est trop aléatoire selon les lecteurs d’écran. L’alternative est d’ajouter la signification du terme entre parenthèses. 4 Styles de textes 4.1 Styles (Niv. A) L’emploi de styles permet à la fois de baliser les éléments d’un document (texte courant, titres, listes, tableaux, etc.) et d’utiliser des paragraphes uniformes dans tout le document. Il est donc conseillé d’appliquer des jeux de style sur tous les éléments textuels. Page 20 sur 38
Figure 6 : Définition d'un style 2 4 7 1 3 6 Pour définir un style de texte facilement déchiffrable, procéder comme suit : 1. Choisir une police d’écriture lisible (voir partie 4.2) 2. Définir une taille du texte suffisante (voir partie 4.3) 3. Appliquer si besoin le caractère « gras » au texte pour assurer un contraste suffisant 4. Éviter l’usage abusif de l’italique et du soulignement 5. Choisir la couleur du texte (voir partie 4.4) 6. Aligner de préférence le texte à gauche 7. Privilégier un interligne de 1,5 Enfin, il faut éviter l’usage de nombreux styles ou polices différents sur la même page afin de ne pas perdre le lecteur. Page 21 sur 38
Figure 7 : Modification d'un style Pour modifier un style de texte, il faut sélectionner le texte dont nous avons modifié le style. Puis, faire un clic droit et sélectionner « Mettre à jour « style » en fonction de la sélection/l’emplacement du signe d’insertion ». Page 22 sur 38
Les styles permettent ainsi de définir les espacements entre les paragraphes ou dans les cellules d’un tableau. En effet, les espaces ou sauts de lignes servant à la mise en page du document sont proscrits, car ils induisent en erreur les lecteurs d’écran. Si besoin, utiliser l’outil « Sauts de pages » qui se trouve dans l’onglet « Insertion » à la section « Saut ». Page 23 sur 38
4.2 Police d’écriture (Niv. A) La police d’écriture utilisée va influencer la compréhension du texte. De manière générale, les polices sans serif (c’est-à-dire sans empâtements) sont conseillées, telles que Trebuchet MS ou Century. Trois polices sont particulièrement recommandées : Universe, Arial et Helvetica. Pour un lecteur souffrant de dyslexie, la police Comic sans MS est conseillée. Les polices à éviter sont celles extravagantes, irrégulières et très serrées. Les polices ne permettant pas l’accentuation des lettres capitales (É, À, Î, etc.) sont également déconseillées. En effet, l’accentuation permet notamment d’obtenir un meilleur rendu audio par les synthèses vocales. Page 24 sur 38
Le tableau suivant résume les raccourcis clavier les plus courants permettant l’accentuation des majuscules, sous les systèmes d’exploitation Windows et macOS : Tableau 1 : Raccourcis clavier Lettre Sous Windows Sous Mac À Alt Gr + ` (sur la touche 7) puis A Maj lock puis à Ç Alt + 0199 Option + ç È Alt Gr + ` (sur la touche 7) puis E Maj lock puis è É Alt + 0201 Maj lock puis é Ê ^ puis Maj + E ^ puis Maj + E Î ^ puis Maj + I ^ puis Maj + I Page 25 sur 38
4.3 Taille du texte (Niv. A) La taille du texte peut améliorer ou dégrader de manière très significative la lisibilité d’un document. Il est conseillé de viser au maximum 80 caractères par ligne. Pour retrouver cette information, sélectionner le texte d’une ligne du document puis cliquer sur « Nombre de mots » disponible dans l’onglet « Outils ». Le minimum recommandé pour une lecture confortable et accessible est une police 12. En effet, une écriture plus petite est difficilement lisible pour de nombreux lecteurs, enfants, personnes âgées et personnes malvoyantes. Pour ce qui est des documents à l’attention spécifique des personnes malvoyantes, une police 14 minimum est recommandée. Page 26 sur 38
4.4 Couleurs (Niv. A) La couleur permet de faire ressortir une information. Elle ne doit cependant pas être utilisée seule dans ce but. Si un code couleur ayant du sens est adopté, chaque couleur doit être différenciable. Il est possible de vérifier cela en simulant plusieurs types de vision sur le site vischeck.com. Lors de l’impression, le papier choisi a également son importance. Il faut éviter d’utiliser une illustration en arrière-plan car cela limite le contraste et fatigue l’œil. Enfin, il faut éviter les supports brillants qui ont tendance à réfléchir la lumière, ce qui peut occasionner une gêne pour la lecture. Page 27 sur 38
Le contraste entre le fond et la couleur du texte doit être suffisant et ce même pour une lecture en niveaux de gris. De manière générale, il est conseillé d’utiliser une couleur très pâle pour le support et une couleur très foncée pour le texte à imprimer. Le meilleur contraste est obtenu avec un imprimé noir sur un fond blanc ou jaune. Le ratio du contraste est donné par le site web contrast-ratio.com. Le but est de parvenir au résultat « AAA », obtenu en passant la souris sur le chiffre du ratio, ou au minimum « AA ». Page 28 sur 38
Tableau 2 : Contrastes de couleurs Rouge foncé Bleu foncé Vert foncé Gris foncé Bleu clair Vert clair Gris clair Orange Marron Violet Jaune Beige Blanc Rose Noir Beige Noir Marron Bleu foncé Bleu clair Vert foncé Vert clair Gris foncé Gris clair Rouge foncé Orange Légende : Rose Idéal Violet Acceptable Jaune Déconseillé Blanc Attention à ne pas utiliser trop de couleurs différentes afin de ne pas provoquer de fatigue visuelle ou de confusion. Page 29 sur 38
5 Contenus visuels 5.1 Alternatives textuelles (Niv. A) Il est nécessaire d’apporter des alternatives textuelles à tous les éléments apportant de l’information non textuelle : images, graphiques, formules, etc. En effet, ces descriptions sont vocalisées par les lecteurs d’écran. Au contraire, si un élément visuel ne sert qu’à améliorer la présentation, il est fortement déconseillé de lui ajouter une alternative textuelle. Pour insérer une alternative textuelle, il suffit de faire un clic droit sur l’élément et de cliquer sur « Texte alternatif ». Une fenêtre s’ouvre alors. Page 30 sur 38
Figure 8 : Alternative textuelle Le titre ainsi que la description de l’élément peuvent alors être renseignés. 5.2 Légendes (Niv. A) Il est également conseillé d’ajouter des légendes aux éléments visuels et aux tableaux. Différenciées visuellement du reste du texte et placées au-dessus des éléments, elles conviendront à tout type de lecteur. En effet la légende permet d’obtenir des informations sur l’élément et ainsi mieux le comprendre. Page 31 sur 38
On ne peut pas ajouter de légende via une commande, il faut donc les créer manuellement. 5.3 Tableaux (Niv. B) Les tableaux doivent être utilisés avec précaution. En effet, ceux-ci doivent être simples afin d’être facilement compréhensible par les lecteurs ainsi que les technologies d’assistance. Il est notamment conseillé d’éviter les tableaux imbriqués, les cellules fusionnées et les cellules vides. Ainsi, l’outil « Dessiner un tableau » est à proscrire. Lorsqu’un tableau est trop complexe, il est préférable de créer plusieurs petits tableaux plus simples. Par ailleurs, les cellules d’en-tête des tableaux doivent être identifiées pour faciliter la navigation dans le tableau. En effet, le titre de l’en-tête peut être répété vocalement par les lecteurs d’écran. Page 32 sur 38
Si besoin, ajouter une ligne au tableau correspondant à la ligne d’en-tête. Tout comme pour le texte, l’application de styles de tableaux permet de garantir que l’ordre de présentation des données sera logique. Pour finir, il faut vérifier l’ordre de lecture pour s’assurer qu’il est cohérent. Pour ce faire, parcourir le tableau avec la touche « Tabulation ». Page 33 sur 38
6 Générer un PDF accessible 6.1 Vérifier l’accessibilité (Niv. A) L’outil « Grackle » est important à utiliser avant de générer le PDF. En effet, il vérifie les critères d’accessibilité du document concernant les liens, les tableaux, les images et la mise en page. Cet outil se trouve dans l’onglet « Modules complémentaires », puis cliquer sur « Télécharger des modules complémentaires… ». Le module Grackle se trouve à l’aide de la section de recherche, il peut alors être installé. Les problèmes d’accessibilité pointés par cet outil ne sont cependant pas à prendre au pied de la lettre, le but étant d’adapter les corrections au document. Page 34 sur 38
6.2 Exporter au format PDF (Niv. A) Pour exporter un document au format PDF, il faut se rendre dans l’onglet « Fichier » puis « Télécharger au format » et choisir « Document PDF ». 6.3 Alternatives (Niv. D) L’idéal est de proposer plusieurs versions du document, en s’adaptant aux capacités et aux limites des lecteurs. Par exemple, il est possible de créer un document spécifiquement accessible aux personnes souffrant de déficience visuelle. Ce document comprendrait notamment un texte sans couleur (tout en noir) et de taille adaptée au handicap, et il serait imprimé sur une feuille A3 jaune. Page 35 sur 38
7 Récapitulatif La liste suivante résume les règles minimales à respecter afin que le document créé soit considéré comme accessible. Structure du document : Hiérarchie du document (page 10) Placement des éléments (page 11) Métadonnées : Renseignement (page 15) Langue du document (page 17) Contenus textuels : Phrases (page 18) Styles de textes : Styles (page 20) Police d’écriture (page 24) Taille du texte (page 26) Couleurs (page 27) Page 36 sur 38
Contenus visuels : Alternatives textuelles (page 30) Légendes (page 31) Tableaux (page 32) Générer un PDF accessible : Vérifier l’accessibilité (page 34) Configurer l’export (page 35) Page 37 sur 38
8 Sources Ce livret a été réalisé en s’appuyant sur les sites suivants : RGAA (Référentiel Général d’Accessibilité des Administrations) : https://references.modernisation.gouv.fr/rgaa- accessibilite/ WCAG (Web Content Accessibility Guidelines) 2.0 : https://www.w3.org/Translations/WCAG20-fr/ PDF accessible : http://www.pdfaccessible.com/ Handicap international : https://handicap-international.fr/ Vischeck : http://www.vischeck.com/ Contrast-ratio : http://contrast-ratio.com/ Page 38 sur 38
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